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Quévert

QuĂ©vert [kevɛʁ] est une commune française du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne.

Quévert
Quévert
Courtil des senteurs à Quévert.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Philippe Landuré
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22259
DĂ©mographie
Gentilé Quévertois / Quévertoise
Population
municipale
3 970 hab. (2020 en augmentation de 6,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 318 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 27â€Č 52″ nord, 2° 05â€Č 09″ ouest
Altitude 103 m
Min. 49 m
Max. 130 m
Superficie 12,48 km2
Unité urbaine Dinan
(banlieue)
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dinan
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Quévert
Liens
Site web http://ville-quevert.fr/

    Les habitants se nomment les QuĂ©vertois et les QuĂ©vertoises[1]. Au recensement de 2006, la ville comptait 3 360 habitants[2].

    GĂ©ographie

    Quévert se situe au nord-ouest de Dinan dont elle limitrophe, séparée par la voie rapide N176.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 770 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[9] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    QuĂ©vert est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Dinan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[17] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (78,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30,9 %), terres arables (28,8 %), zones urbanisĂ©es (18,2 %), prairies (15 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,1 %), forĂȘts (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Quever à la fin du XIIe siÚcle, Parochia de Quever en 1232, Ecclesia de Quever au XVe siÚcle[24].

    Kever en breton.

    Quévert procÚde du vieux breton kever (« terre labourée en commun »)[25].

    Histoire

    Antiquité

    Plusieurs fouilles archĂ©ologiques effectuĂ©es au sud[26] - [27] - [28] et au nord-est[29] de QuĂ©vert ont rĂ©vĂ©lĂ© la prĂ©sence d’ateliers mĂ©tallurgiques pouvant remonter Ă  l’époque de la TĂšne. Ils se caractĂ©risent par l’utilisation de bas-fourneaux alimentĂ©s par du minerai de fer et par du charbon de bois fabriquĂ© sur place dans des fosses charbonniĂšres.

    Les sites mĂ©tallurgiques du nord-est de la commune sont nombreux, ils se rĂ©partissent dans un cercle de rayon 2 km autour du bois du Parc, certains se rattachent Ă  l’époque de la TĂšne, d’autres Ă  l’époque gallo-romaine et d’autres encore pourraient dater de pĂ©riode plus rĂ©cente, la technique des bas-fourneaux se poursuivant au-delĂ  de la pĂ©riode gallo-romaine[26].

    La production mĂ©tallurgique rĂ©vĂ©lĂ©e au sud de la commune pourrait Ă©galement dater de la TĂšne, cette activitĂ© se serait poursuivie dans cette zone jusqu’à la pĂ©riode gallo-romaine[26].

    Deux voies romaines traversent la commune de Quévert[30] :

    • l’une au nord appelĂ©e maintenant le chemin de l’Estrat, elle reliait Corseul (Fanum Martis) Ă  Avranches (Legedia), une dĂ©rivation desservait le port fluvial de Taden,
    • la deuxiĂšme dont le tracĂ© n’a pas Ă©tĂ© clairement identifiĂ© malgrĂ© deux fouilles successives[26] - [27], traverse la commune au sud, elle allait de Corseul Ă  Rennes (Condate).

    Le chemin de l’Estrat a fait l’objet d’un sondage archĂ©ologique en 1978[31], il a mis en Ă©vidence la structure bombĂ©e de la route et le pavement constituĂ© d’imposantes dalles de pierre.

    C’est Ă  proximitĂ© de ces deux voies romaines qu’on Ă©tĂ© dĂ©couverts les sites mĂ©tallurgiques Ă©voquĂ©s dans le paragraphe protohistoire.

    Moyen Âge

    Quévert existe depuis le XIIe siÚcle et fut rattachée à Corseul puis à Saint-Malo. Comme les autres communes françaises, elle élit sa premiÚre municipalité en 1790.

    En 1977, une prospection archéologique aérienne a révélé la présence d'une motte féodale arasée à proximité du chùteau du Bois-Riou[32].

    Dans son Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Jean Ogée mentionne la présence des ruines du chùteau de la Brosse, il appartenait en 1400 à Jean du Bois-Riou, chevalier, seigneur de la Brosse[33].

    VildĂ©-GoĂ«llo[34] Ă©tait un village de la paroisse de QuĂ©vert situĂ© au sud de la commune Ă  l’emplacement des actuels lotissements construits entre la N176 et la D795, Ă  l’ouest du quartier de Sainte-Anne, une impasse en porte encore le nom. A l’époque mĂ©diĂ©vale, il constituait un fief des Templiers rattachĂ© au Temple de la NouĂ©e en Yvignac. Une charte de 1182 le dĂ©nommait l’aumĂŽnerie de GoĂ«llo (Elemosina de Gouelou)[35]. Cet Ă©tablissement comprenait un manoir et une chapelle qui ont totalement disparu.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms des 80 soldats morts pour la Patrie[36] :

    La période contemporaine

    À partir des annĂ©es 1960, la commune a vu sa population considĂ©rablement augmenter, les lotissements pavillonnaires se sont multipliĂ©s et QuĂ©vert est devenue plus urbaine que rurale. Philippe Dressayre a analysĂ© cette Ă©volution lors d'une enquĂȘte rĂ©alisĂ©e en 1976-1977[37].

    Le , une jeune femme de 28 ans, employée du restaurant McDonald's de Quévert, est tuée par une bombe qui explose sur son lieu de travail. L'attentat a été attribué à la mouvance indépendantiste bretonne par la division nationale antiterroriste malgré un démenti[38] - [39]. Les trois indépendantistes jugés pour cet attentat ont été définitivement acquittés en 2009[40]. Ainsi personne n'a été condamné dans cette affaire.

    HĂ©raldique

    Blason de Quévert Blason
    Taillé : au premier de sinople à la croix pattée alésée d'argent, au second de gueules à la roue dentée d'or : à la cotice en barre d'argent chargée de cinq mouchetures d'hermine de sable brochant sur la partition ; le tout sommé d'un chef d'argent fretté d'azur de huit piÚces.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La commune de Quévert fait partie de Dinan Agglomération.

    Liste des maires successifs[41] - [42]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    25 mai 2020 En cours Philippe Landuré[43] PS
    mars 2014 25 mai 2020 Marie-Odile Fauche DVG retraitée cadre de santé
    mars 2001 mars 2014 Alain Burlot DVG Professeur
    mars 1971 mars 2001 Louis Martin Professeur
    mai 1945 mars 1971 LĂ©opold Miriel[44] PCF puis DVG Menuisier
    oct. 1944 mai 1945 Auguste Botrel
    août 1942 mai 1944 Marie-Ange Rabaste
    août 1942 Jean Dupas
    1888 1906 Rolland
    1883 1888 Delourme
    1876 1883 Benoist
    1874 1876 Gauvain
    1869 1874 Lefeuvre
    1866 1869 G. Arhel
    1864 1866 Mondehain
    1857 1864 P. Benoist
    1848 1857 Rault
    1834 1848 G. Bellard
    1830 1834 Fleury
    1808 1830 Olivier Aubry de la Lande
    1803 1808 Lefeuvre
    1793 1803 François Lucas
    sept. 1792 1793 François Menard
    nov. 1790 sept. 1792 Claude-Marie Rageot
    juin 1790 nov. 1790 Noël Josse

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[46].

    En 2020, la commune comptait 3 970 habitants[Note 7], en augmentation de 6,41 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8609859891 3551 1361 2271 1811 1921 299
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2181 2461 2791 3561 4301 3741 3341 3801 388
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3711 4121 3421 1251 1651 1891 1571 1731 155
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4151 5422 5792 9243 0073 1183 3603 6873 724
    2020 - - - - - - - -
    3 970--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Laurent de Quévert.
    • La chapelle Sainte-Anne-du-Rocher date du XVIIe siĂšcle[49]. Son retable (XVIIe siĂšcle)[50] a Ă©tĂ© restaurĂ© en 2020[51], il comporte un groupe sculptĂ© en bois polychrome reprĂ©sentant Sainte-Anne et la Vierge (XVIIe siĂšcle)[52]. La porte sud est surmontĂ©e d'un haut-relief reprĂ©sentant la crucifixion et datant du XIVe siĂšcle[53].
    • Chapelle Sainte-Anne.
      Chapelle Sainte-Anne.
    • Haut-relief.
      Haut-relief.

    Éducation et culture

    « Les Mordus de la Pomme » organise chaque annĂ©e la FĂȘte de la Pomme le premier week-end de novembre. Les diffĂ©rents mĂ©tiers liĂ©s Ă  la culture, Ă  l'exploitation et Ă  la vente des pommes sont exposĂ©s. Des concours de prĂ©sentations en corbeilles et de dessins faits par les enfants des Ă©coles du pays de Dinan sont organisĂ©s Ă  cette occasion.

    Activités sportives

    Environnement

    La commune de QuĂ©vert est connue pour son Courtil des Senteurs, une roseraie amĂ©nagĂ©e autour d'une fontaine. Y sont plantĂ©s et entretenus des rosiers contemporains ou rares. À chaque naissance de fille Ă  QuĂ©vert, un rosier est plantĂ©.

    La commune a fait aménager des parcours pédestres thématiques, ainsi le Chemin des fleurs ou le chemin des Roches est particuliÚrement dédié au granit.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. populations lĂ©gales 2006 sur le site de l’INSEE
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Dinard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Quévert et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de QuĂ©vert ».
    25. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 101, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
    26. HAMON Anne-Louise, QUÉVERT (22). le Clos Mirette, la Lande Close, la Lande GatĂ©e : charbonnage et mĂ©tallurgie du fer de la protohistoire Ă  l'antiquitĂ©. Rapport de diagnostic RAP02995., Rennes, Service rĂ©gional de l'archĂ©ologie de Bretagne, , 114 p. (lire en ligne).
    27. HAMON Anne-Louise, AUCALEUC, QUEVERT (22). ZAC de Bel Air : charbonnage et bas fourneaux, deux incinérations antiques. Rapport de diagnostic RAP03072., Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 86 p. (lire en ligne).
    28. VIVET Jean-Bernard, Paléométallurgies du fer en haute-Bretagne de la protohistoire à la période industrielle (RAP03077)., Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 224 p. (lire en ligne), p. 164-214.
    29. VIVET Jean-Bernard, QUÉVERT (22). Mitasse. la Ville Pierre 2. Rapport de sondage rĂ©alisĂ© dans le cadre de la prospection thĂ©matique (RAP01726)., Rennes, Service rĂ©gional de l'archĂ©ologie de Bretagne, , 127 p. (lire en ligne).
    30. LANGOUET Loïc, Archéologie du milieu rural en haute Bretagne aux époques pré-romaine et gallo-romaine. Rapport de projet collectif de recherche (RAP00560)., Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 150 p. (lire en ligne), p. 126.
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