Mézangers
Mézangers est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 629 habitants[Note 1].
Mézangers | |||||
L'étang du Gué-de-Selle. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Mayenne | ||||
Arrondissement | Mayenne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coëvrons | ||||
Maire Mandat |
Robert Geslot 2020-2026 |
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Code postal | 53600 | ||||
Code commune | 53153 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
629 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 11′ 28″ nord, 0° 25′ 58″ ouest | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 138 m |
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Superficie | 29,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Évron (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Évron | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.
Géographie
Géologie
Daniel Œhlert indique pour la description de la géologie sur Mézangers au début du XXe siècle: Une ligne légèrement sinueuse, allant de la Valtière à la Reburière, en passant un peu au Nord du bourg, marque la séparation à établir entre le terrain granitique au nord, et les schistes précambriens au sud ; ceux-ci présentent une zone métamorphique au contact du granite. Pointements de microgranulite à la Bezillardière, et aux Hautes-Loges. La région granitique du nord est presque entièrement recouverte par des dépôts d'âge éocène comprenant des argiles feldspathiques, des sables, des grès lustrés et des meulières ; ces dernières roches sont exploitées actuellement comme macadam, dans le Bois d'Hermet, à l'ouest de la route allant de Neau à Jublains ; on a essayé autrefois, mais sans succès, de se servir de ces meulières pour la confection des meules de moulins. L'assise, dite des grès à Sabalites, est représentée, tantôt par des sables meubles, tantôt par des grès lustrés résultant de la consolidation, sur certains points, de ces sables par un ciment siliceux, parfois titano-zirconifère ; ces grès sont souvent à l'état de blocs en grandes dalles, tantôt isolés à la surface du sol, tantôt groupés dans certaines localités (Étang de Mortry, Landes de Chellé), tantôt à l'état de bancs continus (La Houssaye). Tous ces dépôts éocènes, qui, en partie respectés par l'érosion au Nord-Ouest de Mézangers, ont conservé dans cette région une assez grande puissance, se reliaient aux formations analogues qu'on retrouve entre Évron et Neau, principalement au sud du chemin de fer. L'érosion les a fait disparaître sur une grande étendue, découvrant ainsi le sous-sol (schistes précambriens, poudingue pourpré, etc.) ou laissant voir par place certaines saillies granitiques complètement dénudées, comme au sud et à l'est de l'étang de Gué-de-Selle..
Territoire
Il s'agit d'un territoire de basse plaine, au pied des collines de Sainte-Gemmes-le-Robert et d'Hambers, entre le Dinard au Sud-Est, les Deux-Évailles et le Bois d'Hermet au Nord-Ouest. Les eaux du ruisseau du Rocher au centre séjournent en de vastes étangs avant de s'écouler lentement par la cornière Sud-Ouest où l'altitude de 100 m. est à peine atteinte.
On signale à travers les bois d'Hermet le passage d'une voie venant de Jublains, peut-être la via quadrigaria du cartulaire d'Évron, 1219 ; une autre marquant la limite entre Mézangers et Sainte-Gemmes. La carte de Jaillot fait passer au bourg la route d'Évron à Mayenne — indiquée aussi par la carte de Cassini et aboutir des chemins de Châlons, Bourgon (forges), Hambers.
La superficie, cadastrée en 1835 par M. Demeré est 2 933 hectares. Un témoin dépose en 1595 qu'étant écolier, il avait assisté à une procession passant par les logeais et l'estang de Hermés, preuve que ce lieu était dès lors de la paroisse. Miroménil indique en 1696 un Fonds ingrat et froid, où il ne se recueille que de mauvais grains ; 16 métairies». André René Le Paige cite en 1777 comme fruits du sol ; le seigle, le froment, l'avoine, le sarrasin.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Evron », sur la commune d'Évron, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 784,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Mézangers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évron, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,2 %), forêts (39,2 %), terres arables (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %), zones urbanisées (1,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Attestations anciennes
Les attestations anciennes référencés par Alphonse-Victor Angot sont :
- Locellum… Mansione, 572 (Gesta Aldrici, p. 189).
- Mansio ad prope ipsa Jona, 642 (Act. pont. Cenom., p. 160)
- Villa cujus vocabulum est ad Mansiones in vicaria Diablintica, 785 ? (Gest. Aldrici, p. 181).
- Ecclesia Sancti Frontonis de Mezengiaco, 1125 (Cartulaire d'Évron).
- Terra de Mesangers, XIIIe siècle ? (Cartulaire d'Évron).
- G. de Mezangié, 1282 (Chartrier du Rocher de Mézangers).
- G. de Mesengé, 1312 (Bibliothèque nationale de France., fr. 8.736).
- Rector ecclesiæ de Mesengeio, 1324 (Titres de la fabrique).
- La paroisse de Mesangé, 1371 (Chartrier du Rocher).
- Mesengé, 1434 (Archives nationales., KK. 324).
- Ecclesia de Mesengeio, XVe siècle (Pouillé).
- Ecclesia sancti Frontonis de Mezengeyo, 1562 (Insinuations ecclésiastiques).
- Mesangé, 1564 (Registre paroissial).
- Mesangé (carte cénomane, carte de Jaillot).
- Mezangé (carte de Cassini).
Mez représente le terme mansus ou mansio qui se trouve dans un grand nombre de noms locaux : Mébertin, Mécorbon, Méfremont, etc. ; et Angé, le nom du personnage qui s'est ajouté à la dénomination primitive.
Histoire
Préhistoire
Mézangers possède des stations préhistoriques (Acheuléen et Moustérien), situées à la Maison-Neuve et à Eugéniville, qui se situent à la limite des communes de Mézangers et d'Hambers. Elles sont découvertes en 1874-1875 par Emile Moreau. M. Maulavé, curé de Mézangers y recueillent de nombreux vestiges préhistoriques[22]. En complément, des vestiges de constructions ont été relevées à la Bezillardiè et dans le bourg en 1858.
Antiquité
Au VIe siècle, l'abbaye Saint-Vincent du Mans acheta pour 200 sols d'or, de Bèthe, qui, veuve de Léogisile, s'était consacrée à Dieu, les lieux nommés Solliaco, Mansione, villa Bariaco seu Briscino, qui lui étaient échus de la succession d'Ermenfred, son fils. Mansio désigne Mézangers. La possession des biens de Bèthe fut contestée à l'abbaye au nom des enfants de Dodon, Aclemarus et Jean. Par accord intervenu le , Mézangers, qui formait le quart échu de la succession d'Ermenfred, fut attribué aux réclamants et le reste partagé entre eux et l'abbaye de Saint-Vincent.
Par son testament de 642, saint Hadouin légua Mézangers, Mansio ad prope ipsa Jona, qui avait appartenu à un nommé Lupus, à Chaddon, à condition que s'il n'avait pas d'enfants, le lieu serait attribué à l'abbaye d'Évron. C'est sans doute ce qui arriva. Enfin, dans la seconde moitié du VIIIe siècle, l'évêque Mérole donna, à titre précaire, à Willibert, la ville de Mézangers qui appartenait à Saint-Vincent pour une rente de 10 sols d'argent et les dîmes, villa… cujus vocabulum est ad Mansiones cum omni integritate et appendiciis in vicaria Diablintica. Cette charte est datée de la 32e année du règne de Charlemagne, ce qui ne convient pas à l'épiscopat de Mérole, mais sans vicier absolument l'acte.
Féodalité
Les armoiries sculptées sur une pierre de granit encastrée dans la façade d'une maison, route de Sainte-Gemme, proviennent, croit-on, de l'ancienne maison seigneuriale remplacée par la ferme de la Cour, près de laquelle est un reste de la motte seigneuriale.
Guillaume d'Anthenaise[23], chevalier, seigneur de la châtellenie de Mézangers, 1324, chevalier et baron, 1331, accorde au curé de Mézangers droit d'usage dans la forêt de Langé. Le duc d'Alençon, baron de Sainte-Suzanne, était devenu châtelain de Mézangers peu après cette époque et l'on qualifie toujours depuis la châtellenie membre de la baronnie de Sainte-Suzanne.
L'Abbé Angot pense que dès le XIIIe siècle, Mézangers appartenait aux comtes d'Alençon, barons de Sainte-Suzanne, et que Guillaume d'Anthenaise n'en fut pourvu qu'à titre d'inféodation passagère[24].
Une famille de Mézangers possédant le féage et seigneurie de Mézangers avec une maison au bourg et un petit domaine ; mais ce n'était là qu'une dépendance de la châtellenie[25].
Vers 1624, à titre d'échange, René de Bouillé, obtint de René Ier Fouquet de la Varenne, gouverneur d'Angers, baron de Sainte-Suzanne, la chastellenie de Mezengé… subjects, hommages, services, cens, rentes et debvoirs et tous droits et prérogatives qui en dépendent… sur la forest, landes et consents de Langey… et ès paroisses de Mezengé, Jublains et Neau ;… et la féodalité sur les fiefs de Jennes ( ?) qui s'estendent en Esvron et Neau ; plus cent boisseaux d'avoyne dus par aucuns des subjects de Chellé pour raison des usaiges qui leur ont esté concédés à cette charge. Au corps de laquelle chastellenie de Mézengé demeureront annexéz la terre et seigneurye du Rocher et autres terres et fiefs et dommaines qui en relèvent.. Cette situation se continua jusqu'à la Révolution française.
XVe siècle
Le , les paroissiens prennent un congé des Anglais pour un quartier.
XVIIIe siècle
Le seigneur du château du Rocher voulant établir des forges dans la paroisse en 1736, les habitants d'Hambers, de Sainte-Gemme et d'Evron protestèrent à cause du tort que cette industrie leur causerait par la rareté du bois et l'extraction du minerai ; le projet ne fut pas suivi.
XXe siècle
La commune de Mézangers fut la plus touchée du département de la Mayenne par les pertes de la Grande Guerre : 52 soldats tombèrent en 1914-1918, soit 8,7 % de la population (moyenne France : 3,2 %)[26].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2020, la commune comptait 629 habitants[Note 9], en diminution de 8,97 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Il y a une école maternelle et primaire située sur la commune.
Économie
Une fabrique de poterie et de faïencerie communes, établie dans l'emplacement de l'ancienne école, a disparu vers 1820.
Lieux et monuments
Mézangers est une cité du Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne.
- Château du Rocher, XIIIe et XVe siècles.
- L'église paroissiale Saint-Front, d'origine romane.
- Étang du Gué de Selle. Avec son étendue d'eau de 50 hectares, le site du Gué de Selle et son centre d'hébergement proposent également une belle gamme d'activités.
- Ancien Prieuré de Notre-Dame du Champ-de-Vigne.
- Le château du Rocher.
- L'église paroissiale saint-Front.
Activité culturelle et manifestations
Jumelages
Personnalités liées à la commune
- Françoise Mezière (1745 à Mézangers - 1794), enseignante, béatifiée.
- Pierre Marie Alexis du Plessis d'Argentré (1761-1843), militaire et homme politique.
Sources
- Registre paroissial depuis 1564.
- Cartulaire de Saint-Vincent, col. 7, 11.
- Cartulaire d'Évron, 1219, 1220.
- Chartrier du Rocher.
- François-Augustin Gérault, Notice sur Evron, p. 23, 66, 122, 138, 219, 245, 278, 281.
- Cabinet de Louis-Julien Morin de la Beauluère, carton XI.
- E. Moreau, Note sur deux nouvelles stations préhistoriques.
- Archives départementales de la Mayenne, B. 1.476, 2.276.
- Bibliothèque municipale de Laval, mss. 11.611.
- « Mézangers », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
Sources
- « Mézangers », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)
- Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 591
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Evron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mézangers et Évron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Evron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mézangers et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- L'Abbé Angot indique au début du XXe siècle qu'il est bien désirable que les échantillons — près de deux cents — qu'il a pu sauver de la rapacité des collectionneurs ne soient pas dispersés.
- Pour l'Abbé Angot, Guillaume d'Anthenaise est probablement le même que Guillaume de Mézangers cité en 1282.
- Les d'Anthenaise s'étaient fondus dans les Chamaillard, dont la succession passa à la maison d'Alençon.
- On connaît : Guillaume de Mézangers, qui fait accord avec le seigneur du Rocher en 1282 ; Guillaume et Raoul de Mézangers, cités aux francs-fiefs d'Évron et de Mézangers, 1312 ; Guillaume de Mézangers, l'aîné, 1384, 1397, écuyer, 1402 ; Guillaume de Saint-Bômer, seigneur de Sainte-Gemmes et aussi des terre, féage et seigneurie de Mézangers, 1453 ; Guyon de Mézangers, qui paie 100 écuelles de bois à la baronnie de Sainte-Suzanne pour la segrairie de Langé, 1457, et sa veuve, Guillemette de Bures, 1470 ; Jean de Mézangers, qui demeurait à la Bezillardière en 1492 et qui, veuf, père d'un fils et d'une fille, épousa Catherine de Favières, veuve de Charles Le Maire, dont il eut : Pierre, Madeleine et Marie, celle-ci femme de Jean de Bouillé. En 1498, il échangea sa seigneurie de Mézangers avec Jean de Bouillé pour le lieu disparu de Bréhonde (Torcé).
- D'après les chiffres établis par l'ONAC Mayenne. http://pierresdememoire.fr/?page_id=6797
- « Ouest-france.fr - Mayenne : Michel Pailleux, maire de Mézangers, a démissionné » (consulté le ).
- « Ouest-france.fr - Robert Geslot a été élu maire de Mézangers (Mayenne) » (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Mézangers (53600) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.