Margny-sur-Matz
Margny-sur-Matz [maʁɲi syʁ ma] est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Margny-sur-Matz | |||||
Mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat |
Baptiste de Fresse de Monval 2020-2026 |
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Code postal | 60490 | ||||
Code commune | 60383 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
540 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 75 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 31′ 23″ nord, 2° 46′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 186 m |
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Superficie | 7,24 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.margnysurmatz.fr/ | ||||
Géographie
Description
Margny-sur-Matz est un village périurbain picard du Noyonnais situé à 17 km au sud-ouest de Noyon, 12 km au nord de Compiègne et 20 km au sud-est de Montdidier.
Il est aisément accessible par la sortie no 11 de l'autoroute A1.
La commune comprend deux hameaux : Bourmont et Le Plessier.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le territoire communal est limité au sud par le cours du Matz, un affluent en rive droite de l'Oise, et donc un sous-affluent de la Seine.
Le ruisseau le Mareuil se jette dans le Matz dans le village.
Une mare située à Bourmont, d’un très grand intérêt floristique et faunistique, va être restaurée afin de contribuer à lutter contre les coulées de boue lors d'orages importants[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Margny-sur-Matz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), forêts (24,8 %), zones urbanisées (11,7 %), prairies (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 235, alors qu'il était de 225 en 2013 et de 211 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Margny-sur-Matz en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Les mentions anciennes de Margny-sur-Matz sont : Maregny supra Massum 1320 [22], Marregny supra Massum 1362[22], Marest 1757[23].
Le village tire son nom du fait de sa situation sur le Matz rivière qui est un affluent de l'Oise.
Histoire
Les seigneurs de Margny y possédaient un château-fort dont les ruines sont rasées en 1810 ; il était situé près de l'église. Entre l'église et le château se trouvaient des souterrains-refuges qui protégeaient les villageois en temps de guerre[24].
Au Plessier se trouvait également un autre château, dont le donjon qui subsistait a été démoli à la fin du XIXe siècle[24].
Deux moulins à eau se trouvaient à Margny. L'un d'eux était le « moulin Pillon » (propriété privée), se trouvait au nord, à l’écart du village sur le ru de Mareuil[25].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait du doyenné de Coudun et du diocèse de Beauvais. Le curé était nommé par le prieur d'Elincourt-Sainte-Marguerite. La dîme de Margny était perçue par le chapitre de Noyon qui, en 1219, fit. avec l'abbaye d'Ourscamp, un échange de la dîme des Essarls de Lassigny contre un tiers de celle de Margny. Sur les plans civils et militaires; le village dépendait de l'élection et du bailliage de Compiègne et de la généralité de Paris[24].
- Première Guerre mondiale
Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [26].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Ressons-sur-Matz[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Margny-sur-Matz est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Démocratie participative
Après les élections municipales de 2020, la commune s'est dotée d'un conseil municipal des jeunes[31].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 540 habitants[Note 8], en augmentation de 0,75 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 264 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
La commune ne dispose en 2020 que d'un seul commerce, la Petite auberge, qui est un restaurant renommé. Afin d'en assurer la pérennité, la commune a acquis en 2020 le bâtiment, qui conserve ses gérants[37].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Vaast est située comme c'était coutumier dans l'ancien temps au centre du cimetière et bien que toute simple, elle mérite un détour. En effet, son toit est constitué de deux toitures à deux pentes installées côte à côte. La forme rectangulaire de l'église, d’où seul fait saillie le chœur, à l’est, est le résultat de plusieurs campagnes de construction intervenues au XVIe siècle.
L'église dispose d'un mobilier cultuel exceptionnel : Vierge à l’Enfant en pierre du XIVe siècle, Vierge de Pitié en pierre du XVIe siècle, poutre de gloire du XVIIe siècle, considérée parmi les plus belles du département ; autel - retable du XVIIe siècle, dont les proportions correspondent à celles du chœur[38]. - Les restes des vannes du « moulin Pillon »[25] ;
- Circuit de promenade de la fontaine Saillard du Pays des Sources[25] ;
- La place du Jeu d'Arc, arborée, où la compagnie d’arc s'entrainait[25].
- L'église Saint-Vaast
- L'église
- Le monument aux morts
- Portail orné, portant la date de 1848
Personnalités liées à la commune
A la fin du XVe siècle, la seigneurie de Margny-sur-Matz est tenue par Walleran de Sains[39], bailli de Senlis, neveu de Charles[40] et Guillaume de Flavy, époux de Jacqueline de Rouvroy[41], fille de Gilles de Rouvroy dit de Saint-Simon[42], ancêtre du mémorialiste. Jean de Sains succède à son père vers 1520.
Héraldique
Blason | Parti d’or et d’azur à l’ours en pied de l’un en l’autre à la champagne aussi d’azur brochant sur la partitions, chargé de trois fleurs de lys aussi d’or rangées en fasce et sommée d’une devise ondée d’argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Vous pouvez également trouver des géocachings à Margny-sur-Matz, notamment sur le chemin entre Margny-sur-Matz et Elincourt-Saint-Marguerite (au croisement).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Margny-sur-Matz (60383) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Margny-sur-Matz », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le )
- « Eppeville » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « À Margny-sur-Matz, la mare de Bourmont sera réhabilitée », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La liste de Baptiste de Fresse de Monval, seule en lice à Margny-sur-Matz, avait été élue au soir du scrutin du 15 mars. Âgé de 28 ans, avocat au barreau de paris, le nouveau maire succède à Bruno Aronio de Romblay et fait un retour dans son village maternel, où il a passé quasiment toutes ses vacances ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Margny-sur-Matz et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Margny-sur-Matz et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- LONGNON (A.) Pouillé de la province de Reims (1907), t. 2, p. 488D, 487D, 512A.
- IGN, plan de Cassini.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 348-350, lire en ligne sur Gallica.
- « Margny-sur-Matz », Les 48 communes, sur https://www.cc-pays-sources.fr (consulté le ).
- Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Margny-sur-Matz », Cartes de France (consulté le ).
- « Baptiste de Fresse de Monval, 28 ans, maire de Margny-sur-Matz : « L’exclusion est la pire des choses », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Geoffroy Tomasovitch, « Il était temps ! » : comment un futur maire a mis à profit ces deux mois de confinement : Le gouvernement a autorisé l’installation des conseils municipaux dans plus de 30 000 communes où l’équipe a déjà été élue au complet. Exemple avec la liste de Baptiste de Fresse de Monval à Margny-sur-Matz (Oise) », Le Parisien, édition de l'Oise, 135/5/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Cet avocat du barreau de Paris a mené une liste - la seule - sans étiquette, « panachage d'expériences », 8 femmes et 7 hommes, « parité pas obligatoire mais voulue ».
- « Un parcours VTT en projet à Margny-sur-Matz », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Margny-sur-Matz (60383) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « La municipalité de Margny-sur-Matz va acquérir La Petite Auberge », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, « Margny-sur-Matz, église Saint-Vaast », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
- Jean Tremblot, L'armorial senlisien de Charles Afforty, Paris, France: G. Saffroy, 1941 et Senlis, France: R. Socirat, 1941, (lire en ligne).
- Marc Bompaire (Voir plus précisément la page 175), « Inventaire et étude d'une série de dalles funéraires médiévales et modernes à Compiègne (Oise) », Revue archéologique de Picardie, , p. 153-178 (lire en ligne).
- « Testament vidimé de Jacqueline de Rouvroy », sur https://gallica.bnf.fr/ (consulté le ).
- Charles Afforty, « Le manuscrit Afforty », sur http://www.bmsenlis.com/sitebmsenlis/jp/ (consulté le ) : « Testament de Gilles de Rouvroy (1477) "... Et pour et affin que ce présent testament soit accomply de point en point selon sa forme et teneur je eslis mes executeurs mes tres chers parents et amis cest assavoir Waleran de Sains seigneur de Marigny mon gendre..." ».