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Nerbis

Nerbis est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Nerbis
Nerbis
La façade de la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Chalosse
Maire
Mandat
Eric Degos
2020-2026
Code postal 40250
Code commune 40204
DĂ©mographie
Gentilé Nerbisiens
Population
municipale
267 hab. (2020 en diminution de 5,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 64 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 45â€Č 21″ nord, 0° 44â€Č 06″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 103 m
Superficie 4,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Coteau de Chalosse
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Nerbis
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Nerbis
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Nerbis

    GĂ©ographie

    Localisation

    Nerbis est une commune de Haute-Chalosse baignĂ©e par l’Adour et situĂ©e Ă  mi-chemin de Dax et de Mont-de-Marsan.

    SituĂ© sur un plateau, au milieu d'un relief trĂšs vallonnĂ©, l'endroit prĂ©sentait jadis un intĂ©rĂȘt stratĂ©gique en raison de sa position panoramique, duquel on peut voir, de ses cent-dix mĂštres d’altitude, au sud, la chaĂźne des PyrĂ©nĂ©es, au nord-ouest, la vallĂ©e de l’Adour, et au nord et Ă  l’est, l’immense forĂȘt des Landes.

    Les communes limitrophes sont Hauriet, Mugron, Souprosse et Toulouzette.

    • Lac de Nerbis
      Lac de Nerbis

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Nerbis[1]
    Souprosse
    Nerbis Toulouzette
    Mugron Hauriet

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat mĂ©diterranĂ©en altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 137 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Begaar », sur la commune de BĂ©gaar, mise en service en 1973[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 069,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  24 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Nerbis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (62,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (48,3 %), forĂȘts (23,1 %), prairies (14 %), eaux continentales[Note 6] (6,2 %), zones urbanisĂ©es (5,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Nerbis est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1989, 1999 et 2009[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[24]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nerbis.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 53,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 135 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 102 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 76 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Histoire

    Nerbis est un ancien camp fortifié et poste stratégique de surveillance de la navigation sur l'Adour[27].

    Camp romain

    Le nom de Nerbis proviendrait de Nervius, centurion romain et chef de lĂ©gion en Novempopulanie, correspondant peu ou prou Ă  l’Aquitaine d’aujourd’hui. Il constituait le « camp de Nerbis », fortifiĂ© par les Romains. En effet, le rempart ou Ă©peron barrĂ©, situĂ© au sud-est, a Ă©tĂ© Ă©rigĂ© au cours du Ve siĂšcle comme ouvrage dĂ©fensif, contre les invasions des barbares venus du nord. Cette fortification, appelĂ©e aujourd’hui « garde » ou « gardan » est connue de nos jours sous le nom de « muy ». PropriĂ©tĂ© privĂ©e, elle mesure 1,74 m sur 45 m et de hauteur en moyenne. Son Ă©dification a nĂ©cessitĂ© le dĂ©placement de quelque soixante mille mĂštres cubes de terre. Nous ignorons quels moyens furent utilisĂ©s, mais ce dut ĂȘtre un Ă©norme chantier. Il existait dĂ©jĂ  un oppidum tumulus depuis l’ñge du bronze final (1200 – 900 av. J.-C.). Les Romains l’auraient utilisĂ© en le renforçant[28].

    Moyen Âge

    DĂšs les premiers siĂšcles, des moines bĂ©nĂ©dictins s’installent ici et fondent un prieurĂ© conventuel. Le monastĂšre devait ĂȘtre attenant Ă  l’église cĂŽtĂ© ouest, et le prieurĂ© se situait Ă  l’emplacement de la route actuelle, longeant le cimetiĂšre. Quelques vestiges subsistent : visibles dans le mur du bĂątiment opposĂ©, une fenĂȘtre Ă  meneaux ainsi qu’une partie de porte ogivale[28].

    Lieu de refuge des gens d’église mais aussi de voyageurs en route vers Saint-Sever, Dax ou Bordeaux, Nerbis Ă©tait Ă©galement une Ă©tape pour les pĂšlerins suivant l’itinĂ©raire de VĂ©zelay vers Saint-Jacques-de-Compostelle. C’était un long cheminement qui passait par ici et qui faisait halte : hommes de toutes cultures, mais aussi des gens d’armes pas toujours bien intentionnĂ©s[28].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1971 Louis Lalanne
    1971 2007 Michel Lalanne PS
    2007 2008 Christian Lalanne
    mars 2008 Avril 2023 Bernard Pontarrasse GĂ©omĂštre principal du cadastre
    avril 2023 En cours Éric Degos Ouvrier qualifiĂ©

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[30]. En 2020, la commune comptait 267 habitants[Note 7], en diminution de 5,65 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    420418402507563563545450423
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    429401404392386379338326328
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    324313301291279259246223206
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    222201199213256251241238279
    2018 2020 - - - - - - -
    266267-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre de Nerbis.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Begaar - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Nerbis et Bégaar », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Begaar - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Nerbis et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Nerbis », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Nerbis », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. Plaquette de l'office de tourisme du Pays de Mugron, consultée en décembre 2011
    28. Informations consultées sur le panneau de présentation de Nerbis, sous le porche de l'église Saint-Pierre de Nerbis, en décembre 2007
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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