Montgivray
Montgivray est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Montgivray | |||||
La mairie en 2008. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | La Châtre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère | ||||
Maire Mandat |
Michel Blin 2020-2026 |
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Code postal | 36400 | ||||
Code commune | 36127 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montgivrains | ||||
Population municipale |
1 554 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 61 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 36′ 15″ nord, 1° 59′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 187 m Max. 253 m |
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Superficie | 25,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | La Châtre (banlieue) |
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Aire d'attraction | La Châtre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | montgivray.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune est située dans le sud-est[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.
Les communes limitrophes[1] sont : La Châtre (2 km), Nohant-Vic (3 km), Lourouer-Saint-Laurent (3 km), Lacs (4 km), Le Magny (4 km), Sarzay (6 km) et Chassignolles (8 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : La Châtre (2 km), Châteauroux (32 km), Issoudun (38 km) et Le Blanc (70 km).
Hameaux et lieux-dits
Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : l'Avocat, Champeaux, Chavigner, la Fremenelle, la Justice, Lalœuf, les Maisons Brûlées, Preugnarnault, les Ribattes, Pouzelas, Urmont, Vielleville[2] - [3].
Géologie et hydrographie
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].
Le sous-sol est pour l'essentiel composé de marnes schisteuses. Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[2] et Couarde[2].
Climat
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1994 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[5]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,8 | 1,1 | 2,5 | 4,4 | 8,2 | 11,4 | 13,4 | 13,2 | 9,4 | 7,8 | 3,7 | 1,2 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 5,2 | 7,6 | 10 | 14,1 | 17,8 | 19,8 | 19,6 | 15,7 | 12,8 | 7,5 | 4,4 | 11,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,8 | 9,3 | 12,8 | 15,7 | 20 | 24,2 | 26,3 | 26,1 | 21,9 | 17,8 | 11,4 | 7,7 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 26.01.07 |
−16,9 07.02.12 |
−12,8 01.03.05 |
−6 04.04.1996 |
−1,2 06.05.02 |
2,3 04.06.01 |
4,7 17.07.00 |
3,5 29.08.1998 |
0,1 20.09.12 |
−8 30.10.1997 |
−10 24.11.1998 |
−12,8 16.12.01 |
−16,9 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,6 05.01.1999 |
23,3 27.02.19 |
25,7 30.03.17 |
29,4 30.04.05 |
33,2 27.05.05 |
41,4 29.06.19 |
43 25.07.19 |
42,3 18.08.12 |
37,1 13.09.16 |
29,9 02.10.11 |
26,8 08.11.15 |
20,8 19.12.15 |
43 2019 |
Précipitations (mm) | 63,6 | 50,3 | 55,4 | 68,1 | 78,7 | 56,7 | 66 | 63,9 | 76,1 | 64,9 | 70,9 | 68,4 | 783 |
Voies de communication et transports
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 41A, 49, 49A, 72, 73, 940 et 943[6].
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[6], à 33 km.
Montgivray est desservie par la ligne F du Réseau de mobilité interurbaine[7].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[6], à 37 km.
Le territoire communal est traversé par : le sentier de grande randonnée 46[2], le sentier de grande randonnée 654[2] et par le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs[2].
La commune possède un poste source[8] sur son territoire qui est situé au lieu-dit les Maisons Brulées.
- La place NormandIe-Niemen en 2013.
Urbanisme
Typologie
Montgivray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [9] - [10] - [11]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Châtre, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[12] et 7 447 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13] - [14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Châtre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15] - [16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,7 %), prairies (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones urbanisées (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[19] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 922 |
Résidences principales | 82 % |
Résidences secondaires | 7,5 % |
Logements vacants | 10,5 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 80,7 % |
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montgivray est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Couarde et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1999 et 2020[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 954 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 760 sont en en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2002, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
On relève les formes suivantes du nom de Montgivray : Maugivrayo en 1273, Maugivray en 1289 et Montgivret[27] au XVIIIe siècle. Le « mont » de Montgivray ne désigne pas, ici, une hauteur mais est vraisemblablement une altération de « mau » (mauvais). Quant à « givray », il devrait s’agir d’un nom de personne gaulois Gabrius (du gaulois gaboro, chèvre), auquel s'est ajouté le suffixe iacus. L’étymologie désigne donc un lieu (ou une personne) de mauvaise réputation[28].
Ses habitants sont appelés les Montgivrains[29].
Histoire
La première mention connue du nom de Montgivray remonte à 1273.
Voici quelques noms des seigneurs locaux : Guyot de Ceris (1368), Guichard Rossin (1432), Jean Tripet (1457), François de Lignières (1473), Olivier Guérin (1500), Barthélémy de Guéret (1629), François Hernet (1735) et Perault (1789)[30].
Par ordonnance royale du [31], le territoire communal est amputé de onze hectares : « l’hospice et le cimetière de La Châtre, avec les maisons, jardins, terrains et prés adjacents… sont soustraits de la commune de Montgivray et réunis au territoire de La Châtre[32] ».
Le samedi [33], une station du réseau de Météo-France située sur la commune a relevé la valeur exceptionnelle de 42,3 °C. Détentrice du nouveau record absolu de chaleur dans le département de l'Indre, elle est surtout la valeur la plus élevée relevée en France lors de l'année 2012.
Politique et administration
La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère[34].
Elle dispose d'une agence postale communale[35].
Montgivray est jumelée depuis 1998, avec la commune de M'Bagne, en Mauritanie.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 1 554 habitants[Note 3], en diminution de 6,05 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.
Manifestations culturelles et festivités
Chaque année a lieu la Fête des moissons.
Chaque dernier week-end de juillet, l'ANACR organise une cérémonie d'hommage à trois résistants de la municipalité morts pour la France : Jean Pacton, Pierre Bordas et Julie Lorient[46] - [47].
Médias
La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Économie
La commune se situe dans l'unité urbaine de La Châtre, dans l’aire urbaine de La Châtre, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[34].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[48].
Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal Solange Sand qui dispose de 70 emplacements[49].
Culture locale et patrimoine
- Château néo-gothique : l'origine du château remonte jusqu'à 1130. Trente-deux propriétaires se sont succédé de 1227 à 1899. En 1956, il devient la mairie de Montgivray. Comme le dit Thalmann[50], c'est un château « sans histoires, sans tumulte, sans complot ». Après la Révolution, le château appartient, en 1837, à Hyppolite Chatiron, fils de Catherine Chatiron et Maurice Dupin, donc demi-frère de George Sand qui est d'ailleurs élevé avec la future George Sand à Nohant, comme elle l'écrit dans l'Histoire de ma vie. Après son décès en 1848, sa femme Émilie y vit jusqu'en 1870. Le château est vendu à Solange Clésinger, fille de George Sand, en 1875. L'architecte Alfred Dauvergne procède à une transformation importante de l'habitation. Le château est vendu en 1899. La demeure est à l'abandon jusqu'au rachat par la commune en 1956. La mairie en occupe une partie. Enfin en 1980, la commune acquiert des héritiers Aucante aussi la grange et les étables[51].
- Église Saint-Saturnin : le premier bâtiment de l'église, dédiée à saint Saturnin, remonte au Xe siècle. La construction de l'église actuelle débute dans la deuxième moitié du XIe siècle. L'arcade est du XIe siècle ; l'abside et les chapiteaux sont du XIIe siècle ; les deux premières travées de la nef sont du XIIe siècle. L'abside, en cul-de-four, est percée de trois fenêtres. L'église est inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel[52], notamment pour une console et une statue de la Vierge à l'Enfant. L'église a été remaniée de nombreuses fois, avec adjonction de chapelles seigneuriales. L'abbé Lecomte, peintre amateur, a exécuté des peintures murales au début du XXe siècle[53].
- Monument aux morts : il est situé juste à côté du château, sur la place devant le chevet de l'église.
- Vieux pont : la route de La Châtre à Montgivray traverse l'Indre juste à l'entrée du bourg. Les restes du vieux pont sont visibles à côté de la route. Il est qualifié de « pont en ruine », sur l'atlas de Trudaine pour la généralité de Bourges, qui date de la deuxième moitié du XVIIIe siècle.
- Le château néo-gothique et le parc en 2012.
- Les vestiges du vieux pont de la route de La Châtre en 2013.
Personnalités liées à la commune
- Paul-Émile Pascaud, abbé, né à Argenton-sur-Creuse en 1833[Note 4], ordonné prêtre en 1858. Vicaire à La Châtre pendant quelques mois, il est le curé de Lacs de 1859 à 1864, puis, pendant cinq ans, aumônier au lycée de Châteauroux et enfin curé de Montgivray de 1869 jusqu'à sa mort en 1885[Note 5][54] - [Note 6]. Il rédige en 1874, dans le style fleuri et poétique en usage à l'époque, une Histoire de Montgivray qui est publiée, après sa mort, en fascicules dans la Revue du Centre[55] en 1888-1889, sous le titre Montgivray, présentée par une courte note signée E. H. (Eugène Hubert).
- Jean Toury (1911-2003), né à Montgivray, député de l'Indre de 1962 à 1967.
- Jean Pacton (1925-1944), résistant pendant la Seconde Guerre mondiale.
- M. Le Louet, ancien de l'Escadron Normandie-Niemen, originaire de la commune. Une place (Normandie-Niemen) a été inaugurée à Montgivray le .
- Dominique Bijotat (1961-), ancien footballeur.
Voir aussi
Bibliographie
- Hugues-Emmanuel Thalmann, La Châtre et ses environs : Un autre regard, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 160 p. (ISBN 978-2-84910-699-0).
- Abbé Paul Émile Pascaud, Renseignements statistiques et administratifs sur la paroisse de Montgivray, Revue du Centre, , 160 p. (lire en ligne), p. 49-65, 128-142, 187-201, 241-256, 289-301, 321-329, 386-391, 504-512, 519-539, et tome XI (1889), p. 1-11.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Date de naissance : 23 juillet 1833 - État civil d'Argenton-sur-Creuse - N : 1833-1842 - Cote : 3 E 006/020-21.
- Date de décès : 16 novembre 1885 - État civil de Montgivray - NMD : 1884-1892 - Cote : 3 E 127/010.
- Eugène Hubert, dans la Revue du Centre de 1888, donne, à tort, pour année de décès 1876.
Références
- « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- « Montgivray » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- Eugène Hubert, Dictionnaire historique de l’Indre, Éditions Picard, réédition 1985.
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- « Fiche du Poste 36127002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Montgivray », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « Un grand défi technique pour ERDF », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de La Châtre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site de l'Insee : Montgivray, consulté le 6 septembre 2016.
- « Les risques près de chez moi - commune de Montgivray », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Atlas de Trudaine.
- Stéphane Gendron, Les Noms de lieux de l’Indre, Académie du Centre et CREDI Éditions, .
- « Nom des habitants des communes françaises, Montgivray », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Pascaud 1888.
- A.N.-F 2 II Indre 2, plan annexé à la minute.
- B. Audebert et J. Tournaire, La Châtre et la Vallée Noire, Limoges, Éditions Souny, .
- Site de Ouest-France : 42,3 degrés en Indre : Montgivray porte mal son nom !, consulté le 19 août 2012.
- « Commune de Montgivray (36127) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- JORF : Lois et décrets du 18 décembre 1942 sur Gallica.
- « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Hommage aux résistants de la commune », La Nouvelle République, 31 juillet 2020.
- « La famille d’un résistant témoigne », La Nouvelle République, 5 août 2019.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Camping municipal Solange Sand », sur le site de Berry Province (consulté le ).
- Thalmann 2007, p. 98-101.
- Site de la commune de Montgivray : Histoire du Château de Montgivray, consulté le 22 mai 2013.
- Notice no IA36000755, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site de la commune de Montgivray : Église Saint-Saturnin, consulté le 24 mai 2013.
- Thalmann 2007, p. 109.
- La Revue du Centre est alors une revue mensuelle. La publication débute dans le no 2 (15 février 1888) du tome X, page 49, et s'échelonne jusqu'au no 1 du tome XI, 1889 (exemplaire consultable aux fonds patrimoniaux de la bibliothèque de La Châtre). Le texte s'intitule Montgivray. Le titre initialement prévu par l'auteur est : Renseignements statistiques et administratifs sur la paroisse de Montgivray.