Marchémoret
Marchémoret est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Marchémoret | |||||
L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | communauté de communes Plaines et monts de France | ||||
Maire Mandat |
Jean-Louis Durand 2020-2026 |
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Code postal | 77230 | ||||
Code commune | 77273 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marchois | ||||
Population municipale |
594 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 84 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 49° 03′ nord, 2° 46′ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 152 m |
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Superficie | 7,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Mitry-Mory | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est située à environ 8 kilomètres à l’est de Dammartin-en-Goële[Carte 1].
Elle est proche de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (environ 18,8 kilomètres).
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
- la Launette, longue de 16,04 km[2], affluent de la Nonette ;
- le ru des Avernes, 8,16 km[3], affluent de la Thérouanne.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 1,32 km[4].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].
La commune fait partie du SAGE « Nonette », approuvé le . Le territoire de ce SAGE concerne le bassin versant de la Nonette et de ses deux principaux affluents, la Launette et l’Aunette. Il inclut totalement ou partiellement 53 communes, dont 47 sur le département de l’Oise et 6 sur celui de le département de Seine-et-Marne, pour une superficie de 413 km2[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette, qualifié de « structure porteuse », un syndicat créé en 1968[7].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Marchémoret comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] - [15] - [Carte 2], la « Forêt de Montge-en-Goële » (804,67 ha), couvrant 5 communes du département[16].
Urbanisme
Typologie
Marchémoret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[22] dont Lessart.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,2 %), forêts (3,8 %)[23].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24] - [25] - [Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[26].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 200 dont 85 % de maisons et 14,5 % d'appartements.
Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants[Note 6].
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 75 % contre 25 % de locataires[28].
Transports
La commune est desservie par
- les lignes d'autocars No 703, No 715 et No 753 du réseau de bus keolis ;
- la gare de Dammartin - Juilly - Saint-Mard située sur la commune de Saint-Mard à 7 km.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Marchemoret en 1189[29] ; Marchiemoretum en 1203[30] ; Marchié Moret en 1252[31] ; « Villa Marchesi Moreti subtus Noam fortem » en 1266[32] ; Marchiemoret, Marchemouret en 1274[33] ; La seigneurie de Marché Marais en 1668[34] ; Marchemorel en 1757 (Cassini)[35].
Toponyme composé de Marche (« région frontière »)[Note 7] et du radical Moret, du celtique mora, de l'ancien français morée (« marécage, marais »)[36].
Histoire
Mentionné au 12e. Seigneurie de Lessart relevant du comté de Dammartin.
Au Moyen Âge, Marchémoret est une paroisse faisant partie du doyenné d'Acy situé dans l'ancien pays de Multien.
En 1521, le chancelier Antoine Duprat, 1463-1535, est seigneur de Nantouillet, de Marchémoret[37] et de Rosoy-en-Multien.
Le , le Tiers État de Lessart rédige son cahier de doléances pour les états généraux.
Politique et administration
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38] - [39].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Marchémoret est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [40] - [41] - [42].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40] - [44].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [40] - [45].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].
En 2020, la commune comptait 594 habitants[Note 8], en augmentation de 6,64 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Agriculture
Marchémoret est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[50].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[51]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 172 ha en 1988 à 334 ha en 2010[50]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Marchémoret, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension Ă©conomique[50] - [Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 2 | 1 | 1 |
Travail (UTA) | 3 | 3 | 2 |
Surface agricole utilisée (ha) | 344 | 338 | 334 |
Cultures[52] | |||
Terres labourables (ha) | s | s | s |
Céréales (ha) | s | s | s |
dont blé tendre (ha) | s | s | s |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | s | s | s |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | s | s | s |
Élevage[50] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 0 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame-de-l'Assomption (XVIIIe siècle), intégrée dans une habitation : clocheton XVIIIe, mobilier XVIIIe et XIXe siècles, autel de bois sculpté XVIIIe, cimetière alentour.
Croix de Lessart.
Personnalités liées à la commune
- Le sculpteur italien Gaetano Di Martino (1922-2006), installé en 1977 dans une ancienne bergerie rénovée en atelier.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- « Du début du XIe siècle à 1285, année où la Champagne fut réunie en fait aux domaines de la couronne par l’accession au trône de France de Philippe le Bel, comte palatin de Champagne depuis son mariage avec Jeanne de Navarre, la frontière occidentale du comté de Champagne et de Brie séparait du sud au nord le territoire qui forme aujourd’hui le département de Seine-et-Marne en deux moitiés sensiblement égales ».
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2018)..
- « Zones ZNIEFF de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Marchémoret - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- « Plan séisme consulté le 2 mai 2020 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Launette (H2218000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Avernes (F6411000) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 30 octobre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Nonette - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- site officiel du Syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Du Plessis, II, p. 77.
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- Archives nationales, S 5173.
- Bibl. nat., ms. français 19835, fol. 6.
- Archives nationales, Q1 1403.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 345.
- Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
- Voir Albert Buisson, Le chancelier Antoine Duprat, Paris, Hachette, , p. 379.
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- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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