Magland
Magland est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Maglanchards et les Maglanchardes. Elle se situe dans la vallée de l'Arve et borde la rivière du même nom (l'Arve).
Magland | |||||
Centre-ville de Magland. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Bonneville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cluses-Arve et Montagnes | ||||
Maire Mandat |
Johann Ravailler 2020-2026 |
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Code postal | 74300 | ||||
Code commune | 74159 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Maglanchards | ||||
Population municipale |
3 266 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 22″ nord, 6° 37′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 483 m Max. 2 649 m |
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Superficie | 40,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Magland (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cluses (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Sallanches | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Savoie
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | magland.fr | ||||
GĂ©ographie
Description
La commune de Magland se situe dans la vallée de l'Arve entre Cluses et Sallanches, parfois incluse dans la cluse de l'Arve dans sa définition la plus large. Elle se compose de plusieurs grands hameaux tels que Gravin, Balme, Oëx, Luth, les Villards et appartient au canton de Sallanches. Elle s'étend du massif des Aravis (pointe d'Areu, 2 478 m), plus précisément de la chaîne du Reposoir, jusqu'au massif du Giffre (sommet du petit Colonné, 2 600 m). La moitié de Flaine fait partie de la commune de Magland et l'autre moitié d'Arâches.
RĂ©seau de communication
La commune est traversée par la ligne de La Roche-sur-Foron à Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet. La gare de Magland est desservie par des trains régionaux[1]. Deux anciennes gares sont fermées : Balme-Arâches et Oëx.
Magland est également traversée par l'autoroute A40 mais les sorties les plus proches sont celles de Sallanches et de Cluses-Centre. La route RD 205 (anciennement RN 205) traverse le centre de Magland. Le projet de Funiflaine, qui a été abandonné en 2022, aurait dû relier la vallée de l'Arve, au lieu-dit de Bellegarde, à la station de Flaine.
Communes limitrophes
Cluses | Arâches-la-Frasse | |||
Nancy-sur-Cluses | N | Sixt-Fer-Ă -Cheval | ||
O Magland E | ||||
S | ||||
Le Reposoir | Sallanches | Passy |
Urbanisme
Typologie
Magland est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Magland, une unité urbaine monocommunale[5] de 3 266 habitants en 2020, constituant une ville isolée[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cluses, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (22 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,2 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), prairies (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Magland est mentionné sous les formes Maglenz, vers 1344, Maglans, en 1432[11]. Théodore Perrenot, auteur de La toponymie burgonde (1942), considérait qu'il pouvait s'agir d'un ancien nom d'origine burgonde *Maglens, dérivant d'un primitif *Magilingos, « chez les Magilingi »[11] - [12].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Magyan, selon la graphie de Conflans[13].
Histoire
L'émigration intense en 1726, vers la Suisse, puis vers l'Allemagne, pour exercer le métier de chaudronnier, permet aux habitants de Magland d'obtenir monopole du travail du cuivre, auquel s'ajoutait le trafic du métal usagé et le commerce ou la contrebande d'or et d'argent.
Cette émigration facilite l'installation de l'horlogerie dans la commune qui profite des anciennes relations commerciales qu'elle entretenait dans les régions de la langue allemande.
Cette commune de la vallée de l'Arve, la plus vaste du canton de Cluses, est riche d'une importante industrie du décolletage.
L'avalanche de Gravin
Le 26 février 1844 à dix heures du soir le hameau de Gravin fut victime d'une forte avalanche, cette dernière s'étant arrêtée au niveau du pont qui traverse le torrent où se trouvait le moulin de la famille Cartier. La panique gagna rapidement les habitants du village, la maison ainsi que le moulin des Cartier ayant disparus sous la neige. Parmi les dégâts qui peuvent également être soulignés, la maison des Ravinet dont la toiture a été arrachée.
Le ménage des Cartier se composait à cette période du père, Joseph Cartier, de sa femme Angélique Delaplagne, de leurs deux fils Jean-Pierre et Alexandre Cartier, ainsi que de Louis Cartier (le frère de Joseph). La première personne retrouvée fut Louis Cartier, trouvé mort derrière la porte d'entrée enfoncée par l'avalanche. Ce fut ensuite autour d'Angélique Delaplagne d'être retrouvée également sans vie, étranglée par une poutre sur son lit. Le mari, Joseph Cartier, fut quant à lui trouvé sain et sauf, tout comme son fils Jean-Pierre réfugié dans le pèle. Ce ne fut toutefois que sur les onze heures du matin le lendemain que le fils, Alexandre, fut enfin dégagé des décombres. Ses membres étaient congelés, mais grâce aux bons soins prodigués par l'abbé Dubettier, alors vicaire, la victime fut rapidement rétablie.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Magland est jumelée avec la commune italienne Barzio de la province de Lecco dans la région Lombardie en Italie.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].
En 2020, la commune comptait 3 266 habitants[Note 3], en augmentation de 0,03 % par rapport Ă 2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Ce village comporte trois Ă©coles : l'Ă©cole primaire du Chef-Lieu, l'Ă©cole primaire de Gravin et l'Ă©cole maternelle.
Magasins
Magland abrite quelques magasins comme des boulangeries, un Super U (depuis fin 2014), un bureau de tabac, une pharmacie, des boucheries, une fromagerie. Jusqu'en 2018 Magland disposais d'un Petit Casino qui ferma définitivement[19].
Associations
- Associations Sportives[20]
Nom | President(e)s actuel(le)s | Notes |
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Ski Club de Magland | Sébastien Moenne | 65 enfants licenciés (2019)[21] |
A 2 Motards | JĂ©rĂ´me Leseurre | |
Club de foot USM | Philippe Riand | club féminin en entente avec le Cluses Scionzier Football Club[22] |
Inter Club Magland Desert Blanc (ski club) | François Simond | Compétition et loisir[23] |
Judo Club de Magland | Bertrand Vauthay | Compétition et loisir (éducatif)[24] |
Les foulées de l'Arve | Catherine Hubault | Marche nordique et running[25] |
Magland Badminton | Fabien Bichet | |
Moto Club les Pots Rouges | Karl Leroy | |
PĂ©tanque Maglancharde | JĂ©rĂ´me Perret | |
Saut de falaise de la Vallée de l’Arve et du Griffe | Cédric Rabinand | [26] |
TEAM GAYPE | Mathieu Gay-Perret | |
Tennis Club de Magland | Karyne Stolcis |
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Magland abrite plusieurs lieux et monuments :
- Église dédiée au saint patron Maurice, dans un style néo-classique dit « sarde »[Note 4], édifiée par le maître-maçon Joseph Pelissier, de Samoëns ;
- Maison forte de Loche (1372), rue Nationale, aménagée en auberge au XXe siècle. Elle est inscrite en 1994, au titre des Monuments historiques[29] ;
- Château ou tour de Bellegarde (maison forte attestée dès 1367)[30] - [31], son pseudo-crénelage servait à l'aération des combles, car il n'était pas rare de conserver les récoltes dans les « greniers »[32] ;
- Maison forte de Thural[33] ;
- Tour Clerton (indice) ;
- Tour Noire (1476) ;
- Maison forte du Crochet (1307) ;
- Grotte de Balme ; ;
- Station de ski de Flaine est implanté sur le territoire de la commune ;
- Carrière de Magland, créée en 1880 et la fin de son exploitation est en 2002. Elle a permis de construire des routes, des chemins de montagne. Par exemple sa pierre a permis de construire la gare de Magland ;
- Cascade de Magland, accessible à partir d'un sentier de randonnée, derrière la mairie ;
- Cascade d'OĂ«x, dite "Cascade de l'Arpenaz".
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[34].
HĂ©raldique
Blason | Tranché : au premier d'azur à la marque au quatre de chiffre des colporteurs savoyards d'or, au second de gueules aux trois glands d'or posés à plomb mal ordonnés ; à la cotice d'argent brochant sur la partition. |
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Détails | Armes parlantes. Présenté sur le site de la commune, adopté en 1984. |
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 271-276 « Magland ».
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Le style néoclassique est régulièrement qualifié de style « sarde » en Savoie afin de souligner son origine étrangère à la Savoie et que « cela produit des édifices un peu conventionnels »[27], voire « rigide[s] »[28]. Il fait son apparition à la suite de la Restauration de la Maison de Savoie en Savoie à partir de 1815.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site ter-sncf.com : Gare de Magland (consulté le 24 janvier 2014).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Magland », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cluses », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Henry Suter, « Magland », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
- Théodore Perrenot, La toponymie burgonde, Editions des régionalismes, coll. « Arremoludas » (réimpr. 2017) (1re éd. 1942), 260 p. (ISBN 978-2-8240-0760-1), p. 163.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Océane Trouillot, « Magland: Johann Ravailler a pris ses fonctions de maire », La Savoie,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Registre des sociétés, « L'établissement PETIT CASINO - 74300 en détail », sur societe.com, (consulté le )
- « Associations - Commune touristique », sur www.magland.fr (consulté le )
- « Magland - L’hiver fut bon pour le club de ski qui arrive à fidéliser ses licenciés. Le ski club a l’heure du bilan de fin de saison », sur www.ledauphine.com (consulté le )
- « Soutiens ton club », sur www.soutienstonclub.fr (consulté le )
- « INTER-CLUB MAGLAND DESERT-BLANC | Le comité Mont-Blanc - FFS », sur www.ski74.fr (consulté le )
- « MONT-BLANC JUDO - JUDO JUJITSU - SALLANCHES, PASSY, MEGEVE, MAGLAND », sur www.ffjudo.com (consulté le )
- « Ville: Magland - www.marche-nordique.net », sur www.marche-nordique.net (consulté le )
- « Saut de Falaise Arve & Giffre – Association de saut de falaise (BASE Jump) des vallées de l'Arve et du Giffre » (consulté le )
- Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Parc naturel régional du Massif des Bauges, Les Bauges : entre lacs et Isère. Histoire et patrimoine, vol. 107, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « Mémoires et Documents », , 350 p. (ISBN 978-2-85092-000-4), p. 119.
- Art et archéologie en Rhône Alpes, n°4, 1988, p.134.
- « Maison-forte de Loche », notice no PA00132830, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Bellegarde (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 200-202 (lire en ligne).
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 48-49.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 95.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 117.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).