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La Grée-Saint-Laurent

La GrĂ©e-Saint-Laurent [la gʁe sɛ̃ lɔʁɑ̃] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.

La Grée-Saint-Laurent
La Grée-Saint-Laurent
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
André Josse
2020-2026
Code postal 56120
Code commune 56068
DĂ©mographie
Gentilé Laurentais, Laurentaise
Population
municipale
315 hab. (2020 en diminution de 7,08 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
Population
agglomération
11 700 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 59â€Č 46″ nord, 2° 29â€Č 52″ ouest
Altitude 95 m
Min. 40 m
Max. 117 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://lagreesaintlaurent.fr

    Toponymie

    Le nom breton de la commune est Ar C'hrav-Sant-Laorañs.

    Le nom de la commune est constituĂ© de deux parties « La grĂ©e » et « Saint Laurent ». La GrĂ©e est originaire du breton CrĂ©h (ou C'hrav), signifiant hauteur, colline de pierre, ou crĂȘte[1]. Saint-Laurent est le titulaire de son Ă©glise.

    GĂ©ographie

    La Grée-Saint-Laurent est une petite commune bretonne du Morbihan faisant partie du canton de Josselin.

    Le Ninian est le principal cours d'eau de la commune.

    La Grée-Saint-Laurent est limitée au nord et à l'ouest par Lanouée, une trÚs petite partie de la commune des Forges au nord, au sud par La Croix et Helléan, à l'est par le cours du Ninian, qui la sépare de Saint-Malo-des-Trois-Fontaines, ou de Mohon. Le Ninian forme la limite naturelle de Mohon à l'ouest ; La Grée, située au-delà de cette limite, semble avoir été formée d'un morceau de la commune de Lanouée.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 814 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « PloĂ«rmel », sur la commune de PloĂ«rmel, mise en service en 1951[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 749,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă  45 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[12] Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Grée-Saint-Laurent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PloĂ«rmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (64,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,3 %), prairies (12,9 %), zones urbanisĂ©es (3,5 %), forĂȘts (2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Moyen Âge

    Ancienne trĂšve de Mohon, La GrĂ©e-Saint-Laurent dĂ©pendait autrefois du doyennĂ© de LanouĂ©e et de l'Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Malo. Sur ces terres nous avons dĂšs le XIVe siĂšcle deux seigneuries. L'une appartenait Ă  Jean de Montauban et l'autre Ă  Jean Le PrĂ©vost.

    Renaissance

    La trĂȘve de la GrĂ©e fut Ă©rigĂ©e en paroisse au XVIIIe siĂšcle bien avant la RĂ©volution. En 1728, les revenus du recteur Ă©taient Ă©valuĂ©s de 310 livres et ses charges Ă  100 livres. L'historien Jean-Baptiste OgĂ©e[21] indique que sa prĂ©sentation appartenait au seigneur de l'endroit.

    De la RĂ©volution Ă  la PremiĂšre Guerre mondiale

    D'aprĂšs l'historien Joseph-Marie Le MenĂ©[22], la GrĂ©e Ă©tait du doyennĂ© de LanouĂ©e et de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de PloĂ«rmel. En 1790, elle fut Ă©rigĂ©e en commune, du canton de LanouĂ©e, du district de Josselin, et annexĂ©e au dĂ©partement du Morbihan. Son recteur, M. Pierre Teffaine, refusa, en 1791, le serment schismatique. La GrĂ©e fut rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de PloĂ«rmel en 1800, au canton de Josselin et au nouveau diocĂšse de Vannes en 1801. RĂ©tablie comme paroisse en 1802, puis unie Ă  HellĂ©an, elle a repris son existence sĂ©parĂ©e par ordonnance du mois de . En 1891, ce petit territoire renferme une population de 351 habitants, sur une superficie de 790 hectares, dont la moitiĂ© est en landes suivant les documents historiques.

    De nos jours

    De nos jours, la commune est un village tranquille de Bretagne. Il n'y a pas d'industrie et la commune ne possÚde plus de commerce. Néanmoins, une école primaire est en activité dans le bourg (fermeture à la rentrée 2012 de prévue), il subsiste quelques fermes (cinq) réparties sur toute la commune, un gite/chambre d'hÎte situé au lieu-dit « la Porte » est en activité (en vente), et un musée consacré aux vélo-cyclomoteurs est ouvert depuis 2004 (en vente également)[23].

    Blasonnement

    Les armoiries de La Grée-Saint-Laurent se blasonnent ainsi :

    De gueules au chevron Ă©cimĂ© d’argent, accompagnĂ© en chef d’un lambel du mĂȘme Ă  quatre pendants chargĂ©s chacun d’une moucheture d’hermine de sable, et en pointe d’une macle d’or soutenue d’une divise ondĂ©e d’argent.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1793 1794 Pierre Le Moine
    1794 1811 Jean Desmandé
    1811 1812 Pierre Le Moine
    1812 1831 Jean Joseph François Picard
    1831 1848 Jean Marie Le Moine
    1848 1857 Pierre Marie Gléhello
    1857 1861 Vincent Mathurin Gléhello
    1861 1871 Pierre Louis Loisel
    1871 Guillaume Briend
    19.. 19.. Henri Gouédo
    19.. 1971 Joseph Jollivet
    1971 1977 Joseph MĂ©nezo
    1977 1995 Jean Gléhello
    2001 2014 Jean Claude Lozé
    2014 2018[24] Thierry Conq
    2018 23 mai 2020 Pascal Collin[24]
    23 mai 2020 En cours André Josse[25] Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 315 habitants[Note 7], en diminution de 7,08 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    446307340457300355363369362
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    330350365392370372357351351
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350352368333316327358360322
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    304321308299279271325336330
    2015 2020 - - - - - - -
    341315-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    chapelle Saint-SĂ©bastien

    L'Ă©glise Saint-Laurent actuelle date du XXe siĂšcle. Cette Ă©glise remplace un ancien Ă©difice du XVe siĂšcle, trĂšs fruste. L'ancien Ă©difice Ă©tait un vaisseau rectangulaire Ă  chevet plat, avec deux chapelles ouvrant sur le chƓur par de grandes arcades en tiers-point et formant croisillons. L'Ă©glise actuelle abrite une statue en bois polychrome de la Vierge Ă  l'Enfant (XVIe siĂšcle) et une statue en bois polychrome de sainte Barbe (XVIe siĂšcle). L'Ă©glise offre une double arcade ogivale de chaque cĂŽtĂ© du chƓur. Fait notable nous renseignant sur l'histoire de la commune une cloche porte cette inscription gothique : « Je fus fondu Ă  Jocelin, IIcc XXXII III quars pessĂ©e au pouais angevin. — Vendredi XIIIe de mars, par le Sengneur de la GrĂ©e et capitaine de Rohan. — Marguerite fu apellĂ©e, N. Vcc couroit pour l'an ». Cette cloche de bronze de moyenne grandeur nous apprend qu'elle fut fondue Ă  Josselin en 1500 et donnĂ©e Ă  l'Ă©glise par le seigneur de la GrĂ©e, alors capitaine de Rohan. Comme on le voit par cette inscription, La GrĂ©e Ă©tait aussi le siĂšge d'une seigneurie ; elle appartenait en 14.. Ă  Jean Le PrĂ©vost. Nous avons aussi Ă©galement connaissance au lieu-dit de PĂ©er, d'une autre seigneurie Ă  la GrĂ©e-Saint-Laurent, qui appartenait en 14.. Ă  Jean de Montauban.

    La chapelle Saint-SĂ©bastien est situĂ©e sur le lieu-dit du mĂȘme nom. La chapelle contient un retable qui date du dĂ©but du XIXe siĂšcle. Le retable est composĂ© au centre par un tableau figurant les saints cƓurs de JĂ©sus et de Marie, et de part et d'autre les statues en bois polychrome de saint Fabien (XVIIIe siĂšcle) et de saint SĂ©bastien (XVIIIe siĂšcle). Une fontaine dĂ©pendant de la chapelle situĂ©e Ă  quelques dizaines de mĂštres a Ă©tĂ© rĂ©cemment refaite et est dĂ©diĂ©e Ă  saint SĂ©bastien. La chapelle se situe Ă  80 mĂštres environ du lieu-dit « Peer » ancienne seigneurie de la GrĂ©e-Saint-Laurent.

    De mémoire d'ancien, il existe un tunnel reliant la chapelle Saint-Sébastien à la chapelle des Aulnais sur la commune de Lanouée (la chapelle est aujourd'hui détruite, il reste qu'un coin de mur) puis de ce tunnel se prolongeait à la chapelle des Broutay sur la commune de la Croix-Helléan (aujourd'hui reconverti en maison) [30].

    Une ancienne carriÚre de pierre aujourd'hui abandonnée existait dans le bas de la colline de roldedan.

    Calvaire du Bieux dédié à sainte Anne.

    De nombreux calvaires et croix sont sur la commune :

    • un calvaire au bourg
    • un calvaire entre le vieux bourg et le bourg
    • un calvaire au lieu-dit Penros et une croix sur un puits (oratoire ?).
    • un calvaire du lieu-dit Bieux en bois dĂ©diĂ© Ă  sainte Anne.
    • un au lieu-dit La GaitĂ© / La Couaille.
    • une croix Ă  la porte aujourd'hui dĂ©montĂ©e.

    Et aussi sur la commune : le village de Penros - le calvaire de Pommaint- le ruisseau de Camet - la riviĂšre le Ninian - la fontaine de Saint-Laurent.

    Moulins

    La commune abrite le moulin à vent de Lorvran sur le lieu-dit le Bieux sur la colline de Roldedan dont il reste uniquement les fondations (48°00"22.70 N 02°29"27.88 O), les moulins à eau de Penros et de Couethout[31]. Le village du Bieux tire son nom du mot seigle en raison de la proximité de ce moulin.

    Costume et coiffes

    La paroisse a un costume traditionnel spécifique dont la forme et le port est illustré par les photos du présent paragraphe.

    • Costume de La GrĂ©e-Saint-Laurent.
      Costume de La Grée-Saint-Laurent.
    • Coiffe de La GrĂ©e-Saint-Laurent.
      Coiffe de La Grée-Saint-Laurent.
    • DiffĂ©rentes coiffes de La GrĂ©e-Saint-Laurent

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. synonymes Français par l'abbé Pierre Joseph André Roubaud à Paris chez Bossange, Masson et Besson, Barbou frÚres libraires en an IV, 1796 ére vulgaire, pages 414
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ploërmel - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Grée-Saint-Laurent et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ploërmel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Grée-Saint-Laurent et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. auteur du DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET GEOGRAPHIQUE de la province de Bretagne
    22. auteur du Histoire du diocÚse de Vannes paru en 1888, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocÚse de Vannes paru en 1891
    23. site du musée
    24. « Municipales 2020 : Pascal Collin, maire de La Grée-Saint-Laurent, ne se représente pas », sur Actu.fr, (consulté le ).
    25. « Municipales à La Grée-Saint-Laurent. André Josse élu maire », sur Maville.com, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Les anciens avaient ouĂŻ dire que le souterrain allait jusqu'au chĂąteau de Josselin.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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