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Longroy

Longroy est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Longroy
Longroy
La gare de Longroy-Gamaches.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes des Villes SƓurs
Maire
Mandat
Jean-Pierre Troley
2020-2026
Code postal 76260
Code commune 76394
DĂ©mographie
Gentilé Longroisiens, Longroisiennes
Population
municipale
634 hab. (2020 en diminution de 1,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 119 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 59â€Č 23″ nord, 1° 32â€Č 15″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 150 m
Superficie 5,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gamaches
(banlieue)
Aire d'attraction Eu
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Eu
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Longroy
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Longroy
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Longroy

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Longroy
    Incheville Gamaches
    (Somme)
    Millebosc Longroy
    Guerville Monchaux-Soreng

    Voies de communication et transports

    Le bĂątiment voyageurs de la gare de Longroy - Gamaches.

    Longroy est desservie par la gare de Longroy - Gamaches, située au PK 166,3 sur la ligne à voie unique Abancourt - Le Tréport Mers. La gare dispose d'un ancien sémaphore Lartigue, en direction de Le Tréport - Mers, qui n'est plus fonctionnel. Le bùtiment voyageurs n'est désormais plus utilisé et ses issues sont murées.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 851 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve Ă  17 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 786,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le dĂ©partement de la Somme, mise en service en 1922 et Ă  25 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Longroy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Gamaches, une agglomĂ©ration inter-rĂ©gionale regroupant 2 communes[17] et 3 182 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (49,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (49,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,6 %), prairies (32,7 %), terres arables (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,4 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %), eaux continentales[Note 8] (0,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Lonreio en 1059[24].

    Toponyme Ă©voquant soit un « long guĂ© Â» (du gaulois ritu > roi, rai), soit un « long sillon Â», une « longue raie Â» (sans doute un « long champ Â»). Selon François de Beaurepaire, la finale -roy reprĂ©senterait l'aboutissement picard de l'appellatif gaulois ritum, guĂ©, chaussĂ©e, dont la survie fut tardive dans cette partie de la France. La graphie actuelle dĂ©riverait d'une fausse Ă©tymologie populaire[25]. Xavier Delamarre voit dans la premiĂšre syllabe le gaulois longo (navire) ; Longroy serait donc « le guĂ© des navires », tout comme Le GuĂ©-de-Longroi (Eure-et-Loir)[26].

    Histoire

    Seigneuries

    • Robert de Longroy, participa Ă  la bataille de Poitiers le
    • Jacques de Longroy, chevalier, fils de Robert, seigneur de Saint-Victor en Caux, Basinval, Espinoy, Goussonville, Bos-Ricard, Hallencourt, Questre et Wastine, Ă©pousa vers 1373 Marie, Dame de Querrieu, fille unique d'Isaac de Querrieu, devenant ainsi seigneur de Prouzel Ronquerolles et Querrieu. Il fut conseiller et chambellan des ducs de Bourgogne et lieutenant du capitaine-gĂ©nĂ©ral de Picardie. Philippe II dit Le Hardi, lui donna par lettre du , une rente de trois cents livres comme rĂ©compense de ses services. Jean dit sans Peur, lui donna un cheval de bataille en 1405 et mille Ă©cus d'or le . Homme d'armes de Jean de Luxembourg, il participa en 1412 Ă  la bataille de Saint-RĂ©my-du-Plain. À la tĂȘte de quinze cents hommes d'armes, il tenta une entreprise qui Ă©choua sur GuĂźnes en 1412, mais, Ă  la tĂȘte de trois cents lances et six cents archers, il en prit le chĂąteau aux Anglais en 1413. Il fut nommĂ© capitaine d'Ardres et des pays environnants en 1414. Le , il amena Ă  Azincourt les milices communales du Boulonnais. Il fut tuĂ© alors qu'il commandait l'arriĂšre-garde française regroupant 600 hommes qui furent massacrĂ©s jusqu'au dernier[27] - [28].

    Époque contemporaine

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms de Gué-de-Voyse et de Val-Pelletier[29].

    Politique et administration

    L'hĂŽtel de ville.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 En cours
    (au 20 juillet 2020)
    Jean-Pierre Troley Retraité
    Vice-prĂ©sident de la CC des Villes SƓurs (2014 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[30] - [31] - [32]

    Distinctions et labels

    La commune a été récompensée d'une seconde fleur en 2019 par le jury régional des villes et villages fleuris[31].

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 634 habitants[Note 9], en diminution de 1,25 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    290280245288368345370382404
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    387424410446509472478517476
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    472485547555579571563592639
    1962 1968 2006 2009 2014 2019 2020 - -
    630649649669642630634--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Pour l'enseignement primaire, les communes de Melleville, Millebosc, Longroy et Guerville sont associĂ©es au sein d'un regroupement pĂ©dagogique intercommunal (RPI) qui compte cinq classes pour l'annĂ©e scolaire 2017-2018[36]. L'ensemble est gĂ©rĂ© financiĂšrement par le Sivos (syndicat Ă  vocation scolaire) de la ForĂȘt.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Clément.
    • L'Ă©glise Saint-ClĂ©ment.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Longroy et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Longroy et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Gamaches », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Eu », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 302.
    25. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - pages 101 et 159.
    26. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 206.
    27. Nobiliaire du Ponthieu, tome II, pages 189,190,309 (Gallica),
    28. Alfred Gosselin, Monographie du village de Querrieu, Ă©ditions Yvert et Tellier, 1911, pages 273 Ă  277
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, Ă©dition d'Abbeville, 3 avril 2014, p. 14..
    31. Xavier Togni, « Le maire de Longroy, Jean-Pierre Troley, repart pour les municipales. Pas son adjointe : Jean-Pierre Troley a confirmĂ© qu’il se reprĂ©sentait. En revanche, sa premiĂšre adjointe, Annie Boissay, renonce. Non sans Ă©motion », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. « Longroy. Jean-Pierre Troley rempile pour un cinquiĂšme mandat : La rĂ©union du conseil municipal de Longroy a eu lieu le 27 mai dernier. Jean-Pierre Troley a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire de la commune », L'Informateur d'Eu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Seul candidat au poste de maire, Jean-Pierre Troley a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu Ă  la majoritĂ© absolue, pour un cinquiĂšme mandat ».
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Une Ă©cole en danger en forĂȘt d'Eu », Courrier picard,‎ , p. 13.
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