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Peyrusse-Vieille

Peyrusse-Vieille (Peirussa Vielha en gascon) est une commune française situĂ©e dans l'ouest du dĂ©partement du Gers, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de RiviĂšre-Basse, un territoire qui s’allonge dans la moyenne vallĂ©e de l’Adour, Ă  l’endroit oĂč le fleuve marque un coude entre Bigorre et Gers.

Peyrusse-Vieille
Peyrusse-Vieille
Mairie de Peyrusse-Vieille.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes d'Artagnan en Fézensac
Maire
Mandat
Brigitte Serralta
2020-2026
Code postal 32230
Code commune 32317
DĂ©mographie
Population
municipale
65 hab. (2020 en diminution de 17,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 37â€Č 50″ nord, 0° 10â€Č 54″ est
Altitude Min. 141 m
Max. 255 m
Superficie 11,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Fezensac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Peyrusse-Vieille
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Peyrusse-Vieille
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Peyrusse-Vieille
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Peyrusse-Vieille

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Douze, le Petit Midour et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Peyrusse-Vieille est une commune rurale qui compte 65 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 480 habitants en 1846. Ses habitants sont appelĂ©s les Peyrussiens ou Peyrussiennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protĂ©gĂ© au titre des monuments historiques : l'Ă©glise Saint-AndrĂ©, inscrite en 1949.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Peyrusse-Vieille est une commune de Gascogne située dans l'Armagnac.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Couloumé-Mondebat, Gazax-et-Baccarisse, Louslitges, Peyrusse-Grande et Saint-Pierre-d'Aubézies.

    Au nord-est, le territoire de Lupiac n'est distant que de 50 mĂštres environ[1].

    GĂ©ologie et relief

    Peyrusse-Vieille se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    • Paysage

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Peyrusse-Vieille.

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par la Douze et le Petit Midour et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 11 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La Douze, d'une longueur totale de 123,5 km, prend sa source dans la commune de Gazax-et-Baccarisse et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le sud. Elle traverse la commune et se jette dans la Midouze Ă  Mont-de-Marsan, aprĂšs avoir traversĂ© 34 communes[5].

    Le Petit Midour, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Gazax-et-Baccarisse et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Midouze Ă  BĂ©tous, aprĂšs avoir traversĂ© 12 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 942 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lupiac », sur la commune de Lupiac, mise en service en 1984[12] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 852,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă  33 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] Ă  13,5 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[18] : le « lac de Saint-Jean et forĂȘt de Peyrusse-Grande » (243 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [18] : « la Douze et milieux annexes » (11 575 ha), couvrant 29 communes dont 26 dans le Gers et trois dans les Landes[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Peyrusse-Vieille.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrusse-Vieille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (84,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (39,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24,9 %), terres arables (19,1 %), forĂȘts (13,9 %), eaux continentales[Note 7] (2,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Peyrusse-Vieille est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrusse-Vieille.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 48 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 48 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 2008 Yves Martinez
    2008 2020 Robert Borderes[28] DVD Agriculteur retraité
    2020 En cours Brigitte Serralta
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 65 habitants[Note 8], en diminution de 17,72 % par rapport Ă  2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    212222264226285475480382385
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    402406340334302289254234215
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    209196188172177151159119136
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    143113111997872717470
    2020 - - - - - - - -
    65--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]4,9 %12,5 %14,7 %
    DĂ©partement[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  33 personnes, parmi lesquelles on compte 88,2 % d'actifs (73,5 % ayant un emploi et 14,7 % de chĂŽmeurs) et 11,8 % d'inactifs[Note 9] - [I 4]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 71,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 56,9 %[I 8].

    Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 43 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 60,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 35,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    8 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Peyrusse-Vieille au [I 11]. Le secteur des activitĂ©s immobiliĂšres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 25 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantĂ©es Ă  Peyrusse-Vieille), contre 5,2 % au niveau dĂ©partemental[I 12].

    Agriculture

    La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations15141310
    SAU[Note 12] (ha)9419461 006655

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 15 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] Ă  14 en 2000 puis Ă  13 en 2010[35] et enfin Ă  10 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 33 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[36] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 941 ha en 1988 Ă  655 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 63 Ă  66 ha[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'observatoire du lac Saint-Jean.
    • L'Ă©glise Saint-AndrĂ© du XIIe siĂšcle est bĂątie en bel appareil rĂ©gulier moyen. Son chevet est plat. Il est muni de deux Ă©troites fenĂȘtres romanes. Le portail est aussi de style roman. Il est dĂ©corĂ© d'une corniche Ă  damiers et d'un chrisme. La nef unique est prolongĂ©e par un chƓur avec des arcatures et une voĂ»te en pierre en berceau. L'Ă©glise abrite un mobilier du XIXe siĂšcle, dĂ» aux ciseaux d'un paysan du lieu. L'Ă©glise Saint-AndrĂ© est le tĂ©moin du goĂ»t persistant gardĂ© dans la rĂ©gion pour certaines traditions architecturales anciennes : plan trĂšs simple de l'Ă©glise qui se rĂ©duit Ă  un sanctuaire Ă  peu prĂšs carrĂ© et Ă  une nef rectangulaire un peu plus large ; absence de contreforts ; arcatures du chƓur reposant sur des pilastres dĂ©pourvus de tout dĂ©cor ; voussures nues du portail ; chrisme circulaire positionnĂ© au-dessus du tympan d'une simplicitĂ© extrĂȘme. À noter, qu'Ă  une Ă©poque rĂ©cente, il a Ă©tĂ© rajoutĂ© au sud de la nef une petite chapelle rectangulaire conçue de la mĂȘme maniĂšre que le sanctuaire. L'Ă©difice est inscrit Ă  l'inventaire des monuments historiques depuis 1949[37].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges CourtĂšs (dir.), Communes du dĂ©partement du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Peyrusse-Vieille » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Peyrusse-Vieille » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Peyrusse-Vieille » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Peyrusse-Vieille » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Peyrusse-Vieille », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Douze »
    6. Sandre, « le Petit Midour »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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