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Marchémoret

Marchémoret est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Marchémoret
Marchémoret
L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité communauté de communes Plaines et monts de France
Maire
Mandat
Jean-Louis Durand
2020-2026
Code postal 77230
Code commune 77273
DĂ©mographie
Gentilé Marchois
Population
municipale
594 hab. (2020 en augmentation de 6,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 84 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 03′ nord, 2° 46′ est
Altitude Min. 98 m
Max. 152 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mitry-Mory
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Marchémoret

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  environ 8 kilomètres Ă  l’est de Dammartin-en-GoĂ«le[Carte 1].

    Elle est proche de l'aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle (environ 18,8 kilomètres).

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Marchémoret.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 1,32 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

    La commune fait partie du SAGE « Nonette », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE concerne le bassin versant de la Nonette et de ses deux principaux affluents, la Launette et l’Aunette. Il inclut totalement ou partiellement 53 communes, dont 47 sur le dĂ©partement de l’Oise et 6 sur celui de le dĂ©partement de Seine-et-Marne, pour une superficie de 413 km2[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat InterdĂ©partemental du SAGE de la Nonette, qualifiĂ© de « structure porteuse », un syndicat crĂ©Ă© en 1968[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 727 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂ®tre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[10]. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Creil, qui se trouve Ă  32 km Ă  vol d'oiseau[11], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de MarchĂ©moret comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] - [15] - [Carte 2], la « ForĂŞt de Montge-en-GoĂ«le » (804,67 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Marchémoret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Lessart

    La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[22] dont Lessart.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,2 %), forêts (3,8 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24] - [25] - [Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvĂ© le et portĂ© par la communautĂ© d’agglomĂ©ration Roissy Pays de France[26].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 200 dont 85 % de maisons et 14,5 % d'appartements.

    Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants[Note 6].

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 75 % contre 25 % de locataires[28].

    Transports

    La commune est desservie par

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Marchemoret en 1189[29] ; Marchiemoretum en 1203[30] ; Marchié Moret en 1252[31] ; « Villa Marchesi Moreti subtus Noam fortem » en 1266[32] ; Marchiemoret, Marchemouret en 1274[33] ; La seigneurie de Marché Marais en 1668[34] ; Marchemorel en 1757 (Cassini)[35].

    Toponyme composé de Marche (« région frontière »)[Note 7] et du radical Moret, du celtique mora, de l'ancien français morée (« marécage, marais »)[36].

    Histoire

    Mentionné au 12e. Seigneurie de Lessart relevant du comté de Dammartin.

    Au Moyen Âge, Marchémoret est une paroisse faisant partie du doyenné d'Acy situé dans l'ancien pays de Multien.

    En 1521, le chancelier Antoine Duprat, 1463-1535, est seigneur de Nantouillet, de Marchémoret[37] et de Rosoy-en-Multien.

    Le , le Tiers État de Lessart rédige son cahier de doléances pour les états généraux.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 En cours Jean-Louis Durand LR Président de la Communauté de communes

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38] - [39].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Marchémoret est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [40] - [41] - [42].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40] - [44].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [40] - [45].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].

    En 2020, la commune comptait 594 habitants[Note 8], en augmentation de 6,64 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    236228235221225210199264235
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    201170174141126131165130125
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    11010887105186175139112132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    137110214258307332455548565
    2020 - - - - - - - -
    594--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    Marchémoret est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[50].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[51]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂą le nombre d’exploitations est passĂ© de 2 en 1988 Ă  1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 172 ha en 1988 Ă  334 ha en 2010[50]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de MarchĂ©moret, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Marchémoret entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[50] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 2 1 1
    Travail (UTA) 3 3 2
    Surface agricole utilisée (ha) 344 338 334
    Cultures[52]
    Terres labourables (ha) s s s
    Céréales (ha) s s s
    dont blé tendre (ha) s s s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) s s s
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[50]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 0 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Clocher de l'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption - cloche de l'Ă©glise sonnant 18 h :

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption (XVIIIe siècle), intégrée dans une habitation : clocheton XVIIIe, mobilier XVIIIe et XIXe siècles, autel de bois sculpté XVIIIe, cimetière alentour.

    Croix de Lessart.

    Personnalités liées à la commune

    • Le sculpteur italien Gaetano Di Martino (1922-2006), installĂ© en 1977 dans une ancienne bergerie rĂ©novĂ©e en atelier.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. « Du début du XIe siècle à 1285, année où la Champagne fut réunie en fait aux domaines de la couronne par l’accession au trône de France de Philippe le Bel, comte palatin de Champagne depuis son mariage avec Jeanne de Navarre, la frontière occidentale du comté de Champagne et de Brie séparait du sud au nord le territoire qui forme aujourd’hui le département de Seine-et-Marne en deux moitiés sensiblement égales ».
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2018)..
    2. « Zones ZNIEFF de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Marchémoret - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Launette (H2218000) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Avernes (F6411000) » (consulté le ).
    4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 30 octobre 2018
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Nonette - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    7. site officiel du Syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Marchémoret et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    29. Du Plessis, II, p. 77.
    30. Cartulaire de l'Abbaye de Chaalis, fol. 240.
    31. Longnon, I, 193.
    32. Archives nationales, S 5173.
    33. Bibl. nat., ms. français 19835, fol. 6.
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