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La Luzerne

La Luzerne est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 76 habitants[Note 1].

La Luzerne
La Luzerne
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Johnny Dubosq
2020-2026
Code postal 50680
Code commune 50283
Démographie
Gentilé Luzernais
Population
municipale
76 hab. (2020 en diminution de 2,56 % par rapport à 2014)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 20″ nord, 1° 03′ 01″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 137 m
Superficie 1,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Luzerne

    Géographie

    La commune est en pays saint-lois et limitrophe du chef-lieu de département. Son bourg est à 4,5 km au nord-est de Saint-Lô, à km au sud de Saint-Clair-sur-l'Elle et à 10 km à l'est de Pont-Hébert[1].

    La Luzerne est dans le bassin de la Vire, par son affluent la Dollée qui délimite le territoire au sud et poursuit son parcours au creux d'un vallon saint-lois. Trois de ses brefs affluents drainent le territoire communal dont l'un marque la limite avec Saint-André-de-l'Épine à l'est. Une moindre partie nord est un versant qui donne ses eaux au bassin de la Jouenne, autre affluent du fleuve côtier.

    Le point culminant (137 / 138 m) se situe au nord-ouest, sur la D 6. Le point le plus bas (60 m) correspond à la sortie du ruisseau de la Dollée du territoire, au sud. La commune est bocagère.

    La commune regroupe trois hameaux[2] : la Luzerne, Ferme Basse Cour, Hôtel Jourdan. Il y a trois lieux-dits non bâtis : Hôtel Cocquet, la Perroquière, Ciovaros.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 989 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[13].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 44 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,2 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    La Luzerne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,5 %), terres arables (32,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    La forme Lucerna est attestée vers 1350[25].

    Le terme lucerne, plus exactement, une luiserne désignait en ancien français un flambeau[25]. René Lepelley y voit une allusion à un lieu de culte éclairé le soir[26], bien qu'une enseigne de cabaret soit également plausible[27].

    Le gentilé est Luzernais[28].

    Histoire

    Un Thomas de la Lucerne accompagna le duc de Normandie Robert Courteheuse à la première croisade en 1096, et un Guillaume de la Luzerne fut l'un des 119 défenseurs du Mont-Saint-Michel de 1423 à 1424.

    La famille noble normande de La Luzerne tirait son nom de la commune, aussi dite La Luzerne/La Lucerne en Bessin ou près-Saint-Lô (et non de La Luzerne/La Lucerne en Avranchin, alias La Lucerne)[29] - [Note 9], qu'elle eut comme fief d'origine. Par des mariages, des branches de cette maison eurent aussi Pirou aux alentours de 1400, et Beuzeville vers 1505-1507.

    Gabrielle de La Luzerne, fille de Jean II et dame héritière du fief familial éponyme, le fit passer dans la famille de Bricqueville par son mariage en 1556 avec François de Bricqueville de Colombières (et Bricqueville) ; leur fils puîné Gabriel, époux en 1593 de Gislette de L'Espinay (fille d'Antoine, sire de Broons), reçut La Luzerne, et cette branche des Bricqueville prendra désormais le nom de La Luzerne.

    Anne-César, le personnage qui suit, appartient en revanche à une autre branche, celle qui eut Beuzeville, non issue des Bricqueville ; la séparation entre ces deux branches vient de Jean Ier de La Luzerne (vers 1435-av. 1508), père entre autres enfants de Jacques de La Luzerne, † v. 1522-1526, sire de Beuzeville par son mariage avec Marie du Bois (d'où la suite des La Luzerne en nom patronymique mais non seigneurs de ce fief, dont Anne-César, César-Henri, César-Guillaume) , et de Gilles de La Luzerne, † v. 1512, seigneur de La Luzerne, père de Jean II, père lui-même de l'héritière Gabrielle qu'on a évoquée comme femme de François de Bricqueville (d'où les Bricqueville de La Luzerne, dont Henri et François)[31].

    La commune est en effet le berceau familial d'Anne César, marquis de La Luzerne, dit le « chevalier de La Luzerne » (1741-1791), ambassadeur de France aux États-Unis, sous Louis XVI, venu aider les partisans de la Révolution américaine contre les Anglais, qui a donné son nom à un comté de Pennsylvanie et à un lac et une ville (en) des monts Adirondacks, dans l'État de New York.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971[32] mars 2001 Marcel Bazire SE Agriculteur
    mars 2001 mars 2008 Éric Alexandre
    mars 2008 mars 2014 Agnès Laurence SE Secrétaire médicale
    mars 2014[33] mai 2020 Danièle Leconte SE Informaticienne retraitée
    mai 2020[34] En cours Johnny Dubosq Ouvrier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et un adjoint[33].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 76 habitants[Note 10], en diminution de 2,56 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). La Luzerne a compté jusqu'à 139 habitants en 1806.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    106122139120124114102104103
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1028790857170697783
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    10610388726469695265
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    616246444847413965
    2018 2020 - - - - - - -
    7476-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le gisant de femme du XVIe siècle.
    • Église Saint-Pierre (XIIe, XVIIIe et XXe siècles), sans clocher. Celui-ci tombé en 1864, ne fut pas reconstruit. L'église, abrite un gisant de femme du XVIe siècle classé au titre objet aux monuments historiques en 1993[39], ainsi qu'une fresque la baptême du Christ (XXe) de Robert Guinard, une verrière (XXe) de Jean-Ernest et Pierre Gaudin. Le portail arbore un bas-relief représentant un évêque, tenant une clef dans sa main gauche (saint Pierre) bénit deux personnages plus petits, à sa droite un abbé tenant une crosse, à sa gauche un clerc portant un livre[40]. À l'intérieur une chapelle abrite le caveau où est inhumée la famille de La Luzerne qui s'est éteinte en 1876 avec la comtesse Hurault de Vibraye à Bazoches (Nièvre)[30].
    • Château (XVIe – XVIIIe siècle), dont il ne subsiste que le portail et une tour.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 292.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. L'origine de la famille de La Luzerne fait l'objet d'interprétations différentes entre les historiens. Certains la rattachent soit à la Lucerne (d'Outremer) et à l'Avranchin, soit à la Luzerne près de Saint-Lô et au Bessin[30].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « La Luzerne » sur Géoportail..
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Luzerne et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre La Luzerne et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    26. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 197.
    27. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1361.
    28. Daniel Delattre, La Manche, les 602 communes, Granvilliers, Éditions Delattre, (ISBN 2-915907-09-9), p. 128.
    29. « Famille de La Luzerne (notice de 23 p., dont la 1re est la 24e page de l'ensemble des notices), par Édouard Lepingard », sur Notices, mémoires et documents de la Société d'Agriculture, d'Archéologie et d'Histoire naturelle de la Manche, vol. X, 1892 à St-Lô, mis en ligne par Gallica-BnF.
    30. Gautier 2014, p. 292.
    31. « [[:Modèle:Jean (Ier)]] de La Luzerne », sur Geneanet, Généa50.
    32. « Marcel Bazire, 55 ans au service de La Luzerne », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Danièle Leconte succède à Agnès Laurence », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. « Johnny Dubosq nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. « Statue funéraire : Une Dame de La Luzerne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 111.
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