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Miramont-d'Astarac

Miramont-d'Astarac (Miramont d'Astarac en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Miramont-d'Astarac
Miramont-d'Astarac
Église Saint-Gilles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Christian Falceto
2020-2026
Code postal 32300
Code commune 32254
Démographie
Gentilé Miramontais
Population
municipale
347 hab. (2020 en diminution de 2,8 % par rapport à 2014)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 51″ nord, 0° 28′ 12″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 273 m
Superficie 14,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse et par divers autres petits cours d'eau.

    Miramont-d'Astarac est une commune rurale qui compte 347 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Miramontais ou Miramontaises.

    Géographie

    Localisation

    Miramont-d'Astarac est une commune de Gascogne située en Astarac, dans l'aire d'attraction d'Auch, sur la Petite Baïse.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Idrac-Respaillès, Labéjan, Lamazère, Mirande, Mouchès et Saint-Jean-le-Comtal.

    Communes limitrophes de Miramont-d'Astarac[1]
    Mouchès Lamazère Saint-Jean-le-Comtal
    Mirande Miramont-d'Astarac Labéjan
    Idrac-Respaillès

    Géologie et relief

    Miramont-d'Astarac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Miramont-d'Astarac.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, le ruisseau de Laplagne, le ruisseau de Lassalle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 809 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 791,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 14 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17] - [18] - [19].

    Urbanisme

    Typologie

    Miramont-d'Astarac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [20] - [I 1] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,7 %), prairies (14,7 %), terres arables (14,5 %), forêts (8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée du nord-est vers le sud-ouest par la route nationale N21, qui relie Auch à Mirande, et du sud vers le nord par la route départementale D2, en provenance d'Idrac-Respaillès et se dirigeant vers L'Isle-de-Noé.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Miramont-d'Astarac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Miramont-d'Astarac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 185 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 185 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2015. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2011, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1792 François Berger
    1792 1801 Louis Tarrieux
    1792 1793 Jean Dominique Tournous
    1793 1796 Blaise Dardaignon
    1796 1801 Dominique Bonne
    1801 1803 Joseph Lasmezas
    1801 1815 Pierre Paris
    1801 1808 Joseph Sorbets
    1803 1815 Blaise Ainé Trouette
    1808 1811 Joseph Sagazan
    1811 1816 Augustin Paris
    1815 1828 Antoine Ainé Trouette
    1815 1828 Pierre Jean François Sainte Christie (de)
    1816 1818 François Seillan
    1818 1821 Bertrand Lacassin
    1821 1830 Bertrand Doumic
    1830 1831 Sainte Christie (de)
    1831 1835 Pierre Paris
    1835 1841 Bertrand Lacassin
    1841 1846 Blaise Trouette
    1846 1848 Clair Doumic
    1848 1848 Adrien Paris Bordeneuve
    1849 1859 Clair Doumic
    1859 1870 Bernard Paris
    1870 1871 Auguste Paris
    1871 1878 Anaclet Verdier
    1878 1881 Joseph Baron
    1881 1882 Auguste Paris
    1882 1883 Pierre François Castelbajac (de)
    1883 1888 Anaclet Verdier
    1888 1912 Henry Castelbajac (de)
    1912 1914 Clément Debats
    1914 1918 Bernard Soton
    1918 1941 Clément Debats
    1941 1944 Godefroy Lamarque
    1944 1945 Emile Ader
    1945 1947 Godefrroy Lamarque
    1947 1965 Edouard Lasportes
    1965 2001 Maurice Garros PS
    mars 2001 2008 Marie-Rose Dalle-Carbonare
    2008 En cours Christian Falceto[28] DVG Retraité
    Tour.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30]. En 2020, la commune comptait 347 habitants[Note 6], en diminution de 2,8 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    422312330325585662592588582
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    586584567531532490478419392
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    361369341330322311292279282
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    265223253314344361357350347
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 147 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 359 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 020 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,7 %4 %7,1 %
    Département[I 7]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 220 personnes, parmi lesquelles on compte 73,7 % d'actifs (66,6 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 26,3 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 61 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 151, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,2 %[I 10].

    Sur ces 151 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    25 établissements[Note 9] sont implantés à Miramont-d'Astarac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantées à Miramont-d'Astarac), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations31212713
    SAU[Note 12] (ha)1 1217581 143949

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 21 en 2000 puis à 27 en 2010[35] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 58 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 121 ha en 1988 à 949 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 73 ha[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La chapelle Saint-Michel-de-Vicnau
    • Visible depuis la RN 21, une tour médiévale (XIVe siècle) ayant appartenu aux comtes d'Astarac surplombe la cour de l'école et le village. La tour succède à une occupation seigneuriale antérieure marquée par la présence d'une motte castrale à 250 m à l'ouest[37] ;
    • L'église paroissiale Saint-Gilles de Miramont-d'Astarac est située en contrebas ;
    • Le château de Beaulieu (XVIIe siècle) est devenu un gîte. Corps de bâtiment rectangulaire flanqué de deux tours de plan carré ;
    • La motte castrale d'Espic, de plan ovale (12 m sur 30 m), proche de la chapelle de Vicnau.
    • Le château de Villeneuve. Figuré sur la carte de Cassini et sur le cadastre de 1823[38], le château s'élevait non loin d'un passage sur la Petite-Baïse. Il se composait de bâtiments formant cour et prolongés par une vaste plate-forme fossoyée. Encore visible sur la carte IGN de 1950[39], la château a aujourd'hui disparu en élévation.
    • La chapelle Saint-Jean-Baptiste-de-Laffitte, construite aux XVIIe et XVIIIe siècles, était l'église paroissiale d'un village disparu ;
    • La chapelle Saint-Michel-de-Vicnau est aussi une ancienne église paroissiale de style roman, construite sur une motte castrale.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Miramont-d'Astarac » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Miramont-d'Astarac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Baïse »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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