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Roue de Falkirk

La roue de Falkirk, en anglais Falkirk Wheel, est un ascenseur à bateaux rotatif, reliant le Forth and Clyde Canal à l'Union Canal, près de la ville de Falkirk dans le centre de l'Écosse. L'ouverture de l'ascenseur en 2002 fait se rejoindre les deux canaux pour la première fois depuis les années 1930 dans le cadre du plan de Millennium Link.

Roue de Falkirk
La roue de Falkirk en position arrêtée
La roue de Falkirk en position arrêtée
GĂ©ographie
Pays Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Nation Drapeau de l'Écosse Écosse
Commune Falkirk
CoordonnĂ©es gĂ©ographiques 56° 00′ 01″ N, 3° 50′ 30″ O
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Roue de Falkirk

Le projet de remise en valeur des canaux de la Central Belt écossaise pour relier Glasgow à Édimbourg a été mené par British Waterways et soutenu et financé par sept représentants locaux des pouvoirs publics, par le réseau de la Scottish Enterprise (en) ainsi que le Fonds européen de développement régional et la Commission du Millénaire. Les chefs du projet ont décidé dès l'origine de faire de cette construction un édifice radicalement ancré dans le XXIe siècle plutôt que de recréer l'ancien escalier d'écluses.

Le système d'ascenseur permet d'Ă©lever les bateaux de 24 m mais l'Union Canal est situĂ© encore 11 m plus en hauteur ; les bateaux doivent donc franchir deux Ă©cluses pour le rejoindre. Cette « roue » est un modèle unique au monde, et constitue une Ĺ“uvre remarquable d'ingĂ©nierie civile qui attire de nombreux touristes. Fonctionnant selon un principe plus classique, l'ascenseur Ă  bateaux d'Anderton, dans le Cheshire, est le seul autre Ă©quipement de ce type au Royaume-Uni.

Histoire

Liaison avant 1933

Les deux canaux desservis par la roue Ă©taient auparavant reliĂ©s par une sĂ©rie de onze Ă©cluses[1] - [2]. Le dĂ©nivelĂ© de 35 mètres nĂ©cessitait 3 500 tonnes d'eau par passage et la durĂ©e de la montĂ©e s'Ă©talait sur une grande partie de la journĂ©e[3].

Ce système tombe en désuétude au début des années 1930 et, en 1933, les écluses sont démontées[1] - [2]. Le Forth and Clyde Canal est fermé à la fin de l'année 1962[4] et, au milieu des années 1970, l'Union Canal est bouché à ses deux extrémités ; l'installation de buses à deux endroits et la présence de nombreux tuyaux dus à la construction d'un lotissement le rendent impraticable[5]. Le comité British Waterways (BW) est créé le 1er janvier 1963, date de la fermeture du Forth and Clyde Canal. Cet organisme a pour objectif d'établir un grand plan quant à l'utilisation future des canaux du Royaume-Uni[4] - [5].

En 1976, le comitĂ© dĂ©cide lors d'une rencontre avec les conseils locaux que les sections encore navigables Forth and Clyde Canal, dont le tracĂ© a Ă©tĂ© fragmentĂ© par diverses constructions, doivent ĂŞtre prĂ©servĂ©es grâce Ă  la construction de ponts suffisamment hauts pour laisser passer les bateaux et par le maintien en service des Ă©cluses encore existantes[6]. Le coĂ»t du rĂ©tablissement complet de la voie navigable de la Mer du Nord Ă  l'OcĂ©an Atlantique fut cependant jugĂ© trop important mais du moins ne fallait-il pas la dĂ©grader davantage[6]. En 1979, un rapport d'enquĂŞte mentionne 69 obstacles Ă  la navigation et demande les avis de vingt groupes d'individus concernĂ©s sur le Plan Local du Forth and Clyde Canal de 1980[6].

Suggestion du projet

En 1993, une loi sur l'utilisation des fonds générés par la National Lottery est à l'origine de la Commission du Millénaire : les bénéfices seront destinés au financement de « grandes causes »[7]. En 1996, la Commission juge les capitaux suffisants et propose de soumettre différentes candidatures de projets variés et « dignes d'intérêt qui marqueraient l'an 2000 et le passage à un nouveau millénaire. »[7]. Il était convenu que la Commission ne financerait qu'à moitié les projets retenus, la somme restante devant être fournie par les maîtres d'ouvrage[7].

BW avait dĂ©jĂ  envisagĂ© un plan pour relier Ă  nouveau les deux canaux Ă  l'issue d'un projet qui aurait totalement pris en charge le coĂ»t de l'entreprise[7]. En 1994, BW communique sur le projet pour recourir au financement : celui-ci est inclus dans le programme de « Liaison du MillĂ©naire » (Millennium Link) en 1995[8]. Les plans exigeaient que les canaux soient rouverts dans leurs dimensions d'origine, avec un tirant d'air de trois mètres. Le budget du projet dans son ensemble Ă©tait de 78 millions de livres sterling[9] (soit près de 93 millions d'euros).

Le 14 fĂ©vrier 1997, la Commission dĂ©clare qu'elle va financer la Liaison Ă  hauteur de 32 millions de livres, soit 41,02 % du coĂ»t total[10]. Le coĂ»t de la « roue » et de son bassin est estimĂ© Ă  17 millions de livres, plus d'un cinquième du budget total[11]. Les 46 millions restants nĂ©cessaires pour commencer la construction sont fournis au cours des deux annĂ©es suivantes par British Waterways et Scottish Enterprise ; sept conseils locaux apportent leur contribution. Le Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement rĂ©gional aide Ă  financer le projet avec une contribution qui s'Ă©lève Ă  8,6 millions de livres[12].

Conception visuelle

En 1999, la coentreprise Morrison-Bachy Soletanche propose un concept ressemblant à une grande roue avec quatre nacelles. Tous les membres du projet s'accordent sur la fonctionnalité de la proposition mais BW n'y voit pas le joyau de l'exposition attendu[13] - [14]. C'est une équipe de vingt architectes et ingénieurs expérimentés qui repense le projet sous la direction de Tony Kettle (en) de l'agence RMJM pendant trois semaines au cours de l'été 1999[13] - [15] - [16]. Le résultat final est la combinaison des efforts de British Waterways, du bureau d'études Arup, de Butterley Engineering (en) et de RMJM[12].

Kettle a utilisé les Lego de sa fille de huit ans pour mettre au point certains éléments de l'édifice : c'est une telle maquette qu'il montre aux clients et aux donateurs[17] - [15]. L'apparence du centre d'accueil des visiteurs est également le fruit du travail d'un architecte de l'agence RMJM, Paul Stallan[18] - [19].

La conception visuelle compte parmi ses sources d'inspiration la hache celte à double tranchant, l'hélice d'un navire ou encore la cage thoracique d'une baleine[20]. Kettle dit de la Roue qu'elle est « une chose belle, gracieuse comme la colonne vertébrale d'un poisson »[17] alors que la Royal Fine Art Commission for Scotland la qualifie de « sculpture contemporaine »[12].

Les maquettes et les dessins de la Roue de Falkirk ont Ă©tĂ© exposĂ©s en 2012 au Victoria and Albert Museum Ă  Londres[21]. Elle est visible sur le verso du billet de 50 livres sterling Ă©mis par la Banque d’Écosse depuis 2007. Ces billets commĂ©morent les grandes rĂ©alisations techniques Ă©cossaises Ă  travers la reprĂ©sentation de plusieurs ponts comme le Viaduc de Glenfinnan et le Pont du Forth[22].

Construction

Le bassin en construction en 2001.

En mars 1999, le SecrĂ©taire d'État pour l'Écosse coupe la première motte de gazon au niveau de l'Ă©cluse 31 du Forth and Clyde Canal[12], cela marque symboliquement le dĂ©but des travaux. En tout, plus de 1 000 personnes sont employĂ©es pour la construction de la Roue[23], qui a Ă©tĂ© prĂ©vue pour fonctionner pendant 120 ans[20] - [24].

La roue a Ă©tĂ© totalement construite et assemblĂ©e Ă  l'usine de Betterley Engineering, Ă  Ripley dans le Derbyshire. Pendant l'Ă©tĂ© 2001, la structure est dĂ©montĂ©e et transportĂ©e jusqu'Ă  Falkirk au moyen de 35 chargements de camions. L'armature est alors assemblĂ©e au sol en cinq parties et Ă©levĂ©e sur place[25]. La construction du canal a demandĂ© l'excavation de 250 000 m3 de dĂ©blais, la mise en place d'un canal souterrain de huit mètres de diamètre, des ponts-canaux de 20 m et de 120 m de longueur, trois systèmes d'Ă©cluses, plusieurs ponts et Ă©galement 600 m de route latĂ©rale au canal. Le tunnel de Roughcastle, long de 180 m, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en trois Ă©tapes : les deux quarts du tunnel les plus Ă©levĂ©s ont Ă©tĂ© creusĂ©s Ă  l'aide d'une excavatrice standard ; la partie basse est terrassĂ©e au moyen d'une raboteuse routière modifiĂ©e pour enlever des couches de 100 mm ce qui rĂ©duit le temps de construction de deux semaines et le coĂ»t de 15 %[15].

Considérations techniques

Des mines Ă  ciel ouvert d'argile et de charbon ainsi qu'une usine de goudron se trouvaient autrefois dans les emprises du projet ; cette dernière activitĂ© a eu pour effet de polluer le canal en goudron et en mercure[15] - [26]. Les remblais de grès sur 20 m d'Ă©paisseur ne formaient pas une base assez solide pour y implanter les fondations : l'emploi de pieux de bĂ©ton de 30 m par 22 m permet d'atteindre la roche-mère[15].

Puisque la roue bascule dans des directions diffĂ©rentes, la contrainte imposĂ©e Ă  la structure est variable et certaines parties subissent des renversements de la tension exercĂ©e. Pour Ă©viter la fatigue qui aurait pu mener Ă  des fissures, des tronçons furent boulonnĂ©s plutĂ´t que soudĂ©s : 14 000 boulons et 45 000 trous de boulon ont Ă©tĂ© nĂ©cessaires[15] - [20] - [23].

Le pont-canal conçu par ARUP fut d'abord qualifiĂ© d'« inconstructible » mais, grâce Ă  des barres d'armature de 40 mm, sa construction fut finalement rendue possible[27]. Les plans d'origine indiquent Ă©galement que le canal aurait dĂ» traverser le Mur d'Antonin mais une pĂ©tition fit prĂ©fĂ©rer Ă  cette idĂ©e celle de la mise en place de deux Ă©cluses et d'un tunnel passant sous le mur[14].

Une fois complĂ©tĂ©, le système d'ascenseur permet d'Ă©lever les bateaux de 24 mètres[16].

Inauguration

La reine Élisabeth II a inaugurĂ© la Roue de Falkirk le 24 mai 2002 dans le cadre des cĂ©lĂ©brations de son JubilĂ© d'or. Cependant, l'Ă©vĂ©nement a connu un retard d'un mois ayant pour cause un acte de vandalisme : l'ouverture forcĂ©e des portes de la Roue avait inondĂ© un puits Ă  sec entraĂ®nant des dommages sur l'Ă©quipement Ă©lectrique et hydraulique[28]. Le coĂ»t de la rĂ©paration est estimĂ© Ă  350 000 livres[28] - [29].

Fonctionnement

Structure

Le diamètre total de la roue est de 35 m ; les bras opposĂ©s s'Ă©tendent sur 15 m autour de l'essieu ce qui confère Ă  l'ensemble la forme d'une hache Ă  double tranchant[30] - [31] - [32]. Deux de ces grands bras sont rattachĂ©s Ă  l'essieu central de 3,8 m de diamètre et de 28 m de longueur[33]. Ă€ chaque extrĂ©mitĂ© des bras sont situĂ©s des caissons remplis d'eau, chacun d'une capacitĂ© de 250 000 litres[23].

Ces caissons transportent Ă  chaque passage une masse totale de 500 tonnes : Ă  la masse des bateaux et de l'eau s'ajoute celle de la nacelle elle-mĂŞme, soit environ 50 tonnes[15]. Le niveau d'eau doit ĂŞtre maintenu le mĂŞme de chaque cĂ´tĂ© afin d'Ă©quilibrer la masse aux deux extrĂ©mitĂ©s du bras. Le principe de la poussĂ©e d'Archimède explique qu'un corps flottant dĂ©place l'Ă©quivalent en eau de sa propre masse : quand le bateau se place dans la nacelle, la masse de l'eau qui en sort est identique[23] - [32]. Cela est rendu possible en maintenant le niveau d'eau dans un intervalle d'environ 37 mm de chaque cĂ´tĂ© grâce Ă  un système informatique Ă©tendu Ă  l'ensemble du site. Ce système contient notamment des dĂ©tecteurs du niveau d'eau ainsi que des pompes et des Ă©cluses automatisĂ©es[15] - [13]. L'alimentation des dix moteurs hydrauliques ne demande que 22,5 kilowatts, soit 1,5 kWh par bascule : c'est Ă  peu près l'Ă©nergie qu'il faut pour porter Ă  Ă©bullition huit bouilloires remplies d'eau[15].

Les deux caissons sont larges de 6,5 m et peuvent contenir jusqu'Ă  quatre pĂ©niches de 20 m de long[27]. Les portes Ă©tanches situĂ©es Ă  chaque extrĂ©mitĂ© des nacelles s'accolent Ă  celles disposĂ©es dans la partie en hauteur et celles du bassin infĂ©rieur. La contrainte de l'espace disponible a fait prĂ©fĂ©rer des portes s'Ă©levant verticalement Ă  un modèle articulĂ© qui aurait considĂ©rablement rĂ©duit la longueur de caisson utilisable[34]. Les portes se soulèvent depuis un renfoncement Ă  la base du caisson et, comme la fermeture et l'ouverture se font Ă  quai, elles sont alimentĂ©es par un tuyau hydraulique[34].

Salle des machines

La zone qui abrite la machinerie entraînant la roue est située dans le dernier pilier du pont-canal : cela consiste en sept pièces reliées par des échelles[35]. On y accède par une porte qui se trouve au niveau du sol ou bien grâce à une entrée disposée à mi-hauteur afin de faciliter l'installation de matériel[35].

Les transformateurs qui alimentent le mĂ©canisme se trouvent au niveau du sol. Lors de l'inondation causĂ©e par l'acte de vandalisme en 2002, l'eau avait failli atteindre le jeu de barres de 11 kV : il ne s'en est fallu que de cm[35]. Le gĂ©nĂ©rateur de secours et l'appareillage Ă©lectrique sont situĂ©s au premier Ă©tage : ils ont pour fonction de prendre le relais si le gĂ©nĂ©rateur principal tombe en panne[35]. Le deuxième Ă©tage abrite deux pompes hydrauliques qui alimentent les moteurs hydrauliques de la salle supĂ©rieure[35]. La puissance est directement fournie Ă  l'essieu grâce Ă  dix moteurs hydrauliques qui servent aussi de freins. Chaque moteur est reliĂ© Ă  un engrenage qui rĂ©duit la vitesse de rotation selon un rapport 100:1[35].

MĂ©canisme

L'engrenage du bras.

Pour conserver un niveau stable, les nacelles doivent accompagner la roue dans sa rotation. Même si la masse des nacelles sur les roulements est généralement suffisante pour les faire pivoter, un engrenage composé de trois grandes roues dentées reliées entre elles par deux roues dentées plus petites garantit le maintien de l'équilibre et d'une vitesse correcte[36].

Chaque extrémité de la nacelle est montée sur des petites roues disposées sur un rail installé sur la face intérieure des trous de m de diamètre se trouvant des deux côtés des grands bras[36]. La rotation est maîtrisée grâce à une suite de roues dentées : deux roues de plus faible diamètre s'intercalent entre les trois roues de m de diamètre[36]. La roue dentée centrale est installée au-dessus de l'essieu, au niveau de la salle des machines ; cet élément est immobilisé pour l'empêcher de tourner[35] - [36]. Les deux roues les plus petites sont reliées à cette roue centrale. Quand les moteurs alimentent l'essieu et le font tourner, les bras basculent et les deux roues les plus petites s'engrènent autour de la roue centrale : celles-ci tournent plus rapidement que la Roue dans son ensemble mais dans la même direction ; elles entraînent les grandes roues aux extrémités du bras dans une rotation dont la vitesse est similaire à celle de la Roue mais dans le sens inverse. Ce mécanisme permet d'annuler la rotation qu'impriment les bras et les nacelles sont ainsi parfaitement stables[36].

Fosse inférieure

La Roue en mouvement. Le bâtiment sur la droite est le centre d'accueil des visiteurs. La fosse à sec est visible au centre.

La fosse inférieure est semblable à une forme de radoub isolée du bassin au moyen de portes étanches et de pompes à eau[20]. La position verticale arrêtée de la Roue permet aux bateaux de s'insérer ou de sortir du caisson sans inonder cette fosse. L'espace sous le caisson est vide[20] - [27].

Sans cette fosse, les nacelles et les extrémités du bras seraient immergées à chaque rotation de la Roue[20]. La flottabilité de la nacelle compliquerait alors grandement la rotation[20].

Centre d'accueil des visiteurs

Un centre d’accueil est destinĂ© aux visiteurs Ă  l'est du bassin infĂ©rieur[12]. Des dĂ©placements en bateau sur la Roue sont proposĂ©s une fois par heure en moyenne[37]. Depuis l'ouverture de l'Ă©difice en 2002, environ 4,4 millions de personnes sont venues le visiter, soit 400 000 personnes chaque annĂ©e ; parmi ces visiteurs, 1,3 million a fait un voyage en bateau[38] - [39].

Notes et références

  1. (en) « History of The Falkirk Wheel », sur scottishwaterwaystrust.org.uk (consulté le ).
  2. (en) « History », sur thefalkirkwheel.co.uk (consulté le ).
  3. (en) « The Millenium link », sur eng.ed.ac.uk (consulté le ).
  4. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1875.
  5. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1877.
  6. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1880.
  7. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1885.
  8. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1885-1886.
  9. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1886.
  10. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1887.
  11. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1889.
  12. (en) Len Paterson, From Sea to Sea : A History of the Scottish Lowland and Highland Canals, Neil Wilson Publishing, (ISBN 978-1-906000-34-9), p. 1890.
  13. (en) « Le chantier de la Roue de Falkirk. », sur bacsol.co.uk (consulté le ).
  14. (en) « La grande roue de Falkirk. », sur gentles.info (consulté le ).
  15. (en) « Fascicule d'information sur la Roue de Falkirk. », sur eng.ed.ac.uk (consulté le ).
  16. (en) « Construire le chaînon manquant » [archive du ], sur millenniumnow.org.uk (consulté le ).
  17. (en) Robert Crawford, On Glasgow and Edinburgh, Harvard University Press, , 361 p. (ISBN 978-0-674-07059-2, lire en ligne), p. 206.
  18. (en) « La Roue de Falkirk », sur urbanrealm.com (consulté le ).
  19. (en) Richard Waithe, « Rebrand : Paul Stallan leads RMJM rebirth », Architects' Journal,‎ .
  20. (en) « La Roue de Falkirk. », sur elevator-world.com (consulté le ).
  21. (en) « Le design britannique de 1948 à 2012 : l'innovation à l'âge moderne », sur vam.ac.uk (consulté le ).
  22. (en) « Sur les billets de banque écossais : la série des ponts de la Bank of Scotland », sur scotbanks.org.uk (consulté le ).
  23. (en) « Petites données anecdotiques », sur thefalkirkwheel.co.uk (consulté le ).
  24. (en) « Reinventing the Wheel », sur gentles.info (consulté le ).
  25. (en) « Design and engineering », sur thefalkirkwheel.co.uk (consulté le ).
  26. (en) Review of the Session, Royal Society of Edinburg, 1958, p. 91-92.
  27. (en) « Roue de Falkirk », sur engineering-timelines.com (consulté le ).
  28. (en) « La Roue de retour après la réparation du vandalisme », sur scotsman.com (consulté le ).
  29. (en) « Vandalisme de la Roue de Falkirk », sur gentles.info (consulté le ).
  30. (en) Giant rotating wheel carries boats between canals, Siviele Ingenieurswese, 2002, p. 145.
  31. (en) InCom, Innovations in Navigation Lock Design, PIANC, , 208 p. (ISBN 978-2-87223-175-1), p. 26.
  32. (en) « Le symbole du Millénaire : la Roue de Falkirk », sur asme.org (consulté le ).
  33. (en) American Society of Civil Engineers, International engineering history and heritage : Improving bridges to ASCE's 150th anniversary : Proceedings of the third National Congress on Civil Engineering History and Heritage, (ISBN 978-0-7844-0594-9), p. 48.
  34. (en) « Fermetures de la Roue de Falkirk », sur gentles.info (consulté le ).
  35. (en) « Visite du poste de contrôle de la Roue de Falkirk. », sur gentles.info (consulté le ).
  36. (en) « Comment ça marche ? », sur thefalkirkwheel.co.uk (consulté le ).
  37. (en) « Opening Times », sur thefalkirkwheel.co.uk (consulté le ).
  38. (en) « Falkirk Wheel is a big success », sur scottishtourismalliance.co.uk (consulté le ).
  39. (en) « British tourist attraction visitors figures: who's up and who's down? », sur Theguardian.com, (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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