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Larbroye

Larbroye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Larbroye
Larbroye
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Didier Wattiaux
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60348
Démographie
Gentilé Larbroyens, Larbroyennes
Population
municipale
516 hab. (2020 en augmentation de 2,79 % par rapport à 2014)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 25″ nord, 2° 57′ 56″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 150 m
Superficie 2,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Larbroye
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Larbroye
Liens
Site web http://mairielarbroye.e-monsite.com

    Géographie

    Localisation

    Entrée du village.

    La commune est un village périurbain situé sur les axes Noyon-Lassigny et Noyon-Compiègne.

    La commune est desservie par l'ex-route nationale 38 (actuelle RD 938), qui supporte en 2016 un trafic de 5 300 véhicules journaliers[1] et est aisément accessible par la route nationale 32.

    Une voie douce, dite « voie douce du Maigremont », permet de relier le village à Noyon via le quartier Beauséjour et la zone d'activités du Mont-Renaud, évitant aux cyclistes d'emprunter la RD 938[2]

    Elle est concernée par la future déviation ouest de Noyon, qui devrait supporter un trafic de 5 000 véhicules journaliers[3]

    Communes limitrophes

    Rose des vents Suzoy Vauchelles Rose des vents
    N Noyon
    O Larbroye E
    S
    Ville Passel

    Hydrographie

    La commune est drainée par le Ru Soyer, sous-affluent de la Seine par la Divette puis l'Oise.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 32 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,3 °C pour 1981-2010[15], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Larbroye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (18,7 %), zones urbanisées (13,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le village est citée en 1098 dans une charte du chapitre de Noyon, sous le toponyme Arbreia[24]

    Histoire

    Carte de Cassini de Larbroye et des environs (vers 1750)

    Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye.

    Au site du Petit-Ourscamps ont été retrouvées des poteries communes d'époque gallo-romaine[25]

    Larbroye possédait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328[26]

    Au XVIIIe siècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: une ordonnance royale du nomme un garde pour surveiller les vignobles[27]. Le village possédait un pressoir banal[28].

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait de la coutume de Noyon[29]. Au début de la Révolution française, l'abbaye d'Ourscamp indiquait posséder à Larbroye « 16 set. de mauvaises terres, et 17 set. partie de 10 set. en vignes, et le surplus en Savart, où se trouve une maison reconstruite depuis deux ans, pour cause de vetusté, un pressoir, fournil et étable, laquelle maison est occupée par un concierge qui veille à la conduite des travaux nécessaires aux vignes.... que tout le vin qui en provient est consommé dans la maison d'Ourscamp[30]... »

    La commune de Suzoy, instituée par la Révolution française, a été fugacement rattachée à celle de Larbroye de 1828 à 1832[26]. Elle achète une maison d'école en 1838. Un nouveau bâtiment est construit et inauguré en 1845[31].

    Première Guerre Mondiale

    Dès le début du mois de , Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations.

    Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre, son château avait été pillé et incendié par l'ennemi[32].

    Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.

    En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [33]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[34] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [35].

    Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.

    • Cartes postales anciennes de la commune
    • L'église vant 1914.
      L'église vant 1914.
    • État de l'église à la fin de la guerre.
      État de l'église à la fin de la guerre.
    • Ruines de l'église à la fin de la guerre.
      Ruines de l'église à la fin de la guerre.
    • Carte postale du village avant 1914.
      Carte postale du village avant 1914.
    • État du village en 1918.
      État du village en 1918.
    • La rue de l'église en 1918.
      La rue de l'église en 1918.
    • Ruines du château incendié en septembre 1914 devant lequel paradent des soldats allemands.
      Ruines du château incendié en devant lequel paradent des soldats allemands.
    • Ruines du château du bas en 1918.
      Ruines du château du bas en 1918.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noyon[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 42 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise et qui succédait au district de la haute vallée de l’Oise.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1982 octobre 2006[38] Gilbert Giraudeau Décédé en fonction
    décembre 2006[39] mars 2014 Michèle Nguyen
    mars 2014[40] - [41] En cours
    (au Jusqu'à ce jour mise à jour du 29 juin 2023)
    Didier Wattiaux Retraité d'entreprise publique

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

    En 2020, la commune comptait 516 habitants[Note 8], en augmentation de 2,79 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    262225216252639251247223232
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    239232214223207203200174180
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    214211199162200202200184210
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    210221270267376373448470494
    2018 2020 - - - - - - -
    514516-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 263 femmes, soit un taux de 51,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,8
    4,4
    75-89 ans
    6,1
    17,5
    60-74 ans
    12,5
    20,7
    45-59 ans
    21,7
    19,5
    30-44 ans
    19,8
    15,5
    15-29 ans
    15,2
    21,9
    0-14 ans
    24,0
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Le monument aux morts.
    L'église St-Pierre-ès-Liens.

    Lieux et monuments

    • La mairie-école actuelle est reconstruite après la Deuxième Guerre mondiale[31].
    • Église Saint Pierre-ès-Liens de Larbroye. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'église est reconstruite sur les plans de l'architecte J.M. Warin, en conservant une partie du chÅ“ur de l'église du XIXe siècle[47].
    • Maisons de la Reconstruction, 52 et 60 rue de Noyon[48], et 247 rue de Montdidier[49].
    • Château de Larbroye, propriété des Marcotte devenue par héritage, propriété de Marie Marcotte d'Argenteuil, épouse de Alexandre Legentil, bombardé par les Allemands, démoli et pillé en [50].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Larbroye se blasonnent ainsi :
    tiercé en fasce : au premier d'azur à l'ours au naturel, au second d'argent à l'arbre de sinople, au troisieme parti au premièr de sable à la broye d'argent et au second de gueules à la fasce d'argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Déblocage sur l’axe Noyon-Lassigny : Larbroye va renoncer à la pose de neuf ralentisseurs pour un projet anti-vitesse plus doux, à cette sortie où passent 5 300 véhicules chaque jour. Le point sur le dossier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    2. « Noyon ouvre une voie douce », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    3. « Ils craignent le bruit de la future déviation ouest de Noyon : Les habitants de la sortie de la ville, à Larbroye, réclament des mesures limitant l’impact sonore de la route prévue pour 2021. Le Département mise sur la pose d’un revêtement spécial », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Larbroye et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Larbroye et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
    25. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise, Paris, Imprimerie impériale, coll. « rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département », , 213 p. (lire en ligne), p. 144, lire en ligne sur Gallica.
    26. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 259-260, lire en ligne sur Gallica.
    27. Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Fragments de registres d'audiences extraordinaires Août 1702-20 octobre 1706 ; 19 mai 1708, 4 janvier 1715. », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII,‎ , p. 201 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    28. Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Plaids du 5 juin 1646 au 30 octobre de la même année », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII,‎ , p. 159 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    29. Gaëtan Legrand, La Région soumise à la coutume du Vermandois, , 21 p. (lire en ligne), p. 16, lire en ligne sur Gallica.
    30. A. Ponthieux, « Les derniers religieux des Abbayes et Couvents de Noyon en 1790 : L'abbaye d'Ourscamp », Comptes rendus et mémoires lus aux séances - Comité archéologique et historique de Noyon, vol. 2, t. XXIV,‎ , p. 182-190 (lire en ligne, consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
    31. Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Mairie et école primaire de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
    32. Baron A de Maricourt, L'Oise dévastée, Paris, Librairie Félix Alcan, coll. « La France dévastée », , 142 p. (lire en ligne), p. 109, lire en ligne sur Gallica.
    33. « 16 mars 1917 », Cartographie 1914 - 1918 Le front ouest de la première guerre mondiale (consulté le ).
    34. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    35. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. « Les maires de Larbroye », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    38. « Le carnet », Courrier d'État, no 17,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    39. « Le carnet », Courrier d'État, no 18,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    40. « LARBROYE Didier Wattiaux en pôle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Didier Wattiaux, retraité, conseiller municipal sortant et adjoint au maire de 2008 à 2012, conduit l’unique liste pour les municipales ».
    41. « Larbroye », Cartes de France (consulté le ).
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