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Monchaux-Soreng

Monchaux-Soreng est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Monchaux-Soreng
Monchaux-Soreng
L'Ă©glise Saint-Martin de Soreng.
Blason de Monchaux-Soreng
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Jean-Claude Quénot
2020-2026
Code postal 76340
Code commune 76441
DĂ©mographie
Gentilé Monchaliens, Monchaliennes
Population
municipale
622 hab. (2020 en diminution de 4,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 62 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 56â€Č 57″ nord, 1° 35â€Č 38″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 201 m
Superficie 10,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blangy-sur-Bresle
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Eu
LĂ©gislatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Monchaux-Soreng
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Monchaux-Soreng
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Monchaux-Soreng

    Les habitants de Monchaux-Soreng sont appelés les Monchaliens, Monchaliennes.

    GĂ©ographie

    Description

    La commune est Ă  une altitude moyenne de 50 m.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 824 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 786,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le dĂ©partement de la Somme, mise en service en 1922 et Ă  24 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Monchaux-Soreng est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (51,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,9 %), terres arables (35,6 %), prairies (15,9 %), zones urbanisĂ©es (5,6 %), eaux continentales[Note 8] (1,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Les localitĂ©s de l’Epinoy et de Soreng ont Ă©tĂ© rĂ©unies sous le nom de Soreng l’Epinoy en 1790. Monchaux a Ă©tĂ© rĂ©unie Ă  Soreng-l'Épinay sous le nom de Monchaux-Soreng par un ordre royal du .

    Monchaux est attesté sous les formes de Moncellis au début du XIIe siÚcle; de Monchiaux en 1225[21]; Ecclesia de Monceaus vers 1240; Parrochia Sancti Nicholai de Monchiaux en 1348; Monceaux en 1371; Mouchiax en 1389 et 1392; de Monchaulx en 1419; de Monceaulx en 1420[22]; Eglise de Moncel en 1429[23]; Mouchaux en 1433[24]; Les hospitaliers de Monceaux en 1451[25]; Ecclesia Sancti Nicolai de Moncheaux en 1480[26]; Chapelle Saint Fiacre de Mouchaulx en [27]; Mouceaux en 1494 et 1495[28] et Monchiaux en 1494[29]; Fief de Monchaulx en 1503; Ville de Monchaux en 1520[30]; Hostel Dieu de Monchaux en 1567; Bourg de Monchaulx en 1568[31]; Monceaux en 1595[32]; de Mouchellis au XVIe siÚcle[33]; Monchaux en 1660[30]; Ecclesie Sancti Arnaldi de Mouchault en 1668[34]; Saint Nicolas de Monchaux et Chapelle ou hopital de Monchaux en 1716[35]; Monchaux en 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini); Garderie de Montchaux en 1768[36].
    Ce toponyme est une variante rĂ©gionale de monceau, issu du latin monticellus, « petit mont Â».

    Soreng est attesté sous les formes Ecclesia de Sorenc en 1177; Feodum de Soren vers 1210; Miles de Sorenc en 1221[37]; Sorenc en 1337 et en 1431 (Longnon); Soreng entre 1433 et 1460[38]; Sorenc au XVIe siÚcle[39], entre 1648 et 1704 (Pouillé); Sorang en 1680 et 1682[40]; Soran en 1683[41]; Ecclesie Sancti Martini de Sorent en 1701[42]; Soreng 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini)[43].
    .

    Histoire

    Bourg dépendant du comté d'Eu en 1660[30], autrefois fermé de murailles[36].

    Le , un Avr 626 Tutor s'y écrase, coûtant la vie aux deux aviateurs égyptiens.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 Bailly
    avant 1988 Gérard Vallée
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 23 juillet 2020)
    Jean-Claude QuĂ©not SE puis DVD Vice-prĂ©sident de la CC interrĂ©gionale Aumale - Blangy-sur-Bresle (2017 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[44] - [45] - [46]

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[48].

    En 2020, la commune comptait 622 habitants[Note 9], en diminution de 4,16 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    380343358308555555570532539
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    525505492475458407385341354
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    355377380354410427459464459
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    475438481576644668649653644
    2015 2020 - - - - - - -
    650622-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des Ăąges

    Il y a actuellement 659 Monchaliens dont 27,2 % ont moins de 20 ans. 73,4 % sont propriétaires de leur logement et 1,5 % diplÎmés de l'enseignement supérieur. La taille moyenne des foyers est de 3 « unités » et l'ùge moyen est de 38 ans.

    La population monchalienne est constituée de 46,2 % d'hommes et 53,8 % de femmes.

    Enseignement

    Au niveau de l'enseignement primaire, les communes de Rieux, Bazinval et Monchaux-Soreng sont associées au sein d'un regroupement pédagogique pour l'accueil de leurs élÚves[51].

    Culture locale et patrimoine

    Éolienne entre pommiers en pĂ©ril.

    Lieux et monuments

    Église de Monchaux-Soreng.
    • Église Saint-Martin dont la flĂšche du clocher est ornĂ©e d'une croix losangique.

    HĂ©raldique

    Armes de Monchaux-Soreng

    Les armes de la commune de Monchaux-Soreng se blasonnent ainsi :

    D'argent fretté de gueules, au franc quartier d'azur chargé d'une fleur de lis d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Monchaux-Soreng et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Monchaux-Soreng et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Archives départementales de la Seine-Maritime, M. 6 H.
    22. Archives Nat., P. 284-2-303-514.
    23. Archives départementales de la Seine-Maritime, 30-31.
    24. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3268.
    25. Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 8226-8254.
    26. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 9471.
    27. Archives départementales de la Seine-Maritime, B Echiquier.
    28. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 81.
    29. Archives de Seine-Maritime G. 1535.
    30. Archives de Seine-Maritime E Comté d'Eu Inventaire 61.
    31. Archives départementales de la Seine-Maritime, E Tab. Blangy.
    32. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen.
    33. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 4.
    34. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1546.
    35. Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 740.
    36. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 656.
    37. Archives Nat. S 5201 A.
    38. Archives de Seine-Maritime G 3268, 3269.
    39. Archives de Seine-Maritime G 4.
    40. Archives de Seine-Maritime G 1536.
    41. Archives de Seine-Maritime, G Arch.
    42. Archives de Seine-Maritime, G 1552.
    43. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p.959.
    44. RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, Ă©dition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 19..
    45. « Monchaux-Soreng : le maire sortant candidat Ă  sa propre succession : Jean-Claude QuĂ©not a confirmĂ© lors de ses vƓux le 24 janvier 2020 qu’il sera candidat en mars prochain pour un 4e mandat. « C’est le moment de ne rien lĂącher» explique-t-il », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    46. Blandine Thoreux, « Jean-Claude Quenot reste maire en Seine-Maritime : Mercredi 27 mai 2020 Ă  Monchaux-Soreng, Jean-Claude QuĂ©not a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire. Une fonction qu'il occupe depuis 2001 », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. « Plusieurs chantiers sur le site du chĂąteau », Courrier picard,‎ , p. 12
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