Accueil🇫🇷Chercher

Near-field communication

Le near-field communication ou la communication en champ proche (CCP)[1] - [2], souvent dĂ©signĂ© par son sigle anglais NFC, est une technologie de communication sans fil Ă  courte portĂ©e et Ă  haute frĂ©quence, permettant l'Ă©change d'informations entre des pĂ©riphĂ©riques jusqu'Ă  une distance d'environ 10 cm dans le cas gĂ©nĂ©ral[3]. Cette technologie est une extension de la norme ISO/CEI 14443 standardisant les cartes de proximitĂ© utilisant la radio-identification (RFID) qui combinent une carte Ă  puce et un lecteur au sein d'un seul pĂ©riphĂ©rique.

Un distributeur de billets de train en Autriche proposant la technologie NFC afin de recevoir le ticket sur son téléphone

Un pĂ©riphĂ©rique NFC est capable de communiquer avec des Ă©quipements ISO/CEI 14443, avec un autre pĂ©riphĂ©rique NFC ou avec certaines infrastructures sans-contact comme les composteurs des transports en commun ou les terminaux de paiement chez les commerçants. La technologie ISO/CEI 14443 Ă©quipe des cartes et des lecteurs utilisĂ©s dans les transports, dans le commerce ou pour l’accès Ă  certains services publics, et le NFC Ă©quipe de plus en plus de terminaux mobiles. En 2011, le NFC Ă©quipait en effet 50 millions de tablettes tactiles ou tĂ©lĂ©phones mobiles[4]. DotĂ©s d’un Ă©cran, d’un clavier et d’une connexion internet, ces terminaux NFC ont un fort potentiel d’usages en favorisant les interactions entre les machines, les objets et un contexte (voir internet des objets).

Caractéristiques principales

  • DĂ©bits de communication : 106, 212 ou 424 kbit/s (le dĂ©bit de 848 kbit/s n'est pas compatible avec la norme NFCIP-1).
  • Gamme de frĂ©quence : 13,56 MHz.
  • Distance de communication : maximum 10 cm dans le cas gĂ©nĂ©ral[3]. En pratique, la distance maximum dĂ©pend des Ă©quipements et des protocoles utilisĂ©s, il n'existe pas de maximum intrinsèque Ă  la technologie NFC. Par exemple, pour les applications de paiement par NFC en France, la distance maximum de communication entre une carte bancaire et un terminal de paiement est de cm[5]. Mais, d'après un expert en sĂ©curitĂ© informatique interrogĂ© en 2012, si l'on remplace le terminal de paiement par du matĂ©riel spĂ©cifique non normĂ© (un amplificateur et une antenne mesurant 50 cm), il est possible de communiquer avec une carte de paiement jusqu'Ă  une distance de m[5].
  • Mode de communication : half-duplex ou full-duplex.

Au contraire d'autres techniques de radio-identification ou du bluetooth dont la portée est d'une dizaine de mètres, la technique NFC n'est utilisable que sur de très courtes distances (quelques centimètres). Elle suppose une démarche volontaire de l'utilisateur et normalement ne peut pas être utilisée à son insu (en dehors des cas ci-dessus). Mais cela n'exclut pas la collecte des données NFC par le système lui-même, qui reste capable de conserver l'historique des usages de l'utilisateur utilisant cette technique de communication. En mai 2010, à l'occasion d'un test des services sans contacts déployés à Nice, la Commission nationale informatique et liberté a énoncé[6] les grands principes pour que les services sans contact respectent les règles françaises en matière de protection des données personnelles.

Normes liées au NFC

  • NFCIP-1 (ISO/CEI 18092) dĂ©finit l'interface et le protocole de communication entre deux pĂ©riphĂ©riques NFC ;
  • ISO/CEI 14443-1 Ă  ISO/CEI 14443-4 dĂ©finissent la communication avec des circuits intĂ©grĂ©s sans contact ;
  • NDEF (NFC Data Exchange Format) dĂ©finit le format d'Ă©change logique des donnĂ©es.

Des organismes autre que l'ISO/CEI, tels que l'ECMA ou l'ETSI, ont également normé des usages ou techniques basées sur le NFC.

Forum NFC

Le Forum NFC est un consortium international crĂ©Ă© pour promouvoir la technologie NFC par Sony et Philips (aujourd’hui NXP Semiconductors) en 2004[7]. Il a Ă©tĂ© rejoint notamment par Nokia, Samsung, Panasonic, et compte dĂ©but 2012 140 membres[7] - [8].

Sony et Philips-NXP travaillent ensemble sur cette technologie depuis 2002, et ont chacun développé leur propre carte NFC : respectivement FeliCa et Mifare[9].

Usages

Le NFC autorise de nombreux usages, certains se situent directement dans la continuité des cartes sans contact (billettique, paiement, accès...), d'autres sont fondés sur l'interaction de l'individu avec son environnement : objets, personnes...

Trois modes de fonctionnement du NFC

Le mode Ă©mulation de carte
Dans le mode émulation de carte, dit passif, le terminal mobile se comporte comme une carte à puce sans-contact. Dans le cas où le terminal mobile est un téléphone mobile compatible, la carte SIM de l'opérateur peut être utilisée comme élément de sécurité en stockant des informations chiffrées. Les usages sont multiples: paiement, billettique spectacle ou transport (ex. : Carte Navigo), couponing, contrôle d'accès... Le mobile, par ses fonctionnalités étendues (IHM, connexion réseau, capacité de traitement), enrichit considérablement les services basés sur des cartes.
Le mode lecteur
Le terminal mobile devient un lecteur de cartes sans-contacts (mode actif) ou de « radio-étiquettes » (étiquettes électroniques). Ce mode permet de lire des informations en approchant son mobile devant des étiquettes électroniques disposées dans la rue, sur des abribus, des monuments, des affiches... ou sur des colis, des produits ou sur sa carte de visite (vCard)...
Le mode pair-Ă -pair
Ce mode permet à deux terminaux mobiles d'échanger de l'information, par exemple des vCard, des photos, des vidéos, de l'argent, des tickets, etc. Un appareil doté de la technologie NFC est capable d'échanger des informations avec des cartes à puces sans contact mais également avec d'autres appareils dotés de cette technologie.
Ce mode peut également être couplé avec une technologie permettant un transfert plus rapide. Le système d'exploitation mobile Android, via Android Beam, permet par exemple depuis la version Ice Cream Sandwich de transférer les données via une connexion bluetooth, une fois la communication NFC établie; Samsung a amélioré le système en remplaçant, dans S-Beam, la liaison bluetooth par une liaison Wi-Di (ou Wi-Fi Direct)[10].

Exemples d'usages

En 2012, les services NFC commencent à voir le jour un peu partout dans le monde et notamment en Corée[11], en France[12] et en Turquie. Quelques exemples d'usages :

  • dĂ©verrouiller et rendre visible l'accès Ă  la mĂ©moire de masse d'une clĂ© USB sĂ©curisĂ©e avec un smartphone, tablette tactile ;
  • paiement en utilisant une carte bancaire sans contact, ou un appareil mobile (tĂ©lĂ©phone mobile, smartphone, ordinateur portable, tablette tactile…) sur un terminal de paiement sans contact ;
  • paiement du stationnement Ă  une borne acceptant le paiement sans contact Ă  l'aide de son terminal mobile NFC ;
  • achat et validation sans contact d'un titre de transport ou d'un billet d'entrĂ©e Ă  un spectacle avec son mobile ;
  • gestion de coupons de rĂ©duction dans un magasin, gestion de points de fidĂ©litĂ© chez les commerçants (couponing) ;
  • accès et dĂ©marrage d'un vĂ©hicule Ă  l'aide de son tĂ©lĂ©phone mobile ;
  • lecture d'informations produits (prix, composition, allergie, etc.) dans un magasin ;
  • contrĂ´le d'accès Ă  des locaux en accès rĂ©servĂ© (salle de rĂ©union, entreprise, salle de cours, etc.) ;
  • Ă©change de profils entre deux utilisateurs d'un rĂ©seau social ou de niveaux de jeux en rapprochant (« tapant ») les deux tĂ©lĂ©phones (mode pair-Ă -pair) ;
  • lecture d'une carte de visite Ă©lectronique avec un PDA ;
  • synchronisation de signets Internet et de contacts[13] entre un PDA et un tĂ©lĂ©phone mobile ;
  • rĂ©cupĂ©ration de la clef Wi-Fi d'un point d'accès en approchant son pĂ©riphĂ©rique NFC de la borne de diffusion ;
  • dans le cadre du traitement diabĂ©tique, lecture de glycĂ©mie via smartphone d'un capteur d'analyse de liquide intercellulaire ;
  • accès aux fonctionnalitĂ©s domotique d'un bâtiment ;
  • dans le domaine des jeux vidĂ©o, notamment les amiibo (Wii U, Nintendo 3DS, Switch) ;
  • suivi de la traçabilitĂ© de la chaĂ®ne du froid.

En 2016, le nombre de cartes de paiement sans contact est estimĂ© Ă  31,5 millions en France, sans que les utilisateurs en soient toujours conscients[3].

En 2017, Wax Tailor réalise By Any Remixes Necessary, premier vinyle au monde équipé d'une puce NFC[14] - [15].

Sécurité

Le paiement sans contact basé sur le NFC est d'une grande facilité d'usage, ce qui n'est pas toujours compatible avec une sécurité efficace. Début 2016, des hackers allemands du Chaos Computer Club ont présenté des failles dans les protocoles de communications. La plus importante concerne le protocole utilisé (principalement en Allemagne) entre la carte et le terminal de paiement sans contact. Elle est due à une mauvaise implémentation du code d'authentification du message. Une personne mal intentionnée munie d'un smartphone et d'une application spécifique peut récupérer des informations confidentielles telles que le numéro de la carte bancaire et sa date d'expiration (pas de récupération de nom, cryptogramme ou historique d'opération), à condition de placer le smartphone à quelques centimètres de celle-ci[3].

Diffusion de la technologie

La société française AirTag a affirmé avoir lancé le premier kit de développement logiciel pour communication en champ proche en 2008[16]. La diffusion du NFC passe par des services sans contact nombreux, fonctionnant partout, quel que soit son opérateur, sa banque ou son modèle de terminal NFC :

En France et au Royaume-Uni
le NFC commence à être utilisée à partir de 2011 et son implantation est encore balbutiante en 2012. Seules neuf villes, dont Nice, Strasbourg (précurseur), Caen, et Marseille possèdent des moyens de paiement compatibles NFC en 2012, et ce, uniquement pour les systèmes de transports en commun. En Europe, le NFC est implantée avec l'aide du secteur public qui rechigne à investir des sommes suffisantes dans son développement. Les principaux acteurs du NFC se sont regroupés par domaine d'activité pour réfléchir sur des questions telles que l’interopérabilité, le modèle économique ou la gestion de la relation client.
En France, plusieurs expérimentations ont été menées à partir de 2005[17], notamment à Nice, Caen et Strasbourg pour le paiement, à Rennes, Grenoble, Marseille dans le domaine des transports publics. Parallèlement les acteurs du sans contact se sont organisés pour élaborer des spécifications communes.
Aux États-Unis
les premiers programmes d'exploitation du NFC sont aussi apparus en 2011, mais la pénétration du système s'effectue beaucoup plus rapidement et, déjà en 2012, de nombreux magasins et systèmes de transports en commun sont compatibles avec cette technologie. Cela s'explique par le fait que le modèle concurrentiel prédomine avec un positionnement récent d’acteurs privés, essentiellement Google, PayPal et Amazon qui ont implanté massivement cette technologie dans les smartphones, les cartes de crédit et les lecteurs de carte de crédit.
En Corée du Sud et au Japon
le NFC a commencé à être exploitée en 2004. Les services NFC sur téléphones mobiles sont donc très développés. Tous les magasins et tous les réseaux de transport d'une certaine importance disposent de la technologie NFC pour régler les paiements. Les opérateurs et constructeurs de mobiles jouent un rôle prépondérant.

Associations et groupes de travail

  • Les opĂ©rateurs Orange, Bouygues, SFR et NRJ Mobile se sont rĂ©unis au sein de l'Association française du sans contact mobile (AFSCM), crĂ©Ă©e en 2008, pour promouvoir les services sans contact sĂ©curisĂ©s sur tĂ©lĂ©phones mobiles hĂ©bergĂ©s dans la carte SIM de l’opĂ©rateur (SIM based). Ils ont Ă©laborĂ© la marque cityzi qui vise, par une signalĂ©tique commune, Ă  faciliter l'identification des tĂ©lĂ©phones mobiles et des services sans contact compatibles.
  • Ă€ l’occasion des expĂ©rimentations de Nice, Strasbourg et Caen, les banques ont rejoint les opĂ©rateurs mobiles dans l’association europĂ©enne payez mobile (AEPM) en octobre 2008 et ont Ă©tabli des spĂ©cifications permettant l’interopĂ©rabilitĂ© des terminaux Cityzi avec les terminaux de paiement[18].
  • Un groupe de travail hĂ©bergĂ© par le pĂ´le de compĂ©titivitĂ© industrie du commerce (Picom) rĂ©unissant plusieurs grandes enseignes de la distribution, a publiĂ© de son cĂ´tĂ© les spĂ©cifications « Ergonomie des services sur mobile » (Ergosum[19]) pour gĂ©rer la fidĂ©litĂ©, les avantages clients et divers moyens de paiements (coupons, avoir, chèques cadeaux, etc.)
  • Le Groupement des autoritĂ©s responsables de transport (GART) a travaillĂ© avec l’union des transports publics (UTP) pour l’utilisation des tĂ©lĂ©phones NFC dans le domaine des transports publics[20].

L’implication de l’État et des collectivités territoriales

En 2008, le gouvernement français a crĂ©Ă© le Forum des services mobiles sans contact (Forum SMSC) pour fĂ©dĂ©rer les acteurs et prĂ©parer un dĂ©ploiement Ă  grande Ă©chelle des services NFC. Un projet pilote a ainsi Ă©tĂ© Ă©laborĂ© Ă  Nice qui a dĂ©marrĂ© en mai 2010. Un projet qui a pour particularitĂ© d’associer quatre opĂ©rateurs mobiles et de reposer sur des mobiles NFC commercialisĂ©s (et non prĂŞtĂ©s comme lors des prĂ©cĂ©dentes expĂ©rimentations) permettant l’accès Ă  plusieurs services (transport, paiement, visite[21]). Ă€ la suite de ce projet, le gouvernement a dĂ©cidĂ© de favoriser le dĂ©ploiement national des services NFC avec la dĂ©signation de neuf territoires leaders du sans contact mobile[22] : Bordeaux en coordination avec Pessac, Caen en coordination avec la Manche, Lille, Marseille, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse. Enfin, en mai 2011, dans le cadre du programme des investissements d'avenir, un appel Ă  projets « DĂ©ploiement des services mobiles sans contact NFC », dotĂ© de 20 millions d'euros a Ă©tĂ© lancĂ©. Sur la cinquantaine de dossiers dĂ©posĂ©s par les collectivitĂ©s locales, 17 ont Ă©tĂ© prĂ©sĂ©lectionnĂ©s fin 2011[23] : Besançon, Bordeaux, Caen (avec Manche NumĂ©rique), Dijon, Grenoble, Lille, Marseille, Mulhouse, Nice, Reims, Rennes, Strasbourg, Toulon, Toulouse et Paris. Les projets des collectivitĂ©s locales portent sur le paiement, la billettique sur tĂ©lĂ©phone mobile, la crĂ©ation de parcours touristiques ou encore de services en ville (par exemple, accès Ă  la piscine, Ă  la bibliothèque). Les projets de Caen[24], Bordeaux[25], Strasbourg[26] sont avec celui de Nice les plus avancĂ©s.

Ailleurs dans le monde

Aux États-Unis, plusieurs acteurs privés se sont positionnés sur le NFC. Google a lancé en mai 2011 un porte-monnaie électronique baptisé Google Wallet disponible sur téléphone mobile, et notamment le Samsung Galaxy S II et le Nexus S. Le système d’exploitation pour mobiles et tablettes Android, soutenu par la firme américaine, supporte désormais la technologie NFC dans ses versions 2.3 et 2.4. Pour Google, le NFC s’inscrit dans la continuité de sa stratégie[27] visant à proposer aux annonceurs des publicités très ciblées via sa connaissance très fine des achats (et leur localisation) des utilisateurs de son porte-monnaie électronique. Plusieurs expérimentations du Google Wallet sont en cours aux États-Unis, notamment à New York et San Francisco. Google a des partenariats avec Ingenico pour le terminaux de paiement et MasterCard, côté opérateur de carte bancaire. Face à Google, les opérateurs AT&T, Verizon wireless et T-Mobile ont créé Isis[28]), une coentreprise pour développer leur propre porte-monnaie électronique NFC. ISIS a passé un accord avec les opérateurs de cartes bancaires (Visa, Master Card, American Express et Discover). Salt Lake City est une des premières villes à expérimenter Isis début 2012.

En CorĂ©e du Sud, des projets impliquant le NFC sont en cours depuis 2004 avec une forte implication de l’État[29] qui a pour objectifs de faire de la CorĂ©e du Sud un leader de l’Internet des objets et de la ville intelligente. En juin 2011 une quinzaine d’acteurs – organisations gouvernementales, opĂ©rateurs mobiles, organismes de crĂ©dits, constructeurs de mobiles – ont crĂ©Ă© sous l’égide du rĂ©gulateur des tĂ©lĂ©communications corĂ©en, la Korea Communications Commission (KCC), la Grand NFC Korea Alliance[30] pour promouvoir le NFC. En janvier 2012, on dĂ©nombrait 5 millions de corĂ©ens dotĂ©s d’un tĂ©lĂ©phone NFC, chiffre qui devrait atteindre 20 millions en 2012[31]. De nombreux services utilisant le NFC commencent Ă  ĂŞtre dĂ©ployĂ©s : accès aux transports publics et taxis, paiement sur automate automatiques, information contextuelle, couponing, etc.

Applications

La NFC permet également l'échange de contacts lorsque la puce est intégrée dans une carte de visite. C'est une alternative, à la fois durable et plus écologique, à la carte de visite papier.

Notes et références

  1. « Vocabulaire des télécommunications (liste de termes, expressions et définitions adoptés) », Journal officiel de la République française, (consulté le ).
  2. « communication en champ proche », Grand Dictionnaire terminologique, Office québécois de la langue française.
  3. Philippe Richard, « Le paiement sans contact et sans… sécurité », Techniques de l'ingénieur,‎ (lire en ligne).
  4. Principales tendances 2012 du secteur des Technologies, Médias et Télécommunications, Deloitte, 3 février 2012
  5. Vincent Herman, « Cartes de paiement NFC : sans contact, sans sécurisation », sur nextinpact.com, (consulté le ).
  6. « La CNIL teste les services mobiles sans contact », CNIL, 13 décembre 2010.
  7. (en) About the Forum, NFC Forum
  8. « La technologie NFC veut faire converger les services sur mobile », Les Échos, 8 et 9 février 2008
  9. Klaus Finkenzeller, Dörte Müller, RFID Handbook, John Wiley and Sons, 2010 [présentation en ligne], chapitre 13.4
  10. (en) sur Lapotop Mag
  11. (en)Actualité du NFC en Corée, NFCWorldcom, 14 février 2012
  12. Veille sur les expériences NFC en France, Forum SMSC, février 2012
  13. « Qu’est ce que NFC et comment l’utiliser sur votre Android en 2019 ? », sur extremetuto.com, Android
  14. « Plus besoin de platine pour écouter des vinyles », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Judikael Hirel, « La start-up française Revive connecte le disque vinyle », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. (en) « NFC Kit Launched to Spur Application Development », RFID Update, RFID Journal,‎ (lire en ligne, consulté le ) :
    « there have been few NFC development tools released. AIRTAG claims its kit is the first »
    .
  17. Rapport de l'observatoire des villes NFC Forum SMSC, décembre 2010
  18. Présentation des spécifications sur le paiement mobile,AEPM, mai 2009
  19. Le site du pôle Industrie et commerce propose en téléchargement les spécifications Ergosum
  20. spécifications techniques et de sécurité de la billettique sur mobile NFC, Spirtech, 13 janvier 2011
  21. Présentation du projet Nice, ville sans contact, Ville de Nice, mai 2010
  22. Communiqué annonçant la désignation des 9 territoires leaders du sans contact mobile, Ministère de l’industrie, 11 janvier 2011
  23. Pré-sélection de 17 projets dans le cadre de l'appel "Déploiement de services mobiles sans contact NFC", Commissariat général aux investissements, 22 décembre 2011
  24. Présentation des services NFC lancés à Caen Ville de Caen, 2011
  25. Présentation des services NFC lancés à Bordeaux Ville de Bordeaux, 2011
  26. Présentation des services NFC lancés à Strasbourg Cityzi, 8 septembre 2011
  27. Le NFC, un enjeu stratégique pour Google pour passer du virtuel au réel, Pierre Metivier , 14 mai 2011
  28. Le site du consotium Isis, février 2012
  29. Les usages de la RFID en Corée du Sud Mission Économique Corée, juillet 2009
  30. La création de la Grand NFC Korea Alliance Christopher Brown NFCworld, 6 juin 2011
  31. 20 millions de corĂ©ens Ă©quipĂ©s d’un mobile NFC en 2012 NFCworld, Sarah Clark, 3 janvier 2012

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.