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PĂ©gomas

Pégomas (prononcer [peɡoma] ou [peɡomas]) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

PĂ©gomas
PĂ©gomas
Vue générale du village.
Blason de PĂ©gomas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Florence Simon (DVD)
2020-2026
Code postal 06580
Code commune 06090
DĂ©mographie
Gentilé Pégomassois
Population
municipale
7 956 hab. (2020 en augmentation de 2,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 705 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 35′ 50″ nord, 6° 55′ 53″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 483 m
Superficie 11,28 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Cannes - Antibes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mandelieu-la-Napoule
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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PĂ©gomas
Liens
Site web villedepegomas.fr

    Ses habitants sont appelés les Pégomassois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Pégomas se situe dans le canton de Mandelieu-la-Napoule et l'arrondissement de Grasse, dans la vallée de la Siagne, au point de confluence avec la Mourachonne et la Grande Frayère.

    Situation de Pégomas (en vert) dans le département des Alpes-Maritimes.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 11,28 km2 ; son altitude varie entre 6 et 483 mètres[1].

    La topographie de la commune s'organise en trois grands ensembles : Le Tanneron, la vallée de la Siagne[2], et quelques massifs rattachés au Tanneron[3].

    Sismicité

    Commune située en zone de sismicité modérée[4].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Cours d'eau et plan d'eau sur la commune ou Ă  son aval[5] :

    PĂ©gomas dispose de la station d'Ă©puration intercommunale de Cannes-AgglomĂ©ration d'une capacitĂ© de 300 000 Ă©quivalent-habitants[6].

    La commune est couverte par des Plans de prévention des risques (PPR)[7] Inondations (PPRI) et Incendies de Forêt (PPRIF).

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[8].

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transport

    Ville Grasse Cannes Nice Marseille Lyon Toulouse Bordeaux Strasbourg Paris Nantes Lille
    Orthodromie km km 29 km 128 km 292 km 441 km 613 km 558 km 682 km 774 km 834 km
    Distance 10 km 11 km 39 km 177 km 442 km 532 km 774 km 828 km 904 km 1 114 km 1 119 km

    Sources : orthodromie : lion1906.com ; distance : itinéraire le plus court.

    Voies de communication

    Par la route, la ville est desservie depuis Mandelieu-la-Napoule par la D 109, depuis Mouans-Sartoux par la D 209 et depuis Tanneron par la D 309. La D 9, qui la traverse, relie La Roquette-sur-Siagne Ă  Grasse. L'autoroute la plus proche est l'A8, sortie no 41 : La Bocca.

    Transports en commun

    Par le bus, la ville est accessible grâce à la ligne no 29 du réseau Sillages, et aux lignes no 610 (Cannes - Grasse) et 611 (Cannes - Pégomas par Mandelieu-la-Napoule) du réseau TAM (Transports des Alpes-Maritimes) exploitées par le conseil général.

    Le transport ferroviaire n'est pas présent, la gare la plus proche est celle de Mouans-Sartoux, et la gare TGV la plus proche est celle de Cannes.

    Toponymie

    L'origine du nom « Pégomas » est incertaine, mais plusieurs sources indiquent qu'il provient du latin pegomacium qui désigne la « pègue-poix », une résine de pin autrefois récoltée sur les collines environnantes.

    Histoire

    Dès les premiers siècles, il existe un castellaras sur un promontoire dominant la plaine de la Siagne. Mais de nombreuses invasions barbares et les incursions des Maures font le vide sur tout le territoire. La plaine n’est alors qu’un vaste marécage insalubre où les habitants ne peuvent demeurer.

    Le nom de Pégomas apparaît pour la première fois au 1130 lorsque les comtes de Toulouse cédèrent ces terres de « Pégomacio » à l'abbaye de Lérins[9]. En 1258 sont réalisées les limites communales entre Pégomas, Auribeau-sur-Siagne et La Roquette-sur-Siagne. Des regroupements d’habitations forment les premiers quartiers : le Campaudié, la Fénerie, les Loubonnières, les Mitres, les Ribes.

    En 1513, le territoire est déserté. Les moines de Lérins, souhaitant rentabiliser leurs terres, tentent alors un repeuplement par des « actes d’habitation » définissant les droits et les devoirs des futurs résidents. Mais en 1581, le cadastre mentionne que le territoire est, à nouveau, inhabité. Au début du XVIIIe siècle, un nouveau repeuplement est tenté, mais seuls peuvent subsister les habitants des collines, car la plaine reste trop insalubre. En 1808, une importante crue ouvre une brèche sur le front de mer, permettant à la Siagne de se créer un véritable lit, libérant les terres alluviales favorables à l’agriculture, dans un climat devenu salubre. La population peut alors croître parmi des champs prospères.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1989 FĂ©lix Chauvin
    1989 1995 Jean Barralis DVD
    1995 mars 2001 Gilbert Pibou UMP
    2001 février 2004 Christine Welker DVD
    février 2004 mars 2008 Gilbert Pibou UMP
    mars 2008 2020 Gilbert Pibou[10] UMP-LR Retraité
    2020 En cours Florence Simon DVD puis LR

    Une élection municipale partielle eut lieu en 2001 à la suite de l'invalidation de l'élection de Gilbert Pibou, amenant à l'élection de Christine Welker. Une autre élection municipale partielle eut lieu en 2004 à la suite de la démission du conseil municipal, amenant à l'élection de Gilbert Pibou.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[11] :

    • total des produits de fonctionnement : 8 600 000 â‚¬, soit 1 088 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 7 816 000 â‚¬, soit 989 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 10 659 000 â‚¬, soit 135 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 1 948 000 â‚¬, soit 246 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 470 000 â‚¬, soit 595 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 17,08 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 17,16 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 40,05 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2015 : mĂ©diane en 2015 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 22 683 â‚¬[12].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

    Urbanisme

    Typologie

    PĂ©gomas est une commune urbaine[Note 1] - [13]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[14] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Nice, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 51 communes[16] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cannes - Antibes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    La ville instruit actuellement une modification de son plan local d'urbanisme[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), zones urbanisées (28,7 %), cultures permanentes (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 7 956 habitants[Note 3], en augmentation de 2,22 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    453431345482582625621634616
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    583563607614571609664632657
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7356787717289271 0091 0321 0691 170
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3321 7172 1493 4524 6185 7946 2356 2967 285
    2017 2020 - - - - - - -
    7 9727 956-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 30,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 859 hommes pour 4 133 femmes, soit un taux de 51,71 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (52,72 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,9
    6,9
    75-89 ans
    9,2
    15,0
    60-74 ans
    15,9
    20,9
    45-59 ans
    20,6
    20,6
    30-44 ans
    20,5
    15,7
    15-29 ans
    14,6
    20,1
    0-14 ans
    16,3
    Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    9,2
    75-89 ans
    12
    17,4
    60-74 ans
    18,7
    20,4
    45-59 ans
    19,9
    18,5
    30-44 ans
    17,6
    16,6
    15-29 ans
    14,7
    17
    0-14 ans
    14,6

    Enseignement

    Pégomas comptait à la rentrée scolaire 2013 quatre établissements scolaires[31] :

    • École maternelle Jules-Ferry ; 8 classes - 215 Ă©lèves
    • École maternelle Jean-Rostand ; 4 classes - 115 Ă©lèves
    • École Ă©lĂ©mentaire Marie-Curie ; 10 classes - 240 Ă©lèves
    • École Ă©lĂ©mentaire Jean-Rostand ; 8 classes - 212 Ă©lèves

    Un collège, du nom d'Arnaud-Beltrame[32], ouvre en [33]. Il est prĂ©vu d'y accueillir 600 Ă©lèves environ[34]. Le nom de l'Ă©tablissement, choisi après les attaques du Ă  Carcassonne et Trèbes et le sacrifice du gendarme Arnaud Beltrame, provoque la contestation de certains parents d'Ă©lèves, craignant que le collège au nom symbolique devienne « potentiellement une cible Ă  des attaques criminelles »[35].

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[36] :

    • MĂ©decins,
    • Pharmacies,
    • Hopitaux.

    Cultes

    Agriculture

    Les productions notables de Pégomas sont le mimosa dont elle est la capitale à l'inverse des idées reçues qui pensent que c'est Mandelieu-la-Napoule, et les fleurs destinées aux parfumeries grassoises.

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces de proximitĂ©[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre (1765-1768-fin XXe siècle, pierre enduite)[42]. Au dĂ©but du XIe siècle existait une chapelle Saint-Pierre Ă©difiĂ©e par les moines de LĂ©rins. En 1762, l’évĂŞque de Grasse donne l’autorisation de dĂ©truire la chapelle pour construire une Ă©glise et sa maison curiale. Le clocher de fer forgĂ© et la loggia de pur style provençal sont Ă  l’image de ceux de la rĂ©gion.
    • Château (fin du XVIIIe siècle, pierre enduite)[43]. Ce château est construit par le comte de DrĂ©e autour d’une ancienne bastide. Un quartier se crĂ©e alors autour du château, abritant le personnel et les employĂ©s agricoles de la propriĂ©tĂ©. Des tourelles aux angles agrĂ©mentent la sobre bâtisse de pierres crĂ©pies et blanchies Ă  la chaux. Le château est vendu par la dernière descendante du comte de DrĂ©e en 1900. PartagĂ© Ă  plusieurs reprises en plusieurs secteurs par les divers hĂ©ritiers, il contient un ensemble d’appartements.
    • Ancienne chapelle rurale Saint-Pierre[44].
    • Monument aux morts[45].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de PĂ©gomas Blason
    D'azur à l'éléphant contourné d'argent.
    DĂ©tails
    Variantes. Coupé : au 1er d’or à la fasce de sinople, au 2e d’azur à l’éléphant d’or[49].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    En application de l’édit de 1696, le conseil de la commune n’ayant pas présenté son dessin à l’enregistrement dans le délai imparti, le garde de l’Armorial général de France octroya d’office un blason. Pégomas reçut, par hasard, l’éléphant[50].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    2. Les inondations dans la vallée de la Siagne, un phénomène contemporain ?, par J.-M. Castex, A. Dagorne, J.-Y. Ottavi
    3. Composantes physiques du territoire, p. 88
    4. Didacticiel de la règlementation parasismique
    5. L'eau dans la commune
    6. Description de la station
    7. PPR inondations
    8. Table climatique
    9. Le nom de Pégomas « Pégoumas » dérive du latin « Pix », terre collante
    10. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
    11. Les comptes de la commune
    12. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. PLU
    22. Rapport de présentation du PLU
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pégomas (06090) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Alpes-Maritimes (06) », (consulté le ).
    31. Pégo-Mag' Bulletin d'information municipal n° 20 - Décembre 2013
    32. Nouveau collège de Pégomas
    33. Olivier Le Creurer, « Dans les Alpes-maritimes, un collège baptisé « Arnaud- Beltrame » », sur France 3 Occitanie, (consulté le ).
    34. 19 janvier 2018, « À la rentrée 2018, le futur collège de Pégomas réservera une bonne nouvelle pour les élèves et leur famille », sur Nice-Matin (consulté le ).
    35. Tanguy Hamon, « Alpes-Maritimes : malgré l'opposition de certains parents, un collège sera baptisé Arnaud-Beltrame », sur LCI, (consulté le ).
    36. Professionnels et établissements de santé
    37. Paroisse Saint-Vincent de LĂ©rins
    38. Gîtes de France
    39. Chambres d'hĂ´tes
    40. Camping Les Mimosas
    41. Commerces de proximité
    42. L'Ă©glise St Pierre
    43. Monuments et bâtiments remarquables
    44. Ancienne chapelle rurale Saint-Pierre
    45. Monument aux morts : Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945
    46. Lionel Paoli, « Claude François toujours vivant dans les mémoires », Nice-Matin,‎ (lire en ligne)
    47. Isabelle Forêt, Bernard Keller et Jany Keller (préf. Michel Drucker), Claude François, nos enfants et moi, Paris, Fayard, , 247 p. (ISBN 978-2-7062-1680-0, BNF 42992332, lire en ligne)
    48. Christophe Cirone, « « Claude François est devenu un mythe comme Presley » », Nice-Matin,‎ (lire en ligne)
    49. Louis Pierre d'Hozier (registre 3), Armorial général, ou Registres de la noblesse de France, 1738-1768, p. 1055.
    50. Dominique Cureau, « Pôle Azur Provence : Pégomas », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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