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LĂ©vis-Saint-Nom

Lévis-Saint-Nom est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

LĂ©vis-Saint-Nom
LĂ©vis-Saint-Nom
La mairie.
Blason de LĂ©vis-Saint-Nom
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse
Maire
Mandat
Anne Grignon
2020-2026
Code postal 78320
Code commune 78334
DĂ©mographie
Gentilé Levissiens
Population
municipale
1 604 hab. (2020 en diminution de 2,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 194 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 43′ 17″ nord, 1° 56′ 54″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 174 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Les Essarts-le-Roi
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Maurepas
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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LĂ©vis-Saint-Nom
Liens
Site web levis-saint-nom.fr

    GĂ©ographie

    Position de LĂ©vis-Saint-Nom dans les Yvelines.

    Situation

    Situé dans la vallée de Chevreuse, dans le département du 78 (78320); en île de France.

    Hydrographie

    Les sources de la rivière Yvette sont sur le hameau dénommé Yvette. L'Yvette, et son affluent le ru de Pommeret, traversent le territoire de la commune[1]. L'eau n'est pas toujours visible, du fait de l'enfrichement et le boisement dans les fonds de vallée[2].

    Communes limitrophes

    Desserte ferroviaire

    Les gares SNCF les plus proches sont les gares des Essarts-le-Roi, Coignières et La Verrière.

    Bus

    La commune est desservie par la ligne 39.27 de la société de transport SAVAC en reliant la gare des Essarts-le-Roi à la gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

    Urbanisme

    Typologie

    LĂ©vis-Saint-Nom est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine des Essarts-le-Roi, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[6] et 8 312 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9] - [10].

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 84,74 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 5,52 % d'espaces ouverts artificialisés et 9,74 % d'espaces construits artificialisés[11].

    Occupation des sols détaillée

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 12,0 % 101
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 42,0 % 353
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 5,8 % 49
    ForĂŞts de feuillus 40,2 % 338
    Source : Corine Land Cover[12]

    Hameaux de la commune

    Le village s'étend sur trois kilomètres en longeant le cours de la rivière Yvette.

    • Girouard est un hameau Ă  l'est du village constituĂ© de quelques demeures autour de la mairie.
    • Yvette est au centre du village, jouxtant Les Essarts-le-Roi et Ă  proximitĂ© de la route nationale 10.
    • La Recette, le Pommeret, les Marronniers sont les hameaux les plus en aval et entourent l'Ă©glise.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Luviciæ en 744[13], ad Levicias en 774[14], Lebiacum IXe siècle[13], Lebiacus au Xe siècle[15], Saint Nom de Lévy jusqu'en 1818, en effet, saint Nom avait été donné comme patron à la paroisse dès le VIIIe siècle[16], puis Lévy Saint Nom jusqu'en 1943, et finalement Levis-Saint-Nom[16].

    En effet, en 1943, sous le régime de Vichy Lévy-Saint-Nom est renommée Lévis-Saint-Nom[17] - [18]

    Pour Albert Dauzat qui ne cite que la forme Lebiacus du Xe siècle, il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -(i)acum, suffixe de localisation et de propriété qui a régulièrement abouti à la terminaison -i, notée -y normalement dans cette partie de la France. Il est précédé d'un nom de personne latin Laevius[19], à l'origine surnom et dont le sens initial est « (le) gaucher ».

    Le déterminant complémentaire Saint-Nom fait référence à un saint nommé Nummius en latin[20], évêque d’Édesse au IVe siècle (Şanlıurfa en Turquie) et patron de Lévis-Saint-Nom.

    Lévis est devenu déterminatif dans Castelnau-de-Lévis et Labastide-de-Lévis (Tarn), en raison de la famille des Lévis, descendante de Gui de Lévis, maréchal de Simon (IV) de Montfort et originaire de Lévis-Saint-Nom[21].

    Homonymie avec Levis (Yonne).

    Histoire

    Les comtes de Lévis-Mirepoix, seigneurs de Lévis-Saint-Nom, avaient reçu du roi de France le fief du château de Montségur (Ariège) occupé par les Cathares. Après la prise du château en 1244, la possession du pog (du latin pŏdĭum, éminence) revint à Guy II de Lévis, seigneur officiel de Mirepoix depuis le traité de 1229. C'est sa famille qui bâtira l'actuel château de Montségur.

    L'église date en partie du XVe siècle.

    Il reste les débris d'un château inachevé que Jacques de Crussol avait commencé dans les premières années du XVIe siècle.

    On y trouve également les ruines d'une abbaye de bénédictins à Yvette.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de L'Yvette[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1953 mars 1983 Yvon Esnault
    mars 1983 janvier 1984 Yvon Brossard
    janvier 1984 janvier 1986 Yvon Esnault[Note 3]
    janvier 1986 mars 1989 Jean Dumont
    mars 1989 mars 2008 Yves Vandewalle UMP Professeur agrégé de géographie
    Député des Yvelines (2e circ.) (2007-2012)
    Conseiller général de Chevreuse (1999 → 2015)
    Vice-Président du Conseil Général
    Président du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse (1998 → 2021)
    mars 2008[23] En cours Anne Grignon MoDem Fille d'Yves Vandewalle
    Présidente de la CC de la Haute Vallée de Chevreuse (2020 → )
    Députée des Yvelines (2e circ.) (2022)

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2020, la commune comptait 1 604 habitants[Note 4], en diminution de 2,96 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    337299295326312366374365347
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    356315308289323297298274304
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    278273217252212243253394568
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7386601 0301 4281 5931 6961 7291 7081 607
    2020 - - - - - - - -
    1 604--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 825 hommes pour 776 femmes, soit un taux de 51,53 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,8
    7,6
    75-89 ans
    7,7
    22,0
    60-74 ans
    22,6
    24,3
    45-59 ans
    25,0
    14,2
    30-44 ans
    15,9
    14,8
    15-29 ans
    13,5
    16,7
    0-14 ans
    14,5
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    Une école maternelle et primaire, « L'école des Sources », accueille tous les ans une centaine d'élèves.

    Ouvert à la rentrée 2021 à la ferme des Néfliers, un ancien manoir avec 600 ha de terres agricoles, Hectar est un établissement d'enseignement supérieur privé spécialisé dans la formation aux métiers agricoles sous le prisme de l'entreprenariat[29].

    Activités festives

    Tous les 13 juillet, un feu d'artifice et un repas sont organisés afin de commémorer la Révolution française.

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Nom-et-Notre-Dame.
    L'abbaye Notre-Dame-de-la-Roche.
    Notre-Dame-de-la-Roche. Dessin Ă  la mine de plomb, aquarelle et gouache sur papier gris ; 12,5 Ă— 8,8 cm de Hubert Clerget (1818-1899).

    Lieux et monuments

    • L'Yvette, la rivière qui prend sa source dans la commune. Une statue de femme se baignant au milieu des herbes symbolise le dĂ©part de la rivière.
    • L'abbaye Notre-Dame-de-la-Roche, sur la route menant au Mesnil-Saint-Denis : fondĂ©e par Guy Ier de LĂ©vis vers 1196, cette abbaye a Ă©tĂ© construite entre 1232 et 1250 ; les logis et communs datent du dĂ©but du XVIIe siècle ; l'ensemble a Ă©tĂ© inscrit aux monuments historiques en 1926 et abrite aujourd'hui un centre Ă©ducatif et de formation professionnelle.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Nom-et-Notre-Dame a Ă©tĂ© construite au XIIIe siècle et quelque peu remaniĂ©e aux XVIIIe et XIXe siècles ; elle est situĂ©e en dehors du village, dans une sorte de clairière dans le bois de Saint-BenoĂ®t et entourĂ©e de quelques demeures et du cimetière ; le site est classĂ©.
    • Un château fort fut construit au XVIe siècle au lieu-dit le Marchais, restaurĂ© au XVIe siècle puis vendu en 1721 au comte de Toulouse, Louis-Alexandre de Bourbon, qui le fit dĂ©truire en 1727 ; le site a Ă©tĂ© classĂ© en 1980.
    • Le château de La Cour LĂ©vis, au lieu-dit la Cour, a Ă©tĂ© construit tout Ă  la fin du XIXe siècle Ă  l'emplacement d'un château de la fin du XVIIIe siècle dĂ©truit ; il n'est pas inscrit aux monuments historiques.
    • Le château de La Boissière Beauchamp, au lieu-dit la Boissière, a Ă©tĂ© construit, Ă  l'origine, au dĂ©but du XVIIIe siècle, puis dĂ©truit pour laisser la place, vers la fin du XVIIIe et le dĂ©but du XIXe siècle, Ă  l'actuel château non inscrit.
    • Le château de Crussol, au lieu-dit la Recette, avait commencĂ© Ă  ĂŞtre construit en 1506 et resta inachevĂ©. Il n'en reste aujourd'hui que quelques ruines et des douves et une ferme a Ă©tĂ© Ă©tablie Ă  l'emplacement de l'ex-château.

    Personnalités liées à la commune

    • FĂ©lix Amiot (1897-1974), industriel français, Ă©tait le propriĂ©taire du château de La Boissière Beauchamp. Il est inhumĂ© dans la commune.
    • Michel Fugain (1942), chanteur français.
    • Philippe de LĂ©vis (ca 1150 - 1203/1204), chevalier, seigneur de LĂ©vis-Saint-Nom, premier membre connu de la maison de LĂ©vis, père de Guy Ier de LĂ©vis.
    • Guy Ier de LĂ©vis, fils de Philippe de LĂ©vis, chevalier, fondateur de l'abbaye Notre-Dame-de-la-Roche oĂą il est enterrĂ©.
    • Jean Marnold (1859-1935), critique musical et traducteur depuis l'allemand vers le français, ami de Maurice Ravel. Il est inhumĂ© dans la commune.

    HĂ©raldique

    Blason de LĂ©vis-Saint-Nom Blason
    D'argent Ă  trois chevrons d'azur.
    DĂ©tails
    Alias
    Alias du blason de LĂ©vis-Saint-Nom
    Alias du blason de LĂ©vis-Saint-Nom
    D’or à trois chevrons de sable.
    Ce blason dérive de celui de la famille de Lévis

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « LĂ©vis-Saint-Nom », p. 181–182

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Une place de la commune porte le nom de ce maire.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Les Yvelines. Les 262 communes, Éditions Delattre, , p. 114.
    2. « Organisation des paysages des vallées de l'Yvette », sur Parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse (plan paysage et biodiversité), p. 14.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 des Les Essarts-le-Roi », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    12. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    14. Dans un diplôme de l'année 774, Charlemagne y confirmait la donation que le roi Pépin Le Bref, son père, avait faite en l'année 768 à l'abbaye de Saint-Denis d'une portion de la forêt d'Yveline.
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 394b.
    16. Sacré nom de nom, Volume III, Claude Cougoulat, page 235.
    17. Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Stéphane Gendron, Errance, 2003, p. 56.
    18. Renée Honvault, L’Orthographe en questions, Publication Université Rouen Havre p. 119, (ISBN 2877754146).
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 619b.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume III : formations dialectales (suite) et françaises, Librairie Droz, Genève 1998, p. 1716, no 30147
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Marie Vermeersch, « Anne Grignon, élue à 30 ans : Votre journal poursuit sa série de reportages sur les municipales dans les Yvelines. Quatrième épisode, la plus jeune maire élue en 2008 », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lévis-Saint-Nom (78334) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    29. Olivia Détroyat, « Hectar, la business school agricole qui forme les chefs d'exploitation de demain », Le Figaro, supplément consacré au salon de l'Agriculture,‎ 26-27 février 2022, p. 44 (lire en ligne).
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