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Quœux-Haut-Maînil

Quœux-Haut-Maînil est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Quœux-Haut-Maînil
Quœux-Haut-Maînil
L'église Saint-Jacques.
Blason de Quœux-Haut-Maînil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Fredy Tirmarche
2020-2026
Code postal 62390
Code commune 62683
Démographie
Gentilé Quœusiens
Population
municipale
226 hab. (2020 en diminution de 9,6 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 06″ nord, 2° 06′ 42″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 139 m
Superficie 12,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Première circonscription
Localisation
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Quœux-Haut-Maînil
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Quœux-Haut-Maînil
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Quœux-Haut-Maînil

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

    Paysages

    La commune s'inscrit dans le milieu du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [1].

    Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le mont de Boffles. Le sol crayeux de cette ZNIEFF permet notamment l’expression d’une flore et de végétations de pelouses calcicoles issues d’une exploitation pastorale séculaire, et qui présentent un intérêt patrimonial majeur en région Nord-Pas-de-Calais[3].

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :

    • la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[4] ;
    • la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Quœux-Haut-Maînil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [6] - [7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), prairies (21,5 %), zones urbanisées (4,5 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Quœux

    Quœux est attesté sous les formes Cheuz (XIIe siècle) ; Keux (1201) ; Kex, Kheue (1202) ; Keex, Kheus (1202) ; Keus (XIIIe siècle) ; Keu (1261) ; Kueux (1518) ; Queux (XVIIIe siècle)[13].

    Ce toponyme devrait son nom au pluriel de l’oïl couz, keuz, « pierre à aiguiser», peut-être pour désigner un atelier de fabrication de pierres à aiguiser, selon Ernest Nègre[14], qui reprend l'explication d’Albert Dauzat et Charles Rostaing qui donnent directement le latin cotes, « pierres (à aiguiser) » comme étymologie ultime.

    Haut-Maînil

    Haut-Maînil est attesté sous la forme Hautemaisnil en 1301[15].

    De l'adjectif de l'oïl haut et mesnil[15] qui désignait jusqu'à l'Ancien Régime un domaine rural.

    Histoire

    La commune résulte de la fusion en des villages de Quœux et de Haut-Maînil[16].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17], le préfet du Pas-de-Calais a publié le un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[18]. À l'initiative des intercommunalités concernées[19], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[20] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants ;
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants.

    Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [21] - [22] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [23].

    Circonscriptions administratives

    La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroit et passe de 26 à 84 communes.

    Circonscriptions électorales

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    en 1959 1974[24] Henri Hoguet Maire de Quœux, puis de Quœux-Haut-Maînil
    1974 2014[25] - [24] Alfred Letalle Chef d’entreprise du bâtiment retraité
    2014[26] - [27] - [28] 2020 Bernard Wiart SE Agriculteur
    3 juillet 2020 En cours
    (au 3 avril 2022)
    Fredy Tirmarche Ancien ouvrier
    Élu pour le mandat 2020-2026[29] - [30]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 226 habitants[Note 5], en diminution de 9,6 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    451433472471456467451453441
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    410386360359346358347322283
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    279279250230233231243192186
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    219185309328273262244242251
    2015 2020 - - - - - - -
    252226-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 134 hommes pour 113 femmes, soit un taux de 54,25 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    2,9
    3,3
    75-89 ans
    15,5
    26,0
    60-74 ans
    18,4
    23,6
    45-59 ans
    23,3
    15,4
    30-44 ans
    15,5
    11,4
    15-29 ans
    15,5
    18,7
    0-14 ans
    8,7
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Thomas.
    • L'église Saint-Jacques de 1774, avec un clocher du XVe siècle et un confessionnal style Louis XVI.
    • La chapelle de Jésus flagellé.
    • Les deux monuments aux morts, Quœux et Haut-Maînil[36].
    • L'église Saint-Thomas.
      L'église Saint-Thomas.
    • La chapelle de Jésus flagellé.
      La chapelle de Jésus flagellé.
    • Le monument aux morts de Haut-Maînil.
      Le monument aux morts de Haut-Maînil.
    • Le monument aux morts de Quœux.
      Le monument aux morts de Quœux.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    parti au 1) de gueules semé de croisettes d'argent, au 2) d'argent aux trois fasces de gueules.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF 310013685 - Mont de Boffles », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 314.
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1344.
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1420.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    18. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    19. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    20. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    21. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    22. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    23. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
    24. « Quœux-Haut-Maînil – Après sept mandats, Alfred Letalle devient maire honoraire : D'abord maire de Haut-Maînil, Alfred Letalle est également devenu le premier magistrat de Quœux-Haut-Maînil une fois la fusion accomplie. Après quarante ans de service, il s’est vu décerner une médaille dimanche. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Le bilan du maire de Quœux-Haut-Maînil : « début 2013, on nous a proposé des éoliennes, cela a été refusé, c’est dommage…» : Alfred Letalle est retraité depuis vingt-cinq ans. Il était chef d’entreprise du bâtiment. Il est entré au conseil municipal en 1959 et il a été élu maire en 1974 et réélu depuis. À la question de savoir s’il pense aux prochaines élections : « À 85 ans, il est plus que temps de passer la main ! Non je ne me représente pas en mars 2014. » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Quœux-Haut-Maînil : Bernard Wiart nouveau maire de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    28. J.-L. Munier (CLP), « Quœux-Haut-Maînil – « On va renforcer la défense incendie, en respectant les normes » : Bernard Wiart a entamé son premier mandat en qualité de maire. La pose de deux réserves incendie devrait bientôt voir le jour pour répondre à l’un des projets de l’édile : renforcer la défense incendie. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quœux-Haut-Maînil (62683) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    36. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
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