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PrĂȘtre catholique

Un prĂȘtre catholique (du grec ancien πρΔσÎČÏÏ„Î”ÏÎżÏ‚ / presbĂșteros, qui signifie « ancien », en latin presbyter) est un homme chrĂ©tien qui reçoit au moment de son ordination, par l'imposition des mains de l'Ă©vĂȘque, la mission de « rendre prĂ©sent » le Christ parmi les gens, en particulier par des sacrements comme l'Eucharistie (la messe), le sacrement de rĂ©conciliation ou du pardon (la confession), le sacrement des malades (extrĂȘme-onction), en instruisant comme avec le catĂ©chisme, en accueillant ou en guidant toutes les personnes qui s'adressent Ă  lui[1].

Détail de La messe de fondation de l'ordre des Trinitaires de Juan Carreño de Miranda (1666, musée du Louvre).

Le prĂȘtre fait l'objet d'une vocation particuliĂšre que les croyants catholiques identifient Ă  un appel de Dieu. Le discernement de l'appel Ă  la prĂȘtrise et la formation du prĂȘtre se fait au sĂ©minaire. Si ce que les catholiques reconnaissent comme l'appel de Dieu est confirmĂ© par le sĂ©minariste et par l'Église, le sĂ©minariste est ordonnĂ© diacre puis prĂȘtre par un Ă©vĂȘque.

Dans l'Église catholique de rite latin, depuis la rĂ©forme grĂ©gorienne, les prĂȘtres doivent prendre l'engagement de vivre dans le cĂ©libat.

RĂŽle et mission du prĂȘtre

Si le terme de prĂȘtre vient de presbĂșteros (πρΔσÎČÏÏ„Î”ÏÎżÏ‚), l'ancien, c'est que dans les dĂ©buts de l'Église cette fonction est assignĂ©e Ă  des hommes reconnus par le peuple pour leur sagesse et la clartĂ© de leur discernement. À l'image du Christ, le prĂȘtre est un « pasteur », il « paĂźt » (symboliquement) le peuple de Dieu[2].

Alors que tous les baptisĂ©s exercent un sacerdoce baptismal, le prĂȘtre est pris d'au milieu du peuple pour y tĂ©moigner de la prĂ©sence mĂȘme du Christ. Ces deux sacerdoces, selon leur modes propres, proviennent du mĂȘme sacerdoce du Christ, mais diffĂšrent dans leur essence[3]. En effet, lorsque le prĂȘtre agit dans la charge qui lui est confiĂ©e, et notamment en confĂ©rant des sacrements tels que l'Eucharistie ou le sacrement de pĂ©nitence et de rĂ©conciliation, c'est le Christ lui-mĂȘme qui agit, en tant que tĂȘte de son Corps qu'est l'Église[4].

L'homme qui doit ĂȘtre ordonnĂ© prĂȘtre est avant cela ordonnĂ© diacre, c'est-Ă -dire serviteur. Le prĂȘtre est donc Ă  la fois configurĂ© au Christ comme tĂȘte de son Église, mais aussi comme son serviteur[5].

Finalement, Ă  travers ses diverses activitĂ©s, le prĂȘtre est un homme de Dieu[6] chargĂ© d'ĂȘtre la prĂ©sence du Christ au milieu de son peuple, Ă  son service et pour le mener Ă  la saintetĂ©.

Le prĂȘtre est le ministre de certains sacrements, c'est-Ă -dire que lui seul peut les donner :

L'Église catholique considĂšre que le prĂȘtre agit In Persona Christi Capitis (dans la personne du Christ TĂȘte). Il reprĂ©sente donc JĂ©sus-Christ qui est le Souverain PrĂȘtre exerçant le Vrai sacerdoce.

En revanche, le prĂȘtre ne peut administrer ni la confirmation (sauf pour les Églises catholiques orientales), Ă  moins de nĂ©cessitĂ© ou d'en avoir reçu mandat ponctuellement par son Ă©vĂȘque, ni l'ordination, qui sont du ressort d'un Ă©vĂȘque.

Pour ce qui est du mariage, l'Église considĂšre traditionnellement que ce sont surtout les Ă©poux qui se confĂšrent mutuellement le sacrement[8], le prĂȘtre (ou bien le diacre, voire l'Ă©vĂȘque) n'Ă©tant que le tĂ©moin obligatoire, et ce seulement depuis 1542 (concile de Trente)[9] - [10].

Le prĂȘtre responsable d'une paroisse est appelĂ© curĂ©, recteur en Bretagne et dans certains autres cas, ou modĂ©rateur, alors que les prĂȘtres qui l'assistent sont nommĂ©s vicaires. Un prĂȘtre peut n'ĂȘtre attachĂ© Ă  aucune paroisse. Le presbytĂšre est le logement de fonction autrefois rĂ©servĂ© au(x) prĂȘtre(s) d'une paroisse. Il Ă©tait en gĂ©nĂ©ral Ă  proximitĂ© de l'Ă©glise.

Un religieux (frĂšre ou moine) peut Ă©galement recevoir le sacerdoce. Il faut avoir reçu le sacerdoce pour pouvoir devenir Ă©vĂȘque.

Les prĂȘtres catholiques dans le monde

PrĂȘtre amĂ©ricain cĂ©lĂ©brant l'eucharistie en 2005.

Chiffres de l'agence de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples au :

  • Le nombre de prĂȘtres s'Ă©levait Ă  414 969 au , leur nombre a diminuĂ© (- 687) par rapport Ă  l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente[11]. Le continent oĂč l’on constate encore une diminution consistante est une nouvelle fois l’Europe (- 2 583), auquel s’ajoute cette annĂ©e l’AmĂ©rique (- 589). Les augmentations concernent l’Afrique (+ 1 181) et l’Asie (+ 1 304), l’OcĂ©anie demeurant stable[11].
  • Le nombre des prĂȘtres diocĂ©sains a augmentĂ© globalement de 317, atteignant le chiffre de 281 831, avec une seule diminution, cette annĂ©e encore : l’Europe (- 1 611), les augmentations concernant l’Afrique (+ 983), l’AmĂ©rique (+ 180), l’Asie (+ 744) et l’OcĂ©anie (+ 21)[11].
  • Le nombre des religieux prĂȘtres a quant Ă  lui diminuĂ© globalement de 1 004 unitĂ©s, soit le triple de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, pour s’établir Ă  133 138. Consolidant la tendance de ces derniĂšres annĂ©es, leur nombre augmente en Afrique (+ 198), en Asie (+ 560) mais diminue en AmĂ©rique (- 769), en Europe (- 972) et en OcĂ©anie (- 21)[11].

En 2004, le nombre de sĂ©minaristes s'Ă©levait Ă  214 629, rĂ©partis en 113 044 grands sĂ©minaristes et 101 585 petits sĂ©minaristes.

Au , le nombre de sĂ©minaristes, diocĂ©sains et religieux s'Ă©levait Ă  217 776, rĂ©partis en 116 160 grands sĂ©minaristes et 101 616 petits sĂ©minaristes[11].

Les hommes mariĂ©s ordonnĂ©s prĂȘtres de rite non latin, tels les prĂȘtres de rite oriental ou les pasteurs anglicans et luthĂ©riens convertis au catholicisme et alors ordonnĂ©s prĂȘtres (les pasteurs ne sont pas prĂȘtres), seraient, par ailleurs, plusieurs milliers[12].

Les prĂȘtres catholiques en France

En 2017, la France comptait 14 786 prĂȘtres, diocĂ©sains et religieux, en 1995, la France en comptait 28 694[13].

En 2018, le nombre de séminaristes s'élevait à 828, et en 1995, ils étaient au nombre de 1 155[13].

En 2019, 126 prĂȘtres ont Ă©tĂ© ordonnĂ©s en France, dont 78 diocĂ©sains et 30 religieux[14].

En moyenne, environ 50 % des séminaristes de premiÚre année quittent le séminaire avant la fin du cursus et 50 % finissent ordonnés[15].

La forme tridentine du rite romain suscite proportionnellement plus de vocations avec 20 ordinations en 2015, chiffre Ă  peu prĂšs stable depuis 2010[16].

En France, les ministres du culte ont une certaine reconnaissance légale, indépendamment de la religion à laquelle ils appartiennent.

Les prĂȘtres diocĂ©sains de France sont rĂ©munĂ©rĂ©s par les dons des fidĂšles. Ils ne perçoivent pas un salaire pris directement sur les quĂȘtes dominicales ou lors des sacrements rĂ©alisĂ©s. On ne parle d'ailleurs pas de salaire mais d'indemnitĂ©s. Un prĂȘtre touche environ 950 â‚Ź mais est logĂ© Ă  titre gracieux, reçoit une indemnitĂ© supplĂ©mentaire de dĂ©placement pour couvrir ses frais de vĂ©hicule, est affiliĂ© gratuitement Ă  une mutuelle. Les prĂȘtres d'Alsace et de Moselle sont rĂ©munĂ©rĂ©s par l’État ; en effet, l’Église et l’État se sont sĂ©parĂ©s alors que l’Alsace et la Moselle Ă©taient allemandes, ce qui fait que ces derniĂšres sont toujours sous le rĂ©gime du Concordat.

Il n'y a pas d'Ă©volution de salaire durant la vie d'un prĂȘtre, hormis celui du coĂ»t de la vie. Les prĂȘtres français, hors Ă©glises du concordat, perçoivent la mĂȘme indemnitĂ©, quelle que soit la fonction (prĂȘtre en paroisse, archiprĂȘtre de cathĂ©drale, recteur de basilique, doyen, curĂ©, vicaire
).

Un Ă©vĂȘque perçoit la mĂȘme indemnitĂ© qu'un prĂȘtre[17], mais est souvent logĂ© plus confortablement par l’Église.

Formation

Dans les églises latines, majoritaires, les canons 232 à 264 du code de droit canonique de 1983 sont consacrés à la formation des ministres sacrés et des clercs[18].

En France

Le sĂ©minaire assure la formation spirituelle, intellectuelle et humaine des candidats au sacerdoce. La formation des prĂȘtres s'organise en trois grandes Ă©tapes de formation appelĂ©es cycles. Le premier cycle effectuĂ© en deux annĂ©es comprend principalement une formation philosophique[19] et biblique fondamentale. Les sĂ©minaristes demeurent toute la semaine dans l'enceinte du sĂ©minaire et rejoignent leur famille ou une paroisse d'insertion en fin de semaine. Le deuxiĂšme cycle effectuĂ© en trois ans associe une formation en thĂ©ologie fondamentale, thĂ©ologie pastorale, thĂ©ologie morale, et en Bible avec une insertion pastorale obligatoire en fin de semaine. Le troisiĂšme cycle est presque uniquement consacrĂ© Ă  l'insertion pastorale, mais les candidats au presbytĂ©rat peuvent continuer des modules de formation spĂ©cifiques ou une formation continue[20].

Mais il n'y a pas que le sĂ©minaire qui propose la formation en vue du sacerdoce presbytĂ©ral. Les futurs prĂȘtres voulant une formation plus intellectuelle et diffĂ©rente peuvent suivre des cours dans une universitĂ© catholique (comme celles de Lyon, de Paris, du Sud-Ouest, voire l'UniversitĂ© pontificale grĂ©gorienne de Rome), ou bien dans une des deux universitĂ©s d'État qui disposent en France d'une facultĂ© de thĂ©ologie catholique (l'UniversitĂ© de Strasbourg et l'UniversitĂ© de Metz en vertu du Concordat) sur accord et envoi de l'Ă©vĂȘque, tout en vivant dans un SĂ©minaire universitaire. Le savoir est le mĂȘme qu'en sĂ©minaire, mais beaucoup plus approfondi et travaillĂ©. C'est le mĂȘme nombre d'annĂ©es minimum obligatoires : 6 dans l'ordinaire. Les Ă©tudes Ă  proprement parler sont d'une durĂ©e de cinq ans et dĂ©bouchent sur un baccalaurĂ©at canonique de thĂ©ologie. Le sĂ©minariste au bout de 5 ans (6 s'il a effectuĂ© une annĂ©e de propĂ©deutique), est ordonnĂ© diacre. Il effectue son stage diaconal en paroisse, ou dans un service diocĂ©sain, couramment pour une annĂ©e. Il est ensuite ordonnĂ© prĂȘtre. Éventuellement, l'Ă©tudiant peut poursuivre Ă  l'issue du baccalaurĂ©at canonique, avec l'accord de l'ÉvĂȘque, ou de son supĂ©rieur religieux, un second cycle de deux ans et se spĂ©cialiser dans un domaine thĂ©ologique spĂ©cifique en passant une Licence canonique en thĂ©ologie. C'est le grade minimal pour enseigner « canoniquement ». Puis, il peut poursuivre dans les mĂȘmes conditions un troisiĂšme cycle en trois ans pour obtenir un doctorat canonique de thĂ©ologie (bien souvent, avec une Ă©quivalence d'État, et une discipline conjointe telle que la Philosophie).

CĂ©libat

Depuis le Xe siĂšcle, le rĂ©gime normal des prĂȘtres de l'Église latine est le cĂ©libat. Il est admis, bien que peu courant, qu'un laĂŻc mariĂ© en sĂ©paration de corps et n'ayant pas d'enfant mineur puisse ĂȘtre ordonnĂ© prĂȘtre. Certains prĂȘtres catholiques, venant de la Communion anglicane, ou de certaines Églises orientales en communion avec Rome (et donc catholiques), comme l'Église Maronite, sont autorisĂ©s Ă  ĂȘtre mariĂ©s. Dans ces cas, les hommes mariĂ©s peuvent ĂȘtre validement ordonnĂ©s. En revanche, une fois ordonnĂ©s, les prĂȘtres ne peuvent plus se marier, et les Ă©vĂȘques ne sont choisis que parmi les cĂ©libataires.

Il n'existe pas de statistique sur le nombre de prĂȘtres qui se sont mariĂ©s aprĂšs avoir abandonnĂ© leur ministĂšre.

Ordination des femmes

Seuls les hommes peuvent ĂȘtre ordonnĂ©s prĂȘtres dans l'Église catholique.

JournĂ©e de priĂšre pour la sanctification des prĂȘtres

Depuis 2002, la JournĂ©e de priĂšre pour la sanctification des prĂȘtres a lieu le jour de la fĂȘte du SacrĂ©-CƓur[21].

En 2009-2010, une annĂ©e sacerdotale a Ă©tĂ© annoncĂ©e par le Saint-SiĂšge pour fĂȘter le 150e anniversaire de la mort du curĂ© d'Ars. Elle a Ă©tĂ© ouverte le , en la fĂȘte du SacrĂ©-CƓur. Elle s'est terminĂ©e le [22].

Perte de l'état ecclésiastique

La perte de l'Ă©tat ecclĂ©siastique par un prĂȘtre (ou un moine, ou quelconque autre clerc catholique), dit dĂšs lors dĂ©froquĂ©, peut provenir de causes multiples. Quelques prĂȘtres abandonnent volontairement leur Ă©tat, ayant perdu la foi ou souhaitant se convertir Ă  une autre religion, voulant se marier ou vivre une relation amoureuse. Cet abandon correspond Ă  une rupture plus ou moins violente avec les vƓux religieux prononcĂ©s lors de leur ordination sacerdotale (un prĂȘtre Ă©tant ordonnĂ© pour l'Ă©ternitĂ©[23]), avec le catholicisme ou avec l'Église.

Durant la RĂ©volution française, la politique de dĂ©christianisation a conduit Ă  des pressions pour le dĂ©froquage des prĂȘtres, cette dĂ©cision ne pouvant ĂȘtre que personnelle. « Les prĂȘtres rĂ©fractaires sont priĂ©s de quitter le Royaume sous peine de dĂ©portation ou de mort. Les autres, de se soumettre ou de se dĂ©froquer »[24], aprĂšs la loi votĂ©e par la Convention en 1792.

Dans le droit canon, l'autoritĂ© ecclĂ©siastique peut retirer Ă  un prĂȘtre ses attributions et ses responsabilitĂ©s, requĂ©rir ou accepter la dĂ©mission d'un Ă©vĂȘque ou d'un archevĂȘque de sa charge[25], comme elle le fait pour des cas de pĂ©dophilie, et elle peut Ă©galement dĂ©cider de leur renvoi de l'Ă©tat clĂ©rical[26].

Il y aurait 10 000 anciens prĂȘtres en France[27], qui ne disposent Ă  ce titre d'aucun droit social (en tant que tel, un religieux ne cotisant pas au chĂŽmage)[28]. L’association Chemins nouveaux regroupe 400 d'entre eux. La revue jĂ©suite italienne La CiviltĂ  Cattolica[29] indiquait pour sa part en 2007, sur la base de chiffres diocĂ©sains, que de 1964 Ă  2004, 69 063 prĂȘtres ont quittĂ© leur ministĂšre et que, de 1970 Ă  2004, 11 213 d'entre eux l'ont repris, quelles qu'en soient les raisons.

DĂ©bats

Pour Albert Rouet, archevĂȘque Ă©mĂ©rite de Poitiers, le systĂšme d’un maillage territorial tenu par des prĂȘtres toujours moins nombreux est en France Ă  bout de souffle. Dans son ouvrage PrĂȘtres, sortir du modĂšle unique (MĂ©diaspaul, 2015), il invite Ă  rĂ©interroger ce systĂšme et met en cause un clergĂ© qui rĂšgnerait sans partage. « Il n’est plus tenable de maintenir les laĂŻcs en sujĂ©tion, admis Ă  ne donner qu’une aide »[30].

Références

  1. DĂ©finition du mot prĂȘtre sur le site de la ConfĂ©rence des ÉvĂȘques de France
  2. cf. Jn 21: JĂ©sus s'adresse Ă  Pierre en lui disant pais mes brebis
  3. cf. Concile Vatican II, Lumen Gentium no 10
  4. cf. Presbyterorum Ordinis no 2 et 6
  5. cf. Jn 13, le lavement des pieds
  6. Pretres.com
  7. Voir le Code de Droit Canonique, Can. 861.
  8. CatĂ©chisme de l'Église catholique, § 1623 : « Selon la tradition latine, ce sont les Ă©poux qui, comme ministres de la grĂące du Christ, se confĂšrent mutuellement le sacrement du Mariage en exprimant devant l’Église leur consentement. Dans la tradition des Églises orientales, les prĂȘtres ou Ă©vĂȘques qui officient sont les tĂ©moins du consentement mutuel Ă©changĂ© par les Ă©poux (cf. CCEO, can. 817), mais leur bĂ©nĂ©diction est nĂ©cessaire aussi Ă  la validitĂ© du sacrement (cf. CCEO, can. 828). » texte en ligne. CCEO = Code de droit canon des Églises Orientales, texte en ligne
  9. Depuis le concile de Trente, l’union est cĂ©lĂ©brĂ©e par un prĂȘtre - La fabuleuse histoire du mariage : des origines Ă  aujourd’hui
  10. § VII. — Des formalitĂ©s du mariage. 2e alinĂ©a : il ne peut y avoir de lĂ©gitime et vĂ©ritable Mariage que celui qui est contractĂ© en prĂ©sence du propre CurĂ©, ou d’un autre PrĂȘtre dĂ©lĂ©guĂ© par lui, ou par l’Ordinaire, et devant un certain nombre de tĂ©moins.
  11. « News - Agenzia Fides », sur www.fides.org (consulté le )
  12. Civilta Cattolica cité par l'AFP, 19/04/2007, Repris par Topchrétien.com
  13. « Les ministres ordonnĂ©s et religieux », sur Église catholique en France (consultĂ© le )
  14. « 126 prĂȘtres ordonnĂ©s en 2019 », sur Église catholique en France, (consultĂ© le )
  15. PĂąques cĂ©lĂ©brĂ©e cette annĂ©e par 405 000 prĂȘtres. Et en France ?, sur catholic.org : « Or, en moyenne, sur deux sĂ©minaristes entrant en formation, un seul parvient Ă  l’ordination. »
  16. « France 2015, 20 nouveaux prĂȘtres pour la forme extraordinaire et seulement 68 pour la forme ordinaire », sur Paix liturgique.fr, (consultĂ© le ).
  17. Titre III, Les ministres sacrés ou clercs (Cann. 232 - 293). Chapitre I : La formation des clercs.
  18. Le premier cycle de philosophie
  19. TroisiÚme cycle : modules de formations spécifiques et formation continue
  20. Article du 1er juin 2004 de l'agence Zénit ; publié sur le site Génération Jean-Paul II
  21. 2009-2010, une annĂ©e sacerdotale Site de la ConfĂ©rence des Ă©vĂȘques de France
  22. PĂšre JosemarĂ­a EscrivĂĄ de Balaguer, « "PrĂȘtre pour l'Ă©ternitĂ©", homĂ©lie, in "Aimer l'Église", chap. 3 »
  23. « 1790, pour les prĂȘtres, "se soumettre, se dĂ©froquer ou mourir" / 1793 Monseigneur de Champbertrand est guillotinĂ© », sur www.histoire-sens-senonais-yonne.com (consultĂ© le ).
  24. « DĂ©mission de l’archevĂȘque australien Philip Wilson », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  25. « Code de Droit Canonique - IntraText », sur www.vatican.va (consulté le ).
  26. « Ils ont renoncĂ© Ă  la prĂȘtrise, mais pas Ă  l’Église », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consultĂ© le ).
  27. Le JDD, « DĂ©froquĂ©, condamnĂ©, mais heureux : un prĂȘtre abandonne son sacerdoce par amour », lejdd.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  28. La Civiltà Cattolica, citée par l'AFP, 19/04/2007.
  29. Bruno Bouvet, « Penser les prĂȘtres de demain », sur la-croix.com,

Annexes

Bibliographie

  • AndrĂ© Lemaire, Les MinistĂšres aux origines de l'Église : Naissance de la triple hiĂ©rarchie, Ă©vĂȘques, presbytes, diacres, Cerf, 1971
  • AndrĂ© Lemaire, Les MinistĂšres dans l'Église, Le Centurion, 1974
  • Fritz Lobinger, Qui ordonner ? Vers une nouvelle figure de prĂȘtres, coll. PĂ©dagogie pastorale no 6, Bruxelles, Lumen Vitae, 2008, 124 p. (ISBN 978-2-87324-344-9)
  • Guy Tilliette, p.s.s., Devenir prĂȘtre et pasteur, TĂ©qui, 1998

Articles connexes

Liens externes

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