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La Roche-Blanche (Loire-Atlantique)

La Roche-Blanche est une commune rurale de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

La Roche-Blanche
La Roche-Blanche (Loire-Atlantique)
La chapelle Saint-Michel du Bois, lieu de résistance.
Blason de La Roche-Blanche
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement ChĂąteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Ancenis
Maire
Mandat
Jacques Praud
2020-2026
Code postal 44522
Code commune 44222
DĂ©mographie
Gentilé Roche-Blanchais
Population
municipale
1 241 hab. (2020 en augmentation de 6,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 84 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 26â€Č 30″ nord, 1° 08â€Č 22″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 84 m
Superficie 14,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ancenis-Saint-Géréon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ancenis
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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La Roche-Blanche
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La Roche-Blanche
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La Roche-Blanche
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La Roche-Blanche
Liens
Site web http://www.pays-ancenis.fr/

    Ses habitants s'appellent les Roche-blanchaises et les Roche-blanchais.

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de la Roche-Blanche dans le département de la Loire-Atlantique

    Localisation

    La Roche-Blanche est situĂ© Ă  45 km environ Ă  l'est de Nantes et km au nord-est d’Ancenis (commune nouvelle d'Ancenis-Saint-GĂ©rĂ©on).

    Son altitude s'étend de 7 à 84 mÚtres. Le climat est océanique avec des étés tempérés.

    Les communes limitrophes sont Vair-sur-Loire au sud, Ancenis-Saint-Géréon au sud-ouest, Mésanger à l'ouest, Pouillé-les-CÎteaux au nord-ouest, Maumusson au nord-est et Loireauxence à l'est.

    Selon le classement établi par l'Insee en 1999, La Roche-Blanche est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine d'Ancenis et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

    La commune est Ă©galement situĂ©e Ă  proximitĂ© du Bois de Maumusson (Ă  environ 6,7 km) et du Bois du Triage (Ă  8,5 km).

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 748 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ancenis », sur la commune d'Ancenis-Saint-GĂ©rĂ©on, mise en service en 1964[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 781,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et Ă  47 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Roche-Blanche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ancenis-Saint-GĂ©rĂ©on, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (96 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (47,7 %), terres arables (28 %), prairies (19,5 %), zones urbanisĂ©es (4,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    En gallo, la langue d'oĂŻl locale, le nom de la commune se prononce [ʁɔʃbjɑ̃wʃ ] ou [ʁɔʃbjɛ̃wʃ ], deux variantes qui s'Ă©crivent respectivement Roch Biaunch et Roch BiĂąunch selon l'Ă©criture MOGA[21]. En Ă©criture ELG, le nom de la commune s'Ă©crit La Roch-Blaunch[22].

    Le nom de la commune est Ar Roc'h-Wenn en breton, le breton n'y a cependant pas été parlé, et l'on y a parlé le gallo, puis le français[23]..

    Histoire

    La Roche-Blanche est un dĂ©membrement de Saint-Herblon datant d'un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 5 aoĂ»t 1950[24]. La commune est nĂ©e officiellement le [25]. Cette naissance a Ă©tĂ© la consĂ©quence d'une fronde des habitants qui datait de plus de cinquante ans dont l'origine rĂ©sidait dans un nombre de conseillers municipaux infĂ©rieur Ă  celui de Saint-Herblon (5 contre 12) et aux plaintes des habitants de La Roche-Blanche qui n'obtenaient pas les travaux demandĂ©s ainsi que des demandes d'assistance[26].

    Politique et administration

    La mairie
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 Joël Leroux DVD
    1995 2014 Paul Martin[Note 6]
    2014 En cours Jacques Praud[Note 7] SE plombier-chauffagiste
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    La commune est créée en 1950 par démembrement partiel de Saint-Herblon. Le recensement de 1946 tient compte de ce découpage.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1946. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[28].

    En 2020, la commune comptait 1 241 habitants[Note 8], en augmentation de 6,34 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005
    658656674671723843930846929
    2006 2010 2015 2020 - - - - -
    9211 1311 1801 241-----
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,6 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 21,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 609 hommes pour 601 femmes, soit un taux de 50,33 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,3
    4,3
    75-89 ans
    6,5
    16,2
    60-74 ans
    16,1
    15,8
    45-59 ans
    16,7
    23,7
    30-44 ans
    22,9
    14,9
    15-29 ans
    12,8
    24,8
    0-14 ans
    24,7
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Économie

    Appellation d'origine contrÎlée (AOC) et Indications Géographiques Protégées (IGP)

    La Roche Blanche est dans la zone AOC pour le BƓuf du Maine-Anjou.

    S'agissant des IGP, elle appartient au territoire des IGP suivantes : le BƓuf du Maine, les Volailles d'Ancenis, la Farine de blĂ© noir de Bretagne - Gwinizh du Breizh, la MĂąche nantaise, les Vins Val de Loire blanc, rosĂ© et rouge ainsi que le Cidre de Bretagne ou Cidre breton.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église Notre-Dame de la Roche-Blanche a Ă©tĂ© construite dans le courant du XIXe siĂšcle et commença Ă  servir de culte en : selon les estimations de l'architecte Bougouin, sa construction a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en deux parties. Le clocher aurait Ă©tĂ© fabriquĂ© en 1862-1863. La nef, le transept et le chƓur ont Ă©tĂ© agrandis en 1880. En 1929-1930, les voĂ»tes sont refaites par l'architecte Fleury et en 1953 le chƓur et la sacristie ont Ă©tĂ© reconstruites[32]. L'Ă©glise contenait dans le passĂ© une statue de Saint Michel, saint choisi en souvenir de la premiĂšre paroisse dans la chapelle Saint-Michel. Cette statue a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e Ă  la chapelle Saint-Michel-du-bois. De 1933 Ă  1935 dĂ©coration de l'Ă©glise est confiĂ©e Ă  Albert Lemasson qui avec son frĂšre Paul rĂ©alisent 14 tableaux reprĂ©sentant un « Chemin de Croix », 80x80, d’un « Saint-Michel terrassant le Dragon » (plus grand que nature), ainsi que d’une « Vie de la Vierge » en 4 tableaux (grandeur nature).
    • La chapelle Saint-Michel-du-Bois servit de lieu de culte Ă  partir du XIIe siĂšcle. Elle Ă©tĂ© dĂ©vastĂ©e lors de la RĂ©volution et reconstruite en 1840. TombĂ©e en ruines, elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e grĂące au financement privĂ© de Mme Costa de Beauregard, comtesse du chĂąteau de JuignĂ© de Saint-Herblon, en 1948-1949. Elle est restaurĂ©e Ă  nouveau en 2006 pour la partie intĂ©rieure par la municipalitĂ© en partie grĂące Ă  des dons privĂ©s. Malheureusement, la statue de Saint Michel a Ă©tĂ© dĂ©robĂ©e en , Ă  l'aube de sa fĂȘte.

    En , trois officiers de l'équipe Jedburg Team George envoyés d'Angleterre se sont cachés pendant cinq jours dans la chapelle en ruine et en ronces et ont dirigé de leur poste émetteur les bombardements et les opérations de guerre, sans que les Allemands ne soupçonnent cette bùtisse en ruine de contenir le poste émetteur qu'il cherchaient[33].

    • L'Ă©glise Notre-Dame de la Roche-Blanche
      L'Ă©glise Notre-Dame de la Roche-Blanche
    • Clocher de l'Ă©glise
      Clocher de l'Ă©glise
    • Chapelle Saint-Michel du Bois
      Chapelle Saint-Michel du Bois
    • Statue de Notre-Dame de Lourdes devant une grande croix (croisement de la Rue Saint-Michel et de la Rue du Pressoir)
      Statue de Notre-Dame de Lourdes devant une grande croix (croisement de la Rue Saint-Michel et de la Rue du Pressoir)

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'argent au chevron de sinople accompagné en chef de deux mouchetures d'hermine de sable et en pointe d'une chapelle d'argent essorée de sable ; au chef échiqueté de gueules et d'argent de deux tires ; le tout enfermé dans une filiÚre d'azur.
    Commentaires : Les hermines Ă©voquent l’appartenance Ă  la Bretagne historique. Les armes de la seigneurie de Vair rappellent que La Roche-Blanche a fait partie de Saint-Herblon jusqu’en 1951. Le chevron vert rappelle que La Roche-Blanche se trouve sur une hauteur. La filiĂšre bleue rappelle que la commune est presque entiĂšrement entourĂ©e de ruisseaux (ruisseau de SaugĂšres, ruisseau de Pied-Bercy, ruisseau de GrĂ©e ou de PouillĂ© et le ruisseau du Pas Aubry). La Chapelle Saint Michel est un des principaux monuments de La Roche-Blanche. Blason conçu par Didier Pontreau.

    Ce blason a été créé en 2001, à la suite d'un concours organisé pour le cinquantenaire de la commune[34].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. RĂ©Ă©lu en 2001 et 2008.
    7. RĂ©Ă©lu en 2020
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ancenis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Roche-Blanche et Ancenis-Saint-Géréon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ancenis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Roche-Blanche et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consultĂ© le ).
    22. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    23. Atlas linguistique de la France, Gilliéron, Edmont, 1902-1910
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. « Mairie de la Roche-Blanche et sa commune (44522) (Loire-Atlantique). », sur Annuaire-Mairie (consulté le ).
    26. « larocheblanche.fr/index.php/hi
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Roche-Blanche (44222) », (consultĂ© le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
    32. http://www.larocheblanche.fr/index.php/leglise.html
    33. http://www.larocheblanche.fr/index.php/la-chapelle-saint-michel.html
    34. http://www.larocheblanche.fr/index.php/blason.html
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