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Mézangers

Mézangers est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 629 habitants[Note 1].

Mézangers
Mézangers
L'étang du Gué-de-Selle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes des Coëvrons
Maire
Mandat
Robert Geslot
2020-2026
Code postal 53600
Code commune 53153
Démographie
Population
municipale
629 hab. (2020 en diminution de 8,97 % par rapport à 2014)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 28″ nord, 0° 25′ 58″ ouest
Altitude Min. 84 m
Max. 138 m
Superficie 29,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Évron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évron
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mézangers
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Mézangers

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Géologie

    Daniel Œhlert indique pour la description de la géologie sur Mézangers au début du XXe siècle: Une ligne légèrement sinueuse, allant de la Valtière à la Reburière, en passant un peu au Nord du bourg, marque la séparation à établir entre le terrain granitique au nord, et les schistes précambriens au sud ; ceux-ci présentent une zone métamorphique au contact du granite. Pointements de microgranulite à la Bezillardière, et aux Hautes-Loges. La région granitique du nord est presque entièrement recouverte par des dépôts d'âge éocène comprenant des argiles feldspathiques, des sables, des grès lustrés et des meulières ; ces dernières roches sont exploitées actuellement comme macadam, dans le Bois d'Hermet, à l'ouest de la route allant de Neau à Jublains ; on a essayé autrefois, mais sans succès, de se servir de ces meulières pour la confection des meules de moulins. L'assise, dite des grès à Sabalites, est représentée, tantôt par des sables meubles, tantôt par des grès lustrés résultant de la consolidation, sur certains points, de ces sables par un ciment siliceux, parfois titano-zirconifère ; ces grès sont souvent à l'état de blocs en grandes dalles, tantôt isolés à la surface du sol, tantôt groupés dans certaines localités (Étang de Mortry, Landes de Chellé), tantôt à l'état de bancs continus (La Houssaye). Tous ces dépôts éocènes, qui, en partie respectés par l'érosion au Nord-Ouest de Mézangers, ont conservé dans cette région une assez grande puissance, se reliaient aux formations analogues qu'on retrouve entre Évron et Neau, principalement au sud du chemin de fer. L'érosion les a fait disparaître sur une grande étendue, découvrant ainsi le sous-sol (schistes précambriens, poudingue pourpré, etc.) ou laissant voir par place certaines saillies granitiques complètement dénudées, comme au sud et à l'est de l'étang de Gué-de-Selle..

    Territoire

    Il s'agit d'un territoire de basse plaine, au pied des collines de Sainte-Gemmes-le-Robert et d'Hambers, entre le Dinard au Sud-Est, les Deux-Évailles et le Bois d'Hermet au Nord-Ouest. Les eaux du ruisseau du Rocher au centre séjournent en de vastes étangs avant de s'écouler lentement par la cornière Sud-Ouest où l'altitude de 100 m. est à peine atteinte.

    On signale à travers les bois d'Hermet le passage d'une voie venant de Jublains, peut-être la via quadrigaria du cartulaire d'Évron, 1219 ; une autre marquant la limite entre Mézangers et Sainte-Gemmes. La carte de Jaillot fait passer au bourg la route d'Évron à Mayenne — indiquée aussi par la carte de Cassini et aboutir des chemins de Châlons, Bourgon (forges), Hambers.

    La superficie, cadastrée en 1835 par M. Demeré est 2 933 hectares. Un témoin dépose en 1595 qu'étant écolier, il avait assisté à une procession passant par les logeais et l'estang de Hermés, preuve que ce lieu était dès lors de la paroisse. Miroménil indique en 1696 un Fonds ingrat et froid, où il ne se recueille que de mauvais grains ; 16 métairies». André René Le Paige cite en 1777 comme fruits du sol ; le seigle, le froment, l'avoine, le sarrasin.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 783 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Evron », sur la commune d'Évron, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 784,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Mézangers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évron, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,2 %), forêts (39,2 %), terres arables (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %), zones urbanisées (1,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Les attestations anciennes référencés par Alphonse-Victor Angot sont :

    • Locellum… Mansione, 572 (Gesta Aldrici, p. 189).
    • Mansio ad prope ipsa Jona, 642 (Act. pont. Cenom., p. 160)
    • Villa cujus vocabulum est ad Mansiones in vicaria Diablintica, 785 ? (Gest. Aldrici, p. 181).
    • Ecclesia Sancti Frontonis de Mezengiaco, 1125 (Cartulaire d'Évron).
    • Terra de Mesangers, XIIIe siècle ? (Cartulaire d'Évron).
    • G. de Mezangié, 1282 (Chartrier du Rocher de Mézangers).
    • G. de Mesengé, 1312 (Bibliothèque nationale de France., fr. 8.736).
    • Rector ecclesiæ de Mesengeio, 1324 (Titres de la fabrique).
    • La paroisse de Mesangé, 1371 (Chartrier du Rocher).
    • Mesengé, 1434 (Archives nationales., KK. 324).
    • Ecclesia de Mesengeio, XVe siècle (Pouillé).
    • Ecclesia sancti Frontonis de Mezengeyo, 1562 (Insinuations ecclésiastiques).
    • Mesangé, 1564 (Registre paroissial).
    • Mesangé (carte cénomane, carte de Jaillot).
    • Mezangé (carte de Cassini).

    Mez représente le terme mansus ou mansio qui se trouve dans un grand nombre de noms locaux : Mébertin, Mécorbon, Méfremont, etc. ; et Angé, le nom du personnage qui s'est ajouté à la dénomination primitive.

    Histoire

    Préhistoire

    Mézangers possède des stations préhistoriques (Acheuléen et Moustérien), situées à la Maison-Neuve et à Eugéniville, qui se situent à la limite des communes de Mézangers et d'Hambers. Elles sont découvertes en 1874-1875 par Emile Moreau. M. Maulavé, curé de Mézangers y recueillent de nombreux vestiges préhistoriques[22]. En complément, des vestiges de constructions ont été relevées à la Bezillardiè et dans le bourg en 1858.

    Antiquité

    Au VIe siècle, l'abbaye Saint-Vincent du Mans acheta pour 200 sols d'or, de Bèthe, qui, veuve de Léogisile, s'était consacrée à Dieu, les lieux nommés Solliaco, Mansione, villa Bariaco seu Briscino, qui lui étaient échus de la succession d'Ermenfred, son fils. Mansio désigne Mézangers. La possession des biens de Bèthe fut contestée à l'abbaye au nom des enfants de Dodon, Aclemarus et Jean. Par accord intervenu le , Mézangers, qui formait le quart échu de la succession d'Ermenfred, fut attribué aux réclamants et le reste partagé entre eux et l'abbaye de Saint-Vincent.

    Par son testament de 642, saint Hadouin légua Mézangers, Mansio ad prope ipsa Jona, qui avait appartenu à un nommé Lupus, à Chaddon, à condition que s'il n'avait pas d'enfants, le lieu serait attribué à l'abbaye d'Évron. C'est sans doute ce qui arriva. Enfin, dans la seconde moitié du VIIIe siècle, l'évêque Mérole donna, à titre précaire, à Willibert, la ville de Mézangers qui appartenait à Saint-Vincent pour une rente de 10 sols d'argent et les dîmes, villa… cujus vocabulum est ad Mansiones cum omni integritate et appendiciis in vicaria Diablintica. Cette charte est datée de la 32e année du règne de Charlemagne, ce qui ne convient pas à l'épiscopat de Mérole, mais sans vicier absolument l'acte.

    Féodalité

    Les armoiries sculptées sur une pierre de granit encastrée dans la façade d'une maison, route de Sainte-Gemme, proviennent, croit-on, de l'ancienne maison seigneuriale remplacée par la ferme de la Cour, près de laquelle est un reste de la motte seigneuriale.

    Guillaume d'Anthenaise[23], chevalier, seigneur de la châtellenie de Mézangers, 1324, chevalier et baron, 1331, accorde au curé de Mézangers droit d'usage dans la forêt de Langé. Le duc d'Alençon, baron de Sainte-Suzanne, était devenu châtelain de Mézangers peu après cette époque et l'on qualifie toujours depuis la châtellenie membre de la baronnie de Sainte-Suzanne.

    L'Abbé Angot pense que dès le XIIIe siècle, Mézangers appartenait aux comtes d'Alençon, barons de Sainte-Suzanne, et que Guillaume d'Anthenaise n'en fut pourvu qu'à titre d'inféodation passagère[24].

    Une famille de Mézangers possédant le féage et seigneurie de Mézangers avec une maison au bourg et un petit domaine ; mais ce n'était là qu'une dépendance de la châtellenie[25].

    Armes des Bouillé : D'argent à la fasce de gueules frettée de sable, accompagnée de deux burelles de gueules.

    Vers 1624, à titre d'échange, René de Bouillé, obtint de René Ier Fouquet de la Varenne, gouverneur d'Angers, baron de Sainte-Suzanne, la chastellenie de Mezengé… subjects, hommages, services, cens, rentes et debvoirs et tous droits et prérogatives qui en dépendent… sur la forest, landes et consents de Langey… et ès paroisses de Mezengé, Jublains et Neau ;… et la féodalité sur les fiefs de Jennes ( ?) qui s'estendent en Esvron et Neau ; plus cent boisseaux d'avoyne dus par aucuns des subjects de Chellé pour raison des usaiges qui leur ont esté concédés à cette charge. Au corps de laquelle chastellenie de Mézengé demeureront annexéz la terre et seigneurye du Rocher et autres terres et fiefs et dommaines qui en relèvent.. Cette situation se continua jusqu'à la Révolution française.

    XVe siècle

    Le , les paroissiens prennent un congé des Anglais pour un quartier.

    XVIIIe siècle

    Le seigneur du château du Rocher voulant établir des forges dans la paroisse en 1736, les habitants d'Hambers, de Sainte-Gemme et d'Evron protestèrent à cause du tort que cette industrie leur causerait par la rareté du bois et l'extraction du minerai ; le projet ne fut pas suivi.

    XXe siècle

    La commune de Mézangers fut la plus touchée du département de la Mayenne par les pertes de la Grande Guerre : 52 soldats tombèrent en 1914-1918, soit 8,7 % de la population (moyenne France : 3,2 %)[26].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1791 Moraine
    an III an III Blanche
    1798 1798 Moraine
    an VIII et an XII ? Julien Perrier-Lamotte
    1808 1815 Julien-Louis Perrier-Lamotte
    1816 1824 Frédéric Le Gonidec de Traissan
    1824 1830 Pierre Marie Alexis du Plessis d'Argentré Royaliste militaire, propriétaire du Rocher
    1832 1847 Julien-Louis Perrier-Lamotte
    1850 1860 Michel Frangeul
    1860 1867 Louis-Hippolyte Perrier-Desloges
    1867 1870 Edmond Gerbault
    1870 1894 Comte Horric de Beaucaire ministre plénipotentiaire, propriétaire du Rocher
    1894 ? Yves Le Gonidec de Traissan
    1971 1983 Sylvain Manson
    1983 1995 René Lair de La Motte DVD
    juin 1995 janvier 2011[27] Michel Pailleux SE Employé de commerce
    mars 2011[28] En cours Robert Geslot[29] Animateur de production
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 629 habitants[Note 9], en diminution de 8,97 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9608259598739399301 0111 0251 047
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0141 0421 043941917855880850772
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    725639593520499503513486440
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    435435432522555555662693691
    2018 2020 - - - - - - -
    641629-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Il y a une école maternelle et primaire située sur la commune.

    Économie

    Une fabrique de poterie et de faïencerie communes, établie dans l'emplacement de l'ancienne école, a disparu vers 1820.

    Lieux et monuments

    Mézangers est une cité du Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne.

    • Le château du Rocher.
      Le château du Rocher.
    • L'église paroissiale saint-Front.
      L'église paroissiale saint-Front.

    Activité culturelle et manifestations

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Sources

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    Sources

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 591
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Evron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Mézangers et Évron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Evron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Mézangers et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. L'Abbé Angot indique au début du XXe siècle qu'il est bien désirable que les échantillons — près de deux cents — qu'il a pu sauver de la rapacité des collectionneurs ne soient pas dispersés.
    23. Pour l'Abbé Angot, Guillaume d'Anthenaise est probablement le même que Guillaume de Mézangers cité en 1282.
    24. Les d'Anthenaise s'étaient fondus dans les Chamaillard, dont la succession passa à la maison d'Alençon.
    25. On connaît : Guillaume de Mézangers, qui fait accord avec le seigneur du Rocher en 1282 ; Guillaume et Raoul de Mézangers, cités aux francs-fiefs d'Évron et de Mézangers, 1312 ; Guillaume de Mézangers, l'aîné, 1384, 1397, écuyer, 1402 ; Guillaume de Saint-Bômer, seigneur de Sainte-Gemmes et aussi des terre, féage et seigneurie de Mézangers, 1453 ; Guyon de Mézangers, qui paie 100 écuelles de bois à la baronnie de Sainte-Suzanne pour la segrairie de Langé, 1457, et sa veuve, Guillemette de Bures, 1470 ; Jean de Mézangers, qui demeurait à la Bezillardière en 1492 et qui, veuf, père d'un fils et d'une fille, épousa Catherine de Favières, veuve de Charles Le Maire, dont il eut : Pierre, Madeleine et Marie, celle-ci femme de Jean de Bouillé. En 1498, il échangea sa seigneurie de Mézangers avec Jean de Bouillé pour le lieu disparu de Bréhonde (Torcé).
    26. D'après les chiffres établis par l'ONAC Mayenne. http://pierresdememoire.fr/?page_id=6797
    27. « Ouest-france.fr - Mayenne : Michel Pailleux, maire de Mézangers, a démissionné » (consulté le ).
    28. « Ouest-france.fr - Robert Geslot a été élu maire de Mézangers (Mayenne) » (consulté le ).
    29. Réélection 2014 : « Mézangers (53600) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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