Le Gallet
Le Gallet est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Le Gallet | |||||
Panorama, depuis la rue de la Mare-Erin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Mathieu Boureux 2020-2026 |
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Code postal | 60360 | ||||
Code commune | 60267 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Galletiens, Galletiennes | ||||
Population municipale |
170 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 40″ nord, 2° 06′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 109 m Max. 182 m |
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Superficie | 3,47 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://legallet.fr/fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Galletiens.
Géographie
Description
Le Gallet est un village-rue rural du Plateau Picard, situé sur une butte au nord-est de Crèvecœur-le-Grand, à 25 km au nord de Beauvais.
La commune s'étend sur 3,5 km2 et est située à 175 mètres d'altitude.
Louis Graves décrivait en 1836 le Gallet comme constitué d'un « petit territoire borné à l'ouest par un ravin qui descend vers la vallée de la Selle. Le chef-lieu placé sur une butte remplie de cailloux roulés, forme une seule rue ouverte de l'est à l'ouest[1] ».
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le village est situé sur un banc de sable. Il est situé sur un léger promontoire dominant de petites vallées qui prolongent les bras de la Selle, au nord et au sud. À l’est, il rejoint la plaine vers Viefvillers[2].
Hydrographie
Le village est dépourvu d'eaux courantes, et la gestion de l'eau a constitué, jusqu'à l'adduction d'eau potable dans le village, un enjeu important. La Notice descriptive de l'Oise dénombre six en 1902, destinées essentiellement à recueillir l'eau des pluies pour constituer des réserves à incendie ainsi que des abreuvoirs pour les animaux. De nos jours, quatre existent toujours, aux sorties du village en direction de Viefvillers et de Catheux, au 12-14 rue du Pressoir et 34-36 rue de la Sablonnière.
Deux puits sont également visibles, le premier entre les n°9 et 11 rue du Pressoir, avec un édicule architecturé construit en maçonneries en calcaire taillé. Le second, est implanté en face du n°12, rue de la Sablonnière, n’est plus visible en élévation[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
La Butte du Gallet ayant une valeur écologique très élevée a été classée en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[16].
Urbanisme
Typologie
Le Gallet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), forêts (10,7 %), prairies (0,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Morphologie urbaine
Le Gallet est un village-rue constitué d’une unique rue légèrement courbe. le cœur du village se trouve se trouve au centre autour de l’église et de son cimetière, pôle paroissial, complété d'une place publique. les constructions ongt été édifiées de part et d'autre de ce centre[2].
La plupart des constructions anciennes du village sont d'anciennes fermes, auxquelles se sont ajoutés à partir des années 1990 des pavillons résidentiels aux extrémités du village[2] - [24].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 70, alors qu'il était de 67 en 2013 et de 63 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 85,6 % étaient des résidences principales, 8,6 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Gallet en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais légèrement inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Toponymie
Le village s'est successivement appelé Galetz en 1223, dans un testament par lequel Dame Amicie de Breteuil lègue sa seigneurie du Gallet à la commanderie des templiers de Fontaine-sous-Montdidier[25], puis Les Gallez en 1667.
Ce nom correspond à la nature du sol sur lequel le village est construit, o* se trouvent de nombreux galets dans le banc de sable laissé par la mer qui s'est retirée à l’ère tertiaire (de -66 à -2,6 millions d’années)[2] - [26].
Ses habitants sont appelés les Galletiens..
Histoire
Moyen Âge
La première mention connue du Gallet date de 1223 où un domaine situé à l’emplacement de l’actuel village est mentionné dans une charte du chapitre] de Amiens[2]
Un établissement des templiers, fondé entre 1238 et 1251, probablement une grosse ferme, se trouvait au lieu-dit la Cence. Brulée lors de la Guerre de Cent Ans, et les sources disent que dès la fin du XIVe siècle, « tout était en ruine jusqu'au moulin »[25].*
Le Gallet est rattaché à la paroisse du Saulchoy et de Viefvillers jusqu'en 1243, année de son érection en paroisse indépendante[27].
Sous l'Ancien Régime, Le Gallet dépend de la commanderie de Fontaine-sou-Montdidier. Le chapitre de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens avait le patronage de la cure[1].
Époque contemporaine
Au XIXe siècle, la population qui, jusqu'alors, vivait essentiellement de la fabrication d'étoffes de laine à domicile, se tourne dans les années 1880 vers des activités exclusivement agricoles à la suite du déclin de la petite industrie textile dans les campagnes picarde constaté notamment dans les villages de l'ancien canton de Crèvecœur-le-Grand. Une sablonnière communale est active dans le Bois du Gallet, à l’ouest du village, ainsi qu'un moulin à vent implanté le long de la route entre Le Gallet et Viefvillers[2].
Une gare Le Gallet-Catheux a fonctionné de 1876 a 1950 sur la ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers, qui assurait la relation entre Beauvais et Amiens. Cette gare est située a quelques kilomètres au sud du Gallet, sur l'actuelle coulée verte. Malheureusement, elle a été détruite. Seule une pancarte indique encore l'emplacement.
Cette gare était desservie par tous les trains passant sur la ligne de 1876 à 1939, puis de 1942 a 1945, pour les voyageurs.
Douze habitants, sont morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale, dont le front en 1914 atteignait Breteuil[25]. Le village est alors sur la ligne d'arrière-front française et a été une zone de stationnement des troupes tout en abritant une réserve de munitions[2].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, un régiment de chars allemand était stationné à Crevecœur-le-Grand, et le village dut loger une partie de ses soldats[25].
Une activité d'extraction de sable et de galets existait jusqu'après la Seconde Guerre mondiale sur la butte du Gallet[26].
Dans les années 1950, un incendie détruit une partie du village, expliqant l'existance de plusieurs maisons postérieures à cette date[2].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Crèvecœur-le-Grand[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[30], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[31].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[32], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [33].
Liste des maires
Équipements et services publics
Les enfants du village sont scolarisés dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal géré par le Syndicat intercommunal de regroupement scolaire (SIRS), constitué des communes de Le Gallet, Le Saulchoy, Viefvillers et Francastel, avec en 2016, 4 classes à Viefvillers (ainsi qu'une garderie matin et soir, et la cantine) et 1 classe à Francastel. Le ramassage scolaire est assuré par le Département[39].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 170 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 9,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 89 hommes pour 86 femmes, soit un taux de 50,86 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Au début du XXe siècle, il y avait deux cafés et une boulangerie au village. Aujourd'hui, Le Gallet ne compte plus aucun commerce.
Le village compte en 2021 une entreprise inhabituelle, La Ferme aux insectes ; ceux-ci sont destinés à l'alimentation de certains nouveaux animaux de compagnie (lézards…). Ce lieu fournit 150 tonnes de cette marchandise par an, principalement importées, mais maintenant en partie produites sur place, essentiellement destinées à de grandes enseignes de jardinerie, à des animaleries, ainsi que directement à des particuliers propriétaires d'animaux insectivores, qui commandent par l'Internet ou viennent sur place[45] - [46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jacques, du XVIe ou du XVIIe siècle, est fortement remaniée au XIXe siècle : cette église comprenant une nef sans bas-côtés poursuivie par un chœur beaucoup plus étroit terminé par une abside à trois côtés, est construite en silex, pierre et briques. Elle est rénovée en 2003-2004[25] - [47] - [48] - [49].
L'église comprend une statue en bois polychrome de saint Jacques Le Majeur attribuable au XVIe siècle, des fonts baptismaux datables du XVIIe siècle. La chaire en chêne semble dater du dernier quart du XVIIIe siècle. Pplusieurs parties du maître-autel sont antérieures à la Révolution française : gradins, tabernacle, exposition, et plusieurs éléments décoratifs dont les motifs sont caractéristiques du XVIIIe siècle.
Le tableau d’autel de Caron Letalle représentant saint Jacques date de 1904. Dans la nef, celui qui représente sainte Catherine est signé du peintre F. P. Gueulle[50].
- La mairie-école, datée de 1867, se trouve un peu à l'est du centre historique de la commune[2].
- Ancienne ferme, aujourd'hui demeure, 7 rue du Pressoir. La grange et le passage charettier date sans doute du second quart du XIXe siècle. La famille Peaucellier fait construire vers 1860 le corps de logis édifié sur trois niveaux, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble, en brique avec chaînages d'angle, chambranles et pilastres soutenant le fronton triangulaire de la travée centrale en pierre. Côté sud, la façade ordonnancée comprend cinq travées dont une travée centrale constituant l'entrée et formant un avant-corps. La propriété a perdu sa fonction agricole dans la seconde moitié du XXe siècle[51].
- Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale est érigé dans le cimetière en 1921[27].
- Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours (construite vers 1630, reconstruite en 1776).
- 11 croix de chemin et calvaires sont répartis dans le village[48]. Deux d'entre-elles se trouvent au centre du village. Celle de la place de l'église, érigée en 1823 par la famille Lenglier puis cédée à la commune, a été restaurée en 1924 après les dégradations de la Première Guerre mondiale puis à nouveau en 2001. La seconde, construite en 1858 par la famille Christophe en face de leur maison, se trouve au 14 rue de la Sablonnière) et a été restaurée par la commune vers 1975. Deux autres croix sont installées aux limites nord (au bord du sentier du tour de ville, juste après la mare) et est du village (croix installée en 1991 en remplacement d'une ancienne en mauvais état)[2].
- La coulée verte, itinéraire de promenade aménagé sur l'emprise de l'ancienne ligne Beauvais - Amiens.
Héraldique
Blason | D’argent à la croix pattée de gueules, mantelé de sinople chargé d’une coquille d’or accostée de deux galets du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie.
- « Inventaitaire des calvaires du Gallet » [PDF], Association pour la connaissance et la conservation des calvaires et des croix du Beauvaisis, (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune du Gallet (60267) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Le Gallet » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Gallet - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Gallet - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecoeur, arrondissement de Clermont (Oise),, Beauvais, Achille Desjardins, , 96 p. (lire en ligne), p. 53, sur Google Livres.
- Lucile Chamignon, « Le village du Gallet : dossier IA60003180 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Gallet et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Gallet et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « ZNIEFF 220220002 : Butte du Gallet », Recherche de données ZNIEFF Continentale, Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Marc Kérignard et Lucile Chamignon, « L'habitat du village du Gallet : Dossier IA60005250 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- « Histoire », sur http://www.legallet.fr (consulté le ).
- « Sous le Gallet, la plage… », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
- Lucile Chamignon, « Le cimetière du Gallet : Dossier IA60003221 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
- « Réconcilier les habitants », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après deux mandats, Jean Grégoire, a pris une retraite bien méritée. Yves Potoski, qui avait été conseiller municipal entre 1989 et 1995, a été élu maire de ce village de 117 habitant ».
- « Hommage à Jean Grégoire, « c'est un vrai Gallétien dévoué aux habitants » : Disparu le mois dernier, Jean Grégoire a œuvré pour la commune pendant plus de 40 ans. Son dernier mandat s'est arrêté en 2014 », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3670,‎ , p. 14« Il a faut partie du conseil municipal pendant 43 ans dont 3 mandats de maire, jusqu'en 2014 ».
- « Mathieu Boureux, le nouveau maire formé par Jean Grégoire : Le conseil municipal a été renouvelé avec sept nouveaux élus. Mathieu Boureux, premier adjoint de Jean Grégoire, lui succède », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3289,‎ , p. 17.
- « Le maire se représente », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587,‎ , p. 22.
- Sylvie Godin, « Le Gallet : Mathieu Boureux réélu maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Le regroupement Scolaire (SIRS) », Infos pratiques, sur http://www.legallet.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Gallet (60267) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Juliette Duclos, « Depuis l’Oise, ils ravitaillent la France en criquets, grillons et vers de farine : Depuis une décennie, l’étonnante ferme du Gallet, petit village du Beauvaisis accueille près 150 t d’insectes par an. Des produits qu’elle importe, mais qu’elle veut désormais produire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Patrick Caffin, « Trop à l’étroit en France, cette entreprise de l’Oise veut conquérir le monde avec ses insectes congelés : Leader français pour la nourriture des nouveaux animaux de compagnie, la société GNG, installée à Le Gallet, veut conquérir de nouvelles parts de marché en Amérique, en Asie et au Moyen-Orient. Jusqu’à quatre embauches sont prévues », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À la tête de sa ferme aux insectes, installée depuis 2010 à Le Gallet (Oise), Antoine Garrault se taille aujourd'hui la part du lion sur le marché de la nourriture des NAC ».
- Dominique Vermand, « Le Gallet, église Saint-Jacques », Diocèse : Amiens, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
- Inventaire des calvaires du Gallet, docoment mentionné en liens externes.
- Lucile Chamignon, Marc Kérignard, « Église paroissiale Saint-Jacques du Gallet : Dossier IA60003194 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Lucile Chamignon, « Le mobilier de l'église Saint-Jacques du Gallet : dossier IM60001720 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
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