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Mont Bouquet

Le mont Bouquet est un vaste promontoire calcaire du sud du Massif central, situé entre Alès et Bagnols-sur-Cèze, dans le département du Gard et la région Occitanie.

Mont Bouquet
Vue du sommet du mont Bouquet.
Vue du sommet du mont Bouquet.
GĂ©ographie
Altitude 629 m[1]
Massif Massif central
CoordonnĂ©es 44° 07′ 58″ nord, 4° 17′ 09″ est[1]
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Ascension
Voie la plus facile Route D 607/a
GĂ©ologie
Roches Calcaire
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Mont Bouquet
GĂ©olocalisation sur la carte : Gard
(Voir situation sur carte : Gard)
Mont Bouquet

Il culmine Ă  629 mètres d'altitude au Guidon du Bouquet. Son sommet est couronnĂ© d'une chapelle abritant une Vierge (la Mère Admirable du Mont Bouquet, lieu de pèlerinage) ainsi que d'une grande antenne TDF haute de 60 mètres[2]. Depuis le sommet, on peut observer un vaste panorama sur les CĂ©vennes et le bassin alĂ©sien au nord-ouest ; la vallĂ©e du RhĂ´ne et le mont Ventoux Ă  l'est[2] ainsi que les Garrigues au sud.

On trouve une tour de vigie utilisĂ©e par les sapeurs pompiers pour prĂ©venir les risques d'incendie de la garrigue, qui couvre un territoire avec un rayon de plus de 30 km[3].

GĂ©ographie

Situation

Le mont Bouquet se situe dans le Gard, Ă  environ 22 km d'Alès, 38 km de Bagnols-sur-Cèze et 50 km de NĂ®mes. Il est Ă  la limite de trois communes, avec Bouquet au nord, Brouzet-lès-Alès Ă  l'ouest et Seynes au sud-est[1].

GĂ©ologie

Tout le versant est (du nord au sud) est fait de calcaires compacts beiges ou marnes noduleuses du Hauterivien supérieur (« n3b »[4], en marron sur la carte géologique[5]).

Le versant ouest est composé essentiellement de deux types de roches :

  • vers le sommet de toute la crĂŞte, des marnes du BarrĂ©mien infĂ©rieur (« n4aM »[4], en brun clair sur la carte gĂ©ologique[5]) ;
  • le reste du versant ouest, vers le bas, prĂ©sente un faciès de calcaire urgonien du BarrĂ©mien supĂ©rieur (« n4bU »[4], en brun clair hachurĂ© verticalement sur la carte gĂ©ologique[5]) ; de mĂŞme qu'au plateau de MĂ©jannes, ce sont des calcaires très karstifiĂ©s. Ă€ l'ouest, ils disparaissent sous les terrains tertiaires impermĂ©ables de la plaine des Plans. Ce calcaire urgonien est Ă  l'origine de nombreuses Ă©mergences pĂ©rennes et d'autres Ă©mergences temporaires ; pour le mont Bouquet, on trouve sur le flanc sud l'Ă©vent des Angostrines[6]. Les cavitĂ©s de ce karst se remplissent d'argiles de dĂ©calcification qui peuvent contenir des phosphorites ou roches phosphatĂ©es continentale concrĂ©tionnĂ©es. Avant 1914, ces remplissages Ă©taient ponctuellement exploitĂ©s sur la bordure sud-est du mont Bouquet pour la production de phosphates de chaux. Ils fournissent des phosphorites blanc jaunâtre ou noires qui titrent de 20 Ă  65 % de phosphate tricalcique[7].

Au pied des falaises urgoniennes de la région et principalement à la périphérie du mont Bouquet, on trouve des éboulis périglaciaires (« EGP »[8], en brun clair avec pointillés sur la carte géologique[5]) de 2 à 6 mètres d'épaisseur. Ce sont des éboulis ordonnés issus de phénomènes périglaciaires. Ils sont composés de lits distincts, avec des fragments anguleux de 4 à 8 cm de calcaire urgonien, emballés dans une matrice marneuse jaunâtre. Ils sont plus ou moins consolidés et leur matrice éventuellement rubéfiée. Leur nom local est « sistre ». Ils sont occasionnellement exploités pour empierrer les bas-côté des routes ou des chemins. Guilhan Paradis leur donne un âge rissien ou wurmien selon l'état de consolidation et de rubéfaction[8].

Des cavités de l'Urgonien ont été remplies d'un mélange argilo-sableux accompagné de vestiges de faune de micro-mammifères, étudiée par Jacques Michaux[9] qui les a attribués au Pliocène terminal : Trilophomys pyrenaicus, Mimomys stehlini[n 1], Stephanomys sp.[n 2], Beremendia fissidens[n 3] - [10].

Histoire

Une chapelle au sommet fut détruite en 1702 par les camisards[11], révoltés à la suite des persécutions contre les huguenots sous le règne de Louis XIV après la révocation de l'édit de Nantes. Les camisards avaient trouvé refuge dans une grotte près du sommet.

Au sommet trône la statue de la Mère Admirable, édifiée en 1864 sur une ancienne tour, le « Guidon du Bouquet ». Cependant elle fut détruite l'année suivante lors d'une tempête et reconstruite en 1866[11]. La Vierge du mont Bouquet est aujourd'hui un lieu de pèlerinage local, le premier dimanche de septembre notamment[11].

Cassini a établi au sommet une borne géographique au XVIIIe siècle.

À l'occasion du passage de l'édition 2020 de l’Étoile de Bessèges, de nombreux travaux sont menés, notamment la réhabilitation d’un ancien chemin d’accès à un champ de panneaux photovoltaïques pour permettre la déviation des véhicules d’assistance de la course[12]. Le bitume du versant par Brouzet-lès-Alès est entièrement refait. L'organisation fait l'impasse l'année suivante mais décide d'y revenir en 2022[13].

  • La tour du Castellas, au nord-ouest du mont Bouquet.
    La tour du Castellas, au nord-ouest du mont Bouquet.
  • La statue de la Mère Admirable et la table d'orientation.
    La statue de la Mère Admirable et la table d'orientation.

Cyclisme

Profil de l'ascension

L'ascension peut se faire à partir de trois versants, toujours courts mais avec des pentes sévères. Les routes abruptes du mont Bouquet rendent la descente dangereuse quel que soit le versant grimpé.

Le versant sud part de l'intersection (269 m) entre les routes D115 et D607 Ă  proximitĂ© du village de Seynes pour 5,4 km Ă  6,5 % en prenant pour arrivĂ©e la fin du parking ou bien 5,5 km Ă  6,4 % en finissant devant le site de dĂ©collage des parapentes. Il prĂ©sente un profil très irrĂ©gulier avec des replats mais aussi des passages très raides. Les 900 premiers mètres grimpent Ă  près de 6 % de moyenne avant dĂ©jĂ  de devoir dĂ©fier un passage d'environ 500 m Ă  près de 12 % de moyenne avec au bout un court passage Ă  14 %. Heureusement le pourcentage s'attĂ©nue et quelques hectomètres plus loin au niveau d'un croisement (416 m) avec une piste, on entame un kilomètre très roulant[14] qui permet de mettre du braquet, avec mĂŞme quelques petites descentes. Ce kilomètre aboutit, après avoir parcouru 2,95 km depuis le dĂ©part, Ă  une intersection (431 m) avec la route qui monte au mont Bouquet et la D147a provenant du village de Bouquet. Ici, il faudra changer de braquet car sur un peu plus d'un kilomètre la pente moyenne approche les 9 % pour rejoindre le col du Bourricot (520 m). Sur ce tronçon, les cyclistes devront une nouvelle fois se dresser sur les pĂ©dales pour franchir un effrayant « coup de cul » Ă  près de 15 %, entre deux Ă©pingles. Le col du Bourricot permet dĂ©jĂ  d'avoir un panorama dĂ©gagĂ© en direction de l'est et se situe Ă  l'intersection d'une piste qui accède au Castellas, une tour ruinĂ©e. De ce col intermĂ©diaire, il faut compter près de 730 m Ă  5,6 % jusqu'Ă  la jonction (561 m)[15] avec la D607a provenant de Brouzet-Lès-Alès, après 4,7 km de montĂ©e, mais ce pourcentage n'a aucune signification puisqu'on y alterne des raidillons Ă  plus de 10 % et des passages moins pentus notamment un bon replat juste avant le croisement des deux routes. En arrivant Ă  ce point, une dernière difficultĂ© se profile devant : une rampe Ă  environ 14 % qu'il faudra franchir avec une nouvelle fois un effort violent pour parvenir Ă  l'avant-dernière Ă©pingle. On rejoint le dernier lacet avec une difficultĂ© nettement moindre, celui-ci permet d'accĂ©der au parking sous le sommet.

  • Au fond, un premier passage raide.
    Au fond, un premier passage raide.
  • Kilomètre plus facile avant la jonction avec la route venant de Bouquet et vue sur la falaise du Clergue (582 m), voisine du mont Bouquet.
    Kilomètre plus facile avant la jonction avec la route venant de Bouquet et vue sur la falaise du Clergue (582 m), voisine du mont Bouquet.
  • Regard en arrière après une violente bosse entre deux lacets avant le col du Bourricot.
    Regard en arrière après une violente bosse entre deux lacets avant le col du Bourricot.
  • Le col du Bourricot (520 m) et la vue sur le mont Bouquet.
    Le col du Bourricot (520 m) et la vue sur le mont Bouquet.
  • La rampe finale très escarpĂ©e.
    La rampe finale très escarpée.

Le versant nord part du carrefour (252 m)[16] entre la D147 et la D147a juste avant le village de Bouquet pour 5,75 km Ă  6,5 % (arrivĂ©e au parking) ou 5,85 km Ă  6,35 % (arrivĂ©e Ă  l'aire d'envol des parapentes). Comme le versant sud, la montĂ©e est très irrĂ©gulière. L'ascension dĂ©bute tranquillement sur les premiers hectomètres jusqu'au village de Bouquet avant que la difficultĂ© n'augmente lĂ©gèrement avec des pentes Ă  près de 5 et 6 % pour rejoindre le hameau du Puech[14] (310 m)[16] après 1,3 km d'ascension. Après une bonne portion de replat de près de plus de 650 m après le temple protestant de ce hameau, les cyclistes doivent escalader une butte raide : pour passer de 320 m Ă  400 m d'altitude, la route grimpe sur près 880 m de distance, soit un secteur Ă  9,1 % de moyenne mais avec de courts passages Ă  près de 15 % sur certaines courbes de niveau très proches. Le paysage dĂ©gagĂ© permet d'apprĂ©cier sur la droite le Castellas ainsi que les falaises de la Seynette (555 m) et du Clergue (582 m). La butte atteinte permet de souffler sur un replat. Une piste Ă  droite Ă  ce niveau mène Ă  la tour ruinĂ©e du Castellas. Puis, après 3,3 km, la D147a rejoint un nouveau carrefour (431 m) qui fait jonction avec la D607 provenant de Seynes. La suite de l'itinĂ©raire est la mĂŞme que celle du versant sud.

  • Le Puech (310 m).
    Le Puech (310 m).
  • En arrière un passage difficile dans l’ascension d’une butte dĂ©gagĂ©e. Vue Ă  l’extrĂŞme-gauche sur Le Puech.
    En arrière un passage difficile dans l’ascension d’une butte dégagée. Vue à l’extrême-gauche sur Le Puech.
  • La falaise du Clergue (582 m).
    La falaise du Clergue (582 m).
  • Un replat avant d’arriver au croisement des routes de Bouquet et Seynes.
    Un replat avant d’arriver au croisement des routes de Bouquet et Seynes.
  • Le dernier lacet et l’arrivĂ©e sur le parking.
    Le dernier lacet et l’arrivée sur le parking.

Le versant ouest part du croisement (195 m)[15] entre la D7 et la D607 Ă  Brouzet-lès-Alès pour 4,7 km Ă  9,1 % si on prend le site de vol libre pour arrivĂ©e. Il s'agit du versant le plus court et le plus pentu. Il est Ă©galement moins dĂ©gagĂ© que les deux autres versants avec une route qui monte dans la garrigue. Mieux vaut ĂŞtre Ă©chauffĂ© car les premiers hectomètres pour sortir du village grimpent dĂ©jĂ  sur des pentes approchant les 11 %[14], sur un revĂŞtement granuleux de surcroĂ®t. Cependant la pente s'adoucit nettement jusqu'Ă  l'embranchement (268 m) marquant l'entrĂ©e des Carrières des Conques, après 1,1 km de montĂ©e. Le reste sera beaucoup plus difficile entre des passages Ă  forte inclinaison et de courts paliers[14]. Cela commence avec une portion d'environ 450 m Ă  plus de 11 %, suivi d'un palier qui prĂ©cède une autre section encore plus difficile. En effet, les cyclistes vont devoir affronter un « mur » de plus de 500 m dont la partie la plus ardue, pour passer de 350 m Ă  400 m d'altitude, Ă  cĂ´tĂ© de la combe des Lattes, lĂ  oĂą la route gravit les courbes de niveaux les plus resserrĂ©es, s'Ă©tale sur 340 m Ă  14,7 %. Et ce n'est qu'un pourcentage moyen car on approche parfois les 20 %. Une petite accalmie lui succède mais elle est de courte durĂ©e… Il faut Ă  nouveau escalader une nouvelle section d'approximativement 600 m et des pentes Ă  12-13 % jusqu'Ă  un dolmen signalĂ© (489 m). Il s'ensuit un rĂ©pit d'un peu moins de 300 m avant de rencontrer Ă  nouveau une forte dĂ©clivitĂ© mais plus irrĂ©gulière pour rejoindre le carrefour (561 m)[15] avec les routes provenant de Seynes et Bouquet, après 3,9 km de montĂ©e. Le final est donc le mĂŞme que pour les deux autres versants avec ce dernier raidillon Ă  franchir qui se dĂ©voile en face et les tout derniers hectomètres plus faciles.

  • Le dĂ©part de la montĂ©e Ă  Brouzet-lès-Alès, Ă  l'intersection (195 m) des routes D7 et D607.
    Le dĂ©part de la montĂ©e Ă  Brouzet-lès-Alès, Ă  l'intersection (195 m) des routes D7 et D607.
  • Après les carrières des Conques, une inscription au sol annonce l’arrivĂ©e de pourcentages extrĂŞmes.
    Après les carrières des Conques, une inscription au sol annonce l’arrivée de pourcentages extrêmes.
  • Court palier après 1,8 km d’ascension et vue sur le sommet Ă  droite.
    Court palier après 1,8 km d’ascension et vue sur le sommet Ă  droite.
  • Autre court rĂ©pit Ă  la fin de la combe des Lattes,  après 2,55 km de montĂ©e.
    Autre court rĂ©pit Ă  la fin de la combe des Lattes, après 2,55 km de montĂ©e.
  • Le croisement (561 m) avec les routes de Seynes et Bouquet et le raidillon final.
    Le croisement (561 m) avec les routes de Seynes et Bouquet et le raidillon final.

L’Étoile de Bessèges

Arrivées de l'Étoile de Bessèges
Édition Étape Vainqueur de l'étape Leader du classement général à l’arrivée de l’étape
2020 4e étape (Pont du Gard - Mont Bouquet) Ben O’Connor[17] Benoît Cosnefroy
2022 4e Ă©tape (Saint-Hilaire-de-Brethmas - Mont Bouquet) Tobias Halland Johannessen Benjamin Thomas
2023 4e étape (Saint-Christol-lez-Alès - Mont Bouquet) Mattias Skjelmose Jensen Mattias Skjelmose Jensen

À chaque fois, le mont Bouquet a été grimpé par Brouzet-lès-Alès, sur le versant le plus raide.

Autres activités

Le site est très apprécié des libéristes (parapentistes et plus rarement aujourd'hui deltistes) qui décollent du haut de la falaise abrupte surplombant le versant oriental, ou du versant sud[18].

Le site est également apprécié des radioamateurs et PMRistes comme point haut pour établir des contacts radio (QSO).

  • Parapentistes sur la piste orientale et tour de vigie des sapeurs-pompiers.
    Parapentistes sur la piste orientale et tour de vigie des sapeurs-pompiers.
  • RĂ©novation de l'aire de dĂ©collage orientale des parapentes. Vue au fond un peu Ă  gauche sur le mont Ventoux.
    Rénovation de l'aire de décollage orientale des parapentes. Vue au fond un peu à gauche sur le mont Ventoux.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Pierre-Marius Afflatet (prĂŞtre de Brouzet), La mère admirable du Mont Bouquet, Ă©dition Lacour/Rediviva, 1937 rĂ©Ă©ditĂ© en 1988. On y trouve de bonnes explications gĂ©ographiques et prĂ©-historiques, sur l'hydrologie, les cavernes, sur la flore du mont Bouquet (le « mont fleuri ») avant les nombreuses pages sur le lieu de pèlerinage (dĂ©butĂ© en 1864).
  • [Corroy 1923] G. Corroy, « Brouzet, la serre du Bouuet, Seynes, klippe de la Liquière » (excursion du 15 septembre), Bulletin de la SociĂ©tĂ© gĂ©ologique de France, t. 23, sĂ©rie 4, nos 1-9,‎ , p. 28-31 (484-487) (lire en ligne [sur biodiversitylibrary.org], consultĂ© en ).

Liens externes

Notes et références

Notes
  1. Pour Mimomys stehlini (une espèce de campagnol), voir :
    • [Bachelet et al. 1991] (en) Bernadette Bachelet, Javier Esteban Aenlle et Nieves Lopez-Martinez, « RĂ©vision des populations de Mimomys de petite taille (Rodentia, Mammalia) du Pliocène supĂ©rieur d'Europe sud-occidentale », GĂ©obios, vol. 24, no 3,‎ , p. 349-360 (rĂ©sumĂ©).
    • [Neraudeau et al. 1995] D. Neraudeau, L. Viriot, J. Chaline, B. Laurin et T. van Kolfschoten, « Discontinuity in the Plio-Pleistocene Eurasian water vole lineage », Palaeontology, vol. 38, part 1,‎ , p. 77-85 (lire en ligne [PDF] sur palass.org, consultĂ© en ).
    • (en) « †Mimomys Forsyth-Major 1902 (vole) », (genre), sur fossilworks.org (consultĂ© en ).
  2. Pour le genre Stephanomys, voir (en) « Stephanomys », sur fossilworks.org (consulté en ).
  3. Pour le genre Beremendia, voir (en) « †Beremendia Kormos 1930 (red-toothed shrew) », sur fossilworks.org (consulté en ).
Références
  1. « Carte topographique du mont Bouquet » sur Géoportail.
  2. « Le mont Bouquet », sur cevennes-tourisme.fr (consulté en ).
  3. Laurent Gutting, « Nîmes : les fumées surveillées du haut du Mont Bouquet », sur midilibre.fr, (consulté en ).
  4. Arène et al. 1978, p. 18.
  5. « Carte géologique du mont Bouquet » sur Géoportail.
  6. Arène et al. 1978, p. 31.
  7. Arène et al. 1978, p. 38.
  8. Arène et al. 1978, p. 23.
  9. [Michaux 1967] Jacques Michaux, « Découverte d'un remplissage karstique à Micro-mammifères d'âge pliocène terminal à Seynes (Gard) », Compte-rendu sommaire des séances de la Société géologique de France,‎ , p. 218. Cité dans Arène et al. 1978, p. 23.
  10. Arène et al. 1978, p. 22.
  11. « Les paroissiens invités à participer au pèlerinage du Mont Bouquet dimanche prochain », sur midilibre.fr, Midi Libre, (consulté en ).
  12. « L’Étoile de Bessèges fera étape au mont Bouquet », sur midilibre.fr (consulté en ).
  13. « Étoile de Bessèges. Le programme des étapes de l'édition 2022 », sur objectifgard.com, (consulté en ).
  14. « Mont Bouquet », sur cyclingcols.com (consulté en ).
  15. « Brouzet-lès-Alès et route du mont Bouquet » sur Géoportail.
  16. « Carrefour entre la D147 et la D147a à Bouquet » sur Géoportail.
  17. Christian Cosserat, « Ben O'connor a tout repris à zéro », sur directvelo.com, (consulté en ).
  18. « Les sites de vol du Mont Bouquet », sur alesenlair.fr (consulté en ).
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