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Maximilien Radix de Sainte-Foix

Charles-Pierre-Maximilien Radix de Sainte-Foix, né à Paris Saint-Merry le , mort à Bourbonne-les-Bains le , est un célèbre financier qui s’illustra comme Surintendant des Finances du comte d’Artois, puis comme chef du cabinet secret des Tuileries à l’époque où Louis XVI y était retenu. Son rôle dans l’histoire de la contre-révolution de l’intérieur est de première importance.

Maximilien Radix de Sainte-Foix
Fonction
Trésorier de la Marine (en)
-
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activité
Fratrie
Marie Geneviève Radix de Sainte-Foy (en)

L’Ancien Régime

Charles-Pierre Maximilien Radix de Sainte-Foix est le fils de Claude Mathieu Radix et de Marie-Élisabeth Denis. Il est nommé attaché d'ambassade à Vienne en 1759. En 1764, il devient Trésorier de la Marine, un poste éminemment lucratif où plusieurs de ses contemporains ont réalisé des fortunes immenses. Il reste à ce poste jusqu'en 1771[1].

En 1774 il est nommé par Vergennes, dont il est un temps le favori, premier commis-secrétaire de légation puis ministre plénipotentiaire à la cour du duc des Deux-Ponts où il vécut.

AppelĂ© Ă  Versailles pour exercer en 1776 les fonctions de Surintendant des finances du comte d’Artois, il acquitte sans peine apparente la somme (Ă©norme) de 300 000 livres nĂ©cessaire Ă  l’obtention de cette charge vĂ©nale. Une fois en place, il fait tout pour ĂŞtre agrĂ©able Ă  son maĂ®tre dont le train de vie Ă©tait extrĂŞmement dispendieux. Le benjamin des trois petits fils de Louis XV, contrairement Ă  ses deux frères, Ă©tait tournĂ© vers les plaisirs faciles et coĂ»teux, peu enclin Ă  la lecture et Ă  la rĂ©flexion. Radix de Sainte-Foix qui Ă©tait un habile courtisan l’accompagna autant qu’il le pouvait dans ses dĂ©sirs. On disait que le prince lui devait « une partie des plaisirs qui formaient le tissu de sa vie[2] Â». Radix de Sainte-Foy aurait .

Radix de Sainte-Foix ne demeure pas en reste, et quoique non noble, il entendait mener un train de grand seigneur et savait donner de quoi alimenter la chronique scandaleuse. Il aurait eu pour maĂ®tresse la future Madame du Barry et, selon les nouvelles Ă  la main et les correspondances diplomatiques, Ă©tĂ© l’amant de la duchesse de Mazarin, connue par sa galanterie et son embonpoint, une aventure qui aurait coĂ»tĂ© 500 000 Ă©cus Ă  cette dame. Celle-ci n’hĂ©sitait jamais Ă  donner un coup de pouce Ă  ses amants, ainsi plus tard le prince de Salm endettĂ©[3]. Il tenait table ouverte au château de Neuilly, acquis en 1776 – plus tard la propriĂ©tĂ© des ducs d’OrlĂ©ans â€“, disposait d’une cave bien fournie, des plus fins cuisiniers et aussi de loges Ă  l’annĂ©e dans les principales salles de spectacle dont il faisait profiter ses belles amies. Il eut une très longue liaison avec une jeune femme d’origine malouine, Mlle Marie-Françoise Henriette LachĂ©, dite « de Saint-Albin[4] Â», qui Ă©tait « la plus belle crĂ©ature imaginable Â», et très intelligente. Elle lui sert de prĂŞte-nom et de commissionnaire entre Paris et Londres[5].

Il fait l’acquisition d’un hôtel somptueux commandité par Bourret de Vézalay et édifié sous la direction de Brongniart, qui s’élevait à l’emplacement de l’actuel opéra Garnier[6]. Il acquiert en 1779, du comte d’Artois, des terrains situés rue d’Angoulême (actuelle rue Jean-Mermoz), aux Champs-Élysées, terrains immenses qu’il fait partiellement lotir.

AccusĂ© dès 1780 par Jacques Necker d’avoir dĂ©tournĂ© cinq millions Ă  lui confiĂ©s par le comte d’Artois, il n'est dĂ©crĂ©tĂ© de prise de corps que le . PrĂ©venu, il peut s’enfuir Ă  Londres avec Mlle de Saint-Albin. HumiliĂ©, car cette affaire de dĂ©tournement Ă©tait moins que claire – on dit mĂŞme que c’était un artifice permettant au comte d’Artois de ne pas rembourser telle somme qu’il avait empruntĂ©e, on ne le saura jamais â€“, Radix de Sainte-Foix rejoint le groupe des mĂ©contents des annĂ©es prĂ©-rĂ©volutionnaires : Baudard de Saint-James – qui meurt en prison â€“, le contrĂ´leur gĂ©nĂ©ral des Finances Calonne, le banquier Jean-Joseph de Laborde, tous ayant Ă©prouvĂ© une grande humiliation Ă  un titre ou Ă  un autre. Il met Ă  profit son temps libre pour faire vendre sa collection de tableaux et sa bibliothèque de premier ordre. Puis il se consacre Ă  la vie mondaine et sans doute aux voyages.

Au moment précis où le comte d’Artois part en émigration, Radix de Sainte-Foix arrive de Londres à Paris. La Bastille venait de tomber. Il est fort bien accueilli par le duc d’Orléans dans les salons duquel il côtoie Choderlos de Laclos, Nathaniel Parker-Forth et Bertrand Barère de Vieuzac. Il revoit divers membres de sa famille et notamment son neveu Antoine Omer Talon et le jeune avocat Huguet de Sémonville qui s’attachent tous les deux à ses pas.

Louis XVI aux Tuileries

Ă€ partir de 1791, alors que Montmorin, ministre des Affaires Ă©trangères, consacre une partie de son temps Ă  organiser la rĂ©sistance aux progrès de la RĂ©volution, il songe Ă  Radix de Sainte-Foix dont il connaissait les compĂ©tences financières et l’esprit d’intrigue si nĂ©cessaires Ă  ce genre d’entreprise. Depuis un moment, les fonds de la Liste civile, votĂ©s annuellement par l’AssemblĂ©e nationale Ă©tait partiellement affectĂ©s Ă  des dĂ©penses secrètes. Le train de vie de la famille royale avait Ă©videmment diminuĂ© depuis, notamment, le vote de la loi sur la rĂ©sidence du « premier fonctionnaire Â» de l’État – c’est-Ă -dire Louis XVI qui ne devait pas s’éloigner de Paris pendant les travaux de l’AssemblĂ©e. Il y avait donc des sommes Ă©normes, traditionnellement affectĂ©es Ă  la reprĂ©sentation des princes, qui Ă©taient inemployĂ©es, d’oĂą l’idĂ©e suggĂ©rĂ©e par Mirabeau de les utiliser pour le salut de la monarchie constitutionnelle. C’est l’Intendant de la civile, M. Arnault de Laporte, qui Ă©tait chargĂ© de la Liste civile et c’est en Ă©troite concertation avec Montmorin et Mirabeau, puis Ă  la mort de ce dernier, avec Radix de Sainte-Foix, que fut mise en Ĺ“uvre la politique dangereuse de pourrissement de la RĂ©volution par l’argent. C’est lui qui encouragea Louis XVI Ă  prendre Dumouriez au ministère des affaires Ă©trangères en remplacement de Valdec de Lessart. Ses relations avec l’ancien agent de Vergennes Ă©taient plus que cordiales, intimes. L’épopĂ©e de Dumouriez a vĂ©ritablement Ă©tĂ© possible grâce Ă  Radix de Sainte-Foix qui l’a constamment inspirĂ©.

Il avait conservé des contacts avec les milieux politiques anglais, notamment avec son vieil Lord Cholmondeley, avec lequel il correspondait par l’intermédiaire de Mlle de Saint-Albin qui fit plusieurs aller et retour entre Londres et Paris, chargée de lettres pour Radix et aussi pour Jean-Frédéric Perrégaux. Aux Tuileries, Radix de Sainte-Foix sut se montrer si convaincant que Louis XVI ne douta jamais que son attachement à la bonne cause fût sincère. Le roi, qui n’avait pas de stratégie d’ensemble, avait des engouements successifs pour des hommes qui n’en valaient pas toujours la peine et son jugement, à en lire sa correspondance, n’était jamais assuré.

Au début de la Révolution, Radix de Sainte-Foix chercha à réaliser certains de ses biens immobiliers, notamment ses terrains bâtis ou à bâtir de la rue d’Angoulême, dans le but d'acquérir des biens nationaux de grand rapport, ce qu’il fit souvent grâce à des prête noms: ensemble des ruines de Pierrefonds, ruines de Béhéricourt avec 147 hectares de vignes[7], domaines de l’abbaye du Mont-Saint-Martin près du Catelet dans l’Aisne, d’autres objets spéculatifs qui ne lui coûtèrent pratiquement rien. Dans le même temps il vendait un de ses terrains de la rue d’Angoulême à Talleyrand et son château de Neuilly à Charlotte de Montesson. Il avait placé l’essentiel de ses fonds en Angleterre et, en 1792, résidait modestement dans un vaste appartement situé aux arcades du Palais-Royal, no 148, où il recevait et donnait à jouer quand il le pouvait. Il partageait son appartement avec Jean-Geoffroy Seiffert, ancien médecin de Xavier de Saxe, de la princesse de Lamballe et de la famille d'Orléans, cofondateur du club des Jacobins. Parmi ses habitués : Dumouriez, Talleyrand, Simolin, ambassadeur de Russie en France, Montmorin, Rayneval et le général de Biron.

Il lui Ă©tait commode d’avoir des contacts suivis avec les spĂ©culateurs sur les biens nationaux – comme Antoine Merlin de Thionville qui en Ă©tait l'un des reprĂ©sentants les plus en vue â€“ qui formaient la nĂ©buleuse nommĂ©e la « Bande noire Â». Il voyait aussi beaucoup de dĂ©magogues Ă  double casquette, comme Antoine Joseph Santerre et François Desfieux, passant dans les clubs populaires pour ĂŞtre des rĂ©volutionnaires "avancĂ©s", et le soir venu, redevenait ce qu’ils Ă©taient, des muscadins Ă©litistes et opportunistes. C’est dans ces lieux et ces circonstances qu’il a su intĂ©resser certains meneurs populaires, comme Georges-Jacques Danton[8], aux subsides de la Liste civile, avec des rĂ©sultats qui furent, l’histoire l’a prouvĂ©, en dessous du mĂ©diocre. Ă€ la fin de l’annĂ©e 1792 et au dĂ©but de l’annĂ©e 1793, la Convention donna l’ordre de publier intĂ©gralement ceux des papiers trouvĂ©s dans les Tuileries, du moins ceux qui avaient survĂ©cu Ă  quelques filtrages – l'imprudent Roland, ministre de l'IntĂ©rieur, ne parvint jamais Ă  dĂ©gager sa responsabilitĂ© â€“ avant la pose des scellĂ©s. Bien qu’incomplets ils donnent nĂ©anmoins, dans leur diversitĂ© et leur indiscrĂ©tion, des renseignements de première main sur la rĂ©alitĂ© des entreprises de corruption menĂ©es par Montmorin, Bertrand de Molleville et surtout Radix de Sainte-Foix, qui Ă©tait secondĂ©, dans cette tâche, par son neveu Antoine Omer Talon[9]. On trouve dans cette dizaine de volumes – qui, ne comportant malheureusement pas d'index des personnes, sont donc ignorĂ©s des historiens â€“, les noms de tous ceux qui, sous la Constituante et sous la LĂ©gislative, prĂ©sentaient un intĂ©rĂŞt stratĂ©gique pour les conseillers de Louis XVI. Mais la rapiditĂ© des Ă©vĂ©nements a empĂŞchĂ© que des poursuites fussent engagĂ©es contre ceux qui avaient rĂ©pondu aux sollicitations de la cour, malgrĂ© l’importance politique que les Girondins y accordaient. Cette menace que ces derniers firent peser sur ceux des Montagnards dont les noms Ă©taient apparus dans ces archives, prĂ©cipitèrent les insurrections fomentĂ©es au printemps 1793 par les ExagĂ©rĂ©s qui, les premiers, redoutaient Ă  avoir Ă  rĂ©pondre Ă  des accusations de corruption ou de trahison. Le coup d’État du dont les causes rĂ©elles tiennent Ă  ces rĂ©vĂ©lations priva l’Histoire d’une procĂ©dure qui aurait assurĂ©ment changĂ© son cours.

Rendre des comptes ?

Il n’y avait pas un dĂ©putĂ© de la Convention qui, au moment du procès de Louis XVI, fĂ»t ignorant du rĂ´le jouĂ© par Radix de Sainte-Foix et des rĂ©vĂ©lations que l’on aurait pu obtenir de lui. Au vu des papiers trouvĂ©s dans « l'armoire de fer Â», il fut dĂ©crĂ©tĂ© de prise de corps Ă  la demande des Girondins, alors qu’il Ă©tait parti dans sa province, et appelĂ© Ă  s’expliquer devant la justice. Il fut interrogĂ© le au tribunal criminel du dĂ©partement de Paris par Ruhl, ami de Danton, sous la prĂ©sidence de Jules François ParĂ©, ancien clerc de Danton. Mais c'est la dĂ©position de Bertrand Barère de Vieuzac qui permit son acquittement[10]. Dans ses MĂ©moires publiĂ©s longtemps après ses Ă©vĂ©nements, Barère a racontĂ© que c'est Dumouriez qui l'avait pressĂ© d'intervenir en faveur de Radix. En vĂ©ritĂ©, Bertrand Barère de Vieuzac avait tout Ă  craindre de rĂ©vĂ©lations Ă©ventuelles de Radix de Sainte-Foix – qui comparaissait devant un tribunal ordinaire â€“ sur ses compromissions diverses avec la "faction d'OrlĂ©ans" durant les deux premières lĂ©gislatures. Il avait intĂ©rĂŞt Ă  le mĂ©nager et Ă  le faire acquitter. Radix de Sainte-Foix fut nĂ©anmoins condamnĂ© Ă  passer le temps de la RĂ©volution Ă  rĂ©sidence[11], c'est-Ă -dire chez lui au Palais-Royal, jusqu'Ă  son Ă©largissement le suivant. Il se retira avec sa fille Anne au Catelet, dans l'Aisne, jusqu'Ă  ce que de nouvelles dĂ©nonciations le frappent, celle, entre autres, d'avoir spĂ©culĂ© abusivement sur les biens nationaux[12]. Robespierre se saisit de l'affaire malgrĂ© Barère qui dut suivre, et intima au reprĂ©sentant AndrĂ© Dumont de faire arrĂŞter Radix en Picardie comme Ă©tant prĂ©venu de complot avec les Autrichiens. Il fut dĂ©tenu Ă  Laon puis dirigĂ© le 4 frimaire Ă  la Conciergerie Ă  Paris. Ă€ nouveau ses protecteurs (Barère, Alexis Vadier et le ComitĂ© de sĂ»retĂ© gĂ©nĂ©rale) intervinrent pour Ă©viter sa traduction au Tribunal rĂ©volutionnaire. Le 7 pluviĂ´se an II, il fut placĂ© dans la maison de santĂ© Belhomme.

Le 18 vendémiaire an III, il fut interrogé par Dobsent qui le fit renvoyer au Tribunal révolutionnaire lequel le fit acquitter en chambre du conseil (3 brumaire an III).

Sorti de prison, il attendit son heure pour s’immiscer dans la vie politique : Talleyrand, son vieil ami et complice, l'employa officieusement avec Perregaux et autres anciens partisans d'un « changement de dynastie Â».

Une vie de notable

Radix de Sainte-Foy reprit ses activités immobilières. Le hasard de ses recherches le porta sur l'ancienne abbaye d'Ourscamp dont la façade l'inspira. En 1798, il se rendit acquéreur du domaine devenu bien national et entreprit des travaux de grande ampleur pour en faire une résidence de villégiature. Nommé maire d'Ourscamp en 1807, il occupa cette fonction jusqu'à sa mort, le . Sa fille hérita de ses biens.

Notes et références

  1. Les premiers seigneurs d'Aumont.
  2. Sur Radix de Sainte-Foix sous l’Ancien rĂ©gime, voir entre autres Bachaumont et MĂ©tra ; LĂ©ouzon Le Duc ; Recueil de lettres secrètes, 1783, p. 73-74 ; Lettres de Kageneck, p. 257, 272 ; Toulotte, La Cour et la Ville, t. I, p. 175 et note ; MĂ©moires de Tilly.
  3. Olivier Blanc, L’Amour à Paris sous Louis XVI, 2003 (sur la duchesse de Mazarin, Salm et Radix).
  4. ou Saint-Alban. Née à Saint-Malo le 15 août 1767, qui eut une fille de Lord Cholmondeley en 1790, et vécut longtemps en Angleterre.
  5. Lescure, Correspondance secrète de Louis XVI, vol. II, p. 590.
  6. Alors rue Basse-du-Rempart no 368-369 puis no 10 en 1857. c’était le plus somptueux des hôtels particuliers de la capitale avec des communs pour dix voitures et une écurie de vingt-cinq chevaux. L’hôtel passa à Caroillon des Tillières puis à sa fille Mme d’Osmond. Il fut ensuite détruit lors du percement de l’avenue de l'Opéra.
  7. Il revendit ces terrains le 21 juin 1808 Ă  Merlin de Thionville (ET.XCIII/293).
  8. Des actes notariés de danton avec des parents de Radix, comme Mme de Sainte-Croix, sœur de Talon, et les travaux de Albert Mathiez ne permettent pas de douter de la vénalité de Danton.
  9. NĂ© Ă  Paris le 20 janvier 1760, fils de Jean-Baptiste talon, payeur des rentes Ă  l'HĂ´tel de Ville, et de Charlotte Radix.
  10. Les minutes de ce procès sont conservées aux archives nationales dans le dossier W473.
  11. Il fut d'abord détenu à l'Abbaye, jusqu'au 30 avril 1793, date à partir de laquelle il obtint d'être assigné à domicile.
  12. Dénonciation au Comité de salut public des représentants Roux et Lejeune.

Voir aussi

Sources et bibliographie

  • Alexandre Tuetey, RĂ©pertoire des sources manuscrites de l'Histoire de Paris pendant la RĂ©volution (volume X, index).
  • AndrĂ© Doyon, Maximilien Radix de Sainte-Foix (1736-1810), Paris, A. Pedone, 1966.
  • Olivier Blanc, Les Hommes de Londres, histoire secrète de la Terreur, Paris, Albin Michel, 1989, (ISBN 978-2-2260-3688-9).
  • Olivier Blanc, La Corruption sous la Terreur, Paris, R. Laffont, 1992, (ISBN 978-2-2210-6910-3).
  • Olivier Blanc, Les Espions de la RĂ©volution et de l’Empire, Paris, Perrin, 1995, (ISBN 978-2-2620-1116-1).
  • Jean-Yves Bonnard, La chapelle d'Ourscamp ou Salle des Morts, Noyon, 2003.
  • Jean-Yves Bonnard, La Manufacture de velours d'Ourscamp 1823-1923", Noyon, 2006.
  • Charles Leroux-Cesbron, Gens et choses d'autrefois, Paris, J. Tallandier, 1914.
  • Sylvia Vriz, « Quelques porcelaines d’ExtrĂŞme-Orient d’un amateur Ă©clairĂ© : Radix de Sainte-Foy (1736-1810) », Sèvres. Revue de la SociĂ©tĂ© des Amis du musĂ©e national de CĂ©ramique, n° 30, 2021, pp. 88-102.

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