Manneville-sur-Risle
Manneville-sur-Risle est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Manneville-sur-Risle | |
L'église Saint-Denis de Manneville-sur-Risle. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle |
Maire Mandat |
Isabelle Duong 2020-2026 |
Code postal | 27500 |
Code commune | 27385 |
Démographie | |
Gentilé | Mannevillais |
Population municipale |
1 479 hab. (2020 ) |
Densité | 159 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 21′ 29″ nord, 0° 32′ 25″ est |
Altitude | Min. 9 m Max. 131 m |
Superficie | 9,32 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Pont-Audemer (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-Audemer |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.manneville-sur-risle.fr |
Géographie
Localisation
Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Hydrographie
La Rivière La Risle et le Ruisseau de Tourville sont les 2 cours d'eau traversant le territoire de la commune de Manneville-sur-Risle.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lieurey », sur la commune de Lieurey, mise en service en 2000[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 879,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 34 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Manneville-sur-Risle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pont-Audemer, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[19] et 16 237 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-Audemer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,8 %), prairies (24,7 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (6,6 %), eaux continentales[Note 8] (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
On retrouve les premières mentions de la paroisse dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Pierre-de-Préaux[26] édité en 2005[27].
Le nom de la localité est attesté sous la forme Magnavilla vers 1063[28], Mangneville en 1433 (reg. de la Chambre des comptes), Maynevilla en 1557 (Robert Cœnalis), Mannevilla ad Rillam en 1731 (antiphonale Rothomagense), Manneville sur l’Isle en 1754 (Dict. des postes)[29], Manneville sur Risle en 1793, Manneville en 1801[30].
Vers 1060, l'abbaye reçoit plusieurs donations provenant d'un même lieu nommé Manichivilla ou Magnivilla super Rillam (cartulaire de Préaux), littéralement « grand domaine », « la grande ferme », de main(e), grand en français médiéval (la forme normande est normalement man(ne)) et -ville « domaine rural, village ».
Homonymie avec les Manneville de Normandie et même élément dans Manéglise et la Manneporte à Étretat.
La Risle est une rivière de Normandie qui s'écoule dans les départements de l'Orne et de l'Eure.
Histoire
Du néolithique à la période mérovingienne
Plusieurs fouilles archéologiques réalisées depuis le XIXe siècle attestent d'une occupation humaine ancienne. En effet, des traces de vie datant de la période néolithique ont été découvertes. Un tumulus a été repéré sur la carte archéologique[31] au lieu-dit la Ferme de la Rivière et des éclats de silex sont retrouvés au lieu-dit les Prés Mançois[32]. Ce dernier site, placé en surplomb de la vallée de la Risle, à l'entrée du plateau, fut habité pendant toute la période gallo-romaine et jusqu'au début du Moyen Âge comme l'atteste la découverte de fossés à proximité de l'actuelle rue Charles-Péguy[33].
Pour la période mérovingienne, l'activité archéologique principalement réalisée au XIXe siècle se focalise plus particulièrement sur le côté est de la commune. Sur une zone partant de l'église Saint-Denis, parcourant le chemin de la Forge-au-Cœur jusqu'à la route de Rouen plusieurs sarcophages mérovingiens furent exhumés accompagnés d'objets métalliques de parure essentiellement[34].
Moyen Âge
Pour la période médiévale, le premier document recensé fournissant des indications sur l'histoire de Manneville-sur-Risle est le cartulaire de l'abbaye Saint-Pierre-de-Préaux. À la suite de sa fondation au XIe siècle, l'abbaye reçut des dons de la part des seigneurs. Osbern de Manneville donna une terre et Roger de Beaumont fit don de tout ce qu'il possédait alors à Manneville : ses champs et ses eaux[26].
La mention eaux est une référence à l'aménagement de la Risle qui est dotée, dès cette période, de plusieurs moulins. En effet, en 1060 et 1080, l'abbaye de Jumièges reçut deux moulins de la part d'Osbern de Manneville et de Robert de Bonnebos [35]. Au XIIIe siècle, Guillaume de Bonnebos avait sous sa protection un moulin et des écluses sur la Risle[36], tandis qu'un autre seigneur, Guillaume de Manneville, donna un "vieux moulin" à l'abbaye du Bec-Hellouin[37]. L'existence d'une église paroissiale est attestée à la même période par l'intervention de Cadoc, bailli de Pont-Audemer qui confie le patronage de l'église à la collégiale de Gaillon[36].
Période moderne
La paroisse de Manneville-sur-Risle ne connaît pas de bouleversement majeur durant la période moderne. L'essentiel de la population occupait certainement une activité rurale sous le contrôle des importantes seigneuries locales.
Au début du XVIIIe siècle, la paroisse comptait quatre feux privilégiés appartenant à la noblesse et 83 feux taillables. Au total, 348 individus vivaient sur ce territoire[38].
Une nouvelle église paroissiale est construite au cours du siècle, la cloche date de 1775[39].
Les fiefs
La paroisse de Manneville-sur-Risle était divisée en plusieurs domaines. Le dictionnaire historique des communes de l'Eure[35] dénombre 13 fiefs sur ce territoire : Bigards, Bonnebos, Fréville, Gouy, Hudar, Longval, les Roys, Moulin Saint-Pierre, Poissy, la Rivière, Thibouville, Thillard, Vauquelinière. La plupart de ces fiefs n'étaient que des parcelles de terre affermées. Toutefois, deux d'entre eux doivent être mis en exergue pour leur intérêt historique.
Le domaine de Bonnebos
Le premier seigneur de Bonnebos est Robert de Bonnebos dont le territoire s'étendait du plateau jusqu'à la Risle. Au Moyen Âge, la famille de Bonnebos possédait, à ce titre, des moulins et des écluses sur la rivière. En 1578, par la vente du domaine à la famille Lefort, le fief de Bonnebos devint progressivement le fief principal d'un regroupement de domaines féodaux intégrant les fiefs de Bigards, le Moulin Saint-Pierre, Poissy et Thillard [35]. En 1670, Nicolas Lefort fit réunir l'ensemble de ces domaines en un seul fief nommé Bonnebos[36]. L'édification du château de Bonnebos date probablement de cette période où il est question d'asseoir la puissance seigneuriale de la famille Le Fort. Dans les années 1690, Nicolas Lefort compléta son château par une entrée monumentale dotée de chaque côté d'un colombier et d'une chapelle à l'architecture remarquable.
Le château de Bonnebos fut détruit en 1835. La chapelle et le colombier furent préservés.
Le domaine de Thibouville
Vers 1180, Robert de Thibouville possédait un fief qui s'étendait sur les deux paroisses de Manneville et de Blacarville[36]. Le domaine de Thibouville est transféré successivement aux familles Baron au XVIe siècle qui édifie une chapelle et Maisonval au XVIIIe siècle qui fit construire un château sur le domaine. Au XIXe siècle, le château est partiellement détruit.
Instruction publique
L'existence d'une école est avérée à partir de 1842[40]. Au cours du siècle, le conseil municipal loua des fermes pour loger l'instituteur et sa classe. Vers 1880, l'inspecteur d'académie, bras armé de la IIIe République en matière d'instruction publique, pressa le conseil municipal d'engager un projet de construction d'école. Les édiles furent particulièrement réticents, arguant d'une importante scolarisation des enfants de Manneville-sur-Risle dans les écoles de Pont-Audemer. En 1903, à l'occasion du renouvellement du maire, le projet définitif fut lancé prévoyant un groupe scolaire avec 3 classes (1 classe de filles, 1 classes de garçon, 1 classe enfantine), un logement pour deux instituteurs et une salle de réunion pour le conseil municipal.
Le quartier des Baquets
Au XIXe siècle, l'industrialisation de la vallée de la Risle touche particulièrement la commune. À Manneville-sur-Risle, plusieurs moulins installés sur des sites anciens remontant au Moyen Âge étaient toujours en activité. Il s'agissait, d'amont en aval, des moulins de Saint-Pierre, du moulin à huile et du moulin des Rois (installé à proximité du moulin des Baquets situé à Pont-Audemer). Durant la première partie du siècle, ces moulins firent l'objet de modernisation pour une meilleure exploitation de l'énergie hydraulique[41].
En 1852, le moulin des Baquets de Pont-Audemer et le moulin des Rois furent transformés en usine de filature[42]. Le développement de l'usine entraîna une arrivée massive d'ouvriers qui furent logés sur place dans plusieurs lotissements construits successivement sur la route de Rouen dans la commune de Manneville-sur-Risle. En 1870, la construction d'une nouvelle usine de tissage poursuivit l'extension du quartier en amont de la Risle. En 1902, une cité ouvrière fut construite pour loger les ouvriers de l'usine de tissage. L'activité des deux sites textiles se poursuivit jusqu'en 1962 où les deux usines furent vendues et orientées vers d'autres activités[43].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2020, la commune comptait 1 479 habitants[Note 9], en diminution de 2,5 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Monument historique
La commune de Manneville-sur-Risle compte un édifice inscrit et classé au titre des monuments historiques :
- le château de Bonneboscq (XVIIe), Classé MH (1958) Inscrit MH (1958)[51]. La partie du château classée par arrêté du correspond à la chapelle et la partie inscrite par arrêté du , au colombier.
Autres lieux et monuments
- L'église Saint-Denis (XVIIIe).
- Le musée départemental de la Résistance et de la Déportation.
- Château de Fréville.
Natura 2000
- Site Natura 2000 « Risle, Guiel, Charentonne »[52].
ZNIEFF de type 1
- ZNIEFF 230031140 - Les prairies à l'est de Pont-Audemer[53]. Cette ZNIEFF, qui concerne également les communes de Corneville-sur-Risle et de Pont-Audemer, se distingue par la présence d'espèces d'Odonates clairsemées : des libellules fauves et des gomphes vulgaires limitées à la Risle. Par ailleurs, les ruisseaux et les fossés abondant sur l'ensemble de la ZNIEFF abritent des agrions de Mercure, même si la présence de cette espèce n'a pu être généralisée à l'ensemble du périmètre.
ZNIEFF de type 2
- ZNIEFF 230009170 – La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[54].
Site inscrit
- L'if du cimetière, Site inscrit (1932)[55].
Personnalités liées à la commune
- Baptiste Renard (1768-1827), domestique de Dumouriez, héros de la bataille de Jemmapes, mort à Manneville-sur-Risle.
- Jacques Dufour dit Jude Stéfan (1930-2020), poète et nouvelliste, né à Manneville-sur-Risle.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives départementales de l'Eure, Cartulaire de l'Abbaye Saint-Pierre de Préaux, H711 [A1] [A144].
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