AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

La Chapelle-Bouëxic

La Chapelle-Bouëxic est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne. Elle fait partie de Vallons de Haute-Bretagne Communauté.

La Chapelle-Bouëxic
La Chapelle-Bouëxic
Mairie de la Chapelle-Bouëxic
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Vallons de Haute-Bretagne Communauté
Maire
Mandat
Roger Morazin
2020-2026
Code postal 35330
Code commune 35057
DĂ©mographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
1 505 hab. (2020 en augmentation de 9,06 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
Population
agglomération
7 625 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 55â€Č 48″ nord, 1° 56â€Č 23″ ouest
Altitude 80 m
Min. 32 m
Max. 112 m
Superficie 20,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Guichen
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Bouëxic
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Bouëxic
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
La Chapelle-Bouëxic
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
La Chapelle-Bouëxic
Liens
Site web www.lachapellebouexic.fr

    Toponymie

    Du latin buxus : le buis.

    Histoire

    Époque gallo-romaine

    Lors de travaux dans le village, des substructions et tranchées furent découvertes ; des tegulae et des tessons de céramiques communes ont été collectés. L'ensemble est interprété comme une partie d'un ensemble agricole gallo-romain. Un puits gallo-romain, contenant des tegulae, des pierres et des outils en bois, a également été découvert, non loin de l'édifice précité.

    Anciennement sur le territoire de Guignen, la commune de la Chapelle-Bouëxic doit son organisation spécifique à son statut de paroisse acquis en 1711[1].

    • 1676 : crĂ©ation d'une chapelle trĂ©viale, subdivision de la paroisse de Guignen.
    • 1711 :
      •  : l'ancienne chapelle, qui a Ă©tĂ© remplacĂ©e par une Ă©glise neuve Ă  l'initiative de la famille BouĂ«xic, acquiert son indĂ©pendance vis-Ă -vis de Guignen en devenant Ă©glise paroissiale, par ordonnance Ă©piscopale de Mgr des Maretz, l'Ă©vĂȘque de Saint-Malo.
      •  : Mgr des Maretz donne Ă  la famille BouĂ«xic le privilĂšge de nommer le recteur. Il officialise comme premier recteur, Guy de Rouillac, prĂ©sentĂ© par cette mĂȘme famille.
    • 1743 :
      •  : Mgr de la Bastie, Ă©vĂȘque de Saint-Malo et successeur de Mgr des Maretz, confirme l'Ă©rection de La Chapelle-BouĂ«xic en paroisse.
    • 1790 :
      •  : le chĂąteau de La Chapelle BouĂ«xic est pillĂ© au moment de la RĂ©volution française, ce qui entraĂźne l’incendie des papiers seigneuriaux.

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes
    Communes limitrophes de La Chapelle-Bouëxic
    Bovel Baulon
    Val-d'Anast La Chapelle-Bouëxic Guignen
    Mernel

    GĂ©ographie historique[2]

    • Fin du XVIIIe siĂšcle : Ă  la veille de la RĂ©volution, le gĂ©ographe Jean-Baptiste OgĂ©e donne du terroir un aperçu plutĂŽt avantageux : « Des grains, du cidre, des pĂąturages excellents, sont les richesses de ce territoire, qui serait bien plus riche si les habitants daignaient cultiver les landes Ă©tendues qu'on y trouve, landes dont le sol excellent (et qui) les dĂ©dommageraient amplement de leur travail, pour peu qu'ils y donnassent leurs soins ».
    • 1842 : le gĂ©ographe Marteville complĂšte cette description de quelques Ă©lĂ©ments de statistique. La commune compte alors 2064 hectares rĂ©partis comme suit :
      • 779 ha de terres labourables,
      • 235 ha de prĂ©s et pĂątures,
      • 27 ha en vergers et jardins,
      • 7 ha d'Ă©tangs,
      • 210 ha de bois,
      • 733 ha de landes et terres incultes.

    Deux moulins étaient en activité à cette époque : le moulin à eau de la Gaie et celui de la Mouraudais, à vent.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 796 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Guer », sur la commune de Guer, mise en service en 1992[9] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 843,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  22 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Bouëxic est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (81,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (38,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30,6 %), forĂȘts (17,2 %), prairies (11,5 %), zones urbanisĂ©es (2,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 mars 1983 Paul Ropert
    mars 1983 janvier 1992
    (décÚs)
    René Coudrais
    (1921-1992)
    Agriculteur
    janvier 1992 mars 2008 Jean Gicquel Chef d'entreprise, ancien premier adjoint
    Maire honoraire (2008)
    mars 2008 En cours Roger Morazin[23] - [24] PS Directeur d'école, conseiller départemental du canton de Guichen (depuis 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 505 habitants[Note 7], en augmentation de 9,06 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9577828839599911 0561 0831 1131 116
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0741 0861 1281 1741 1711 1941 2071 1821 186
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1161 1311 102965940893864803734
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7126566295996708091 0871 1251 340
    2017 2020 - - - - - - -
    1 4751 505-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le chùteau, vu de l'entrée principale.
    Église Saint-Joseph.
    • Le chĂąteau du BouĂ«xic (XVe -XVIIe siĂšcle) est inscrit aux monuments historiques en 2015. MentionnĂ© dans les archives dĂšs 1427, il possĂ©dait jadis un droit de haute justice et des fourches patibulaires. Il fut la propriĂ©tĂ© de la famille du Tiercent en 1427 et en 1562, puis de la famille du BouĂ«xic (du XVIe au XVIIIe siĂšcle), des Quesnel de la MoriniĂšre de 1806 Ă  1824, de la famille de Menou jusqu'en 1949. La façade principale est rythmĂ©e par des baies Ă  encadrement de pierre blanche contrastant avec le schiste violet du pays. Le chĂąteau a Ă©tĂ© pillĂ© au moment de la RĂ©volution française, le , ce qui entraĂźna l’incendie des papiers seigneuriaux. Aujourd'hui, le chĂąteau n'appartient plus Ă  la commune de La Chapelle-BouĂ«xic, mais a Ă©tĂ© vendu Ă  un particulier.
    • L'Ă©glise Saint-Joseph (XVIIe siĂšcle Ă  1908) : construite Ă  la fin du XVIIe siĂšcle, l'Ă©glise forme une croix latine dont on a rĂ©cemment allongĂ© le pied. Elle a Ă©tĂ© fondĂ©e par le seigneur M. de la Chapelle-BouĂ«xic. La confrĂ©rie du Rosaire y Ă©tait Ă©rigĂ©e (PouillĂ© de Rennes). Plusieurs peintures, dont une pietĂ , ornent les retables des trois autels (XVIIIe siĂšcle). Le retable du maĂźtre-autel date de 1731-1732 : il est l'Ɠuvre de Bertrand Frotin et de Thomas Le Jour, menuisiers de Rennes. La statue de sainte Brigitte date du XVI-XVIIe siĂšcle et celle de saint CornĂ©ly date du XVIIIe siĂšcle. À voir aussi un Christ et un groupe en pierre du XVIe siĂšcle figurant une Mise au Tombeau.
    • Manoir (XVI-XVIIIe siĂšcle) : situĂ© au lieu-dit la Piloire, propriĂ©tĂ© de la famille BouĂ«xic au XVIIIe siĂšcle, il sert de presbytĂšre Ă  partir de 1711, au moment de la construction de l'Ă©glise Saint-Joseph.
    • Étang de la Gaie : exemple d'Ă©tang mĂ©so-dystrophe[29].

    Personnalités liées à la commune

    • Mathilde Hignet (nĂ©e en 1993), dĂ©putĂ©e, a passĂ© son enfance Ă  La Chapelle-BouĂ«xic.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, fonds de Saint-Malo et Inventaire général du patrimoine culturel, inventaire préliminaire "Ille-et-Vilaine" (auteurs de la notice : Isabelle Barbedor, Claude Quillivic et Xavier Gilbert ; année de rédaction : 1997).
    2. Inventaire général du patrimoine culturel, inventaire préliminaire "Ille-et-Vilaine" (auteurs de la notice : Isabelle Barbedor, Claude Quillivic et Xavier Gilbert ; année de rédaction : 1997).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Guer - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Chapelle-Bouëxic et Guer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Guer - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Chapelle-Bouëxic et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. « Ils ont Ă©tĂ© Ă©lus maires », Dimanche Ouest-France (Ă©d. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
    24. « Roger Morazin sera accompagné de quatre adjoints », Ouest-France, 2 avril 2014
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 65.

    Bibliographie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.