Old-time music
L'old-time music est une forme de musique folk nord-américaine, ayant ses racines dans la musique folklorique de nombreux pays tels l'Angleterre, l'Écosse et l'Irlande, aussi bien que du continent africain. Ce genre musical s'est développé avec les nombreuses danses folkloriques nord-américaines, comme la square dance. Le genre englobe aussi des ballades et d'autres types de folk songs. Il est joué sur des instruments acoustiques, généralement centrés autour d'une combinaison d'un violon et de cordes pincées (le plus souvent guitare et/ou banjo)
Pays d'origine | |
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Instruments typiques |
Guitare Banjo Mandoline Violon Autres instruments communs : Contrebasse Autoharpe Harmonica diatonique Cuillères Planche à laver |
Histoire
Reflétant la culture qui s'installa en Amérique du Nord, les racines de l'old-time music sont basées sur la musique traditionnelle des îles britanniques (plus précisément d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande), avec une forte influence afro-américaine. Dans certaines régions, cependant, l'influence française ou allemande a aussi été très marquante. Bien que beaucoup de morceaux et ballades old-time sont de source européenne, beaucoup d'autres sont purement américaines.
Le terme old-time
Puisant ses origines dans la musique traditionnelle européenne et africaine, l'« old-time music » est certainement la plus vieille forme de musique traditionnelle nord-américaine après celle des Amérindiens. Cette qualification qui signifie « musique du bon vieux temps » est appropriée quoiqu'elle a été créée en 1923 seulement par un des premiers industriels de l'édition phonographique.
Le violoniste John Carson a réalisé alors quelques-uns des premiers enregistrements commerciaux de musique country pour le label Okeh et ceux-ci qui devinrent des tubes. Okeh, qui avait déjà utilisé le terme « hillbilly music » (musique de ploucs) pour décrire la musique des Appalaches et la musique liturgique du sud qui étaient toutes deux basées sur le violon, ainsi que le terme « race recording » (musique raciale) pour décrire la musique des Afro-Américains, commença à étiqueter « old-time music » (musique du bon vieux temps) la musique que John Carson jouait. Le terme, s'il était d'abord un euphémisme, remplaça avantageusement d'autres dénominations que beaucoup considéraient péjoratives et gagna la faveur des musiciens et de leur public[1].
Autres sources
Durant la fin du XIXe et le début du XXe siècles, les Minstrel shows, Tin Pan Alley, le gospel et d'autres formes de musique populaire entrèrent dans ce genre. Tandis que l'old-time music était répandue dans tous les États-Unis aux XVIIIe et XIXe siècles, au XXe siècle ce genre fut associé aux Appalaches.
Revival
L''old-time music connut une renaissance au début des années 1960, dans des régions comme Chapel Hill en Caroline du nord par exemple. Alan Jabbour, directeur et fondateur du Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, en devint un des leaders alors qu'il était encore étudiant. Mike Seeger (en) et Pete Seeger) avaient quant à eux apporté cette musique à New York dès le début des années 1940. On ne doit pas non plus oublier les Lost City Ramblers qui contribuèrent à répandre ce revival et qui invitèrent régulièrement des musiciens plus âgés dans leurs concerts. Cette formation comprenait à l'origine Mike Seeger, John Cohen et Tom Paley (plus tard remplacé par Tracy Schwarz). Nombre de musiciens de la scène actuelle reconnaissent que ce fut grâce aux New Lost City Ramblers qu'ils s’intéressèrent.
Les instruments
L'old-time music est jouée en utilisant une large variété d'instruments à cordes. L'instrumentation est déterminée par la disponibilité des instruments aussi bien que par la tradition. Historiquement, le fiddle, violon utilisé dans la musique populaire américaine et des Îles Britanniques, était presque toujours l'instrument mélodique principal, et dans bien des situations (en l'absence d'alternative), les danses étaient uniquement accompagnées d'un violon solo qui bien souvent faisait aussi office de dance caller.
Au début du XIXe siècle, le banjo (un instrument d'origine ouest-africaine originellement joué par les populations afro-américaines, libres ou esclaves) devint un partenaire essentiel du violon, particulièrement dans les États du sud. Originellement non fretté et fréquemment conçu à partir d'une calebasse, il jouait la même mélodie que le violon (bien que dans un registre plus grave), en procurant simultanément un accompagnement rythmique et harmonique avec un bourdon fourni par la cinquième corde (la plus petite). Le banjo utilisé dans l'old-time music est typiquement un modèle à cinq cordes avec dos ouvert (c'est-à -dire sans le résonateur que l'on trouve sur la plupart des banjos de bluegrass).
Aujourd'hui, la plupart des joueurs de banjo utilisent la technique du clawhammer, mais il en existait à l'origine plusieurs (dont la plupart sont encore en vigueur) vaguement groupés par régions. Les techniques majeures étaient le clawhammer (connu sous plusieurs noms régionaux), les techniques à deux doigts North-Carolina Picking ou Kentucky Picking, et le style à trois doigts (fiddle style) qui fut influencé par le style urbain classique. Un débutant adoptait la plupart du temps le style que son professeur, souvent un parent ou un ami, préférait.
Parce que jouer avec plus de doigts signifie plus de notes, les techniques à trois doigts intriguèrent beaucoup de musiciens. Des styles personnels furent développés par des figures importantes telles Uncle Dave Macon, Dock Boggs et Snuffy Jenkins. Ces techniques à trois doigts, spécialement celles développées par Jenkins, conduisirent dans les années 1940 au style Scruggs, créé par Earl Scruggs, qui aida à accentuer le fossé entre l'old-time et le style centré sur les solos qui deviendra le bluegrass. Jenkins développa un roulement qui inspira Scruggs pour créer des roulements plus doux et rapides et qui sont maintenant d'usage standard dans le bluegrass.
Au cours du XIXe et début du XXe siècle, d'autres instruments à cordes commencèrent à être ajoutés au duo violon-banjo, parmi lesquels la guitare, la mandoline, la contrebasse (ou contrebassine) pour fournir un accompagnement harmonique (parfois même mélodique). Un tel ensemble, quelle que soit la composition exacte, devint connu sous le nom de string band. Occasionnellement, le violoncelle, le piano, le dulcimer, le dulcimer des Appalaches, le banjo ténor, la guitare ténor, l'arc musical et d'autres instruments furent utilisés.
On doit aussi ajouter les instruments sans cordes comme le jug (bocal servant de résonateur au souffle envoyé par un joueur), l'harmonica, la guimbarde, le concertina, l'accordéon, la planche à laver, les cuillères ou les os musicaux. Leur présence était souvent déterminée par la région de provenance des immigrants européens.
Le violon peut parfois être joué par deux musiciens, l'un jouant avec l'archet et l'autre à côté en tapant un rythme sur les cordes avec de petites baguettes nommées fiddlesticks. Cette technique est notamment utilisée par le duo Al et Emily Cantrell.
L’Old-time music en tant que musique de danse
L'old-time music instrumentale est traditionnellement jouée pour accompagner des danses. Elle est alors peu spectaculaire et sans aucun solo, mais les temps et le rythme y sont bien marqués. Ceci contraste avec le bluegrass, qui, issu de l'old-time a évolué dès les années 1940 pour devenir une musique de concert et de solos.
Tandis que dans les îles britanniques reels et jigs restaient tous deux populaires, le reel est de loin la structure métrique prédominante dans l'old-time américaine (bien que quelques hornpipes soient encore joués). Les musiciens canadiens, particulièrement ceux des provinces maritimes où l'influence écossaise était forte, jouent encore à la fois les jigs et les reels aussi bien que des marches et des strathspeys.
Chaque variante régionale de l'old-time music accompagne différentes danses. Parmi elles, la clog dance et le flatfoot (Appalaches), la contredanse (Nouvelle-Angleterre), la square dance (États du sud) et la step dance (Nouvelle-Écosse, particulièrement l'île de Cape Breton), bien qu'il y ait quelques passerelles entre ces différentes régions.
Apprendre l’old-time music
Elle s'apprend traditionnellement à l'oreille même par des musiciens sachant lire les partitions. Il en existe un grand nombre, bien que beaucoup pensent que cette musique n'est pas faite pour être écrite. Ceci est dû aux variations locales et régionales de l'old-music comme à sa tradition d'improvisation.
Bien que ce soit l'une des plus anciennes et plus éminentes forme de musique traditionnelle nord-américaine, l'old-time n'est généralement pas enseignée dans les écoles et les universités. La square dance fait exception et est parfois enseignée dans des écoles élémentaires (généralement sur un enregistrement). Les instruments et danses de l'old-time music doit donc être étudiée hors du système scolaire.
Il y a cependant un nombre grandissant d'écoles de musique folk aux États-Unis, généralement basées sur une communauté de non-profit. La Old Town School of Folk Music de Chicago en est sûrement la plus ancienne, ayant commencé en 1957. La Folk School de Saint-Louis est l'une des nombreuses nouvelles écoles ayant ouvert ses portes en 2002 après la sortie du film O'Brother qui suscita l'engouement des urbains pour l'old-time music. Il y a une grande variété de programmes d'une semaine, pour la plupart en été. Ces camps sont à caractère familial et permettent aux débutants d'entrer dans la tradition et aux musiciens plus avancés de se perfectionner.
Styles régionaux
Il existe une grande quantité de styles régionaux d'old-time music, ayant chacun son propre répertoire et son style de jeu. Cependant, on peut trouver quelques morceaux (comme "Soldier's Joy") dans presque tous les styles régionaux, bien qu'interprétés différemment.
Appalaches
Cette section s'applique principalement aux Appalaches du sud, aux États-Unis (les Appalaches du centre se situent au nord-est du pays et les Appalaches du nord s'étendent jusqu'au Québec.
La musique folklorique des Appalaches constitue un genre particulier de musique traditionnelle. Elle descend principalement des musiques populaires anglaise, écossaise et irlandaise qui furent apportées dans cette région par les immigrants européens. Beaucoup des chansons traditionnelles américaines ont leurs origines dans les chansons des îles Britanniques. Par exempla, "Pretty Polly," "Little Musgrave," et "Pretty Saro" sont anglaises, "Barbara Allen" et "Lord Randal" sont écossaises, et "The Lily of the West" est irlandaise. D'autres chansons ont été écrites en Amérique.
Un violoniste écossais nommé Neil Gow est habituellement crédité pour avoir développé, dans les années 1740, la technique de jeu à l'archet court ( « short bow sawstroke ») qui caractérise le violon des Appalaches. Elle distingue celui-ci des autres musiques parentes : les violoneux de concours du Texas, les violonistes de Texas Swing et de Bluegrass préfèrent le plus souvent le jeu à l'archet long qui fut rendu populaire par les violonistes de jazz. Cette technique tomba plus ou moins en désuétude durant le siècle suivant, car les valses et polkas européennes connaissaient alors une grande vogue et avaient remplacé les airs traditionnels dans la faveur du public des villages et des fermes.
Tandis que dans les années 2000 les Afro-Américains ne constituent que huit pour cent de la population des Appalaches, leur nombre était bien plus important au XIXe et début du XXe siècle du fait de la présence d'esclaves noirs et d'hommes libres travaillant dans les exploitations forestières, les mines de charbon et l'industrie. Leur influence considérable sur la musique des Appalaches se remarque dans l'instrumentation : le banjo a été adopté des Afro-Américains par les musiciens blancs après la guerre de Sécession. Même au début du XXe siècle, il était courant pour les jeunes musiciens blancs d'avoir appris le banjo de musiciens afro-américains plus âgés vivant dans la région. Leur influence peut aussi être ressentie dans l'ornementation, avec la tierce et la septième blue note et les glissandos. On ne trouve pas ces derniers dans la musique populaire des îles Britanniques, exception faite de certains styles de musique irlandaise, dont l'influence sur la musique des Appalaches est cependant considérée comme minime car les colons des Appalaches n'étaient généralement pas d'extraction irlandaise.
Le folk des Appalaches influença considérablement la country et le bluegrass. C'est l'un des rares styles régionaux qui, depuis la Seconde Guerre mondiale, a été appris et largement pratiqué dans l'ensemble des États-Unis (aussi bien qu'au Canada, en Europe, en Australie, etc.) Dans certains cas (le Midwest et le nord-est), sa popularité a éclipsé les traditions old-time indigènes de ces régions. Il y a une concentration particulièrement importante de musiciens de folk des Appalaches sur les côtes est et ouest (plus spécialement à New York, Los Angeles, San Francisco et dans le nord-ouest. Un certain nombre de compositeurs américains classiques, en particulier Henry Cowell et Aaron Copland, ont composé des œuvres fusionnant le folk des Appalaches et la musique classique européenne.
L'old-time music des Appalaches est elle-même faite de traditions régionales. On peut citer celle de Mount Airy, en Caroline du Nord (spécialement le Round Peak Style de Tommy Jarrell), celle de Grayson County/Galax en Virginie (Wade Ward et Albert Hash), celle de l'ouest de la Virginie (the Hammons family), celle de l'est du Kentucky (J. P. Fraley et Lee Sexton), et celle de l'est du Tennessee (Roan Mountain Hilltoppers).
Le banjoïste et violoniste Bascom Lamar Lunsford, natif des montagnes de Caroline du Nord, collecta beaucoup de musiques traditionnelles durant sa vie et fonda le Festival d'old-time music d'Asheville. Parmi les joueurs et luthiers de banjo les plus connus, Frank Proffitt, Frank Proffitt jr. et Stanley Hicks ont tous appris à faire et à jouer du banjo fretless des montagnes par une tradition familiale : ils montrent très peu de traces de l'influence commerciale des enregistrements Hillbilly. Proffitt et Hicks étaient les héritiers d'une tradition folk vieille de plusieurs siècles, et durant le milieu et la fin du XXe siècle ils continuèrent à jouer un style plus ancien que les string bands souvent associés à l'old-time music. Leur style a été récemment repris par le musicien contemporain Tim Eriksen.
L'old-time music a aussi été adoptée par quelques Amérindiens. Walker Calhoun de Big Cove, dans la Qualla Boundary (sur la bande est du territoire des Indiens Cherokee, juste à côté du Great Smoky Mountains National Park en Caroline du Nord) joue du banjo, en chantant en langue cherokee.
Nouvelle-Angleterre
Les États de la Nouvelle-Angleterre, les premiers à avoir été fondés par les Européens, ont l'une des traditions old-time les plus anciennes. Bien que les Puritains (premiers Européens à s'installer dans cette région) désapprouvaient la musique instrumentale, la musique de danse y fleurit dans les aires urbaines et rurales dès le début du XVIIe siècle. Les instruments de base étaient le violon, le piano et la guitare, et les flûtes en bois étaient parfois également utilisées. Comme pour le folk des Appalaches, un certain nombre de compositeurs classiques se sont tournés vers la musique folk de la Nouvelle-Angleterre pour ses idées mélodiques et harmoniques, les plus connus étant Charles Ives, aussi bien que Aaron Copland, William Schuman et John Cage, parmi d'autres.
Midwest
Débutant à l'aube du XIXe siècle, quand les États du Midwest furent colonisés à partir des États de l'est et des immigrants d'Europe, le Midwest développa ses propres styles de musique old-time. Parmi ceux-ci, le style du Missouri est particulièrement intéressant pour son style énergique à l'archet.
Dans le haut-Midwest, plus spécialement dans le Minnesota, la musique old-time est typiquement composée d'un mélange de styles scandinaves, spécialement norvégiens et suédois[2].
Le sud en dehors des Appalaches
Les États du sud (particulièrement ceux de la côte comme la Virginie et la Caroline du Nord) possèdent un style d'old-time qui leur est propre.
C'est dans cette région que la musique d'Afrique se mélangea le plus fortement avec celle des îles Britanniques. Les enregistrements montrent que beaucoup d'esclaves africains (qui pour la plupart étaient déjà musiciens en Afrique ou aux Caraïbes, où ils vivaient avant de venir aux États-Unis) étaient des musiciens talentueux, jouant, dès le début du XVIIIe siècle, d'instruments tels que le violon, le banjo ou le piano. Des documents ou publicités sur les esclaves de l'époque listaient souvent les compétences musicales de certains esclaves en tant qu'argument de vente, car on demandait souvent aux esclaves noirs de jouer pour leur maître.
On pense que le banjo, instrument essentiel pour la musique old-time des Appalaches et du sud, est dérivé d'une sorte de luth d'Afrique de l'Ouest, recouvert d'une peau. On trouve encore de tels instruments au Sénégal, en Gambie, au Mali et en Guinée, où ils sont appelés n'goni, xalam, et par bien d'autres noms.
Les États du sud profond comme l'Alabama, le Mississippi, la Géorgie et la Louisiane ont aussi leurs propres traditions et répertoires. Tandis que la musique cadienne de Louisiane partage beaucoup avec les autres traditions nord-américaines d’old-time, elle est généralement considérée comme une tradition en elle-même et non pas considérée en tant qu’old-time music.
Le Texas et l'ouest
Le Texas a développé une tradition distinctive à deux violons qui fut popularisée plus tard par Bob Wills en tant que Western Swing. Le violon est également populaire depuis le XIXe siècle dans d'autres États du Sud comme l'Oklahoma et le Colorado. Le "National Oldtime Fiddlers' Contest" se tient chaque année à Weiser dans l'Idaho depuis 1953.
L'Oklahoma, avec sa relativement grande concentration d'Amérindiens, a produit quelques string bands Amérindiens, notamment Big Chief Henry's Indian String Band (constitué de Henry Hall au violon, Clarence Hall à la guitare et Harold Hall au banjo et voix) enregistré par H. C. Speir pour la compagnie Victor en 1929.
Canada
Différents styles d'old-time existent au Canada : la tradition de Nouvelle-Écosse (particulièrement sur l’île du Cap-Breton), dérivée de la tradition écossaise ; la musique du Canada français, du Québec et d'Acadie et celle de l'Ontario ; et enfin les traditions de violon des prairies de l'ouest. C'est là (principalement à Manitoba et Saskatchewan) que l'on peut trouver la tradition des populations métisses. La musique folk traditionnelle de Terre-Neuve et du Labrador, bien que similaire dans un certain sens à celle du reste du Canada Atlantique, a un style distinct en elle-même, et est généralement considérée comme un genre séparé.
Musiciens de référence
Multi-instrumentistes
- Jack Treese
- Hazel Dickens
- Alice Gerrard (en)
Violonistes
- Joe Birchfield
- Jim Bowles
- Charlie Bowman
- Chance McCoy
- John Carson
- Junior Daugherty
- Norman Edmonds
- Benton Flippen
- Ahaz Augustus Gray
- James Edward Haley (dit "Ed" Haley)
- Edwin "Edden" Hammons
- Tommy Jarrell (en)
- Pat Kingery
- Dempson Lewis
- Denmon Lewis
- Emmett W. Lundy
- Clayton McMichen
- Eck Robertson
- John Morgan Salyer
- Robert Allen Sisson
- Hobart Smith
- Simon St. Pierre
- John "Uncle Bunt" Stephens
- William Hamilton Stepp
- Benny Thomasson
BanjoĂŻstes
- Matokie Slaughter
- Adam Hurt
- Richie Stearns
- Clarence "Tom" Ashley
- Doc Watson
Guitaristes
- Estil Cortez Ball (en)
- Doc Watson
Musiciens contemporains
La scène old-time actuelle est bien vivante. Plusieurs films qui ont été réalisés au cours des dernières années, une meilleure accessibilité des matériels sources, et le travail acharné de groupes ou de musiciens qui font l'objet d'une passion de leur public et qui donnent de nombreux concerts, ont suscité un regain d'intérêt à son égard. Elle a attiré de nombreux artistes talentueux qui se sont donné le double objectif de maintenir vivante une longue tradition et de perpétuer les techniques qu'ils ont apprises de leurs ainés musiciens.
Groupes
- The Foghorn String Band
- The Freight Hoppers
- The Forge Mountain Diggers
- The Georgia Mudcats
- Old-Time Kozmik Trio[3]
- The Georgia Potlickers
- Uncle Earl
- The Wilders
Violonistes
- Darol Anger
- Kerry Blech
- Matt Brown
- Rayna Gellert
- Bruce Greene
- John Grimm
- Rhys Jones
- Brad Leftwich
- Erynn Marshall
- Bruce Molsky (en)
- Dirk Powell
- Adam Tanner
BanjoĂŻstes
- Matt Brown
- Paul Brown
- Ridley Baugus
- Bruce Molsky (en)
- Abigail Washburn
Guitaristes
- Cary Fridley
- Thomas Bayley
- Wayne Henderson
- Beverly Smith
Liens généraux
- Nashville Old-Time String Band Association
- Hillbilly Music: Source and Symbol
- Old Time Fiddlers Hall of Fame
- Missouri Old-Time Fiddling
- Missouri Traditional Fiddle and Dance Network
- Johnson City, Tennessee Old Time Music Heritage
- Appalachian Traditional Music: A Short History
- Old-Time Herald Magazine
- Old-Time Music in Portland, Oregon
- Old Time Music Source list
- Ralph Stanley Museum & Traditional Mountain Music Center
- Sheet music, lyrics & midis for 200+ traditional old-time songs
- www.oldtime.fr : site sur le old time en France
DĂ©couvrir en Ă©coutant
- The Digital Library of Appalachia Met à la disposition du public une vaste collection de old-time music dont de nombreuses œuvres classiques qui furent enregistrées dans les 1920 et 1930.
- La Collection Henry Reed à la Library of Congress, recueille les enregistrements de nombreux airs folkloriques interprétés par le violoneux Henry Reed de Glen Lyn en Virginie. Ils furent enregistrés par le folkloriste Alan Jabbour en 1966 et 1967.
Notes et références
- (en) « What is old-time music by Mark Humphrey. This article is part of a booklet included with the Vestapol video "Legends of Old-Time Music" (Vestapol 13026). », sur The old-time music home page (consulté le )
- Mark Levy, Carl Rahkonen and Ain Haas, Garland Encyclopedia of World Music, Volume Two, New York and London, Garland Publishing, « Scandinavian and Baltic Music »
- Le Old-Time Kozmik Trio est un groupe de old-timpe music dont les membres sont Darol Anger, Bruce Moslky et du violoncelliste Rushad Eggleston
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Old-time music » (voir la liste des auteurs).