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Plage du Touquet-Paris-Plage

La plage du Touquet-Paris-Plage est la plage du Touquet-Paris-Plage, commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Blason du Touquet-Paris-Plage.

C'est une longue plage, de presque six kilomètres, d'un sable très fin, sur laquelle se sont développées depuis un siècle, les activités du char à voile. Compte tenu de son orientation Ouest, le soleil couchant offre de magnifiques étendues de lumière rougeoyante sur plusieurs kilomètres.

GĂ©ographie

Localisation

Carte de la CĂ´te d'Opale
La commune du Touquet-Paris-Plage est située sur la Côte d'Opale.

La plage du Touquet-Paris-Plage est situĂ©e au sud de l'estuaire de la Canche. Cette plage s’étend au sud, d'abord sur le territoire de la commune sur une longueur de 2 kilomètres jusqu'Ă  l'Ă©tablissement de thalassothĂ©rapie, puis se poursuit sur une longueur de 2,5 kilomètres le long des dunes[f 1] et atteint le territoire de la commune de Cucq (Stella-Plage). Elle se poursuit au sud sur le territoire de la commune de Merlimont et atteint la baie d'Authie au niveau de la commune de Berck.

Les bâches

Les bâches (appelées baïnes sur la côte landaise) sont des creux sur le sable où il reste de l'eau à marée basse. Les bâches se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin et le dénivelé faible, ce qui est le cas de cette plage. La houle déplace le sable le long du rivage, interférant avec les courants perpendiculaires à la plage, qui résulte du flux et du reflux des vagues. Ces courants emportent vers le large le sable de fond creusant ainsi des cuvettes visibles à marée basse qui peuvent atteindre de très grandes dimensions. Lorsque des brèches s'ouvrent dans le banc de sable, l'eau s'échappe violemment de la bâche selon un système de vidange. Ces courants de « sorties de bâches » ou courant d'arrachement sont dangereux et nécessitent une surveillance particulière.

La digue

L'engraissement, avec le sable, de la côte entraîne les reculs successifs du rivage qui ont permis, en 1899, de construire l'ancien boulevard de la Mer (Docteur-Jules-Pouget aujourd'hui) devant les villas édifiées en bordure[1].

La digue de l'Atlantic-HĂ´tel

La « première », et plus courte digue construite en 1904, est la digue « Atlantic », il s'agit de la digue construite, en briques, devant l'Atlantic HĂ´tel sur une longueur de 80 m. Elle est toujours visible[2].

La digue de la plage plantée d'oyats

C'est probablement vers 1904 que commencent les travaux de déblaiement du sable du front de mer, vraisemblablement par la « Société Générale Immobilière du Touquet-Paris-Plage », on y plante des oyats pour y fixer le sable, c'est ce que montre une carte postale de 1910 intitulée « La nouvelle digue »[2].

La digue Ridoux

Vue Actuelle de la Digue-Promenade de Paul Ridoux - Le Touquet-Paris-Plage

En 1904, est crĂ©Ă© le lotissement Ridoux et en , est achevĂ©e la digue dite « digue Ridoux » du nom de son architecte Paul Ridoux. De dimensions 20 m x 500 mètres et d'une hauteur de 3,75 m, elle est destinĂ©e Ă  protĂ©ger le lais de mer achetĂ© en 1901. Cette digue, qui commence Ă  la hauteur de la rue Joseph-Duboc (anciennement rue de la Lune) et s'Ă©tend 500 m vers le Nord, a Ă©tĂ© ultĂ©rieurement intĂ©grĂ©e Ă  la digue promenade[g 1] - [2].

La digue-promenade de 1922

La digue de 1922.

Le est approuvé par le préfet du Pas-de-Calais, le projet de la construction de la digue-promenade. En 1921, est cédé, aux propriétaires riverains, l'ancien boulevard de la Mer en vue de la création de jardinets d'agréments en façade de chaque villa et la nouvelle digue promenade sera réalisée en 1922[1].

Cette nouvelle digue est construite, dans le prolongement de la première, de l'avenue Joseph-Duboc jusqu'au delĂ  de l'Atlantic HĂ´tel l'avenue de l’Atlantique, elle est inaugurĂ©e, par le maire Fernand Recoussine et Maurice Colrat sous-secrĂ©taire d'État Ă  la prĂ©sidence du conseil, en prĂ©sence de madame Duboc, le . Cette digue rĂ©sulte de la cession des 9 ha de lais de mer par l'État Ă  la nouvelle commune du Touquet-Paris-Plage pour un prix de 70 000 F. Le projet est conduit par Alphonse DufossĂ©, ingĂ©nieur des Ponts et ChaussĂ©es d'Étaples, cette esplanade porte, pendant une pĂ©riode, son nom « Esplanade Alphonse-DufossĂ© »[3]. Elle est longue de 1 288 m [2]. C'est l'entreprise Buyssens de Roubaix qui fournit l'ensemble du dallage de l'esplanade.

La digue de 1960

Une troisième digue est construite, et le , a lieu son inauguration[e 1], prĂ©sidĂ©e par le prĂ©fet Robert Cousin et en prĂ©sence du sĂ©nateur Pierre Garet, suivie d'un dĂ®ner Ă  l'hĂ´tel de la Mer. Ce projet est rĂ©alisĂ© sur les plans des architectes, Pierre et Louis-Michel QuĂ©telart et les travaux sont confiĂ©s Ă  l'entreprise Fougerolle[2], pour un marchĂ© total de 2 800 000 NF. La digue dispose de 1 200 places de stationnement et 761 cabines, elle est large de 70 m et comporte 17 escaliers vers la plage, l'ouvrage est construit Ă  1,50 m en contrebas afin de prĂ©server la visibilitĂ© des promeneurs et de rendre invisible les voitures.

En 1962, un timbre est émis, représentant une vue aérienne, en plongée depuis le nord, et qui accorde une place de choix à la nouvelle digue. Cette image philatélique, gravée par Jean Pheulpin, est émise à l'occasion du cinquantenaire de la naissance administrative du Touquet-Paris-Plage. C'est la photo présentée ci-contre, qui servira d'inspiration au graveur[g 1].

  • Plaque Ernest Buyssens sur la digue.
    Plaque Ernest Buyssens sur la digue.
  • Plaque Picha sur la digue.
    Plaque Picha sur la digue.

Les cabines

Cabines le long de la plage.

La municipalité administre 761 cabines le long de la plage[4]. Ces cabines ont été construites, en 1959, en même temps que la digue.

Les patios

Les patios — au nombre de trois au sud de l'aqualud — sont des espaces de sable, abrités du vent. Au pourtour de ces patios se trouvent des cabines.

Les dunes

La plage est bordée de dunes, à la fois au nord et au sud.

À l’extrême nord : l'estuaire de la Canche

La zone de l'estuaire de la Canche est extrêmement dangereuse pour les promeneurs, en raison de sables mouvants et de la montée rapide de la mer. Cette zone est située dans la pointe du Touquet, site naturel classé du département du Pas-de-Calais.

Puis les dunes, dans la partie nord de la plage...

  • Dunes au nord de la plage.
    Dunes au nord de la plage.
  • Dunes au nord de la plage.
    Dunes au nord de la plage.
  • Dunes au nord de la plage.
    Dunes au nord de la plage.
  • Dunes au nord de la plage, au fond : le front de mer, nord
    Dunes au nord de la plage, au fond : le front de mer, nord

... et les dunes dans la partie sud de la plage

  • Dunes au sud de la plage, au fond : l'Ă©tablissement de thalassothĂ©rapie, dernière construction du front de mer.
    Dunes au sud de la plage, au fond : l'établissement de thalassothérapie, dernière construction du front de mer.
  • Dunes au sud de la plage.
    Dunes au sud de la plage.

Historique

1889 : création du premier poste de surveillance des bains avec deux matelots[e 2].

1901 : Paul Ridoux fait l'acquisition de 22 hectares de lais de mer pour 140 000 F[d 1].

1905 : construction[e 3] de la digue Ridoux (20 m x 500 mètres, hauteur 3,75 m[b 1]) pour protĂ©ger le lais de mer achetĂ© en 1901, elle est acevĂ©e en 1906. Cette digue est aujourd'hui intĂ©grĂ©e Ă  la digue-promenade.

1910 : En Ă©tĂ©, on dĂ©nombre 512 cabines le long de la plage, rĂ©alisant un alignement ininterrompu de 1 500 m[b 2].

1922 : le : en présence de Roger Farjon, sénateur du Pas-de-Calais et de Maurice Colrat, secrétaire d'État, futur garde des sceaux, habitué de la station, madame Duboc[a 1] inaugure la nouvelle digue, extension de l'ancienne, prolongée au sud de la rue de la Lune, (actuelle rue Joseph Duboc) à l'avenue de l’Atlantique[e 4] et au nord jusqu'à l'estuaire de la Canche[e 4].

1931 : le 28 mai[e 5] : inauguration de la piscine d'eau de mer filtrĂ©e, stĂ©rilisĂ©e et rĂ©chauffĂ©e (AndrĂ© BĂ©rard, architecte)[e 6]. C'est « la plus belle piscine d'Europe » (bassin de 200 yards (66,66 m) x 25 m, 500 cabines (dont certaines avec baignoire), gradins de 1 800 places, promenoir de 1 300 places, solarium, salle de repos, service mĂ©dical de thalassothĂ©rapie avec massages, pĂ©dicures, deux restaurants, un bar, un tea-room…). Le plongeoir de BĂ©rard est constituĂ© de 4 tremplins de 1, 3, 5 et 10 mètres. La profondeur atteint 5 mètres en dessous des plongeoirs. Le bassin contient 2 744 m3 d'eau de mer prise au large, filtrĂ©e, stĂ©rilisĂ©e et rĂ©chauffĂ©e[a 2]. DĂ©truit par les bombardements, il sera remplacĂ© en 1948 par un nouveau plongeoir (Louis QuĂ©telart, architecte). L'inauguration est faite par le sous-secrĂ©taire d'État aux Travaux Publics, entourĂ© de plusieurs centaines de mĂ©decins du monde entier, qui s'Ă©taient rĂ©unis Ă  Berck pour un congrès international de thalassothĂ©rapie.

Blockhaus dans les dunes au nord de la plage

1943 : construction du mur de l'Atlantique[e 5].

1950 : remise en Ă©tat de la digue, dallage et nouveau garde-corps[e 1].

1960 : inauguration de la nouvelle digue[5] - [6] (1 200 places de stationnement, 761 cabines)[e 1]

1974 : création par Louison Bobet de la Thalassothérapie qui sera inaugurée en 1976 par Simone Veil, Ministre de la Santé.

1975 : première édition de l'Enduro du Touquet créé par Thierry Sabine

1985 : inauguration de l'Aqualud, construit Ă  l'emplacement de la piscine[e 7]..

1986 : le : le conseil municipal vote la création d'un port de plaisance sur les terrains du camping de la Canche, ce port devant être opérationnel en 1990[e 8].

1997 : le : inauguration de la thalassothérapie complètement rénovée[e 9].

2000 : au premier semestre : rénovation de « l’Aqualud », piscine à vague avec quelques toboggans dans une atmosphère tropicale et une eau à 30 °C.

2006 : en février, l'Enduro du Touquet est rebaptisé Enduropale et ne présente plus qu'un parcours d'une quinzaine de kilomètres uniquement sur la plage afin de préserver les dunes.

2010 : Poursuite de la politique de vĂ©gĂ©talisation du front de mer, lancĂ©e durant la mandature de Philippe Cotrel ; et dĂ©veloppement de 10 km de pistes cyclables.

Activités sportives

Clubs de plage

Depuis 1931, des clubs de plage sont installés sur la plage[7].

Les six clubs historiques

Ces clubs, encadrés par des moniteurs, sont destinés à encourager la pratique d'activités sportives, comme la gymnastique, le grimpé de corde, le saut, le volley-ball, etc., ces clubs permettent de garder les enfants des vacanciers et aussi des résidents à l'année, commerçants et travailleurs saisonniers. Dans l'histoire, ces clubs ayant existé ou existant toujours, étaient, du nord au sud, les suivants :

Aujourd'hui

Du nord au sud, HippOjem, le club municipal Joie de vivre, puis HĂ©lio-Plage, OJEM Mickey, Caddy Sports et OJEM Jeunesse (avec piscine).

Concours de plage

les concours de châteaux de sable ont existé dès 1912[a 3]. Pendant la saison 1930, le concours était ouvert aux « enfants de 20 à 45 ans, s’abstenir après 60 ans » avec jury « de grandes personnes de 7 à 12 ans ». Parmi les concurrents figurent Pierre Lazareff et le peintre Van Dongen qui obtient un prix d'originalité[a 4].

Les célèbres concours de plage du Figaro (années 1948 à 1975) étaient organisés par le club OJEM Mickey.

Activités nautiques

Le parc d'attractions nautiques

Dans les années 1980, l'ancienne piscine, construite en 1931 et qualifiée de plus belle piscine d'Europe a été démolie. Le plongeoir a été conservé et intégré dans le parc d'attractions nautiques « Aqualud ».

Char Ă  voile

Char à voile : Le club de char à voile, appelé « centre nautique de la Manche Bertrand Lambert » ou « Blériot Club », longtemps dirigé par Bertrand Lambert, trois fois champion du monde de char à voile et recordman du monde de vitesse en char à voile le 7 avril 1991[9] - [10] : 151,5 km/h[11] - [12] continue d'organiser des compétitions internationales[13].

« Le plus agréable dans ce sport, c'est la facilité. Cela s'apprend très vite, et l'on a des sensations très rapidement. Au bout d'une heure, tout le monde peut rouler. De grandes étendues de plage, pas de moteur, on éprouve vraiment un sentiment de liberté. Nos plages sont très techniques, il y a des trous, des bâches, cela présente beaucoup plus d'intérêt que des plages totalement linéaires »[14].

Activités commerciales

L'année 2016 voit l'installation, du nord au sud de la plage, de cinq bars et restaurants[15] - [7]. L'État remet en question l'installation de ces bars sur le domaine maritime telle qu'elle est faite actuellement, cela va obliger la municipalité à réfléchir à un déploiement différent à l'horizon 2025[16].

Le front de mer, vu de la plage

Le front de mer, vu de la plage. Au premier plan, le parc d'attractions nautiques.

Durant les années 1970 à 1990, la municipalité a signé de nombreux permis de construire pour des immeubles sur presque la totalité du front de mer.

Valorisation du front de mer, nord

Depuis les années 1990, des travaux sont entrepris pour remettre en valeur le front de mer au nord de la plage.

La piscine

Panorama du front de mer, du nord au sud, à marée basse

  • Panorama du front de mer (1).
    Panorama du front de mer (1).
  • Panorama du front de mer (2).
    Panorama du front de mer (2).
  • Panorama du front de mer (3).
    Panorama du front de mer (3).
  • Panorama du front de mer (4).
    Panorama du front de mer (4).
  • Panorama du front de mer (5).
    Panorama du front de mer (5).

Naufrage du SSO SOCOTRA

Panneau à proximité de l'épave du Socotra.

La zone de la pointe du Touquet était le théâtre de nombreux naufrages ou échouages ; bancs de sable, courant, brouillard, tempête, navigation de nuit en étaient les causes principales. La mise en service des phares en 1852 a amélioré de façon sensible les conditions de navigation, mais les catastrophes demeurent encore nombreuses : on en compte près de vingt-cinq pour les cinquante années précédant cette année 1915.

Le vendredi 1915, la nouvelle se rĂ©pand dans la station : un grand bateau s'est Ă©chouĂ© sur la cĂ´te pendant la nuit, au sud-ouest de l'Atlantic HĂ´tel. Il s'agit d'un grand cargo, que la mer en se retirant a laissĂ© Ă  sec. Le navire est le « SSO SOCOTRA », bâtiment anglais de 4 000 tonneaux, du port de Newcastle, il est montĂ© par un Ă©quipage de 96 hommes dirigĂ© par le capitaine Stevenson Robert. Il revenait d'Australie avec une cargaison de balles de laine, cuirs, vins et cĂ©rĂ©ales. Rappelons qu'en cette pĂ©riode de Première Guerre mondiale, depuis la mi-janvier, Ă  la demande de l'amirautĂ© britannique, on a diminuĂ© le pouvoir Ă©clairant des phares du littoral de Dieppe Ă  Calais, en remplaçant les lampes Ă  arc par des lampes Ă  pĂ©trole.

Le , une tentative de déséchouage a lieu vainement avec des remorqueurs. Comme il est échoué parallèlement à la côte, les remorqueurs ne peuvent le tirer dans son axe et ils tentent de le faire pivoter ce qui a pour résultat de fatiguer sa coque en son milieu.

Le , une tempête a raison du navire et sous l'assaut des vagues, la coque se déchire.

Le , la brèche est visible de la côte, les deux tronçons, sont bientôt éloignés d'une centaine de mètres, en s'engouffrant à l'intérieur des cales, la mer retire les objets les plus divers et ils jonchent la plage jusqu'à la Canche. Le Conseil municipal du Touquet publie un arrêté rappelant qu'il est interdit de ramasser les épaves, sous peine de poursuite. Dès lors, il ne s'agit plus que de sauver la cargaison : des grues sont installés à bord pour en faciliter le déchargement. Les bales de laine sont transportés par chaland au port d'Étaples, le reste de la cargaison est avariée par l'eau de mer et une odeur de pourriture et de charogne se dégage des cales.

Par la suite, d'autres entreprises de récupération se succèdent afin de démolir l'épave, mais elles font faillite ou rencontrent de grosses difficultés. L'épave reste sur la plage jusqu'à la Seconde Guerre mondiale où les Allemands la prennent comme cible d'artillerie et en réduisent considérablement le volume.

En 1952, une nouvelle entreprise obtient l'autorisation d'araser au moyen d'explosifs.

C'est le que les opérations de nivellement définitif ont lieu à marée basse. On peut encore contempler les derniers vestiges de l'épave situés légèrement un peu plus loin que le centre de thalassothérapie[g 3].

Notes et références

Ouvrages et journaux

  • Edith et Yves de Geeter, Images du Touquet-Paris-Plage,
  1. p. 120.
  2. p. 105.
  3. p. 18.
  4. p. 19.
  • Martine et Daniel Boivin et Édith et Yves de Geeter, Paris-Plage en cartes postales anciennes,
  1. p. 85.
  2. p. 70.
  • J. Chauvet, C. BĂ©al et F. Holuigue, Le Touquet-Paris-Plage Ă  l'aube de son nouveau siècle 1882 - 1982, Éditions Flandres-Artois-CĂ´te d'Opale,
  1. p. 64.
  • Patrick Saudemont, Les 100 ans du Touquet-Paris-Plage : 1912-2012, Neuilly-sur-Seine, Michel Lafon, , 160 p. (ISBN 978-2-7499-1468-8, BNF 42544723)
  1. p. 40.
  1. p. 108, Ă©crits de Richard Klein.
  2. p. 29, écrits de Christiane Chéron.
  3. p. 16, Ă©crits d'Alain Holuigue.
  • Journal municipal Le Touquet Magazine puis Le Touquet Paris-Plage Info
  1. décembre 1999, p. 9.
  2. décembre 2000,p. 9.
  3. décembre 1999, p. 6.
  4. décembre 1999, p. 7.
  5. décembre 1999, p. 8.
  6. août 1997, p. 16.
  7. décembre 1999, p. 10.
  8. septembre 1999, p. 10.
  9. janvier 1997, p. 11.

Autres sources

  1. Société académique du Touquet-Paris-Plage, Mémoires de la Société académique du Touquet-Paris-Plage 1935-1936, imprimerie Brogniart-Delambre Montreuil-sur-Mer 1937, 69 p., page 36 écrits d'Henri Triffaut.
  2. Société académique du Touquet-Paris-Plage, Mémoires de la Société académique du Touquet-Paris-Plage 2014-2016 : Cent-huitième à cent-dixième année, I.H. 62170 Montreuil édition de 2017, 226 p., p. 105 à 115, écrits de Jean-Claude Brigeois.
  3. Société académique du Touquet-Paris-Plage, Mémoires de la Société académique du Touquet-Paris-Plage Pas-de-Calais 1933-1934, Le Touquet-Paris-Plage, L. Delambre-Deroussent 49, rue Saint-Jean Le Touquet-Paris-Plage, , page 46 écrits de Maurice Garet, secrétaire perpétuel
  4. « Location des cabines de plage », sur le site de la ville du Touquet-Paris-Plage (consulté le ).
  5. Richard Klein, « Le Touquet : du « paradis des sports » à la « station des quatre saisons » », Revue de l'art, vol. 165,‎ , p. 49 à 55 (lire en ligne)
  6. « FIAT LUX - FIAT URBS », sur notre-touquet-paris-plage.fr (consulté le )
  7. Claire de Vregille (photogr. Christophe Lebas), « Saison record pour les bars de plage du Touquet », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Les échos du Touquet », hebdomadaire,‎ , rubrique acte de décès.
  9. Site consacré à l'histoire du char à voile.
  10. Site de l'Association sportive des pilotes et propriétaires de classe 3 et formule A.
  11. Journal municipal Paris-Plage, juillet 1996, p. 12.
  12. Journal municipal Paris-Plage, novembre 1997, p. 10.
  13. « Page d'accueil », sur le site du Blériot-Club (consulté le )
  14. Jean-François Deborguere, moniteur au Blériot-Club, in Valeurs actuelles, 23 juillet 2004, p. 59
  15. « Au Touquet, les cinq nouveaux bars et restaurants de plage font des vagues », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. C.L.S., « Bars de plage au Touquet : la Banane bleue est écartée au profit des Sports », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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