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Maisoncelles-du-Maine

Maisoncelles-du-Maine est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 514 habitants[Note 1].

Maisoncelles-du-Maine
Maisoncelles-du-Maine
L'église Saint-Pierre.
Blason de Maisoncelles-du-Maine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Château-Gontier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Meslay-Grez
Maire
Mandat
Michel Bourgeais
2020-2026
Code postal 53170
Code commune 53143
Démographie
Gentilé Maisoncellois
Population
municipale
514 hab. (2020 en diminution de 3,38 % par rapport à 2014)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 54″ nord, 0° 39′ 05″ ouest
Altitude Min. 38 m
Max. 112 m
Superficie 15,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meslay-du-Maine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Maisoncelles-du-Maine
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Maisoncelles-du-Maine
Liens
Site web www.maisoncellesdumaine.mairie53.fr

    Géographie

    La commune est aux confins du Bas-Maine et de la Mayenne angevine (Haut-Anjou). Son bourg est à km à l'ouest de Meslay-du-Maine, à 18 km au sud-est de Laval et à 18 km au nord de Château-Gontier[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 756 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villiers-Charle », sur la commune de Villiers-Charlemagne, mise en service en 1971[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 755,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 63 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14], à 12 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Maisoncelles-du-Maine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,8 %), prairies (41,2 %), mines, décharges et chantiers (5,1 %), forêts (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Messunculis vers 1150[24]. G. de Mesoncellis et M. de Masuncellis datent des années 1200.

    D'abord au pluriel, de l'oïl maisoncele « petite maison , cellule d'ermite »[25].

    Le locatif du Maine est ajouté en 1919[26], permettant de résoudre l'homonymie avec les autres Maisoncelles.

    Cette appellation peut d'ailleurs prêter à confusion, car avant 1790, Maisoncelles faisait partie de l'Anjou, et non du Maine. Elle se trouvait cependant dans le diocèse du Mans et dans le pays d'élection de Laval[27].

    Le gentilé est Maisoncellois.

    Histoire

    Maisoncelles a eu la chance d’avoir, à la fin du XIXe siècle un curé érudit, l'abbé Charles Maillard, qui a réuni ses recherches dans un ouvrage Chroniques paroissiales de Maisoncelles.

    En 1731 un procès oppose le curé de Maisoncelles, Jean Boulay au duc de la Trémoille au sujet des réparations à effectuer sur l’église paroissiale.

    Un autre procès entre le curé de Maisoncelles et le chapelain de la Jupellière porte sur le partage de la dîme, initialement réglé par une transaction du . Parmi les pièces relatives à ce long conflit, on trouve mention d'une « reconnaissance du Sieur Houllière par laquelle il est dit que le nommé Cribier a payé sur la ferme dudit Closeau de la Caroterie six livres au sieur Boulay curé en son acquit Â». D’autres pièces montrent l’importance prise par cette affaire qui remonte jusqu’au parlement de Paris et au roi. Jean Boulay fut curé de 1694 à 1739.

    Il y avait encore de la vigne en 1779 : « En pays vignoble comme était autrefois Maisoncelles Â» disait le curé en 1759.

    En 1830, Maisoncelles comporte une proportion de grandes propriétés de plus de 50 hectares particulièrement importante, ainsi quatre familles contrôlent 52 % de la surface de la commune. À côté ne subsiste que des biens de moins de 10 hectares.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? mars 2001 Bernard Nison Professeur
    mars 2001 septembre 2001 Marie-Christine Réauté Agricultrice
    septembre 2001[28] mai 2020 Didier Gendron[29] SE Agent de maîtrise
    mai 2020[30] En cours Michel Bourgeais SE Retraité du commerce en matériel électrique

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[30].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 514 habitants[Note 8], en diminution de 3,38 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Maisoncelles a compté jusqu'à 590 habitants en 1890.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    488440504494527536552584584
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    590569547506525505489502440
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    444445429404405406394378377
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    348327291350365400453530523
    2020 - - - - - - - -
    514--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Activité, label et manifestations

    La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[34].

    L'Espérance sportive de Maisoncelles-du-Maine fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Il y a trois châteaux et une église à Maisoncelles-du-Maine :

    • L'église Saint-Pierre. Sainte Émérence, appelée aussi Émérentienne, patronne de Maisoncelles-du-Maine, est invoquée pour la guérison des douleurs d'entrailles. Des travaux ont été réalisés en 2007, notamment la voûte lambrissée, la porte d'entrée ainsi que la réfection des façades ouest et sud.
    • Le château de la Jupellière date du XVIIe siècle. Il était la résidence de la famille d’Houllières. Son architecture est dans le style Louis XIV.
    • Le château de la Lézière date du XIXe.
    • Le château des Bigottières possède sa propre chapelle.

    Héraldique

    Blason de Maisoncelles-du-Maine Blason
    Fascé d’argent et de gueules de huit pièces, à deux clés mises en sautoir, cantonnées en 2, 3 et 4 d’un croisant, le tout de l’un dans l’autre, et en 1 d’une étoile d’or.
    Détails
    Le fascé d’argent et de gueules de huit pièces reprend une partie des armes de la famille de Bouillé, seigneur du village. La reprise intégrale du blason de famille étant interdite pour la commune, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Les clés symbolisent Pierre, le saint patron de la paroisse.

    Les croissants sont une partie du blason de la famille de Charlot seigneur au château des Bigottières. La remarque concernant la reprise du blason de famille est valable ici aussi.

    L’étoile est la reprise partielle du blason de la famille de Champhuon également seigneur des Bigottières. La remarque concernant la reprise du blason de seigneur est valable ici aussi.

    Les ornements sont deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées de gueules afin d’honorer l’activité agricole de la commune.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    « Maisoncelles-du-Maine », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Villiers-Charle - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Maisoncelles-du-Maine et Villiers-Charlemagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Villiers-Charle - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Maisoncelles-du-Maine et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1414.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Desaint et Saillant, .
    28. « Didier Gendron dans la course des municipales », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. Réélection 2014 : « Maisoncelles-du-Maine (53170) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Municipales à Maisoncelles-du-Maine. Michel Bourgeais succède à Didier Gendron », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    35. « Site officiel de la Ligue du Maine – Esp. S. Maisoncelles-du-Maine » (consulté le ).
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