Ouville-la-Rivière
Ouville-la-Rivière est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Ouville-la-Rivière | |||||
L'église Saint-Gilles. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terroir de Caux | ||||
Maire Mandat |
Loïc Paillard 2020-2026 |
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Code postal | 76860 | ||||
Code commune | 76492 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ouvillais | ||||
Population municipale |
459 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 25″ nord, 0° 57′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 74 m |
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Superficie | 6,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Dieppe (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieppe-1 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
Localisation
Longueil | Varengeville-sur-Mer | |||
Saint-Denis-d'Aclon | N | Offranville | ||
O Ouville-la-Rivière E | ||||
S | ||||
Ambrumesnil |
Ouville-la-Rivière est un village français proche de Dieppe sur la bordure du pays de Caux. Tous les Mesnils est le principal hameau appartenant à Ouville-la-Rivière. Le bourg se trouve dans la vallée de la Saâne, un peu avant son embouchure. Le hameau est lui situé sur les hauteurs, dans la plaine d'Offranville, à l'est du village, relié à Ouville par la cavée Sainte-Apolline. Au sud-est se trouve aussi le Tessy, hameau séparé du village et très proche d'Ambrumesnil.
De la cavée Sainte-Apolline jusqu'au Tessy s'étend un bois qui longe la route d'Offranville.
Jusqu'en 2015, la commune faisait partie du canton d'Offranville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 57 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ouville-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,1 %), prairies (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (4,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Ouvilla[m] vers 1150, Ouvilla en 1177, Ovilla en 1178, Ouvilla en 1188-89, Ouvilla vers 1240[21], Ouville la Rivière en 1793, Ouville en 1801[22].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural »[23]. Le premier élément est comme dans la majorité des cas un anthroponyme, en l'occurrence, il s'agit du nom de personne norrois Ulfr / Úlfr, encore mieux identifié dans les formes plus anciennes d'Ouville-la-Bien-Tournée (Calvados, Ulvilla, Olvilla 1121 - 1128)[24] qui signifie « loup » cf. saint Leu ou saint Loup. Il se perpétue dans le nom de famille normand Ouf.
Les trois rivières qui traversent Ouville, la Saâne, le Monceau et le Clapet, expliquent le nom du village que l'on pouvait trouver au siècle dernier sur les cartes postales : Ouville-les-Trois-Rivières[25]. [Mauvaise référence se rapportant à un ouvrage du XIXe siècle et non du "siècle dernier" (XXe siècle) comme dit dans l'article.]
Le déterminant complémentaire La Rivière fait référence à la Saâne.
Homonymie avec de nombreux autres Ouville.
Histoire
Des fouilles réalisées en 1854 par l'abbé Cochet sur les hauteurs du village ont mis au jour un cimetière franc, mais aussi des traces de constructions de type gallo-romain. Ceci prouve que le lieu est depuis longtemps habité, sûrement grâce à la présence de rivières mais aussi de la mer qui, sans les digues d'aujourd'hui, pouvait remonter jusqu'à Longueil, le village voisin.
La première mention d'Ouvilla date du XIe siècle à propos de l'église, mais le village même est cité pour la première fois vers 1150.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2020, la commune comptait 459 habitants[Note 8], en diminution de 11,39 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Gilles[33], dont les plus anciennes parties datent du XIe siècle, est placée sur les hauteurs du village dans la côte Sainte-Apolline. Elle a été retravaillée aux XVIe et XVIIIe siècles. À côté se trouve l'if de l'ancien cimetière qui est maintenant proche du millénaire. Les vitraux ont été restaurés par la maître verrier Isabelle Regnier durant les années 1990 lorsqu'elle résidait à Ouville.
- Le château de Tous-les-Mesnils qui date du XVIIIe siècle. Il était le lieu de résidence des seigneurs de Tous-les-Mesnils, les Dupont des Mousseaux. Il est accompagné d'un colombier et d'une chapelle ainsi que de dépendances et d'une écurie.
- Le château d'Ouville est aujourd'hui une grande habitation du village. En 1840, il a été racheté par Charles-Nicolas Roquigny (1763-1851) qui l'a légué à son petit fils Adolphe Roquigny (1832-1865) époux de Julie Flaubert (1840-1924), nièce et héritière de Gustave Flaubert. Gustave y séjourna 8 fois. Occupé par les Allemands, il a fort souffert durant la Seconde Guerre mondiale. Il remplace le château primitif détruit durant les guerres de religion au XVIe siècle.
- Le manoir de Tessy (1582) demeure en grès et briques et son colombier (1587) fait aujourd'hui chambres et table d'hôtes. Comme le château d'Ouville, il est bâti à la place d'un château plus ancien dont les fondations et d'anciennes traces ont été mises au jour par d'anciens propriétaires.
- On dénombre cinq anciennes croix dans le village : une devant le parvis de l'église ; une autre en haut de la côte Sainte-Apolline qui est encore utilisé par certaines mères pour calmer les bébés lors de la pousse des dents selon de vieilles croyances ; une devant la vieille porte de Tous-les-Mesnils ; une le long de la route d'Offranville et une dans le cimetière.
- L'église d'Ouville-la-Rivière Site classé (1943)[34].
- Le monument aux morts : inscrit aux monuments historiques par arrêté du [35].
Personnalités liées à la commune
- Gustave Flaubert venait parfois à Ouville-la-Rivière chez sa nièce dans une villa qui existe encore aujourd'hui et qui porte le nom de « Salammbô » en hommage à son auguste visiteur.
Ouville-la-Rivière dans les arts et la culture
- C'est à Ouville-la-Rivière que débute le roman de Maurice Leblanc L'aiguille creuse.
Héraldique
Blason | Les armes de la commune de Ouville-la-Rivière se blasonnent ainsi : Tiercé en pairle renversé: au 1er d’or à l’écusson de sable à la fasce d’argent chargée de trois croisettes de sable accompagnée de trois étoiles d’or percées du champ, au 2e de gueules à la biche saillante d’or onglée de sable, au 3e d’argent à trois burelles ondées d’azur surmontées d’une quintefeuille du même. |
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Détails | Création M. Jean François Binon, 2009. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ouville-la-Rivière et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ouville-la-Rivière et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Beaurepaire (Charles de), Laporte (dom Jean), Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984 (réédition), p. 741.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 121.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- Annuaire statistique du département da la Seine-Inférieure, vol. 1, Préfecture de Seine-Maritime (France), , p. 9.
- « Ouville-la-Rivière : le maire Jacques Thélu ne briguera pas de nouveau mandat », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales 2020. Loïc Paillard est le nouveau maire d’Ouville-la-Rivière : Loïc Paillard a été élu maire d’Ouville-la-Rivière. Il remplace Jacques Thélu qui ne s’était pas représenté après 37 ans de mandat », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 37 années de mandat, c’est une page qui se tourne pour l’ancien maire Jacques Thélu qui ne s’était pas représenté. Il a ouvert la réunion avec émotion pour dire quel plaisir il avait pris à exercer ses fonctions ».
- Thomas Dubois, « Loïc Paillard, nouveau maire d’Ouville-la-Rivière... et fan de metal : « C’est sûr que je dénote ! » : Ils ne sont pas nombreux, parmi les maires de la région, à revendiquer leur amour des musiques considérées par certains comme étant violentes. Voire à les pratiquer, comme c’est le cas du maire d’Ouville-la-Rivière, près de Dieppe. Mais ce serait une grave erreur de le limiter à ce seul signe distinctif », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Maurice Millière, Ouville-la-Rivière, mon beau village, Édition Bertout, 1982.
- http://clochers.org/Fichiers_HTML/Accueil/Accueil_clochers/76/accueil_76492.html.
- « L'église d'Ouville-la-Rivière », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2022.