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Randan

Randan est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Randan
Randan
Route menant Ă  Maringues.
Blason de Randan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Puy-de-DĂ´me
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Plaine Limagne
Maire
Mandat
Sandrine Couturat
2020-2026
Code postal 63310
Code commune 63295
DĂ©mographie
Gentilé Randannais
Population
municipale
1 618 hab. (2020 en augmentation de 2,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 103 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 01′ 07″ nord, 3° 21′ 20″ est
Altitude Min. 298 m
Max. 404 m
Superficie 15,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Maringues
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Randan
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Randan
Liens
Site web randan.fr

    Randan était un lieu de vacances de la famille royale de la Maison d'Orléans au début du XIXe siècle, grâce au château de Randan.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Randan est situĂ©e au nord-est du dĂ©partement du Puy-de-DĂ´me[1], Ă  14 km au sud-ouest de Vichy et Ă  40 km au nord-est de Clermont-Ferrand ; Ă  proximitĂ© de la forĂŞt de Randan au nord et Ă  l'est, cĂ©lèbre par le château de Randan.

    Six communes sont limitrophes de Randan[2]. Un quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes) réunit Saint-Priest-Bramefant au nord-est, Mons au sud-est, Beaumont-lès-Randan au sud et Randan à l'ouest.

    GĂ©ologie et relief

    Le sous-sol de la commune, comme l'ensemble de la plaine de la Limagne, est composé de roches sédimentaires[3].

    Voies routières

    Carrefour entre les routes départementales 1093 et 59
    Carrefour entre les routes départementales 1093 et 59 en 2010.

    Le bourg est accessible par la route dĂ©partementale 1093, historiquement route nationale 493, qui passe par le centre-ville. Vichy est Ă  16 kilomètres et Bellerive-sur-Allier Ă  12 km ; vers le sud-ouest, Pont-du-Château 29 km et Maringues 13 km.

    Vers l'ouest, la route dĂ©partementale 59 continue vers Clermont-Ferrand (40 km), Riom (25 km), Ennezat (20 km) et Thuret (10 km), continuant sous le nom de RD 210, laquelle se termine sur la rue de Riom. La RD 223 continue vers Bas-et-Lezat et Aigueperse[2].

    Près de la forêt de Randan, la RD 59 continue vers Saint-Priest-Bramefant et Saint-Yorre. Il existe deux antennes, la RD 59a reliant la RD 94 au village de Lherat, et la RD 59b reliant le giratoire d'entrée nord de la commune aux RD 59 et 93. Elle croise la RD 107 desservant Beaumont-lès-Randan. La RD 93, sous le nom de rue des Potiers, continue à l'ouest en direction des Pioliers, lieu-dit de Villeneuve-les-Cerfs ; à l'est, elle continue vers Saint-Sylvestre-Pragoulin[2].

    Du centre-ville, la RD 94 relie la RD 1093 à Luzillat, avec un embranchement au sud, la RD 94a, menant vers la gare, ainsi qu'une RD 94d passant à proximité de l'étang de Nemours[2].

    Au sud, la RD 63 dessert les lieux-dits de Jussat et croise la RD 431[2].

    Transport ferroviaire

    La ligne de Vichy Ă  Riom passe par la commune de Randan. Les dĂ©partementales 94 et 63 la coupent Ă  niveau. Il a existĂ© une gare[4], aux environs du PK 380, mais elle est fermĂ©e aux voyageurs et actuellement vandalisĂ©e. Il existe un tunnel de 823 m de long[5].

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne 28 du réseau Transdôme (Joze – Maringues – Vichy)[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Randan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9].

    La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,9 %), forêts (38,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), zones urbanisées (4,4 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, la commune comptait 747 logements, contre 714 en 2007. Parmi ces logements, 84,2 % Ă©taient des rĂ©sidences principales, 3,2 % des rĂ©sidences secondaires et 12,6 % des logements vacants. Ces logements Ă©taient pour 89,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,4 % des appartements[a 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 72,3 %, en hausse sensible par rapport à 2007 (70,2 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,1 % (contre 2,4 %)[a 2].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est soumise à plusieurs risques naturels et technologiques, dont le feu de forêt, le mouvement de terrain par tassements différentiels, les phénomènes liés à l'atmosphère ainsi que les phénomènes météorologiques, le risque sismique, ainsi que le transport de matières dangereuses[13].

    Des mouvements de terrain ayant affecté les sols de la commune, survenus entre le et le 30 septembre 2003, ont fait l'objet d'un arrêté de catastrophe naturelle le 25 août 2004, avec parution au Journal officiel le lendemain[3].

    Concernée par le risque sismique, de niveau modéré, le département a connu un séisme dont l'épicentre était localisé à Randan, le 25 mars 1957, avec une intensité maximale ressentie de VI en échelle MSK[3].

    La commune est également concernée par le risque transport de matières dangereuses, du fait de l'existence d'une voie ferrée[3].

    Toponymie

    Carte linguistique du Puy-de-Dôme (Atlas sonore des langues régionales, CNRS[14]). En bleu clair : les parlers du Croissant ; en marron : le nord-occitan ; en vert : l'arpitan.

    On trouve la forme Randans dès 1393[15]. Celle-ci est officialisée en l'an II (1793) et en 1801, selon le Bulletin des lois, les deux graphies avec ou sans S sont admises pour désigner la commune[16].

    Le nom Randan vient de « randa » qui veut dire « frontière » en langue gauloise[17] - [18].

    Randan porte le même nom en parler du Croissant, espace linguistique où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl[19]. Randan est situé à l'extrême sud de cette zone[20].

    Histoire

    La voie romaine de Vichy Ă  Clermont passe par Randan ; Bouillet (1846) indique qu'on pouvait en voir un tronçon Ă  l'ouest de Randan au dessus du hameau des Carteaux[21] (ce hameau est Ă  2,3 km au sud-ouest du bourg).

    Existence d'un monastère « Monasterium Randanense » dès le VIe siècle, occupant l'emplacement du château actuel. Seigneurie des Polignac au XVe siècle. Érigé en duché au XVIe siècle puis en duché-pairie au XVIIe siècle. Le château fut transformé et embelli au XIXe siècle par Adélaïde d'Orléans, sœur de Louis-Philippe Ier ; il fut détruit par un incendie en 1925.

    Huit foires et un marché hebdomadaire furent créés aux XVe et XVIe siècles.

    En 1841, elle absorbe le village de Jussat, lequel comptait 234 habitants en 1793 et 285 en 1831, date du dernier recensement connu[16].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Randan est membre de la communauté de communes Plaine Limagne[22], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aigueperse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23]. Jusqu'au , elle faisait partie de la communauté de communes des Coteaux de Randan[24].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[22]. Jusqu'en , elle était chef-lieu de canton[25] ; elle dépendait du district de Riom en 1793[16].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Maringues pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[25].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Randan, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[26], pour un mandat de six ans renouvelable[27]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 19[28]. Les dix-neuf conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont Ă©lus au premier tour, le , avec un taux de participation de 43,36 %[29].

    Trois sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Plaine Limagne[29].

    Le , le conseil municipal a élu Sandrine Couturat, maire de la commune, jusqu'alors première adjointe, et désigné quatre adjoints[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Jean-Jacques Mathillon[31] DVD Vice-président de la communauté de communes Plaine Limagne[32]
    En cours
    (au )
    Sandrine Couturat[30]

    Instances judiciaires

    Randan relève de la cour d'appel de Riom, du tribunal de proximité de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[33].

    Jumelages

    Randan est jumelée avec Agosta (Italie)[34].

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Randannais[35] ou, moins couramment, les Randanais.

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2020, la commune comptait 1 618 habitants[Note 2], en augmentation de 2,86 % par rapport Ă  2014 (Puy-de-DĂ´me : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0791 0471 2231 3521 7452 0532 1492 0501 923
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8211 8031 7521 7901 7921 7671 8111 6941 700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6321 6151 8761 3721 3001 3031 3061 2531 275
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2751 2501 3441 4381 4291 3601 4621 5621 571
    2020 - - - - - - - -
    1 618--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,0 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 746 hommes pour 830 femmes, soit un taux de 52,66 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,1
    90 ou +
    4,8
    8,5
    75-89 ans
    15,1
    15,9
    60-74 ans
    15,1
    20,2
    45-59 ans
    15,7
    17,7
    30-44 ans
    17,8
    15,1
    15-29 ans
    14,5
    20,6
    0-14 ans
    16,9
    Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    2
    7
    75-89 ans
    10,2
    17,6
    60-74 ans
    18,3
    20,4
    45-59 ans
    19,5
    18,5
    30-44 ans
    17,4
    18,6
    15-29 ans
    17,2
    17,2
    0-14 ans
    15,5

    Enseignement

    Randan dépend de l'académie de Clermont-Ferrand et gère une école maternelle et une école élémentaire publiques[41].

    Hors dérogations à la carte scolaire, les élèves poursuivent leur scolarité au collège de Maringues[42] puis au lycée Montdory ou Jean-Zay, à Thiers, ou au lycée Albert-Londres, à Cusset[43].

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les premiers week-ends d'avril, depuis 2003, se tient le Salon du livre et de la chanson de Randan, « La chanson des livres ». Il s'agit de l'unique salon du livre qui accueille des artistes chanteurs francophones ayant publié un ouvrage, ainsi que des journalistes musicaux, biographes[44]… L'association « Le livre et la chanson » est coprésidée par Edda Mathillon et Alain Manaranche.

    Santé

    La commune possède un pôle santé (comprenant entre autres un médecin et six infirmiers). Deux médecins, un dentiste, deux masseurs-kinésithérapeutes sont installés dans la commune[R 1].

    On trouve également une pharmacie et deux établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)[R 1].

    Sports

    Plusieurs associations sportives siègent à Randan : le club de football (Football Club Randannais), un club de judo (Judo Club Randan), ainsi qu'un club de tennis, comptant une cinquantaine de licenciés[R 2].

    Économie

    Emploi

    En 2012, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  919 personnes, parmi lesquelles on comptait 67,3 % d'actifs dont 58,1 % ayant un emploi et 9,2 % de chĂ´meurs[a 3].

    On comptait 469 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la zone Ă©tant de 540, l'indicateur de concentration d'emploi est de 86,8 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].

    459 des 540 personnes âgĂ©es de 15 ans ou plus (soit 84,9 %) sont des salariĂ©s[a 5]. 44,5 % des actifs travaillent dans une autre commune du dĂ©partement[a 6].

    Entreprises

    Au , Randan comptait 99 entreprises : 12 dans l'industrie, 20 dans la construction, 46 dans le commerce, les transports et les services divers et 21 dans le secteur administratif[a 7].

    En outre, elle comptait 104 Ă©tablissements[a 8].

    Une entreprise de fabrication de cheminées et une autre de fabrication d'emballage bois sont installées sur la commune[R 3].

    Commerce

    La base permanente des équipements de 2014 recense neuf commerces : un supermarché, une épicerie, deux boulangeries, une boucherie-charcuterie, une librairie-papeterie-journaux, une droguerie-quincaillerie-bricolage, un fleuriste et une station-service[45].

    Tourisme

    Randan comptait un hôtel non classé de sept chambres au [a 9].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Sainte-Madeleine de Jussat, datant des XIe et XIIe siècles, a Ă©tĂ© inscrite aux monuments historiques le [46]. Elle est entourĂ©e d'un petit cimetière.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Jean-Baptiste restaurĂ©e et agrandie entre 1843 et 1845, Ă  partir d'un Ă©difice des XVe et XVIe siècles[47].

    Patrimoine civil

    • Le Domaine royal de Randan, de la première moitiĂ© du XIXe siècle, est classĂ© aux Monuments historiques le 21 fĂ©vrier 2001. Il est la propriĂ©tĂ© de la commune et de la rĂ©gion[48]. Le parc, classĂ© le mĂŞme jour, a Ă©tĂ© prĂ©alablement inscrit aux Monuments historiques le 30 avril 1999[49].
    • L'auberge dite Tournebride, situĂ©e 51 rue du Commerce, datant de la première moitiĂ© du XIXe siècle, a Ă©tĂ© achetĂ©e par AdĂ©laĂŻde d'OrlĂ©ans. Elle accueille aujourd'hui une boutique[50].
    • Une maison qui fit office de presbytère, situĂ©e 57 rue du Commerce, a Ă©tĂ© la propriĂ©tĂ© d'AdĂ©laĂŻde d'OrlĂ©ans depuis 1835. Le presbytère est surĂ©levĂ© en 1896 par l'architecte vichyssois Antoine Percilly[51].
    • L'Ă©cole de filles est bâtie entre 1822 et 1827 par AdĂ©laĂŻde d'OrlĂ©ans. L'Ă©difice devient un hospice en 1888[52].
    • La mairie est construite en 1826 après des problèmes de financement pour sa construction en 1820. La halle, servant pour les foires, est agrandie en 1846 par l'architecte Paschal Lepage, pour ĂŞtre achevĂ©e en 1865. Une marquise est ajoutĂ©e en 1902 par l'architecte vichyssois Antoine Percilly[53]. Une autre, situĂ©e 11 place de la Mairie, est livrĂ©e en 1866[54].

    Monuments aux morts

    • Le monument aux morts, signĂ© du sculpteur Benet et de la fonderie Durenne, date de 1921[55].
    • Le monument aux morts du souvenir français est Ă©rigĂ© en 1901 ; il est restaurĂ© en 1937[56].
    • L'Ă©glise de Jussat
      L'Ă©glise de Jussat.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Jean-Baptiste
      L'Ă©glise paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
    • Le château de Randan
      Le château de Randan.
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Randan Blason
    Écartelé de gueules et d'argent, enté d'argent à la fleur à quatre pétales de gueules feuillée de sinople en pointe, sur le tout un écu ovale de sable chargé de la lettre majuscule R d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Insee

    Dossier relatif Ă  la commune

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    4. EMP T5 – Emploi et activité.
    5. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
    6. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    9. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .

    Site de la mairie

    1. « Services de santé » (consulté le ).
    2. « Associations Sportives » (consulté le ).
    3. « Entreprises » (consulté le ).

    Autres références

    1. « Randan », sur Lion 1906 (consulté le ).
    2. Carte de Randan sur GĂ©oportail.
    3. « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    4. Gare de Randan sur massifcentralferroviaire.com.
    5. Fiche du tunnel de Randan [PDF], sur tunnels-ferroviaires.org.
    6. « Horaires TRANSDÔME 2017/2018 », Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    13. Risques dans la commune sur prim.net.
    14. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda (Limsi, CNRS), « Comparaison de dialectes du Croissant avec d’autres parlers d’oïl (berrichon-bourbonnais et poitevin-saintongeais) et d’oc », communication au colloque « 2èmes Rencontres sur les Parlers du Croissant », Montluçon, 2019, [lire en ligne].
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, t. 2 : Formations non-romanes (lire en ligne), p. 286.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, , 385 p., p. 434
    18. Jacques Lacroix, Enquête aux confins des pays celtes, Paris, Éditions Gallimard, 2019 ; réédition augmentée en 2021, 178 p. (EAN 9782917575987)
    19. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur https://atlas.limsi.fr/ ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS,
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