Quévert
QuĂ©vert [kevÉÊ] est une commune française du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne.
Quévert | |||||
![]() Courtil des senteurs à Quévert. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | CĂŽtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Dinan | ||||
Intercommunalité | Dinan Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Philippe Landuré 2020-2026 |
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Code postal | 22100 | ||||
Code commune | 22259 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Quévertois / Quévertoise | ||||
Population municipale |
3 970 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 318 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 27âČ 52âł nord, 2° 05âČ 09âł ouest | ||||
Altitude | 103 m Min. 49 m Max. 130 m |
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Superficie | 12,48 km2 | ||||
Unité urbaine | Dinan (banlieue) |
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Aire d'attraction | Dinan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Dinan | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : CĂŽtes-d'Armor
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | http://ville-quevert.fr/ | ||||
Les habitants se nomment les Quévertois et les Quévertoises[1]. Au recensement de 2006, la ville comptait 3 360 habitants[2].
GĂ©ographie
Quévert se situe au nord-ouest de Dinan dont elle limitrophe, séparée par la voie rapide N176.
![]() |
Languenan | Saint-Samson-sur-Rance | Saint-Samson-sur-Rance | ![]() |
Aucaleuc | N | Dinan | ||
O Quévert E | ||||
S | ||||
Aucaleuc | Dinan | Dinan |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[9] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Quévert est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinan, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (78,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30,9 %), terres arables (28,8 %), zones urbanisĂ©es (18,2 %), prairies (15 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,1 %), forĂȘts (1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Quever à la fin du XIIe siÚcle, Parochia de Quever en 1232, Ecclesia de Quever au XVe siÚcle[24].
Kever en breton.
Quévert procÚde du vieux breton kever (« terre labourée en commun »)[25].
Histoire
Antiquité
Plusieurs fouilles archĂ©ologiques effectuĂ©es au sud[26] - [27] - [28] et au nord-est[29] de QuĂ©vert ont rĂ©vĂ©lĂ© la prĂ©sence dâateliers mĂ©tallurgiques pouvant remonter Ă lâĂ©poque de la TĂšne. Ils se caractĂ©risent par lâutilisation de bas-fourneaux alimentĂ©s par du minerai de fer et par du charbon de bois fabriquĂ© sur place dans des fosses charbonniĂšres.
Les sites mĂ©tallurgiques du nord-est de la commune sont nombreux, ils se rĂ©partissent dans un cercle de rayon 2 km autour du bois du Parc, certains se rattachent Ă lâĂ©poque de la TĂšne, dâautres Ă lâĂ©poque gallo-romaine et dâautres encore pourraient dater de pĂ©riode plus rĂ©cente, la technique des bas-fourneaux se poursuivant au-delĂ de la pĂ©riode gallo-romaine[26].
La production mĂ©tallurgique rĂ©vĂ©lĂ©e au sud de la commune pourrait Ă©galement dater de la TĂšne, cette activitĂ© se serait poursuivie dans cette zone jusquâĂ la pĂ©riode gallo-romaine[26].
Deux voies romaines traversent la commune de Quévert[30] :
- lâune au nord appelĂ©e maintenant le chemin de lâEstrat, elle reliait Corseul (Fanum Martis) Ă Avranches (Legedia), une dĂ©rivation desservait le port fluvial de Taden,
- la deuxiĂšme dont le tracĂ© nâa pas Ă©tĂ© clairement identifiĂ© malgrĂ© deux fouilles successives[26] - [27], traverse la commune au sud, elle allait de Corseul Ă Rennes (Condate).
Le chemin de lâEstrat a fait lâobjet dâun sondage archĂ©ologique en 1978[31], il a mis en Ă©vidence la structure bombĂ©e de la route et le pavement constituĂ© dâimposantes dalles de pierre.
Câest Ă proximitĂ© de ces deux voies romaines quâon Ă©tĂ© dĂ©couverts les sites mĂ©tallurgiques Ă©voquĂ©s dans le paragraphe protohistoire.
Moyen Ăge
Quévert existe depuis le XIIe siÚcle et fut rattachée à Corseul puis à Saint-Malo. Comme les autres communes françaises, elle élit sa premiÚre municipalité en 1790.
En 1977, une prospection archéologique aérienne a révélé la présence d'une motte féodale arasée à proximité du chùteau du Bois-Riou[32].
Dans son Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Jean Ogée mentionne la présence des ruines du chùteau de la Brosse, il appartenait en 1400 à Jean du Bois-Riou, chevalier, seigneur de la Brosse[33].
VildĂ©-GoĂ«llo[34] Ă©tait un village de la paroisse de QuĂ©vert situĂ© au sud de la commune Ă lâemplacement des actuels lotissements construits entre la N176 et la D795, Ă lâouest du quartier de Sainte-Anne, une impasse en porte encore le nom. A lâĂ©poque mĂ©diĂ©vale, il constituait un fief des Templiers rattachĂ© au Temple de la NouĂ©e en Yvignac. Une charte de 1182 le dĂ©nommait lâaumĂŽnerie de GoĂ«llo (Elemosina de Gouelou)[35]. Cet Ă©tablissement comprenait un manoir et une chapelle qui ont totalement disparu.
Les guerres du XXe siĂšcle
Le monument aux morts porte les noms des 80 soldats morts pour la Patrie[36] :
- 72 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
- 5 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
- 1 est mort durant la guerre d'Algérie ;
- 2 sont morts durant la guerre d'Indochine.
La période contemporaine
Ă partir des annĂ©es 1960, la commune a vu sa population considĂ©rablement augmenter, les lotissements pavillonnaires se sont multipliĂ©s et QuĂ©vert est devenue plus urbaine que rurale. Philippe Dressayre a analysĂ© cette Ă©volution lors d'une enquĂȘte rĂ©alisĂ©e en 1976-1977[37].
Le , une jeune femme de 28 ans, employée du restaurant McDonald's de Quévert, est tuée par une bombe qui explose sur son lieu de travail. L'attentat a été attribué à la mouvance indépendantiste bretonne par la division nationale antiterroriste malgré un démenti[38] - [39]. Les trois indépendantistes jugés pour cet attentat ont été définitivement acquittés en 2009[40]. Ainsi personne n'a été condamné dans cette affaire.
HĂ©raldique
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Blason | Taillé : au premier de sinople à la croix pattée alésée d'argent, au second de gueules à la roue dentée d'or : à la cotice en barre d'argent chargée de cinq mouchetures d'hermine de sable brochant sur la partition ; le tout sommé d'un chef d'argent fretté d'azur de huit piÚces. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
La commune de Quévert fait partie de Dinan Agglomération.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[46].
En 2020, la commune comptait 3 970 habitants[Note 7], en augmentation de 6,41 % par rapport Ă 2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
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- La chapelle Sainte-Anne-du-Rocher date du XVIIe siÚcle[49]. Son retable (XVIIe siÚcle)[50] a été restauré en 2020[51], il comporte un groupe sculpté en bois polychrome représentant Sainte-Anne et la Vierge (XVIIe siÚcle)[52]. La porte sud est surmontée d'un haut-relief représentant la crucifixion et datant du XIVe siÚcle[53].
- Chapelle Sainte-Anne.
- Haut-relief.
- L'Ă©glise paroissiale est dĂ©diĂ©e Ă Saint-Laurent, ses fonts baptismaux sont du XVIe siĂšcle. Le retable du maĂźtre autel[54] et ses trois statues associĂ©es (Notre-Dame du Bon Secours[55], Saint Ătienne[56] et Saint Guillaume[57]) datent du XIXe siĂšcle.
Ăducation et culture
« Les Mordus de la Pomme » organise chaque annĂ©e la FĂȘte de la Pomme le premier week-end de novembre. Les diffĂ©rents mĂ©tiers liĂ©s Ă la culture, Ă l'exploitation et Ă la vente des pommes sont exposĂ©s. Des concours de prĂ©sentations en corbeilles et de dessins faits par les enfants des Ă©coles du pays de Dinan sont organisĂ©s Ă cette occasion.
Activités sportives
- Le Hockey Club Quévertois est septuple champion de France de rink hockey en 2014[58].
Environnement
La commune de Quévert est connue pour son Courtil des Senteurs, une roseraie aménagée autour d'une fontaine. Y sont plantés et entretenus des rosiers contemporains ou rares. à chaque naissance de fille à Quévert, un rosier est planté.
La commune a fait aménager des parcours pédestres thématiques, ainsi le Chemin des fleurs ou le chemin des Roches est particuliÚrement dédié au granit.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- populations lĂ©gales 2006 sur le site de lâINSEE
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Dinard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Quévert et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- infobretagne.com, « Ătymologie et Histoire de QuĂ©vert ».
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 101, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
- HAMON Anne-Louise, QUĂVERT (22). le Clos Mirette, la Lande Close, la Lande GatĂ©e : charbonnage et mĂ©tallurgie du fer de la protohistoire Ă l'antiquitĂ©. Rapport de diagnostic RAP02995., Rennes, Service rĂ©gional de l'archĂ©ologie de Bretagne, , 114 p. (lire en ligne).
- HAMON Anne-Louise, AUCALEUC, QUEVERT (22). ZAC de Bel Air : charbonnage et bas fourneaux, deux incinérations antiques. Rapport de diagnostic RAP03072., Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 86 p. (lire en ligne).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- Notice no PM22002420, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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- Notice no PM22002416, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
- Notice no PM22002417, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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- « Le site du HC Dinan Quévert », sur www.hcquevert.com (consulté le ).