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RoboCop (personnage)

Alexander « Alex » Murphy alias RoboCop, est un personnage de fiction faisant partie de l'univers de RoboCop. Le personnage apparaît pour la première fois au cinéma dans le film RoboCop de Paul Verhoeven en 1987.

RoboCop
Personnage de fiction apparaissant dans
RoboCop.

Costume de RoboCop.
Costume de RoboCop.

Nom original Alexander « Alex » James Murphy[1]
(véritable identité ; nom complet)
Alias RoboCop, « OCP Crime Prevention Unit 001 Â»
Origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Sexe Masculin
Espèce Cyborg, ancien Humain
Cheveux Blonds (Murphy)
Aucun (RoboCop)
Activité Agent de police du Detroit Police Department
Caractéristique Androïde doté d'un exosquelette robotisé et blindé
Arme favorite Pistolet Auto-9
Crochet d’interfaçage
Pouvoirs spéciaux
  • Force surhumaine
  • Calculateur avancĂ©
  • Armature en kevlar anti-balistique et plaques en titane
  • CapacitĂ©s sensorielles amĂ©liorĂ©es
Adresse Détroit / Delta City (Michigan, États-Unis)
Famille Ellen Murphy (femme), James Murphy (fils), Russell Murphy (père)[2]
Affiliation OCP (Omni Consumer Products)[3]
Entourage Anne Lewis
Ennemi de Clarence Bodicker, Dick Jones, ED-209, Cain, Juliette Faxx, Paul McDaggett, Otomo

Créé par Edward Neumeier
Michael Miner
Interprété par Peter Weller
Robert John Burke
Richard Eden
Page Fletcher
Joel Kinnaman
Voix Dan Hennessey (The Animated Series)
David Sobolov (Alpha Commando)
Films RoboCop
RoboCop 2
RoboCop 3
RoboCop
Romans RoboCop
RoboCop 2
SĂ©ries RoboCop
RoboCop : Alpha Commando
RoboCop 2001
RoboCop
Première apparition RoboCop
Jeux vidéo RoboCop
RoboCop 2
RoboCop 3
RoboCop versus The Terminator
Mortal Kombat 11

Dans le film original RoboCop de 1987, le personnage est un cyborg construit à partir du corps d'Alex Murphy, un policier de Détroit ayant reçu de graves blessures par armes à feu causées par des criminels. Son appellation officielle est alors OCP Crime Prevention Unit 001.

Biographie du personnage

Dans RoboCop (1987)

En 1987 aux États-Unis, dans un monde futuriste dystopique, deux officiers du Detroit Police Department, Alex Murphy et Anne Lewis prennent en chasse un groupe de truands dirigé par le criminel Clarence Bodicker. Les policiers localisent les truands dans une usine désaffectée. Ne voulant pas attendre les renforts, ils entrent dans l'usine chacun de leur côté. Anne Lewis est finalement neutralisée par les bandits tandis qu'Alex Murphy se fait tirer dessus par l'équipe de truands. Déchargeant leurs armes sur Alex, ils le laissent pour mort, gravement blessé. Transporté à l'hôpital de Détroit, Alex Murphy meurt quelque temps après du fait de ses blessures. Son dernier souvenir est l'image de sa femme Ellen et de son fils James.

C'est alors que Bob Morton un cadre de la corporation OCP (Omni Consumer Products), un conglomĂ©rat industriel qui dirige Ă©galement la police de DĂ©troit, utilise le corps d'Alex Murphy pour son projet RoboCop (qui cherche Ă  crĂ©er le policier du futur) afin de le transformer en cyborg-policier, le « RoboCop Â». Au cours du processus de transformation, seules certaines parties organiques du corps de Murphy sont conservĂ©es : son cerveau, son tronc incluant sa moelle Ă©pinière et une partie de sa tĂŞte et son visage ; le reste de son corps est composĂ© d'une carcasse robotique blindĂ©e en titane, bardĂ©e de circuits Ă©lectroniques et de divers gadgets.

Après l'assemblage de RoboCop par l'Ă©quipe de l'OCP dirigĂ©e par Morton, le cyborg est testĂ© puis mis en service, Morton le faisant rĂ©intĂ©grer Ă  son ancien poste au commissariat de DĂ©troit. RoboCop lutte alors contre la criminalitĂ© qui sĂ©vit en ville, et arrĂŞte plusieurs criminels grâce Ă  ces mĂ©thodes « expĂ©ditives Â» et ses capacitĂ©s robotiques avancĂ©es. Mais, au fur et Ă  mesure, des souvenirs de son ancienne vie, quand il Ă©tait Alex Murphy, reviennent Ă  la surface, lui rappelant son ancienne famille ainsi que la fusillade oĂą Murphy fut gravement blessĂ©.

Ces souvenirs mènent RoboCop à poursuivre les responsables de la mort d'Alex Murphy. Il commence par arrêter un à un des truands appartenant à la bande de Bodicker. Pendant ce temps, Clarence Bodicker tue Bob Morton, étant sous les ordres de Dick Jones, le vice-président de l'OCP, par ailleurs rival de Bob Morton (ce dernier, avec le succès du projet RoboCop, avait ravi la place de Dick Jones pour son projet concurrent, de robot-policier ED-209). RoboCop intervient ensuite dans une fabrique clandestine de drogue où se trouve Bodicker et ses hommes. Il neutralise tous les truands et arrête Bodicker, qui lui avoue alors travailler pour Dick Jones.

Enregistrant cette conversation comme preuve, RoboCop se rend ensuite au quartier général de l'OCP pour arrêter Dick Jones. Mais, alors qu'il se prépare à l'arrêter, il en est empêché par un système de sécurité intégré à son programme informatique (la directive no 4) qui lui interdit d'appréhender un cadre de l'OCP. RoboCop doit ensuite affronter un robot ED-209 et les policiers que Dick Jones a rameutés contre lui. Il est sauvé de justesse par Anne Lewis qui le récupère et le fait évacuer.

Après s'être réfugié dans une usine désaffectée avec Lewis, RoboCop est traqué par la bande de Bodicker, qui le retrouve grâce à un dispositif-traceur que Dick Jones a confié à Bodicker, lui ordonnant d'éliminer le robot. Lors du combat final, RoboCop parvient à tuer Bodicker alors qu'il était proche de périr.

RoboCop retourne ensuite au quartier général de l'OCP, détruisant un ED-209 qui gardait l'entrée de l'immeuble. Il apporte la preuve de la culpabilité de Dick Jones dans l'assassinat de Bob Morton, mais ce dernier prend en otage le président de l'OCP et cherche à s'enfuir. Le président licencie alors Jones sur le champ, annulant le blocage lié à la directive no 4, permettant à RoboCop d'éliminer Dick Jones.

Dans RoboCop 2 (1990)

Le Nuke, une nouvelle drogue, circule dans les rues de Détroit. Elle est contrôlée par une secte qui a pour gourou Cain.

De son cĂ´tĂ©, l'OCP tente une OPA sur la ville de DĂ©troit, qui a de plus en plus de mal Ă  se financer. L'OCP a aussi pour projet « RoboCop 2 Â», un nouveau cyborg. Mais le projet traĂ®ne car il nĂ©cessite un bon sujet pour la cybernĂ©tisation.

RoboCop, toujours flic, essaye de faire face à la situation, au trafic de drogue, à l'OCP et son nouveau projet pour protéger les citoyens de Détroit. Mais ses supérieurs le trouvent obsolète.

Dans RoboCop 3 (1993)

La municipalité de Détroit, récemment privatisée, mène la vie dure aux habitants. RoboCop se joint à un groupe de manifestants et aux policiers en grève. Il s'oppose alors à de nouveaux ennemis beaucoup plus puissants : un gang de tueurs et surtout un tout nouvel androïde.

Dans RoboCop : Alpha Commando, la série d'animation (1998-1999)

Dans le futur, RoboCop est rĂ©activĂ© après une longue pĂ©riode d'« hibernation Â». Il a dĂ©sormais une nouvelle Ă©quipière, l'agent Nancy, remplaçante d'Anne Lewis. Nancy est dĂ©pitĂ©e de traĂ®ner une vieille mĂ©canique, jusqu'au moment oĂą elle se rend compte que RoboCop n'est pas seulement une machine. C'est le Docteur Cornelius Neumier, un scientifique un peu excentrique, qui a remis RoboCop Ă  neuf.

Dans RoboCop 2001, la mini-série (2001)

Dix ans après les évènements de RoboCop. Delta City est devenue une ville sous le contrôle de l'OCP. RoboCop commence à accuser son âge et son obsolescence. De plus, son fils James Murphy, ignorant que son père Alex Murphy est RoboCop, est devenu un directeur de l'OCP. Mais de nouveaux ennemis faisant partie de l'OCP surgissent…

Interprètes

Caractéristiques

Les directives prioritaires

PRIME DIRECTIVES
1: SERVE THE PUBLIC TRUST
2: PROTECT THE INNOCENT
3: UPHOLD THE LAW
4: CLASSIFIED

— Les directives prioritaires (Prime Directives)
telles qu'elles apparaissent (en VO) dans le
champ de vision de RoboCop dans le premier film[4].

Les concepteurs de RoboCop ont implanté trois directives prioritaires dans son système d'exploitation, comparables aux trois lois de la robotique :

  1. Servir le public (Serve the public trust) ;
  2. Protéger l'innocent (Protect the innocent) ;
  3. Faire respecter la loi (Uphold the law).

Une 4e directive, confidentielle, l'empêche d’appréhender un dirigeant de l'OCP (Any attempt to arrest a senior officer of OCP results in shutdown). Le vice président de l'OCP, Dick Jones déclara, que la directive no 4 constituait sa propre contribution au profil psychologique de RoboCop, essentiellement pour l'immuniser face aux sanctions contre les activités illégales.

Cela rendit RoboCop physiquement incapable de placer en état d'arrestation un cadre dirigeant de l'OCP (Dick Jones), mais ne le mis pas réellement hors-tension comme l'avait déclaré Jones.

RoboCop supprimera de lui-même cette quatrième directive dans le troisième volet de la trilogie.

Dans la série robocop de 1994 RoboCop (série télévisée) saison 1 épisode 18 Le briseur de cœurs (Heartbreakers), la femme de Alex Murphy est kidnappée et Robocop doit dérober sous la menace un objet auprès des pièces a conviction du poste de police de metro sud. Dans un premier temps, la directive 3 l'en empêche et cause un court circuit, mais très vite Robocop outre passe cette directive et brise le coffre contentant l'objet demandé par les ravisseurs.

DĂ©tails techniques

RoboCop n'a pas de pouvoirs surhumains ou surnaturels comme la plupart des super-héros, mais il dispose de capacités mécaniques et informatiques incroyables, héritées de son corps robotisé. De l'homme avant RoboCop, il ne reste quasiment plus rien d'humain : le corps d'Alex Murphy a été remplacé presque intégralement par une machine, un exosquelette hautement robotisé.

De son passé humain, il ne lui reste qu'une partie de son cerveau (dont la mémoire a été remaniée), son visage, caché derrière son casque (qui est fixé par deux vis au niveau des tempes, comme la créature du Docteur Frankenstein) et un certain nombre de ses organes dont le détail n'est jamais précisé. On apprend en revanche qu'il est doté d'un système digestif rudimentaire et qu'il se nourrit d'une pâte comparable à de la nourriture pour bébé, destinée à maintenir ses fonctions organiques.

Son corps robotique est aussi raide que résistant, et ses mouvements sont comparables à ceux d'un robot industriel opérant dans une usine.

Points forts

  • RoboCop est protĂ©gĂ© par une armure intĂ©grale futuriste, fabriquĂ©e dans un alliage de titane laminĂ© et de kevlar, ce qui le rend très rĂ©sistant aux dommages physiques, notamment face aux tirs par armes Ă  feu de petit calibre. Ses bras robotisĂ©s ont une force de pression de 200 kg (par cm2 probablement, bien que se ne soit pas prĂ©cisĂ© dans le film), capable de « rĂ©duire en purĂ©e chacun de vos cinq doigts », comme le rappelle un des ingĂ©nieurs Ă  Morton alors qu'il vient superviser l'assemblage de RoboCop.
  • Il est aussi Ă©quipĂ© d'un système de visĂ©e intĂ©grĂ©e ultra-performant (en fait une connexion super-arme neuronale et logicielle, un système expert), associĂ© Ă  un programme d'acquisition automatique de cibles. Grâce Ă  cette technologie, RoboCop est capable de tirer au pistolet avec une prĂ©cision frisant la perfection. Avec ce système, une fois les cibles « acquises » en mĂ©moire, il peut leur tirer dessus mĂŞme sans les « voir », par exemple mĂŞme si elles se trouvent dans son dos ou cachĂ©es par un obstacle.
  • IntĂ©grĂ© dans un compartiment spĂ©cial situĂ© dans sa jambe droite, RoboCop dispose d'un pistolet automatique surpuissant (dĂ©signĂ© comme un « Auto-9 Â»), qu'il manie avec dextĂ©ritĂ©. Il peut ouvrir mentalement ce conteneur et y mettre son pistolet en lieu sĂ»r lorsqu'il ne s'en sert pas.
  • L'exosquelette de RoboCop est Ă©quipĂ© de toute une batterie de systèmes embarquĂ©s de pointe et miniaturisĂ©s : un scanner associĂ© Ă  un appareil de thermographie infrarouge, pour voir Ă  travers les murs et localiser des individus grâce Ă  la chaleur qu'ils Ă©mettent naturellement. Il dispose Ă©galement d'une unitĂ© d'enregistrement incorporĂ©e, et peut par ce biais enregistrer tout ce qu'il voit et entend dans sa mĂ©moire (enregistrement audio et vidĂ©o), ces enregistrements Ă©tant valables pĂ©nalement lors d'un procès.
  • RoboCop peut se connecter aux ordinateurs ordinaires via une interface mĂ©tallique rĂ©tractable qui lui sort de la main droite (une sorte de pointe ou de lame de pic Ă  glace). Elle lui permet de communiquer avec les ordinateurs auxquels il se raccorde et se procurer des informations, ou transfĂ©rer les enregistrements qu'il a en mĂ©moire. DĂ©sarmĂ©, et mis en difficultĂ© dans son affrontement final contre Clarence Boddiker, RoboCop se sert de cette interface comme d'une arme blanche.
  • Dans RoboCop 3, on peut voir RoboCop voler grâce Ă  un rĂ©acteur dorsal, ou encore remplacer son bras gauche par un combinĂ© mitrailleuse, lance-flammes et lance-roquettes.

Points faibles

RoboCop possède plusieurs points faibles. Le plus important Ă©tant son absence quasi totale de libertĂ©. En effet, le programme informatique dont il est Ă©quipĂ© est basĂ© sur quatre directives prioritaires, pouvant se contredire. (voir la section « Les directives prioritaires Â», plus haut dans l'article).

Si RoboCop tente de désobéir à l'une des 4 directives, de manière intentionnelle ou non, cela entraîne chez lui une souffrance intense et une mise hors-tension instantanée, bien que temporaire (une sorte de coupe-circuit logiciel). La directive no 4, non prévue à la base par les ingénieurs qui ont conçu RoboCop, a été rajouté par Dick Jones lui-même, comme il le dira à RoboCop dans le film.

On peut établir un parallèle entre ces quatre directives et les Trois lois de la robotique d'Isaac Asimov sur les robots, qui sont similaires. Il convient d'ajouter que RoboCop ne se comporte pas comme une vulgaire machine, comme en témoigne son amitié avec son ex-partenaire, Anne Lewis, qu'il protège durant le film.

RoboCop a Ă©galement d'autres points faibles, revers de ses points forts technologiques :

Dans RoboCop (2014) : différences avec l'original

Le RoboCop du remake de 2014 possède des différences plus ou moins notables par rapport à celui de 1987 :

  • il peut courir assez vite, et peut aussi sauter très haut et de manière très prĂ©cise, Ă  l'aide d'un calculateur de trajectoire ;
  • sa visière, au lieu d'ĂŞtre fixe, peut s’abaisser ou se relever Ă  volontĂ©, sur une simple commande mentale ;
  • si quelqu’un braque une arme sur lui, cela dĂ©clenche l'abaissement de la visière et l'ouverture des holsters, lui donnant ainsi l'accès Ă  ses armes, le rendant prĂŞt au combat ;
  • il se dĂ©place dĂ©sormais au moyen d'une moto spĂ©cialement conçue pour lui par OmniCorp, dont la vitesse de pointe approche les 400 km/h ;
  • la 4e directive, lui interdisant d'attaquer un membre d'OmniCorp, s'est muĂ©e en une directive lui interdisant (au mĂŞme titre que tous les robots conçus par Omnicorp) d'attaquer toute personne portant sur elle un bracelet rouge spĂ©cial ;
  • il est capable de localiser, avec une assez grande prĂ©cision, n'importe quel tĂ©lĂ©phone portable, du moment que ce dernier soit connectĂ© au rĂ©seau public ;
  • la rainure de sa visière lui permettant de voir est plus Ă©troite et plus longue ;
  • on apprend que l'armure de RoboCop peut encaisser sans dommage la plupart impacts de calibres d'armes de poing et d'Ă©paule. En revanche, les balles de calibre 50 sont les seules capables de l'endommager sĂ©rieusement. On apprend aussi que les balles de calibre 47 peuvent l'endommager de façon lĂ©gère ;
  • il peut dĂ©terminer grâce Ă  un scanner si une personne est morte ou non ou si une blessure est mortelle ou non ;
  • il peut, grâce Ă  un simple regard, relever une empreinte digitale et ainsi la comparer Ă  la base de donnĂ©es de la Police pour savoir Ă  qui elle appartient ;
  • il ne dort plus attachĂ© sur une chaise, mais sur un « lit de charge Â» qui peut ĂŞtre redressĂ© Ă  la verticale ;
  • au lieu de manger une bouillie informe pour maintenir ses fonctions vitales, RoboCop est alimentĂ© chaque soir, par l'intermĂ©diaire de son « lit de charge Â», par alimentation en nutriments et Ă©limination des dĂ©chets produits dans la journĂ©e de son sang par filtration (Ă  la manière d'une dialyse). On peut de cette façon lui injecter diffĂ©rents mĂ©dicaments (comme des antidĂ©presseurs) ;
  • il peut, Ă  l'aide des donnĂ©es des camĂ©ras de surveillance, reconstituer en trois dimensions et de manière extrĂŞmement prĂ©cise le lieu dans lequel il se trouve, tel qu'il Ă©tait Ă  un jour et une heure prĂ©cise. Il peut s'y dĂ©placer Ă  l'intĂ©rieur comme dans une rĂ©alitĂ© virtuelle ;
  • il peut identifier les diffĂ©rentes Ă©motions ainsi que l'Ă©tat d'esprit d'une personne, ce qui lui permet notamment d'anticiper si la personne va dĂ©gainer son arme, et de pouvoir riposter avant elle.
  • il est complètement dĂ©pendant de son système de combat : le logiciel fonctionne de manièe autonome, mais envoie des stimuli au cerveau de Murphy, qui croit contrĂ´ler ses mouvements

Apparitions dans d'autres médias

Jeux vidéo

  • Dans le jeu Broforce (2015), le personnage y apparaĂ®t en tant que « bro » jouable sous le pseudonyme de « Brobocop Â».
  • RoboCop est un personnage jouable dans l'extension Aftermath (2020) du jeu Mortal Kombat 11 (2019). Peter Weller revient interprĂ©ter le personnage 30 ans après RoboCop 2 (1990).

Notes et références

  1. Script de RoboCop, Ă©crit par Edward Neumeier et Michael Miner. 4e Ă©bauche, 10 juin 1986, p. 57
  2. Le personnage du père d'Alex Murphy n'est introduit que dans la série télévisée.
  3. (en) Walter Goodman, « Film: 'Robocop,' Police Drama With Peter Weller », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Image montrant les directives prioritaires dans le premier film, sur un wiki spécialisé (consulté le 7 novembre 2019).

Voir aussi

Articles connexes

  • RoboCop, le film
  • Personnages de RoboCop
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