Richwiller
Richwiller [ÊiÊvilÉÊ] est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] situĂ©e dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, en rĂ©gion Grand Est.
Richwiller | |
Mairie de Richwiller. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Mulhouse |
Intercommunalité | Mulhouse Alsace Agglomération |
Maire Mandat |
Vincent Hagenbach 2020-2026 |
Code postal | 68120 |
Code commune | 68270 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Richwillerois, Richwilleroises |
Population municipale |
3 680 hab. (2020 ) |
Densité | 663 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 46âČ 47âł nord, 7° 16âČ 53âł est |
Altitude | Min. 239 m Max. 259 m |
Superficie | 5,55 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Mulhouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune du pĂŽle principal) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Kingersheim |
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription |
Localisation | |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].
C'est une petite commune de 3 500 habitants à proximité de laquelle fut découverte la potasse en 1904.
GĂ©ographie
Richwiller est une commune urbaine d'origine rurale. Elle se trouve dans la partie nord-ouest de la banlieue de Mulhouse, à l'entrée du bassin potassique entre Pfastatt et Wittelsheim. La particularité de Richwiller réside dans sa configuration longitudinale « est-ouest ». Son ban de 555 hectares s'étend sur 4 kilomÚtres de long pour 1,5 km de large. Il est sectionné perpendiculairement par la voie ferrée Strasbourg-Mulhouse (nord-sud).
Hydrographie
Le Hagelbach (Dollerbaechlein) longe la commune et alimentait autrefois son moulin.
GĂ©ologie
Richwiller est une commune du bassin potassique. Son sol est composĂ© de lĆss, de son sous-sol on a extrait de la potasse tout au long du XXe siĂšcle.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Richwiller est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[7] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (48,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (41,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (31,9 %), terres arables (30,5 %), forĂȘts (20,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12,3 %), mines, dĂ©charges et chantiers (4,1 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,2 %)[12].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[13].
Histoire
Les origines de l'ancien village
Des dĂ©couvertes archĂ©ologiques prouvent que Richwiller est un lieu dâhabitat trĂšs ancien. Dans la partie septentrionale (nord) de la commune sur le lieu-dit Neumatt se trouve une nĂ©cropole composĂ©e de douze tumuli de lâĂ©poque hallstattienne. En 1865 et en 1917, on y dĂ©couvre des tombes contenant des bracelets, des torques (colliers), des fibules (sorte dâĂ©pingles de sĂ»retĂ©) en bronze et un plat gravĂ© datant de cette Ă©poque. Ces objets sont exposĂ©s, actuellement, au MusĂ©e des AntiquitĂ©s Nationales de Saint-Germain-en-Laye.
Lâhistoire mouvementĂ©e des seigneurs de Richwiller
Câest au XIVe siĂšcle que les piĂšces d'archive mentionnent pour la premiĂšre fois le nom de âReichweilerâ Les documents nous apprennent que le couvent de Lucelle acquiert en 1301 et en 1304 les biens que lâabbaye de Murbach y possĂšde. Ă cette Ă©poque Reichweiler appartient aux Habsbourg. En 1326 ceux-ci cĂšdent le village et ses dĂ©pendances en fief aux seigneurs de Reichweiler. Ces derniers le conservent jusquâen 1539, date Ă laquelle Hans Friedrich vom Haus meurt sans laisser dâhĂ©ritier mĂąle. Le fief Ă©choit alors Ă son gendre Wolf Dietrich von Brunighoffen, lâĂ©poux de sa fille Ursula, qui fait rĂ©nover le chĂąteau avant de mourir prĂ©maturĂ©ment.
Ces terres changeant encore de mains vont au second mari dâUrsula Theobald Waldner von Freundstein. Le fils de ce dernier dĂ©cĂšde en 1599 sans hĂ©ritier. Le fief retourne Ă la Maison d'Autriche. Câest dans le proche entourage de lâempereur que sont choisis ses nouveaux bĂ©nĂ©ficiaires, Johann Pistonus et Hieronymus von Manicor. Ils ne tardent pas Ă entrer en conflit avec les bourgeois de Mulhouse qui ont, sans autorisation, fait procĂ©der Ă des coupes de bois dans la forĂȘt. BientĂŽt un procĂšs les oppose au sujet dâune chapelle ! Manicor, qui sâest installĂ© Ă Reichweiller fait sortir intentionnellement du pĂąturage des vaches appartenant aux habitants de Cernay. Ceux-ci s'arment et investissent le chĂąteau. Le pire est Ă©vitĂ© grĂące Ă lâintervention de la femme du seigneur.
Les Manicor quittent Reichweiler pendant la guerre de Trente Ans (1618 1648). La paix de Munster et dâOsnabrĂŒck met fin Ă cette guerre meurtriĂšre qui fit souffrir le village et ses habitants.
Le Royaume de France rĂ©cupĂšre Richwiller avec les autres possessions autrichiennes. Seul le chĂąteau ou ce qui en subsiste encore, reste la propriĂ©tĂ© de Pistorius aprĂšs un long procĂšs qui se dĂ©roule Ă Ensisheim. En 1662 Pistorius fort querelleur semble-t-il, meurt assassinĂ© par lâun de ses domestiques Ses biens retournent Ă la Couronne de France. AprĂšs le TraitĂ© de Westphalie, Louis XIV confie le fief Ă Charles Colbert de Croissy, neveu de lâIntendant d'Alsace. Nicolas de Diesbach, d'ascendance suisse, lui succĂšde en 1665. Il sâinstalle au chĂąteau Ă la mort de la veuve de Pistorius. Comme il est protestant, il ne peut se maintenir et doit cĂ©der sa place au marĂ©chal Nicolas Hubert de Reinach Montreux. Ce dernier sâillustre Ă la bataille de GĂ©rone oĂč il trouve la mort en 1696.
Le fief passe alors au Marquis du BlĂ© dâHuxelles qui gouverne lâAlsace jusqu'Ă son dĂ©cĂšs en 1730. Le roi Louis XV transmet alors le domaine Ă Joseph Balthazar de Bergeret, capitaine au rĂ©giment d'Enghien. Le fief comprend aussi Reiningue, les trois quarts de Morschwiller, Ensisheim, Rumersheim. Le capitaine perçoit Ă©galement des revenus provenant de Rantzwiller. La RĂ©volution met fin aux droits seigneuriaux. Les frĂšres de Bergeret (le chanoine Prosper de Lautenbach et Henri capitaine dans un rĂ©giment royal suĂ©dois) Ă©migrent. Leurs biens sont vendus Ă Colmar. Un certain Brustlein agissant pour le compte de Pierre Thierry de Mulhouse les achĂšte pour 66 778 livres. Wittelsheim acquiert une partie des forĂȘts.
Les deux « Bergeret » qui sont restĂ©s au service de la RĂ©publique (Gilbert gĂ©nĂ©ral de brigade et Antoine Prosper, colonel) conservent leurs parts d'hĂ©ritage. Elles ne tardent pas Ă ĂȘtre morcelĂ©es. Le chĂąteau fut rasĂ© vers 1810 ; il en reste le moulin seigneurial.
La construction de l'Ă©glise Sainte-Catherine
La construction de l'Ă©glise Sainte-Caterine remonte aux annĂ©es 1870 sous la maĂźtrise d'Ćuvre des curĂ©s du village. Les premiĂšres cloches furent fondues en 1878 grĂące Ă un canon et Ă une roue en bronze offerts en 1878 par Augusta de Saxe, impĂ©ratrice de Prusse. Ces Ă©lĂ©ments avait Ă©tĂ© pris aux Français lors de la guerre de 1870. En , ces cloches sont rĂ©quisitionnĂ©es et se transforment Ă nouveau en canons allemands.
En 1923, de nouvelles cloches sont fondues par un bronzier de Colmar, dans un métal de mauvaise qualité et la sonorité du carillon en pùtit[14]. Début 2015, le Conseil de fabrique s'adresse au financement participatif pour y remédier, ce qui est réalisé une année plus tard[15].
Le village a été bombardé en 1914.
Seconde Guerre mondiale
Comme beaucoup de communes alsaciennes, Richwiller eut son lot de malgré-nous. Tout comme en 1914, la commune fut bombardé en 1944. Elle doit sa libération au 2e bataillon de choc de la 1re armée en .
HĂ©raldique
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Les armes de Richwiller se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
La commune de Richwiller fait partie de Mulhouse Alsace Agglomération.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[19].
En 2020, la commune comptait 3 680 habitants[Note 3], en augmentation de 4,93 % par rapport Ă 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Vie locale
AccĂšs et transports
La commune est reliĂ©e au rĂ©seau de bus de l'agglomĂ©ration de Mulhouse exploitĂ© par l'entreprise SolĂ©a. En semaine, la ligne 12 traverse la commune d'ouest en est et permet de rejoindre la ligne 1 du tramway (Kingersheim / Gare centrale de Mulhouse). La ligne 23 dessert partiellement la zone artisanale. Les dimanches et jours fĂ©riĂ©, la ligne 72 reprend le trajet de la ligne 12. En soirĂ©e, un service de taxis desservant les mĂȘmes arrĂȘts que le bus no 12 permet d'assurer la continuitĂ© du trafic.
La gare de Richwiller ayant été fermée au transport des passagers depuis le , et ne disposant plus que d'un service de fret, les habitants de la commune doivent se rendre à Wittelsheim-Graffenwald située à 4 km, ou à Lutterbach à 4,4 km pour utiliser les transports ferroviaires.
Ăquipements de santĂ©
La commune abrite deux médecins généralistes, deux dentistes et une pharmacie. Le service d'urgences le plus proche est l'hÎpital de Pfastatt. Les hÎpitaux mulhousiens assurent les services spécialisés.
Lieux et monuments
- La Carotte : le , à l'entrée de la cité Amélie II est inauguré un monument érigé pour célébrer le cinquantiÚme anniversaire de la découverte de la potasse par Amélie Zurcher, Joseph Vogt et Jean-Baptiste Grisey. Ce monument représente une « carotte » (échantillon cylindrique de roches prélevées dans le sous-sol par carottage pour en connaßtre sa composition). Cet endroit n'est que symbolique. En fait, la potasse a été découverte plus au sud, vers la mine Joseph Else à Wittelsheim.
- La RoseliÚre est le nom donné au bassin d'orage de la commune. En fait de roseaux, ce sont essentiellement des massettes à larges feuilles (Typha latifolia) qui envahissement ce plan d'eau. Situé au milieu des champs, cet étang artificiel bordé de pruneliers, de saules et d'acacias sert de refuge à la faune sauvage (hérons, canards colverts, batraciens, couleuvres vipérines, tircis, demoiselles ...).
- L'Ă©glise Sainte-Catherine dans laquelle on trouve un orgue construit par le facteur d'orgue Martin Rinkenbach dâAmmerschwihr en 1898[22].
- La forĂȘt de Nonnenbruch, forĂȘt de protection oĂč on dĂ©nombrait en 2011 au moins 37 espĂšces protĂ©gĂ©es (liste rouge en Alsace), occupe la partie sud du ban communal.
Personnalités liées à la commune
- EugĂšne Wacker (1878-1943), fils de Meinrad Wacker et Françoise Sturchler, nĂ© Ă KnĆringue le , mort Ă Richwiller le . Il Ă©lĂšve une famille nombreuse de huit enfants, son fils Joseph est aveugle. EugĂšne Wacker est trĂšs actif Ă Richwiller. PassionnĂ© d'histoire, membre de la SociĂ©tĂ© d'Histoire du Sundgau, vice-PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© d'Histoire Sundgauvienne, il Ă©crit de nombreux articles dans l'annuaire de cette derniĂšre ainsi que dans diverses revues rĂ©gionales et rĂ©dige avec Paul Stintzi les « Pages Sundgoviennes » en deux volumes. Il consacre une brochure aux Seigneurs de Richwiller.
La commune de Richwiller honora sa mémoire en 1988 (à l'occasion du 110e anniversaire de sa naissance) en baptisant de son nom le groupe scolaire du centre. - Denise Ferrier (-1945) : l'aspirant Denise Ferrier était ambulanciÚre de la 2e Compagnie de ramassage du 25e Bataillon médical (bataillon qui s'était déjà fait remarquer à l'ßle d'Elbe pour son sang-froid). Depuis le début de la campagne de France, elle a été volontaire pour toutes les missions et a évacué de nombreux blessés. Elle a participé avec le régiment d'infanterie coloniale du Maroc à la percée sur Mulhouse.
Elle a été tuée par un obus le à Richwiller, à 7 heures du matin, devant un poste de secours du bataillon de choc.
Un parc lui est consacré à Pfastatt. - Paul Drumm, écrivain, se fixe à Richwiller aprÚs la Libération.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes du Haut-Rhin
- Alsaphot d'Alsetex
- ForĂȘt de Nonnenbruch
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
- Legifrance - ArrĂȘtĂ© du 22 dĂ©cembre 2021 Ă©tablissant les listes d'agglomĂ©rations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformĂ©ment Ă l'article R. 221-2 du code de l'environnement et Ă l'article L. 2213-4-1 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
- Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Eglise sainte-catherine de Richwiller », sur Fondation patrimoine.
- « Ce ne sera plus le mĂȘme son de cloche », sur l'Alsace.fr, .
- Archives DĂ©partementales du Haut-Rhin
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no IM68000680, base Palissy, ministÚre français de la Culture.