Orsans (Doubs)
Orsans est une commune française du département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Orsans | |||||
Entrée d'Orsans, en venant de Belmont. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Doubs | ||||
Arrondissement | Pontarlier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes du Haut-Doubs | ||||
Maire Mandat |
Philippe Brisebard 2020-2026 |
||||
Code postal | 25530 | ||||
Code commune | 25435 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
168 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 14′ 54″ nord, 6° 23′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 500 m Max. 630 m |
||||
Superficie | 8,29 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Besançon (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Valdahon | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
Géographie
Situé au nord du canton de Vercel-Villedieu-le-Camp, de part et d'autre de la RD 50 à mi-chemin entre Baume-les-Dames et Valdahon (environ 17 km), le village d'Orsans est établi dans la vallée de l'Audeux qui traverse la commune du sud vers le nord-ouest.
Toponymie
Ossens en 1044 ; Oussans en 1103 ; Oursans en 1137 ; Osens en 1177 ; Ossans en 1294 ; Orsans en 1302 ; Orsan au XVe siècle : Orssans, Ourssans en 1547[1].
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Orsans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,3 %), forêts (36,7 %), prairies (21 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Histoire
La maison d'Orsans tire son nom d'une châtellenie qui était située dans le bailliage de Baume-les-Dames[9]. Le plus ancien connu est Hugues d'Orsans dit Huguenin le Buson[10]. En 1308, il assistait à la remise à Jean d'Oiselet de la garde de la forteresse de Châteauvillain des mains de Gaucher de Commercy qui la tenait en fief de Jean de Châlon[10].
Guillaume d'Orsans, le , se voyait remettre le château de Miécourt par Jean de Vienne en reconnaissance de ses services en plus du fief de Pleujouse, de divers biens à Courtedoux et Fregiécourt ainsi que des droits sur les dîmes et les revenus de Cernay[11]. Le , il avait l'honneur d'être choisi comme servant de l'évêque de Bâle lors de l'engagement de Vendlincourt par Jean de Vienne envers Simon de Saint-Aubin, si bien qu'en 1381 l'évêque lui donnait les tailles de Delémont[11]. Le , c'est au tour de Conrad Munch, évêque de Bâle de confirmer les fiefs de Delémont, Soyhières et du château du Schlossberg[11].
Plusieurs des seigneurs d'Orsans ont été inhumés dans l'abbaye de la Grace-Dieu, d'autres dans la chapelle de Sainte Catherine à l'église de Vercel, d'autres encore dans l'église de Saint Jean-Baptiste de Besançon et aussi en la maison d'Orsans où il y avait un sépulcre de famille[9]. Les seigneurs d'Orsans était investis de l'Office de maréchal de l'Archevêché depuis 1435. À cette fonction était attaché le droit d'avoir une sépulture au parvis de la cathédrale de Saint Étienne à Besançon[12]. C'est Jean de la Rochetaillée, archevêque de Besançon qui en remet le titre à Renaud d'Orsans. Jean et Antoine d'Orsans vendirent cet office en 1547 à Nicolas Perrenot de Granvelle, chancelier de l'Empereur Charles Quint[12].
Ils furent reçus quinze fois dans la confrérie des chevaliers de Saint Georges[13] - [14] depuis Simon d'Orsans en 1449 et jusqu'à Marc-Antoine d'Orsans en 1652. La maison d'Orsans s'éteindra avec le mariage d’Élisabeth d'Orsans et de Charles de Tréchateau, marquis du Chatelet. Ils s'établirent à Besançon. Charles devenu veuf hérita de la seigneurie d'Orsans, il mourut le , son corps fut inhumé dans une de ses terres et son cœur dans l'église de Saint Jean-Baptiste à Besançon[12]. Le blason de la famille était : d'argent au sautoir de gueules, couronné d'or ; timbre un griffon d'or tenant un dard de même. Les alliances étaient Roulans, Voifey, Quingey, Dompré, Vaudrey, Marmier, Bougne, Achey, Chauvirey, Vellefaux, Lantenne, Leugne, Cléron, Oiselet, Cusance, la Palut, Pierre-Fontaine, Montjoie, Tuilli et Chatelet[12] - [9].
Le premier seigneur connu est Lambert d'Orsans qui est nommé dans une charte de la métropolitaine de Besançon en 1088. Deux siècles plus tard, Isabelle de Nardin de Boigne fait mention dans son testament daté de 1319 de Guillaume, fils de Renaud d'Orsans, d'Hugues d'Orsans, chevalier et de Jean son fils[9] - [13] - [14].
Pierre d'Orsans, écuyer, seigneur de Lomont et de Moffans.
Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a :
- Jacques, dit "de Bretigney", écuyer, seigneur de Lomont,
- Guillaume Ier qui suit.
Guillaume Ier d'Orsans, écuyer puis chevalier, seigneur d'Orsans.
Mariage et succession :
Il épouse Jacquette, fille d'Henri de la Tour Saint Quentin, ou Isabelle de Roppe, (? - ),de qui il a Guillaume II qui suit.
Guillaume II d'Orsans, (? - 1420), écuyer, damoiseau, seigneur d'Orsans, Châtelain d'Orbe en 1415.
Mariage et succession :
Il épouse en premières noces Jacquette, fille d'Henri Bourgeois et de Catherine de Sauvigny, puis en secondes noces Catherine, fille d'Henri de Leugney et de Jeannette de Roulans. Du deuxième mariage qui il a :
- Simon qui suit,
- Renaud, il vivait en 1449,
- Paris, abbé de abbaye Notre-Dame de Goaille de 1460 à 1478.
Simon d'Orsans, (? - 1474), écuyer, seigneur d'Orsans, Lomont et la Neuvelle, échanson du duc de Bourgogne Philippe le Bon, chevalier de Saint-Georges. Il institue Paris, son petit-fils, seigneur d'Orsans.
Mariage et succession :
Il épouse Marie, fille d'Hugues de Lantenne et d'Heluys de Quingey, de qui il a :
- Jacques qui suit,
- Jacquette, elle épouse Jean de Lambrey, (? - 1484), écuyer, seigneur de Sorans,
- Henri qui fonde la branche de Lomont,
- Nicolas, chanoine à la métropolitaine de Besançon, doyen de Neuchâtel-Urtière,
- Marie, elle épouse Nicolas de Lambrey, seigneur de lambrey.
Jacques d'Orsans, (? - Beauvais le ), chevalier, chambellan du duc Charles le Téméraire, maître d'artillerie.
Mariage et succession :
Il épouse Marguerite, fille de Jean de Vellefaux et de Guillemette d'Igny, de qui il a :
- Paris qui suit,
- Charles,
- Gilette, elle épouse en 1483 Jean de Saint-Mauris-en-Montagne (branche de Beutal), (? - 1513), chevalier de Saintt-Georges, capitaine et gouverneur de Neuchâtel-Urtière et de L'Isle-sur-le-Doubs[16],
- Jeannette.
Paris d'Orsans, seigneur d'Orsans.
Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a Antoine Ier qui suit.
Antoine Ier d'Orsans, seigneur d'Orsans.
Mariage et succession :
Il épouse N. Lulier, dame de Preigné de qui il a Antoine II qui suit.
Antoine II d'Orsans, il vivait en 1564, seigneur d'Orsans, de Nans, de Vernois, de Montdoré et de Magni, chevalier, bailli du Charollois en 1580.
Mariage et succession :
Il épouse en premières noces Étiennette de Leugné, dame de Landresse, en secondes noces Anne Lalleman et enfin Antoinnette de Clairon. De cette dernière il a Marc qui suit.
Marc d'Orsans, seigneur d'Orsans.
Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a :
- Anne, abbesse de Battant,
- Élisabeth, elle épouse en premières noces Jean-Claude de Poligny, seigneur d'Esvans et en secondes noces Charles, marquis du Chatelet, seigneur d'Orsans et de Landresse.
Branche de Lomont
Henri d'Orsans, (? - 1496), chevalier, seigneur de Lomont et de la Neuvelle. Il est le fils de Simon d'Orsans et de Marie de Lantenne. Capitaine-châtelain de la seigneurie de Granges, maréchal héréditaire de l'archevêché de Besançon, capitaine de Châtel-Humbert en 1475, co-gouverneur de Besançon en 1486.
Mariage et succession :
Il épouse Jeanne, fille de Conrad de Domprel et de Catherine de Longeville, de qui il a :
- Étienne qui suit,
- Rodolfe, (? - 1524), seigneur de Roset, il épouse Isabelle, fille de Léonard de Chauviré et de Catherine de Colombier,
- Louis il fonde la branche de Cemboing,
- Simone, elle épouse Georges de Montureux, seigneur de Melisey, chevalier,
- Guillaume, doyen de Montbéliard.
Étienne d'Orsans, il vivait en 1496, seigneur de Lomont et de la Neuvelle.
Mariage et succession :
Il épouse Claude de Grandvillars de qui il a :
- Pierre Ier qui suit,
- Clauda, dame de Grandvillars,
- Jeanne, elle épouse Nicolas de Méligny, (? - 1557), écuyer, seigneur de Dampierre-sur-le-Doubs.
Pierre Ier d'Orsans, il vivait en 1515, seigneur de Lomont et de la Neuvelle.
Mariage et succession :
Il épousait en premières noces Jeanne de Haraucour et en secondes noces Anne Marmier, dame de Bourbarin et Trichateau. Du premier mariage il a :
- Pierre II qui suit,
- Ève qui suit, elle épouse Jean de Vaudrey, chevalier, baron de Vaudrey, seigneur de Vallerois, de Saint-Rémy et de Fay.
Pierre II d'Orsans, (? - ), seigneur de Lomont.
Mariage et succession :
Il épouse le Anne/Jeanne, fille d'Hugues Marmier et d'Anne de Poligny.
Branche de Cemboing
Louis d'Orsans, il vivait en 1498, seigneur de Cemboing, d'Aynans et de Montdoré, chevalier de Saint-Georges. Il est le fils d'Henri d'Orsans (branche de Lomont) et de Jeanne de Domprel.
Mariage et succession :
Il épouse en premières noces le Philiberte de la Palud, puis il épouse en secondes noces Adrienne, fille de Jean d'Achey et d'Adrienne de Vaudrey. Du second mariage il a :
- Georges qui suit,
- Georgine, elle épouse le Henri de Pierrefontaine, (? - 1561).
Georges d'Orsans, (? - 1549), écuyer, seigneur d'Aynans, de Mont, du Vernois, chevalier de Saint-Georges.
Mariage et succession :
Il épouse Ève/Nicole, (? - 1567), fille d'Antoine de Boigne et de Jeanne de La Chambre, de qui il a :
- Antoine qui suit,
- Antoinette.
Antoine d'Orsans, (1567 - vers 1595), institué seigneur d'Aynans, de Mont, du Vernois, de Magni, de Montdoré, d'Hurecourt, de Bourbévelle, de Jonvelle et de Godoncourt.
Mariage et succession :
Il épouse Marie Anne, (? - après 1595), fille de Jean d'Achey et de Marguerite Perrenot de Granvelle, de qui il a Anne qui épouse ErmenfroY François d'Oiselay, (? - ).
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2020, la commune comptait 168 habitants[Note 3], en augmentation de 3,07 % par rapport à 2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Au recensement de 1657, on compte 176 habitants dans 36 ménages. On trouve des Grosperrin, Beuretheret, Tripard, Lorioz, Cornuel, Roussel, Marmet, Mathey, Parigot, Ravier, Chappoy, Pargauld, Bapusot, Badoz, Fleurot, Boissenin, Sarrazin, Latie, Bonnot, Voinot, Julian, Barret, Bernard, Deschamps, Andrey, Lyme, Crusset, Gaulard, Felix, Grivet[23].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Orsans est un petit village comtois typique avec :
- Ses grandes fermes comtoises traditionnelles, dont quelques-unes avec tuyé.
- L'église avec clocher à dôme à impériale (clocher comtois traditionnel) bâtie entre 1759 et 1761 à la place d'une chapelle qui existait déjà au XIe siècle.
- Une magnifique fontaine-abreuvoir restaurée au centre du village.
- La mairie qui date du XVIIIe siècle a été édifié sur l'ancien palais de justice du bailliage d'Ornans.
- L'Audeux avec ses gorges et cascades et les vestiges des anciens moulins.
Le village est encore connu pour son fameux bar « La Joconde », aujourd'hui fermé.
- La fontaine-abreuvoir restaurée.
- Le barrage de l'ancien moulin sur l'Audeux.
- Vue sur l'entrée d'Orsans, en venant de la Grâce-Dieu.
- Vue du village en .
- Premier vide grenier en , centre du village.
Évènements
- La deuxième édition du vide-greniers a eu lieu le dimanche .
- L'édition de 2010 du vide-greniers d'Orsans a lieu le dimanche .
Héraldique[24]
Blason | De gueules au sautoir d'argent |
|
---|---|---|
Détails | Blason de la cité connue depuis 1630 recensé dans l'armorial des villes et bourgs de Franche-Comté |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 5, Besançon, Cêtre, 1986(.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne
- Histoire généalogique des sires de Salins
- Le Jura Bernois
- Histoire des séquanois
- Dictionnaire universel de la noblesse de France
- Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe
- R. de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, Besançon, Paul Jacquin, , 848 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 582.
- Nobiliaire universel de France
- [PDF]« Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires », sur www.franche-comte.pref.gouv.fr..
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La population de la franche-Comté
- Jules Gauthier, LES SCEAUX ET LES ARMOIRIES DES VILLES ET BOURGS DE FRANCHE - COMTÉ, , p. 21
Voir aussi
Bibliographie
- Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, volume 24, André Borel d'Hauterive, Albert Reverend, 1867, p. 378.
- Dictionnaire universel de la noblesse de France, Jean B.Courcelles, 1820, p. 290.
- Histoire des Séquanois et de la province séquanoise, des Bourguignons et du premier royaume de Bourgogne, de l'église de Besançon...", François Ignace Dunod de Charnage, Adamoli, 1737, p. 376, 572, 573, 574, 577.
- Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, volume 1, Jean Baptiste Guillaume, 1757, p. 60, 109, 142, 162, 183, 201, 203, 237, 238, 334.
- La population de la Franche-Comté, tome 2, ouvrage collectif, Presses Univ. Franche-Comté, p. 69.
- Le Jura bernois: notices historiques sur les villes et les villages du Jura bernois, volume 2, Louis Vautrey, 1868, p. 104, 105, 107, 150.
- Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne, contenant l'idée de la noblesse et le nobiliaire du dit comté, François-Ignace Dunod de Charnage, 1740, pages 191 à 194.
- Nobiliaire universel de France: un recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, volume 6, Nicolas Viton de Saint-Allais, Ange Jacques Marie Poisson de la Chabeaussière, Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, abbé de Lespine, de St-Pons, Ducas, Johann Lanz, Bureau du Nobiliaire universel de France, 1815, p. 186.