Rosières (Ardèche)
Rosières est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Rosières | |||||
Notre-Dame de Rosières. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Largentière | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Beaume-Drobie | ||||
Maire Mandat |
Matthieu Salel 2020-2026 |
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Code postal | 07260 | ||||
Code commune | 07199 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 280 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 29′ 03″ nord, 4° 15′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 460 m |
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Superficie | 16,29 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Cévennes ardéchoises | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
Localisation
Rosières est située à vingt minutes au sud d'Aubenas sur la route d'Alès, à cent kilomètres de villes comme Le Puy-en-Velay, Avignon, Valence, Montpellier et Mende.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 629 hectares ; son altitude varie entre 120 et 460 mètres[1]. Le bourg est situé à une altitude de 160 mètres.
La commune se situe dans l'Ardèche méridionale, à la périphérie du parc naturel régional des Monts d'Ardèche, dans la vallée de la Beaume, à la rencontre de deux zones géologiques : une zone calcaire avec une végétation provençale comportant garrigues, chênes, buis et lavande ; de l'autre côté une zone gréseuse, premier contrefort des Cévennes. Entre les deux, une plaine bénéficiant d'un climat méditerranéen où se cultivent vignes, arbres fruitiers et cultures maraîchères.
Hydrographie
Au sud la Beaume sert de limite avec la commune de Joyeuse. De petits ruisseaux descendent vers la rivière à partir du plateau granitique situé au nord du village. Le plus important est celui de Blajoux[2].
Climat
Le climat de Rosières est de type méditerranéen avec des étés chauds et secs et des automnes pluvieux.
« Le 22 septembre 1890, la rivière de La Beaume avait atteint 7 mètres 50 au-dessus de l'étiage au pont de Joyeuse, les parapets furent emportés sur une longueur de 20 mètres sur la rive droite, la route nationale 104 fut coupée plusieurs jours. Toutes les vignes de Joyeuse, Rosières, Ribeyre- Bouschet, Arles-Blanc prêtes à vendanger eurent disparu. »
— Vaschalde, in Les Inondations du Vivarais depuis le XIIIe siècle. Imprimerie de Mme Robert. Aubenas. 1890
Voies de communication et transport
Rosières est traversée par la D 104 (ancienne RN 104). Un projet de déviation existe, mais pose des problèmes tant financiers qu'environnementaux.
Urbanisme
Typologie
Rosières est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aubenas, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[6] et 41 440 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,6 %), forêts (17,3 %), zones urbanisées (11,8 %), prairies (1,7 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Morphologie urbaine
Outre le bourg lui-même, le territoire de la commune comprend plusieurs lieux-dits et hameaux : Ribeyre - Bouschet, le Pont, la Crotte, Balbiac, Sabatier, Arleblanc, Lunel, les Vernades.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 836, alors qu'il était de 721 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 59,4 % étaient des résidences principales, 35,3 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,8 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 73,6 %, en hausse par rapport à 1999 (69,2 %)[I 3].
Toponymie
De nombreux toponymes sont construits à partir d'un nom de plante suivi du suffixe -ière qui est hérité du suffixe latin -aria servant à désigner un domaine, un territoire ou une plantation à l'époque gallo-romaine. Rosières = rausièra, rivage roselier, berge roselière, lieux où propère le raus, le roseau[13].
En occitan, le nom de la commune est Rosèiras.
Histoire
Une stèle romaine aurait été localisée au XVIIIe siècle au lieu-dit Mas Gadret[14].
Albin Mazon (Dr Francus), dans son Voyage dans le midi de l'Ardèche rapporte que M. Dubois, ancien juge de paix de Thueyts, retrouve une pierre tombale de deux mètres et demi de long sur cinquante centimètres d'épaisseur comportant une inscription latine. "Plusieurs tombeaux contenant des urnes et des fioles de verre y ont été découverts" dans le quartier de Gadret, sur la rive gauche de la rivière de Beaume. " Dans le quartier du Gadrel, sur la rive gauche de la rivière de Beaume, les travailleurs de terre rencontrent souvent des monnaies romaines et des ossements humains. Plusieurs tombeaux contenant des urnes et des fioles de verre y ont été découverts. Il y a sept ou huit ans, M. Dubois, ancien juge de paix à Thueyts, y releva l’inscription suivante sur un fragment de pierre tombale de deux mètres et demi de long sur cinquante centimètres d’épaisseur :
IRIA. NO. COS. PRA. VRV. IORIOPIR. VMPA. RIIII. CAI. IX.
Si nous reproduisons cette charade, c’est que la pierre, dont un tiers environ paraissant manquer du côté des lettres finales, fut détruite peu après par le propriétaire, lequel, offusqué de l’attention que lui prêtaient de rares curieux, en fit une auge à porcs."
L'histoire de la commune est liée aux familles de Bermond d'Anduze, Châteauneuf-de-Randon, du Luc et plus tard de Joyeuse ainsi qu'à celle de la paroisse et du prieuré. Rosières était à l'origine la paroisse mère de Joyeuse, Vernon, Balbiac. Joyeuse n'obtint son autonomie qu'avec la fondation du couvent des Oratoriens en 1629. Le prieuré dépendait d'abord de Cîteaux, en 1111, il fut rattaché au prieuré de Ruoms qui dépendait de Cluny. À plusieurs reprises pendant les guerres de Religion, Rosières fut occupée par les protestants.
- 1790 : Haut-Balbiac détaché de Rosières.
- 1799 : Rosières devient Bas-Balbiac.
- 1825 : Bas-Balbiac devient Rosières et Haut-Balbiac rattaché à Rosières.
L'existence de lieudits comme Mercoire attestent l'existence de possessions anciennes et d'un commerce avec des communautés religieuses plus lointaines.
« Dès que les Francs furent maîtres du pays, ils ne trouvèrent pas de nom plus approprié au lieu où ils venaient de remporter une signalée victoire, que celui de Rosières, en mémoire des champs de rosiers cultivés par les Arabes dans les plaines de Rosières et de Laurac. La tradition ajoute que sur le territoire de Rosières, au lieu nommé anciennement Campus Regi et aujourd'hui en occitan « lou chan de regi » (le champ ou le camp du roi), un combat décisif aurait été livré et que l'armée ennemie aurait été taillée en pièces, mise en déroute et poursuivie au-delà de la rivière, en un lieu qui fut depuis appelé Joyeuse, du nom de l'épée de Charlemagne. Ce fut le pape Léon III qui proclama Charlemagne empereur en l'an 800. Il lui ceignit l'épée appelée par cette raison l'épée de saint Pierre, mais généralement on la nomma la Joyeuse, Charlemagne disait : « je scelle les traités avec le pommeau de mon épée et les fais exécuter avec la pointe ». On a trouvé, nous a-t-on dit dans notre jeunesse, en labourant le campus regi, de nombreux débris d'armures, fers de lances et piques, malheureusement perdus. Il n'est pas impossible que Charlemagne ou son père Pépin le Bref et moins probablement son grand-père Charles Martel eussent pourchassé les Sarrasins à Rosières. Il est notoire que Charles Martel mit en déroute les Sarrasins en l'an 732 à la bataille de Poitiers et les refoula dans le midi, mais jusqu'où ? Probablement pas jusqu'à Rosières, car l'histoire nous apprend que sa présence était urgente en Bourgogne. Nous savons que, plus tard, il revint dans le Midi, à Avignon, Marseille et Nîmes, mais rien ne prouve qu'il vint dans nos contrées, sans doute encore occupées par les Sarrasins. Ce qu'il y a de certain, c'est que ceux-ci, après la déroute de Poitiers resteront encore quelques années possesseurs de la Septimanie, mais est-ce Charles Martel ou son fils Pépin le Bref qui les expulsa définitivement ? Nous pensons que ce fut ce dernier qui conquit la Septimanie[Note 2] et qui étendit son royaume jusqu'aux Pyrénées vers l'an 750. Mais il n'y a rien de surprenant à ce que la tradition ait attribué à Charles Martel la victoire de son fils à Rosières, car le souvenir de Charles devait être plus vivace et plus frappant, comme ayant porté les premiers coups aux musulmans et sauvé la France de l'islamisme. Quant à Charlemagne, il n'est pas possible de lui attribuer cette victoire, les Sarrasins étant expulsés à son avènement. Mais il n'est pas impossible qu'il soit passé à Joyeuse, la tradition prétendant que ce fut lui qui donna le nom de son épée à cette ville ; cette présomption est même vraisemblable »[15]. De nos jours encore, un terrain situé non loin de l'église garde le nom de "campus regi"
L'existence en 1100 d'un prieuré cistercien uni à celui de Ruoms est attesté par les écrits de Louis de Montravel
À l'origine, Rosières constituait une paroisse très étendue. Elle fut séparée de Joyeuse en 1620, de Vernon au début du XVIIIe siècle, du Haut-Balbiac et de Chapias vers 1840.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
À l'issue du scrutin des élections municipales le , la liste divers gauche conduite par Gérard Martin a obtenu 51,24 % des suffrages exprimés (12 sièges), la liste divers droite de Francis Chabane 34,33 % (2 sièges) et la liste divers droite de Jean-Claude Blanc 14,41 % (1 siège)[16].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[17].
Liste des maires
Les mandatures les plus longues furent celles de Louis Armand et de Louis Vannière (26 ans) et Jacques Guilhaumon (25 ans).
Instances judiciaires et administratives
Rosières relève du conseil de prud'hommes d'Aubenas, de la Cour administrative d'appel de Lyon, de la Cour d'appel de Nîmes, de la Cour d'assises de l'Ardèche, du tribunal administratif de Lyon, du tribunal d'instance d'Aubenas, du tribunal de commerce d'Aubenas, du tribunal de grande instance de Privas, du tribunal paritaire des baux ruraux d'Aubenas et du tribunal pour enfants de Privas[19].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2020, la commune comptait 1 280 habitants[Note 3], en augmentation de 7,2 % par rapport à 2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,6 % la même année, alors qu'il est de 31,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 614 hommes pour 605 femmes, soit un taux de 50,37 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,81 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Rosières est située dans l'Académie de Grenoble.
Elle administre une école élémentaire qui regroupait 109 élèves en 2012-2013[27].
Cultes
Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique « Sainte-Thérèse des Cévennes » au sein du diocèse de Viviers. Cette paroisse est placée sous le patronage de Sainte Thérèse Couderc, fondatrice de la congrégation religieuse des Sœurs de Notre-Dame de la Retraite du Cénacle, native de Sablières en pleines Cévennes Ardéchoises[28]. Au sein de cette paroisse, Rosières dépend de la « communauté des Basses Vallées »[29] dont le lieu de culte à Rosières[30] est l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 037 €, ce qui plaçait Rosières au 26 364e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[31].
En 2009, 57,9 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 651 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,7 % d'actifs dont 58,5 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs[I 5].
On comptait 368 emplois dans la zone d'emploi, contre 225 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 396, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 95,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre quasiment un emploi par habitant actif[I 6].
Entreprises et commerces
Au , Rosières comptait 198 établissements : 65 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 11 dans l'industrie, 22 dans la construction, 92 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].
En 2011, 20 entreprises ont été créées à Rosières[I 8], dont 12 par des autoentrepreneurs[I 9].
Dans le passé, la commune vivait essentiellement de l'agriculture, comme en témoignent les nombreux aménagements en terrasse (faïsses) des cultures. Ces terrasses, nombreuses aux environs du hameau de Balbiac, hébergent aujourd'hui la culture de la vigne et produisent des vins de qualité (cave coopérative La Cévenole) : gamay, viognier, chatus, cuvée des ducs de Joyeuse…
Le village vit aujourd'hui essentiellement du tourisme et de ses retombées directes et indirectes. La population est ainsi multipliée par cinq en période estivale. Cet accroissement de la population est permis par les nombreux gîtes et campings de la commune.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine remarquable
La commune ne compte aucun lieu ou monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[32] et à l'inventaire général du patrimoine culturel[33]. Toutefois, elle compte un objet classé à l'inventaire des monuments historiques[34] mais ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[35] :
- la sculpture représentant un personnage porteur d'un écu, au château de Grillou (construit par François André, propriété de la Société Lucien Barrière) est classée depuis le 17 janvier 1944[36].Vue du Pont de Joyeuse avant 1900.
Autres lieux et monuments
On peut également citer :
- la tour de Chapias, connue sous le vocable de Notre-Dame-de-Délivrance, visible de loin sur le plateau des Grads ;
- l'église romane Saint-Joseph du hameau de Balbiac ;
- les cultures en terrasses (faysses) des environs de Balbiac ;
- les gorges calcaires de La Beaume en partie aval de la commune.
- L'église Notre-Dame de Rosières (placée sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption) aurait été à l'origine, si l'on en croit la légende transmise par le vicomte Louis de Montravel, un mausolée en l'honneur de guerriers morts au combat au campus régi, terrain proche de l'église, entre la Beaume et le cimetière. Le clocher s'étant effondré le 4 novembre 1839 (Louis de Montravel, témoin oculaire, précise : "vers 15 heures, le jour de la Saint-Charles") fut reconstruit La façade porte gravée par un maçon la date de 1847, date probable de la fin de la rénovation[37]. L'intérieur a été restauré en 2010.
- Le porche.
- Le clocher.
- La nef et le chœur.
- Chapelle latérale.
- Le baptistère.
- Croix de mission à Ribeyre-Bouschet.
- Ancien pigeonnier à Ribeyre-Bouschet (jusqu'à la crue de 1660, sur le territoire de la commune de Joyeuse).
- Grillou-Château construit par François André, propriété du groupe Lucien Barriere.
- Clocher de l'église de Rosières (07260).
- Église Saint-Joseph de Balbiac.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- François André (1880-1962), homme d'affaires né au hameau du Pont, fondateur des casinos de Cannes et Deauville. Généreux donateur pour la commune et l'évêché (il fit construire le presbytère actuel).
- Lucien Barrière (1923-1990), neveu du précédent, homme d'affaires, patron d'hôtels de luxe et de casinos.
- Jacques Guilhaumon (1947-2018), premier adjoint de 1977 à 1983 puis maire de Rosières de 1983 à 2008 et conseiller général du canton de Joyeuse de 1985 à 2004.
- Eric Judor y a tourné le film Problemos pendant l'été 2016.
Voir aussi
Bibliographie
- Docteur Francus (Albin Mazon), Voyage dans le Midi de l'Ardèche, Privas, Imprimerie Typographique du Patriote, (lire en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La Septimanie comprenait nos départements des Pyrénées-Orientales, de l'Aude, de l'Hérault, du Gard et vraisemblablement le midi de l'Ardèche.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres sources
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Ruisseau de Blajoux », sur annuaire-mairie.fr (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Aubenas », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de famille et noms de lieux du Midi de la France, Éditions du Beffroi, 2002, rubrique « Rousier », pp. 695-696.
- Desaye, Henri, « Inscriptions nouvelles de la Drôme et de l'Ardèche », Gallia, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 33, no 2, , p. 229–256 (DOI 10.3406/galia.1975.1524, lire en ligne , consulté le ).
- Annales de Rosières par le Vicomte de Montravel.
- « ARDECHE (07) - Rosières », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- d'après le bulletin municipal n° 17 de février 1999
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des Libertés (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rosières (07199) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Ardèche (07) », (consulté le ).
- « Ardèche (07) > Rosières > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Accueil du site > Les paroisses > Sainte Thérèse des Cévennes », sur le site du diocèse de Viviers (consulté le ).
- « Organisation de la paroisse », sur le site du diocèse de Viviers (consulté le ).
- « Recherche d'horaires », sur le site de la conférence des évêques de France (consulté le ).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Rosières », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Rosières à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Rosières », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Rosières à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « sculpture : personnage porteur d'un écu », notice no PM07000221, base Palissy, ministère français de la Culture.
- . « Eglise Notre Dame de l'Assomption à Rosières à Rosières (07) », sur le site de la SARL « 2PHONE3 TO PHONE FREE » (consulté le ).