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Philippe Buache

Philippe Buache de Verpont[1] est un géographe français, membre de l'Académie royale des sciences, originaire de La Neuville-au-Pont, né à Paris le où son père Claude exerce le métier de serrurier, et mort dans la même ville le [n 1].

Philippe Buache
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  72 ans)
Paris
Formation
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Membre de
Distinction
Prix de Rome ()
Philippe Buache, Carte d'une partie de l'OcĂ©an vers l'Équateur entre les costes d'Afrique et d'AmĂ©rique... Paris, 1737. Carte gravĂ©e sur cuivre (63,5 x 48,3 cm)

Biographie

Excellent dessinateur, il est remarqué par l'ingénieur Robert Pitrou, futur constructeur du pont de Blois, qui lui enseigne les mathématiques et développe son goût pour les travaux graphiques[2].

Privé des enseignements de Pitrou, Philippe s'associe en 1716 à d'autres jeunes gens pour continuer ses études puis suit une formation d'architecte et remporte le prix de l'Académie royale d'architecture (ancêtre du prix de Rome) en 1721[3]. Il ne séjourne qu'un an à l'Académie de France à Rome.

Il se forme par ailleurs grâce au gĂ©ographe Guillaume Delisle. Le roi vient de crĂ©er Ă  Paris le DĂ©pĂ´t des plans qu'il confie au chevalier de Luynes. Celui-ci a besoin d'un adjoint pour mettre en ordre les matĂ©riaux qu'il contenait, rĂ©gler les contradictions dans les informations en Ă©valuant le degrĂ© de confiance qu'on peut leur donner, et construire les cartes marines sur l'exactitude desquelles on peut compter. Guillaume Delisle lui prĂ©sente Philippe Buache alors que ce dernier a Ă  peine 21 ans. Philippe Buache reste attachĂ© au DĂ©pĂ´t des cartes pendant 17 ans[4]. Il Ă©tablit plus de 1 500 cartes en s'aidant des conseils de Guillaume Delisle du vivant de celui-ci.

À la mort de Guillaume Delisle en 1726, son frère Joseph-Nicolas Delisle, qui lui a donné des leçons d'astronomie, veut attirer Philippe Buache en Russie. Pour cette négociation, il envoie une lettre au comte d'Ons-en-Bray qui fait part de cette lettre à l'Académie royale des sciences. Si cela augmente l'estime de l'Académie pour le cartographe, elle lui refuse cependant une place en son sein. Mais malgré sa faible pension de 800 livres, Philippe Buache refuse la proposition de s'installer en Russie. Il souhaite mettre de l'ordre dans l'importante collection de mémoires et de recherches que Guillaume Delisle a laissé à sa mort. Avec la veuve de Guillaume Delisle, il présente au roi plusieurs cartes manuscrites, dont une mappemonde marine, une carte de la Terre Sainte et publie des cartes que Guillaume Delisle n'a pas pu terminer, comme celle de l'Afrique française ou Sénégal, une carte de l'empire d'Assyrie jointe à un mémoire de Nicolas Fréret publié dans un recueil de l'Académie royale des inscriptions et belles-lettres.

Il est nommé en 1729 Premier géographe du Roi en remplacement de Giacomo Filippo Maraldi qui vient de mourir. Il est nommé adjoint géographe de l'Académie royale des sciences le , premier titulaire de cette place créée pour lui par le roi le . La veuve de Guillaume Delisle accepte de lui donner sa fille unique en mariage[1]. Il présente en 1730 à l'Académie une carte du golfe du Mexique et des Amériques en corrigeant plusieurs erreurs considérables[5].

Buache pressent que l'Angleterre n'a pas toujours été une île et que le pas de Calais a pu être un isthme. Il fait faire des relevés du fond de la Manche qui lui permettent de bâtir la première carte bathymétrique, Carte physique et profil du canal de la Manche et d'une partie de la mer du Nord où se voit l'état actuel des profondeurs de la Mer, présentée en manuscrit à l'Académie royale des sciences 1737 et publiée en 1751.

En 1739, il note la découverte du cap de la Circoncision faite par Jean-Baptiste Charles Bouvet de Lozier, sur l'île Bouvet qu'il ne peut pas atteindre à cause des blocs de glace flottants. Il en déduit que des terres importantes doivent exister dans le voisinage. Ces recherches d'une terre australe aboutissent à la découverte des îles Kerguelen en 1772. Il croit à l'existence d'un continent austral, opinion que les découvertes postérieures ont confirmée dans une certaine mesure.

En 1740 il publie une carte répertoriant les lieux où ont été observés les différences de longueur du pendule à secondes avec une table de l'augmentation de la pesanteur de l'Équateur vers les pôles d'après Newton, Bradley et Maupertuis.

L'inondation de Paris par la Sees. L'année suivante il fait deux plans hydrographiques de Paris avec une coupe du terrain entre l'Observatoire et la porte Saint-Martin. En implantant les puits avec leurs profondeurs, il montre qu'ils sont alimentés par une nappe phréatique qui descend des terres vers la Seine et que celle-ci doit refluer quand le niveau du fleuve augmente.

  • Planches de l'inondation de Paris en 1740 et de l'ExposĂ© d'un Plan hydrographique de la ville de Paris
  • Plan du cours de la Seine dans la traversĂ©e de Paris… Ă©tendue & hauteur de l'innondation du mois de dĂ©cembre 1740 (1741)
    Plan du cours de la Seine dans la traversée de Paris… étendue & hauteur de l'innondation du mois de décembre 1740 (1741)[6]
  • Premier plan : Cours de la Seine dans l'Ă©tendue de Paris avec les chutes des ruisseaux qui s'y jettent directement. On a marquĂ© sur ce plan les diverses fontaines de cette ville (1742)
    Premier plan : Cours de la Seine dans l'étendue de Paris avec les chutes des ruisseaux qui s'y jettent directement. On a marqué sur ce plan les diverses fontaines de cette ville (1742)[7]
  • Second plan : oĂą l'on voit les rues dont on a les pentes par les nivellemens faits dans les divers quartiers de la ville (1742).
    Second plan : oĂą l'on voit les rues dont on a les pentes par les nivellemens faits dans les divers quartiers de la ville (1742)[7].
  • (3e planche) Coupe de la ville de Paris prise du Septentrion au Midy depuis la porte St Martin jusqu'Ă  l'Observatoire (1742)
    (3e planche) Coupe de la ville de Paris prise du Septentrion au Midy depuis la porte St Martin jusqu'Ă  l'Observatoire[n 2] (1742)[7]
Planisphère physique présenté à l'Académie royale des sciences en 1752 et augmenté en 1756[8].

En 1745, il donne une esquisse d'un travail qu'il méditait sur la structure du globe terrestre et sur l'arrangement des montagnes. À ce travail est joint une carte de l'océan Atlantique entre l'Afrique et l'Amérique avec une coupe de l'océan et les profondeurs mesurées par les sondes des navigateurs.
Il présente en 1752 un mémoire intitulé Essai de géographie physique sur l'espèce de charpente du globe terrestre avec des chaînes de montagnes qui traversent les mers comme les terres, et des considérations sur les différents bassins de la mer[9]. Il établit la division du globe par bassins de rivières et de mers, subordonnés les uns aux autres. Ce mémoire est accueilli favorablement par l'Académie royale des sciences : « Cette façon de considérer notre globe, ouvre une nouvelle carrière à la géographie. Il est peut-être plus intéressant de connaître la direction de ces chaînes de montagne... que de reconnaître les anciennes bornes d'un pays ou d'un empire, qui n'existe plus »... « Ce système si conforme aux vues de la saine physique, est devenu en quelque sorte prophétique entre les mains de M. Buache »[10].

En 1751, il assiste avec Guettard aux expériences de Bertier à l'Oratoire sur l'attraction et la répulsion des corps les uns par les autres, sans être préalablement électrifiés ; et conseille à Bertier de présenter aux aiguilles de différentes matières suspendues sous cloches de verre, un rouleau de papier allumé. Aussitôt les aiguilles se tournent vers la flamme[11].

Il publie en 1754 un Atlas physique[12].

À la suite du séisme de 1755 à Lisbonne, il présente à l'Académie un mémoire sur les tremblements de terre et un planisphère (perdu) sur lequel il a porté 612 lieux affectés par des secousses telluriques. Il classe les séismes en trois catégories suivant leurs intensités et les met en rapport avec les côtes et les chaînes de montagnes[13].

Dans la continuation de Claude Perrault et d'Edme Mariotte, il montre ce que permet d'obtenir le mariage de la science théorique et des applications pratiques. L'Académie royale des sciences apprécie les cartes de 1767 dans ces termes : « On est trop heureux dans l'étude des sciences quand les réflexions qui semblent n'avoir que la curiosité pour objet, se trouvent susceptibles d'une utilité aussi grande et aussi prochaine que l'est celle du travail de M. Buache ». Philippe Buache a construit à partir des observations et d'hypothèses un système géographique cohérent. Une de ses idées est que les montagnes ne sont pas que des guides pour les eaux mais sont le squelette du globe terrestre. Cependant le systématisme de Buache l'a entraîné a des affirmations erronées, concernant le continent austral et la grande mer intérieure du Canada.

Géographe, il assiste aussi Choiseul, après la perte du Canada en 1763, pour établir les droits de la France sur la côte de la Guyane. La géographie se met alors au service de la diplomatie.

L'enseignement de la géographie auprès des dauphins avait été traité de manière subalterne pour les enfants de Louis XIV ; à partir de 1755, Philippe Buache met en place cet enseignement pour les futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.

Il est l'oncle de Jean-Nicolas Buache (1741-1825), également géographe du roi[1].

Publications

… construction d'une nouvelle boussole…[14]
  • [1730] « PrĂ©sentation de la carte du Golphe du Mexique et des ĂŽles de l'AmĂ©rique » (compte-rendu lu en 1730), Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ 1734 (annĂ©e 1730), p. 106 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1731] « Recherches gĂ©ographiques sur l'Ă©tendue de l'empire d'Alexandrie », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 110.
  • [1732] « MĂ©moire contenant la construction d'une nouvelle boussole, dont l'aiguille donne par une seule et mĂŞme opĂ©ration, l'inclinaison & la dĂ©clinaison de l'aimant, avec plus de prĂ©cision, & plus de facilitĂ© que ne font les instruments employĂ©s jusqu'Ă  prĂ©sent » (lu le 23 avril 1732), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 377-384 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1741] « Cartes des costes mĂ©ridionales de Terreneuve » (compte-rendu lu en 1741), Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ 1744 (annĂ©e 1741), p. 141-142 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1741] « Observations sur l'Ă©tendue et la hauteur de l'Inondation du mois de DĂ©cembre 1740 », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ 1741 / 1744, p. 335-337 (lire en ligne [sur gallica], consultĂ© en ).
  • [1742 / 1745] « ExposĂ© d'un plan hydrographique de la ville de Paris » (lu le 26 mai 1742), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ 1742 (volume publiĂ© en 1745), p. 371-389 (lire en ligne [sur gallica]).
  • 1743 : Carte de l'archevĂŞchĂ© & des Élections de Paris, avec un plan des environs, & un petit livre qui en contient tout le dĂ©tail[15]
  • 1745 : publication de la Carte de la partie de l'ocĂ©an vers l'Ă©quateur, comprise entre les continens d'Afrique et d'AmĂ©rique (voir galerie ci-dessous)
  • [1750] « PrĂ©sentation de la Carte contenant les nouvelles dĂ©couvertes faites par M. Delisle, au nord de la mer du Sud », Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 142 (lire en ligne [sur gallica], consultĂ© en ).
  • 1751 : Carte minĂ©ralogique sur la nature du terrein d'une partie de l'Orient et particulièrement de l'Égypte, de la Palestine et de la Syrie, illustrant le MĂ©moire sur les Granits de France, comparĂ©s Ă  ceux d'Égypte par Guettard[16]
  • [1752] « Essai de GĂ©ographie physique, oĂą l'on propose des vues gĂ©nĂ©rales sur l'espèce de Charpente du Globe, composĂ©e des chaĂ®nes de montagnes qui traversent les mers comme les terres ; avec quelques considĂ©rations particulières sur les diffĂ©rens bassins de la mer, et sur sa configuration intĂ©rieure » (lu le 15 novembre 1752, avec cartes), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 399-416 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1753] « PrĂ©sentation des ConsidĂ©rations gĂ©ographiques et physiques sur les nouvelles dĂ©couvertes au Nord de la Grande Mer, appelĂ©e vulgairement la Mer du Sud », Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 259-271 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1753] « Parallèle des fleuves des quatre parties du monde, pour servir Ă  dĂ©terminer les hauteurs des montagnes du globe physique de la Terre, qui s'exĂ©cute en relief au dĂ´me du Luxembourg », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 586-588 + 1 pl. (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1754] « MĂ©moire sur les diffĂ©rentes idĂ©es qu'on a eues de la traversĂ©e de la Mer Glaciale arctique, & sur les communications ou jonctions qu'on a supposĂ©es entre diverses rivières » (lu le 22 dĂ©cembre 1753), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 1-18 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1754 / 1755] « ConsidĂ©rations gĂ©ographiques & physiques sur les terres australes & antarctiques » (mĂ©moire lu le 30 juillet 1754), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ 1754 / 1755, p. 17-20 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1755] « MĂ©moire contenant les raisons d'une nouvelle disposition de mappemonde, pour Ă©tudier l'Histoire, surtout des premières peuplades, comme des anciens Voyages, jusqu'au temps des grandes navigations des EuropĂ©ens occidentaux » (pour l'usage du duc de Bourgogne Louis-Joseph de France (4 ans en 1755) ; mĂ©moire lu le 6 septembre 1755), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 526-530 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1756] « Planisphère physique oĂą l'on voit du pĂ´le septentrional ce que l'on connoit de terres et de mers, avec les frandes chaĂ®nes de montagnes qui traversant le globe divisent naturellement les terres, soit en parties Ă©levĂ©es, soit en terreins de fleuves inclinĂ©s vers chaque mer, et partagent les mers par une suite de montagnes marines indiquĂ©es par les isles, rochers ou vigies » (carte de 1752, augmentĂ©e), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [sur gallica]). Original publiĂ© dans Buache 1752, Essai de gĂ©ographie physique, p. 416 bis. Les deux cartes sont gravĂ©es par Desbruslins.
  • [1757] « Observations gĂ©ographiques et physiques oĂą l'on donne une idĂ©e de l'existence des Terres antarctiques & de leur Mer glaciale intĂ©rieure ; avec quelques remarques sur un globe physique en relief, d'un pied de diamètre qui sert de modèle pour celui de neuf pieds » (lu le 12 novembre 1757), MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 190-203 + 2 pl. (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1761] « Sur la construction de l'ancienne carte itinĂ©raire connue sous le nom de Peutinger » (trame de l'article structurĂ©e par les remarques de Buache sur cette carte, plus exacte qu'il n'y paraĂ®t), Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 141-145 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1761] « Recueil de cartes gĂ©ographiques dressĂ©es sur un nouveau plan quant Ă  la partie de l'Europe » (compte-rendu), Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 145 (prĂ©sentation en ligne).
  • [1764] « Observations gĂ©ographiques sur les Ă®les de France & de Bourbon, comparĂ©es l'une avec l'autre », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 150 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [1767] « ExposĂ© de divers objets de gĂ©ographie physique concernant les bassins terrestres des fleuves & rivières qui arrosent la France, dont on donne quelques dĂ©tails, & en particulier celui de la Seine » (compte-rendu), Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 110 (lire en ligne [sur gallica]).


  • Carte de France dressĂ©e pour l'usage du Roy en 1721 par Guillaume Delisle et augmentĂ©e par Philippe Buache en 1764.
    Carte de France dressée pour l'usage du Roy en 1721 par Guillaume Delisle et augmentée par Philippe Buache en 1764.
  • Carte minĂ©ralogique sur la nature du terrein d'une partie de l'Orient et particulièrement de l'Égypte, de la Palestine et de la Syrie, illustrant le MĂ©moire sur les Granits de France, comparĂ©s Ă  ceux d'Égypte par Guettard.
    Carte minéralogique sur la nature du terrein d'une partie de l'Orient et particulièrement de l'Égypte, de la Palestine et de la Syrie, illustrant le Mémoire sur les Granits de France, comparés à ceux d'Égypte par Guettard[16].
Listes de publications


Notes et références

Notes

  1. [[#1772grandjean|]], « Éloge de M. Buache », p. 135 donne le 27 janvier comme jour de son décès.
  2. Le titre de la troisième planche de l'Exposé d'un Plan hydrographique de la ville de Paris est complété avec : l'échelle des hauteurs de ce profil est de quatre cinquième plus grande que celle des distances ; ce qui rend les différences des hauteurs très sensibles à l'œil dans cette coupe forcée. Voir ... ?

Références

Cet article comprend des extraits du Dictionnaire Bouillet. Il est possible de supprimer cette indication, si le texte reflète le savoir actuel sur ce thème, si les sources sont citées, s'il satisfait aux exigences linguistiques actuelles et s'il ne contient pas de propos qui vont à l'encontre des règles de neutralité de Wikipédia.
  1. « Philippe Buache », sur data.bnf.fr (consulté en ).
  2. Numa Broc, Les Montagnes au siècle des Lumières : Perception et représentation, Pr. de l'université de Montpellier, (réimpr. 1991 (éd. du CTHS)), « II. Les grands systèmes de montagnes »
  3. [Pénanrun, Roux & Delaire 1907] Louis Thérèse David de Pénanrun, Louis François Roux et Edmond Augustin Delaire, Les architectes élèves de l'école des beaux-arts (1793-1907), Paris, Librairie de la construction moderne, , 2e éd., xi + 480 (OCLC 2406376), p. 199.
  4. B. Capefigue, Louis XV et la société du XVIII siècle, vol. 3, Bruxelles, Hauman et Cie, , « Sciences naturelles et mathématiques au XVIIIe siècle », p. 166, note.
  5. Présentation de la carte du Golphe du Mexique et des Îles de l'Amérique, 1730.
  6. Buache 1741, p. 336 bis.
  7. Buache 1742 / 1745, p. 378 (trois planches Ă  la suite de cette page).
  8. Buache 1756, Planisphère.
  9. Buache 1752, Essai de géographie physique.
  10. [1752 / 1756] « Sur les chaînes de montagnes du Globe terrestre » (lu en 1752), Histoire de l'Académie royale des sciences,‎ , p. 117-124 (voir p. 117) (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
  11. « V. Expériences de Bertier sur le magnétisme entre les corps de différentes matières », Histoire de l'Académie royale des sciences,‎ , p. 38-39 (voir p. 39) (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
  12. Biographie universelle ancienne et moderne, vol. 6, Michaud, (présentation en ligne)
  13. [Clouzot 1914] Étienne Clouzot, « Une enquête séismologique au XVIIIe siècle », La Géographie (bulletin de la Société de géographie), t. 29, no 1,‎ , p. 2-22 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
  14. Buache 1732, p. 384 bis.
  15. [1743] « Présentation de la carte de l'archevêché & des Élections de Paris » (Projet de cartes de France), Histoire de l'Académie royale des sciences,‎ , p. 154 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
  16. [Guettard 1751] Jean-Étienne Guettard, « Mémoire sur les Granits de France, comparés à ceux d'Égypte » (lu le 9 juin 1751), Mémoires de l'Académie royale des sciences,‎ , p. 164-210 (voir p. 210 bis) (lire en ligne [sur gallica]).

Annexes

Bibliographie

  • [Broc 1971] Numa Broc, « Un gĂ©ographe dans son siècle, Philippe Buache (1700-1773) », Dix-huitième Siècle, no 3,‎ , p. 223-235 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Grandjean 1772 / 1776] Jean-Paul Grandjean de Fouchy, « Éloge de M. Buache », Histoire de l'AcadĂ©mie royale des sciences,‎ , p. 135-150 (lire en ligne [sur gallica], consultĂ© en ).

Article connexe

Liens externes

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