Le Vernet (Alpes-de-Haute-Provence)
Le Vernet est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le Vernet | |||||
Église Sainte-Marthe | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
François Balique 2020-2026 |
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Code postal | 04140 | ||||
Code commune | 04237 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vernetois | ||||
Population municipale |
125 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,4 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 16′ 37″ nord, 6° 23′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 1 153 m Max. 2 642 m |
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Superficie | 23,05 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Digne-les-Bains (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Seyne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Le nom de ses habitants est Vernetois[1] ou Vernetiers.
GĂ©ographie
Le village du Vernet est situé dans la vallée du Bès à 1 200 m d’altitude[2]. Sa population dépasse tout juste les 100 habitants permanents, mais elle est souvent plus que doublée chaque hiver et chaque été, où la commune devient alors la base de départ d'excursions touristiques, notamment dans la vallée de la Blanche, et un lieu de départ pour les stations de ski proches (Le Grand-Puy, Saint-Jean-Montclar, Chabanon).
La commune compte deux villages principaux, le Haut-Vernet, perché en hauteur, et le Bas-Vernet.
GĂ©ologie
Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, un glacier est présent dans la partie supérieure de la vallée du Riou de la Montagne. Lors de la glaciation de Riss, une diffluence du glacier de la Blanche franchit le col de Maure et atteint approximativement l’emplacement du village du Bas-Vernet actuel. La diffluence se reproduit à l’époque de Würm, mais n’atteint pas le territoire du Vernet[3].
Relief
Le pic des Têtes (2 642 m) se trouve sur le territoire de la commune, ainsi que le col du Labouret, dans le Massif des Trois-Évêchés.
Environnement
La commune compte 689 ha de bois et forĂŞts[1].
Transports
La route départementale 900 (ancienne route nationale 100) traverse le territoire communal tandis que la route départementale 457 connecte bas et haut Vernet. La ligne 28 du réseau des lignes express régionales Provence-Alpes-Côte d'Azur, de Marseille à Barcelonnette, dessert tous les jours le village[4], de même que la ligne U1 du réseau interurbain des Alpes-de-Haute-Provence dans le sens de Barcelonnette à Digne-les-Bains[5].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département (en 2015) n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Seyne auquel appartient Le Vernet est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[6], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7]. La commune du Vernet est également exposée à trois autres risques naturels[7] :
- avalanche ;
- inondation ;
- mouvement de terrain.
La commune du Vernet est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[8]. La départementale RD 900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[9].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[8] et le Dicrim n’existe pas non plus[10].
L'histoire conserve le souvenir de deux tremblements de terre ont été fortement ressentis dans la commune. Ils dépassent une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre[11] :
- le séisme du , avec une intensité ressentie de V et Le Lauzet pour épicentre[12] ;
- le séisme du , avec une intensité ressentie de V et Prads-Haute-Bléone pour épicentre[13].
Urbanisme
Typologie
Le Vernet est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,7 %), prairies (20,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Histoire
Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune du Vernet. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes maritimes lors de sa création[22].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIe siècle[23]. Le prieuré Saint-Clément relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, via le prieuré de Chaudol (actuellement à La Javie)[24] : il percevait les questes et la taille, le seigneur percevait la cavalcade et l’albergue[24]. Le comte de Provence Raymond Bérenger IV accorde à la communauté, qui relevait de la baillie de Seyne, un consulat au XIIIe[23].
Au Moyen Âge, le grand chemin de Digne à Seyne passait, en descendant du col du Labouret, par le Haut-Vernet, sans suivre la vallée du Bès[24].
En 1602, des essais d’exploitation d’un filon de cuivre tourna court, le gisement étant en réalité très pauvre : dès 1604, les propriétaires ne peuvent payer les ouvriers, dont certains sont envoyés à Villevieille et Verdaches. Ces mines sont à nouveau concédées en 1614, sans que leur exploitation ne redémarre[25].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[26].
Le nom de Bayle était très répandu au Vernet. Aussi, chaque famille accolait un sobriquet à son nom (Bayle-Jessé, Bayle_sergent; Bayle-lacroix....°.
De nombreux habitants du Vernet ont émigré en Amérique, particulièrement au Nevada (M. Frangi: "L'émigration seynoise au Nevada: duel à Savornin corral", Annales de Haute-Provence, n° 351 (2004)) et en Californie (M. Frangi: "Les Bayle, émigrants du Vernet en Californie", Annales de Haute Provence (1848-1900)", Annales de Haute Provence, n° 351.
Sous le Second Empire, une tentative d'acclimatation et d'élevage du Yak du tibet fut effectuée au Vernet pendant une dizaine d'années, à l'initiative du consul de France à Shanghai. Quelques reproducteurs mâles et femelles furent convoyés au village pour y être élevés par des agriculteurs locaux. Il y eut aussi des tentatives de métissage avec des vaches locales. le résultat fut décevant et l'opération arrêtée. Les spécimens survivants furent vendus (voir Annales de Haute Provence, n° 292, numéro consacré au Pays de Seyne).
Comme de nombreuses communes du département, Le Vernet se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède deux, installées au Haut-Vernet et au Bas-Vernet, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[27]. Alors que la loi Falloux (1851), n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[28], et que la première loi Duruy (1867), n’abaisse ce seuil qu’à 500 habitants, Le Vernet ouvre néanmoins une école de filles, en avance sur les lois[29]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve au Haut-Vernet[30].
Le nom des 6 habitants du Vernet décédés lors de la guerre de 1914-1918 (5 agriculteurs, un élève-maître), figure sur le Livre d'or de la commune: Le Vernet - Livres d'or 14/18 - 1914 - 1918 - Geneanet.
Un Airbus A320, vol 9525 de la Germanwings, un vol international régulier de la compagnie à bas coûts allemande Germanwings reliant Barcelone à Düsseldorf s'écrase le sur le territoire de la commune limitrophe de Prads-Haute-Bléone.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Le Vernet a fait partie, de 2008 à 2016, de la communauté de communes du Pays de Seyne ; cette communauté de communes a fusionné avec d'autres intercommunalités autour de Digne-les-Bains pour former, le , la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 125 habitants[Note 3], en diminution de 3,85 % par rapport Ă 2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
L’histoire démographique du Vernet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse rapide de la population, qui plus est un mouvement de longue durée. Entre 1911 et 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population (par rapport au maximum historique)[40]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt que dans les années 1980. Depuis, la population a doublé.
Enseignement
La commune dépend de l'académie d'Aix-Marseille[41]. Elle était dotée d’une école primaire, regroupant 9 élèves[42]. Celle-ci a fermé à l'issue de l'année scolaire 2015-2016 et les enfants sont désormais scolarisés à Seyne-les-Alpes jusqu'au collège[43].
Cultes
La paroisse catholique du Vernet dépend du diocèse de Digne, Riez et Sisteron[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Au Bas-Vernet, l’église paroissiale Sainte-Marthe date du XIXe siècle[24].
Au Haut-Vernet, église Saint-Martin[24], également du XIXe siècle.
La chapelle Saint-Pancrace, isolée au-dessus du Haut-Vernet, est l’ancienne église paroissiale. Ruinée par les guerres de religion, elle est rebâtie, puis son toit à nouveau réparé au XXe siècle[24].
- Oratoire Saint-Roch
Personnalités liées à la commune
- Le Dr gaspard-Laurent Bayle, médecin de Napoléon Ier, pionnier de l'auscultation immédiate et maître de Laennec, il aurait le premier décrit le procédé d'utilisation d'un stétoscope. Auteurs d'ouvrages sur le cancer. Son petit-fils, Charles Bayle (1842-1918), vice-amiral, commandant de la flotte d'Extrême-orient, Grand-officier de la Légion d'honneur.
- Laurent Bayle, délégué de la viguerie de Seyne aux Etats de Provence (1788), avocat, juge royal puis juge de paix.
- Antoine Laurent Bayle (1799-1858), aliéniste, docteur en médecine, professeur agrégé à la faculté de médecine de Paris, ayant le premier décrit la paralysie générale (Maladie de Bayle)
- Denis Théophile Louis Bayle (1856-1944), né au Vernet, cultivateur au Vernet puis à Seyne (hameau de Maure) syndicaliste (Confédération Générale du Travail), secrétaire de la fédération des PTT des Hautes-Alpes, il fut l'un des animateurs des grèves postrales au début du XXe siècle (Dictionnaire Maitron du Mouvement ouvrier français).
- Louis Bayle, membre du corps expéditionnaire français en Tunisie (1881).
- Prosper Demontzey (monument au col du Labouret)
Voir aussi
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- M. Frangi: "Les Bayle, émigrants du Vernet en Californie", Annales de Haute Provence (1848-1900)", Annales de Haute Provence, n° 351.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Nicolas Balique, Retour au Vernet, mon village après le crash, Editions Gaussen, 2015, 144 p. (ISBN 2356980938)
Articles connexes
Lien externe
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le Vernet sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Seyne », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à -dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3), p. 33.
- Fiche horaire de la ligne 28
- Guide horaire du réseau de bus des Alpes de Haute-Provence
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- « Les risques près de chez moi », sur georisques.gouv.fr, Ministère de la Transition écologique et solidaire et BRGM (consulté le ).
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 6 septembre 2012
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Le Vernet », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 6 septembre 2012
- BRGM, « fiche 40203 », Sisfrance, consultée le 6 septembre 2012
- BRGM, « fiche 40092 », Sisfrance, consultée le 6 septembre 2012
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 99.
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 206.
- Daniel Thiery, « Le Vernet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 6 septembre 2012
- Joseph Billioud, « Les mines de plomb des Basses-Alpes du XVIe au XIXe siècle », Provence historique, tome 8, no 31, 1958, p. 43-45.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- G. M., « Vers une liste citoyenne unique », La Provence, 14 février 2014, p. 11.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013
- François Balique est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, pages 4792, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- Site de l'académie d'Aix Marseille.
- Fiche de l'Ă©cole primaire.
- Bulletin municipal d'août 2015 [PDF].
- Paroisse catholique du Vernet.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).