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Plurien

Plurien [plyʁjɛ̃] est une commune du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne, en France.

Plurien
Plurien
Le clocher-porche de l'Ă©glise paroissiale Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Jean-Pierre OmnĂšs
2020-2026
Code postal 22240
Code commune 22242
DĂ©mographie
Gentilé Pluriennais, Pluriennaise
Population
municipale
1 543 hab. (2020 en augmentation de 4,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 71 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 37â€Č 36″ nord, 2° 24â€Č 10″ ouest
Altitude 43 m
Min. 3 m
Max. 96 m
Superficie 21,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pléneuf-Val-André
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Plurien
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Plurien
Liens
Site web www.plurien.bzh

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes 1167 : Plurien ; 1169 : Plurien ; 1181 : de Sancto Rihen ; 1263 : Plurian ; 1516 : Plurien[1].

    Le nom de la localité fait partie des nombreux toponymes en ploe « paroisse » en vieux breton (terme issu du latin plebs, plebis > PLEBE), témoignages d'une colonisation brittonique. Il prend occasionnellement la forme Plu- (à cÎté de Plou-, Ploe-, Plo-, Plé-, Pleu-, Ples-). Il est généralement suivi d'un nom de saint. Dans ce cas, il s'agit de saint Rihen, autrement dit Riain, Ryan ou Rhian, abbé gallois ou encore d'Urien.

    Histoire

    Le XXe siĂšcle

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms de 64 soldats morts pour la Patrie[2] :

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  39 km au nord-ouest de Dinan.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Plurien
    CÎte de PenthiÚve Fréhel
    Erquy Plurien
    La Bouillie HĂ©nanbihen Matignon

    Lieux-dits et Ă©carts

    • Nombreux lieux-dits dont la Ville Tanvez, les Tertres Charbonnet, Sables d'Or les Pins.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 691 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Cast-le-G », sur la commune de Saint-Cast-le-Guildo, mise en service en 1951[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 693 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et Ă  26 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Plurien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (93,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (66,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,3 %), prairies (5,7 %), zones urbanisĂ©es (4,1 %), forĂȘts (2,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    février 1790 juillet 1790 Pierre Guesnier
    août 1790 août 1794 François Amiot Seigneur du Pont de la Motte
    août 1794 novembre 1795 Noël Denis
    novembre 1795 mars 1797 Julien Chenu
    mars 1797 juin 1797 François Amiot Seigneur du Pont de la Motte
    juin 1797 août 1797 Joseph Amiot Agriculteur
    août 1797 décembre 1797 François Amiot Seigneur du Pont de la Motte
    décembre 1797 juillet 1808 Julien Chenu
    juillet 1808 octobre 1830 Louis Chenu
    octobre 1830 avril 1832 Mathurin Fouyer
    avril 1832 juillet 1848 Noël Gesrel
    juillet 1848 octobre 1876 Théodore Téveux
    octobre 1876 mai 1890 Julien Dobet propriétaire cultivateur
    mai 1890 mars 1895 Emile Valot capitaine au long cours
    mars 1895 mai 1904 Amédée Brouard cultivateur
    mai 1904 janvier 1915 Jean Lemercier
    janvier 1915 avril 1919 Joseph Lemonnier propriétaire cultivateur
    avril 1919 mai 1945 Jean Lemercier
    mai 1945 février 1953 Jean Mainguy
    février 1953 mars 1977 Théodore Amiot cultivateur, secrétaire de la section socialiste
    mars 1977 mars 1983 Yves Hamon instituteur
    mars 1983 Rémi Gouédard architecte, conseiller municipal
    mars 2001 2008 Maryvonne Esnaut premiĂšre adjointe
    2008 2014 Jean-Michel Logéat officier de la Marine, ingénieur
    mars 2014 En cours Jean-Pierre OmnÚs UDI retraité

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[27].

    En 2020, la commune comptait 1 543 habitants[Note 7], en augmentation de 4,33 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0361 0501 1211 0541 2061 1711 3261 3021 274
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3081 3581 4461 4521 4921 5091 5161 5261 402
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5181 5061 5161 2901 3381 2921 2971 2351 181
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2411 2631 3501 3091 2891 2351 3541 4371 509
    2020 - - - - - - - -
    1 543--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint Pierre (XIe – XIXe siĂšcle). L'Ă©difice a conservĂ© de l'Ă©poque romane une longue nef bĂątie au XIe siĂšcle, qui se caractĂ©rise par ses contreforts plat et ses petites fenĂȘtres Ă  linteau monolithique. Le mur nord a conservĂ© ses dispositions d’origine[30]. Le mur sud a Ă©tĂ© profondĂ©ment modifiĂ© : au XVIIe siĂšcle, on le dote d’un porche sud du XVe siĂšcle en rĂ©emploi, appelĂ© « le ChapitrĂ© », et on le perce de larges baies au XVIIIe siĂšcle aprĂšs avoir rebouchĂ© les fenĂȘtres romanes. La nef est prolongĂ©e vers l’est au XVe siĂšcle, doublant la longueur de l'Ă©difice. À l'intĂ©rieur, la jonction des deux parties est marquĂ©e par un arc diaphragme brisĂ© surmontĂ© Ă  l'extĂ©rieur d’un clocher peigne Ă  deux baies accessible par un escalier rampant. L'Ă©difice s'achĂšve par un chevet plat percĂ© par une fenĂȘtre axiale et une chapelle en retour au sud. Il est couvert d’une charpente en berceau brisĂ©. La tour-porche Ă  l’ouest a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e en 1835[31]. Elle contient plusieurs Ă©lĂ©ments de mobilier classĂ©[32].
    • CĂŽtĂ© sud de l'Ă©glise.
      CÎté sud de l'église.
    • DĂ©tail sculpture, Vierge Ă  l'Enfant, sur le porche sud.
      DĂ©tail sculpture, Vierge Ă  l'Enfant, sur le porche sud.
    • La nef romane et l'arc diaphragme.
      La nef romane et l'arc diaphragme.
    • Revers de façade occidentale.
      Revers de façade occidentale.
    • Station balnĂ©aire des Sables d'Or les Pins : une petite partie de la station se trouve sur la commune (la majeure partie Ă©tant sur la commune de FrĂ©hel).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Cast-le-G - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Plurien et Saint-Cast-le-Guildo », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Cast-le-G - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Plurien et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur www.infoclimat.fr (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Marc DĂ©ceneux, La Bretagne romane, Editions Ouest France, , p 43.
    30. « Église paroissiale Saint-Pierre, place de l'Eglise (Plurien) », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consultĂ© le ).
    31. « Les objets classés de l'église », base Palissy, ministÚre français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jules Lemoine, Trouvailles d'objets en bronze de l'Ă©poque larnaudienne dans la commune de Plurien (CĂŽtes-du-Nord), dans SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation des CĂŽtes-du-Nord, 1888, p. 39-45. Dessins en fin de volume. (environ 900 haches).
    • Pierre Amiot, Histoire de mon village Plurien, Bannalec : Imprimerie RĂ©gionale, 1983

    Articles connexes

    Liens externes

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