Montmerrei
Montmerrei est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 531 habitants[Note 1].
Montmerrei | |
Ăglise Notre-Dame-de-l'Assomption | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Orne |
Arrondissement | Alençon |
Intercommunalité | Communauté de communes des Sources de l'Orne |
Maire Mandat |
Claude Duval 2020-2026 |
Code postal | 61570 |
Code commune | 61288 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Montmerréens |
Population municipale |
531 hab. (2020 ) |
Densité | 42 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 38âČ 02âł nord, 0° 02âČ 30âł est |
Altitude | Min. 175 m Max. 333 m |
Superficie | 12,67 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Argentan (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de SĂ©es |
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
La commune est entre plaine d'Argentan et campagne d'Alençon, Ă l'orĂ©e de la forĂȘt d'Ăcouves. Son bourg est Ă 11 km Ă l'ouest de SĂ©es, Ă 14 km au sud d'Argentan, Ă 18 km au nord-est de Carrouges et Ă 26 km au nord d'Alençon[1].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sees », sur la commune de SĂ©es, mise en service en 1968[10] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 810 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă 23 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă 10,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Montmerrei est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argentan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (75,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (40,6 %), terres arables (32 %), forĂȘts (19,6 %), zones urbanisĂ©es (2,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Monte Madrei au XIe siÚcle[24], Monmerreyum v. 1273[25], Mons Merreium 1335[25], Montmerrei v.1480[25], Montmerrey v. 1757[26], Montmerré en 1793, Montmerry en 1801[27], Montmerrey vers 1850[28].
Il sâagit dâune formation toponymique mĂ©diĂ©vale en Mont- (du gallo-roman MONTE, issu de l'accusatif montem du latin mons) au sens ancien dâ « Ă©lĂ©vation, colline », accolĂ© Ă un nom de lieu gallo-romain antĂ©rieur du type Matriacum, composĂ© de l'anthroponyme latin ou roman Matrius[29] - [30], suivi du suffixe -acum[29], de localisation et de propriĂ©tĂ© d'origine gauloise.
Homonymie avec certains Merrey, Merry, MĂ©ry, dont Merry-la-VallĂ©e (Yonne, Matriacus VIIIe siĂšcle), MĂ©ry-sur-Oise (Yvelines, Madriaco VIIIe siĂšcle) et peut-ĂȘtre Merri (Orne)[29].
Remarque : comme les Mer(r)ey, Méry, Merry, Montmerrei était autrefois orthographié Montmerrey, la décision de simplifier la graphie des toponymes ornais a été décidée par le conseil général de l'Orne au XXe siÚcle, aussi trouve-t-on encore de nombreuses sources anciennes avec cette orthographe[31].
Histoire
- L'archéologie a livré au chùteau de la Blanchelande les restes d'un rempart en fer à cheval en grands blocs de pierre sans fossé visible, dont le caractÚre antique n'est pas prouvé[33].
- Vers 688, Saint Evremond aurait Ă©tĂ© ordonnĂ© abbĂ© par Annobert Ă©vĂȘque de SĂ©es au Mont du Maire, oĂč il a passĂ© le reste de ses jours, y est mort et y est enseveli vers l'an 720[34]. Son corps a Ă©tĂ© portĂ© quelque temps aprĂšs dans l'abbaye Notre-Dame de Fontenai-les-Louvets, dont on lui attribue la fondation[35]. Il aurait fait Ă©lever trois Ă©glises Ă Montmerrei, dĂ©diĂ©es Ă la Sainte- Croix, Ă la Vierge et Ă St-Martin de Vertou[36]. Ce monastĂšre fut dĂ©truit lors des raids vikings. Saint Evremond Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ© le 10 juin[34].
- Les fouilles de l'ancien cimetiĂšre du Vieux Bourg ont permis de montrer que les plus anciennes tombes peuvent ĂȘtre datĂ©es du VIIe siĂšcle[37].
- En 1335, l'église paroissiale dépendait de l'abbaye Saint-Martin de Sées[25] et appartenait à l'archidiaconé du Houlme.
- En 1864, dans le vieux bourg, l'ancienne église de Saint-Martin, en ruines, a été abattue[38].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[40].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[42].
En 2020, la commune comptait 531 habitants[Note 9], en augmentation de 0,19 % par rapport Ă 2014 (Orne : â3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Au premier recensement rĂ©publicain, en 1793, Montmerrei comptait 764 habitants, population jamais atteinte depuis.
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame-de-l'Assomption (1862). Elle abrite une Vierge Ă l'Enfant du XIIIe siĂšcle classĂ©e Ă titre d'objet aux Monuments historiques[44].
- Chapelle Notre-Dame-de-Liesse (XIIe siÚcle, remaniée au XVIIIe siÚcle), au Vieux Bourg.
- Dolmen de la Pierre Tournoire.
Activité et manifestations
Sports
L'Association sportive de Montmerrei est une équipe de football loisir qui joue (pour des raisons d'éclairage) sur le terrain de Mortrée.
Depuis , Montmerrei accueille aussi les Normands de Montmerrei, premier club de flag football créé dans l'Orne. Il compte en trente-trois licenciés, tous enfants, ùgés de 5 à 14 ans.
Personnalités liées à la commune
- Maurice Aubert (1914 à Montmerrei - 2005), géologue, hydrogéologue.
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sees - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montmerrei et Sées », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sees - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montmerrei et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Argentan », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, , p. 20.
- Auguste Longnon, Pouillés de la province de Rouen, 1903, p. 214E, 226D, 239G.
- IGN, plan de Cassini , v. 1757.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- IGN, Plan d'Etat-Major, 1820-1866, en ligne.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 466a-425a
- RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Ăd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (Ă©ditĂ© erronĂ©), BNF 36174448), p. 180.
- Bulletin de la Société des Antiquaires de Normandie, Volume 3, Paris, 1864, p. 405 (lire en ligne)
- « Ouest-france.fr - Mairie de Montmerrei » (consulté le ).
- Paul-Marie Duval, « Une enquĂȘte sur les enceintes gauloises de l'Ouest et du Nord », Gallia, 1959, p. 58 (lire en ligne, sur PersĂ©e).
- Adrien Baillet, Les vies des saints, composées sur ce qui nous est resté de plus authentique et de plus assuré dans leur histoire, 1701, 3 volumes, p. 507, 647 t. 10, 1739 (t. 9, 1739 ; t. 10, 1739, p. 507, 647.
- Les Abbayes de Normandie: actes, Société libre d'émulation de la Seine-Maritime (1979), p. 62, 68, 72.
- Dom Jean Laporte, « Les origines du monachisme dans la province de Rouen », Mabillon, 1941, t. XXXI, n° 122, avril-juin 1941, p. 38.
- Christian Pilet, « Archéologie historique. Fouilles exécutées par la Direction régionale des Antiquités historiques de Basse-Normandie en 1981 », in Annales de Normandie, 31ᔠannée, n°4, 1981. pp. 353-366; p. 365.
- Les petits Bollandistes : vies des saints, t. 6, 19 mai au 13 juin 1876, p. 555, n. 1.
- « Ouest-france.fr - Municipales à Montmerrei. Claude Duval perd la mairie » (consulté le ).
- « Montmerrei (61570) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM61000485, base Palissy, ministÚre français de la Culture.