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Monlaur-Bernet

Monlaur-Bernet (Montlaur e Vernet en gascon) est une commune française rurale, située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Monlaur-Bernet
Monlaur-Bernet
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Fabienne Nassans
2020-2026
Code postal 32140
Code commune 32272
Démographie
Gentilé Montlaurais
Population
municipale
164 hab. (2020 en augmentation de 1,86 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 09″ nord, 0° 30′ 45″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 380 m
Superficie 12,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Astarac-Gimone
Législatives Première circonscription
Localisation
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Monlaur-Bernet
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Monlaur-Bernet
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Monlaur-Bernet
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Monlaur-Bernet

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par, le ruisseau de l'Arriouat et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Monlaur-Bernet est une commune rurale qui compte 164 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 611 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Montlaurais ou Montlauraises.

    Géographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du département des Hautes-Pyrénées.

    La grande ville la plus proche, Auch, se trouve à 33 km de distance.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Larroque, Peyret-Saint-André, Aujan-Mournède, Chélan et Ponsan-Soubiran.

    Géologie et relief

    La commune se trouve à environ km du mont Cassin situé à une altitude de 377 mètres, point le plus élevé du Gers.

    Sur le point culminant du Gers (380m) se trouve la chapelle Saint-Roch.

    La superficie de la commune est de 12 km2 et l'altitude moyenne est de 339 m[2].

    Monlaur-Bernet se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Monlaur-Bernet.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le ruisseau de l'Arriouat, le ruisseau de Goule, le ruisseau d'en Bertrand, le ruisseau de Pey Crabé, le ruisseau des aygues vives, le ruisseau du Bois de Monlaur le ruisseau du Hauret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 868 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 33 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » (147 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Gers et deux dans les Hautes-Pyrénées[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Monlaur-Bernet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [I 1] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,9 %), zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (15,7 %), prairies (3,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Monlaur-Bernet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monlaur-Bernet.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 92 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    Des traces du Paléolithique (outils de pierre) ont été retrouvées près du château de Bernet. En outre, des objets de l'époque gallo-romaine tels que des débris de poteries, mortier et meules à grains du Ier siècle montrent des traces de vie à cette époque. D'autres objets attestent également d'une présence au Moyen Âge comme des poteries et des armes.

    Du Xe au XIIIe siècle, les seigneurs de Bernet étaient les Panassac. Bertrand de Panassac fit don de l'église à l’abbaye de Simorre en . Au XIIIe leur ont succédé les seigneurs de Castelbajac qui restèrent jusqu’en 1755, année au cours de laquelle le château a été racheté par le capitaine Joseph d’Abadie de Castelnau-Magnoac, dont les descendants sont toujours les actuels propriétaires du château. S'agissant de Monlaur, le livre Terrier de 1671 et le livre des mutations de 1749 mentionnent l'existence d’un château à l'endroit de l'ancien presbytère[26].

    Les communes de Monlaur (nom qui vient du nom gallo-romain Laurus qui signifie laurier ou bien du nom Mont-Lauré qui signifie Mont labouré) et Bernet (qui trouve son origine dans le nom celtique verna qui signifie aulne) ont été rassemblées en 1822 par un édit royal.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 Raoul Recurt
    1947 1977 Jean Loubeau
    1977 2001 Gaston Oléa PS
    mars 2001 2020 Roger Abadie[28]
    2020 En cours Fabienne Nassans

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30]. En 2020, la commune comptait 164 habitants[Note 6], en augmentation de 1,86 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    398287372406611592596568562
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    564528539473472442416417408
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    414414345314309324306289296
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    263246205189161160158175161
    2019 2020 - - - - - - -
    167164-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 69 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 161 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 780 â‚¬[I 4] (20 820 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]3,2 %4,8 %3,4 %
    Département[I 7]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 86 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 3,4 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 32 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,3 %[I 10].

    Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    19 établissements[Note 9] sont implantés à Monlaur-Bernet au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,4 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 19 entreprises implantées à Monlaur-Bernet), contre 12,3 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du départementdu Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations34252113
    SAU[Note 11] (ha)1 3021 3151 2251 081

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 25 en 2000 puis à 21 en 2010[35] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 302 ha en 1988 à 1 081 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 83 ha[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La chapelle Saint-Roch.
    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est un édifice néo-gothique du XVIIIe siècle qui comprend une chapelle de la Vierge et une chapelle de Saint-Joseph.
    • La chapelle romane Saint-Roch a été construite sur le point culminant du Gers : le Mont Cassin et ses 380 mètres d'altitude. Elle se situe sur un chemin de randonnée. Elle a été détruite à l'époque de la Révolution puis par un incendie, elle a été restaurée grâce à un donateur. Autrefois, Saint Roch était célébré tous les mois, en pèlerinage. Des offices ont lieu régulièrement dans cette chapelle.
    • Le cadran solaire, propriété privée.
    • Le Pigeonnier, propriété privée[37].
    • Le château de Bernet a été en partie reconstruit après 1843 « avec tout un luxe de mâchicoulis, créneaux, échauguettes et clocheton »[38], dans un style néo-gothique tardif : « Les deux façades les plus en évidence, l’une au sud-est, l'autre au sud-ouest, constituent un véritable festival […] de styles – où le castillan, le mauresque et le haut-normand le disputent vainement à l’écossais d’opéra […]. Les flammes discrètes [du] gothique ultime [de la chapelle attenante] se mélangent sans scrupule importun au flamboiement néo-tout-ce-que-l’on-veut – mais d’esprit baroque éternel, essentiellement, sur le mode troubadour highlandais –, de ce Balmoral ou Cecilienhof gascon. »[39] Propriété privée, ne se visite pas.
    • Site castral de Monlaur. Le cadastre de Monlaur de 1748[40] fait état d'un château, palissade et fossés à l'emplacement de l'ancien presbytère. Aucun vestige de l'ancien château n'est aujourd'hui visible en élévation.
    • L'église Sainte-Foy, près du château, date du XVe siècle à l'initiative de Pierre-Arnaud de Castelbajac, évêque de Pamiers de 1483 à 1494. Un blason placé au-dessus du portail serait celui de Pierre-Arnaud de Castelbajac ou de François-Philibert de Savoie. L’église est décorée de semis d’étoiles, fleurs stylisées, blasons ainsi que de peintures murales du XIXe siècle. L'église comprend également une chapelle de la Vierge et deux fenêtres gothiques, l'une de style rayonnant et l'autre de style flamboyant.
    • Le canal de Monlaur, construit au milieu du XIXe siècle par l’ingénieur Montet pour ravitailler les troupes napoléoniennes en eau, mesure 29 km. Le canal a été prolongé jusqu’à Ornézan dans les années 1950 et sert à présent pour l'irrigation. C'est la compagnie d'aménagement des coteaux de Gascogne qui a la charge de la gestion des canaux[41].
    • Ours à la chapelle Saint-Roch.
      Ours à la chapelle Saint-Roch.
    • Vue depuis le Mont Cassin avec le château de Bernet.
      Vue depuis le Mont Cassin avec le château de Bernet.

    Les produits régionaux

    Les produits de la région sont le canard à foie gras du Sud-Ouest, les volailles de Gascogne et du Gers, le jambon de Bayonne, les haricots tarbais. Les vins de la région sont le comté-tolosan, les côtes-de-gascogne et le Gers.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Monlaur-Bernet » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Monlaur-Bernet » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monlaur-Bernet » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monlaur-Bernet » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Monlaur-Bernet » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. (en) « Carte de France », sur Bakchich -, (consulté le ).
    3. Plan séisme
    4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    5. « Fiche communale de Monlaur-Bernet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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