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LĂ©on Lehmann

Léon Lehmann, né le à Altkirch (Haut-Rhin) et mort le dans la même ville, est un peintre français.

LĂ©on Lehmann
Portrait présumé de Léon Lehmann en 1914,
document non sourcé.
Naissance
Décès
Nom de naissance
Marie-LĂ©on Lehmann
Nationalité
Activité
Formation
Maître
Mouvement
Distinction

Biographie

Originaire du Sundgau comme le peintre et académicien Jean-Jacques Henner qui le recommande auprès de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, Léon Lehmann entre en 1892 dans l'atelier de Gustave Moreau. Il y côtoie Henri Matisse, Albert Marquet, Albert Huyot, Henri Manguin, Raoul de Mathan et Georges Rouault dont il deviendra le grand ami. L'enseignement très exigeant de Moreau, qui les pousse à copier les maîtres au musée du Louvre mais respecte aussi la sensibilité propre de chaque élève[1], amène Léon Lehmann à se passionner pour les sujets militaires qu'il traduit dans des dessins et des toiles qui sont remarqués et salués : il obtient une première mention et le deuxième prix de l'école au concours d'atelier, ainsi que l'exposition de sa Reconnaissance de cavalerie au Salon des artistes français de 1894.

Revenu épuisé de son service militaire en 1895, il tente de reprendre laborieusement ses recherches artistiques et s'isole en 1900 à l'abbaye Notre-Dame d'Acey près de Besançon où il peint quelques paysages et natures mortes. De passage à Paris, il croise Rouault qui le pousse à y revenir et l'héberge dans sa famille pendant près de 14 ans. Léon Lehmann découvre alors le renouveau pictural français en cours (pointillisme, fauvisme, cubisme, expressionnisme…) qu'il exprime dans certaines de ses toiles, mais sans jamais y céder vraiment. Il attire l'attention des galeries parisiennes Berthe Weill puis Druet qui l'exposent aux côtés d'artistes déjà prometteurs (Henri Matisse, Raoul Dufy, Kees van Dongen, Marquet, Rouault, Jean Puy, Manguin…).

La Première Guerre mondiale le stoppe brutalement dans son élan artistique. Il revient gravement malade du front et ce n'est qu'après son mariage en 1921 qu'il retrouve toute la force et l'inspiration nécessaires pour se remettre pleinement au travail. Il s'installe alors avenue de la Motte-Picquet et renoue avec la galerie Druet qui l'expose à nouveau aux côtés de Marquet, Jean Puy, Manguin, Charles Camoin, Othon Friesz… puis avec la galerie Eugène Blot qui l'expose régulièrement à partir de 1928. Son tempérament s'affirme alors pleinement, dans une voie très personnelle, intime, d'inspiration souvent mystique, au lyrisme bouillonnant[2]. Le Salon d'automne le met à l'honneur en 1936, en consacrant une salle entière à ses œuvres et une préface du catalogue par Louis Vauxcelles.

Parfois sombre dans les années 1920, sa palette s'illumine de plus en plus au fil du temps. Conservant une grande diversité de technique (brosse ou couteau, pâte lisse ou grumeleuse), il excelle dans les combinaisons de lumière jouant souvent sur des contre-jours ou des clairs-obscurs, et la juxtaposition de tons rares « entrant les uns dans les autres comme des soies »[3]. Certains[4] - [5] lui trouvent une parenté avec Pierre Bonnard et Édouard Vuillard. Il se plaît à peindre quelques portraits, mais se consacre surtout à des paysages, des scènes d'intérieur et des natures mortes qu'il réalise à Paris, dans sa résidence d'été à Ferrette, dans ses lieux de vacances à Porquerolles, Douy en Sologne ou Noirmoutiers, et à la fin de sa vie à Altkirch où il est revenu habiter en 1946. À partir de 1947, Katia Granoff l'expose dans sa galerie parisienne de la place Beauvau et lui reste fidèle jusqu'à sa mort.

Vers la fin de sa vie, la lumière envahit ses toiles, les lignes s'étirent de plus en plus, les formes se disloquent. Dans des transparences givrées, il suggère plus le réel qu'il ne le décrit, poussant la composition aux limites de l'abstraction[6]. Sa dernière grande œuvre est l'ensemble des sept grandes toiles de la chapelle des Voirons (Haute-Savoie) qu'il achevait quand il mourut le . Ces tableaux sont aujourd'hui conservés au musée du Vatican où ils furent exposés pendant plusieurs décennies, jusqu'en 2003.

Ses tableaux et dessins sont présents dans de nombreux musées en France (Altkirch, Belfort, Besançon, Colmar, Grenoble, Mulhouse, Paris, Poitiers, Strasbourg, Troyes…), mais aussi en Europe et outre-Atlantique (Belgique, Cardiff-Pays de Galles, Vatican, Moscou, Suisse, États-Unis…).

RĂ©ception critique

  • Louis Vauxcelles (critique d'art, 1931)[7] : « C’est tout bonnement un des peintres français contemporains dont le nom restera. L’homme est exquis de discrĂ©tion, de modestie, de douceur, et son art, tout en tendresse profonde et rĂ©ticence, le reflète. Si le sentiment est, dans les toiles de Lehmann, d’une dĂ©licatesse raffinĂ©e, l’exĂ©cution est d’une libertĂ©, d’un emportement fougueux ; ce timide Ă©voque Monticelli par la truculence de la pratique, la cuisine des pâtes savamment malaxĂ©es – pĂ©tales Ă©crasĂ©s, gemmes en fusion – par la chaleur des accords... Il y a en effet du mystère en ces toiles de fleurs, de sous-bois, d’intĂ©rieurs… La densitĂ©, le volume, le relief des objets y apparaissent d’une vĂ©ritĂ© souveraine ; des harmonies adorables de roses apâlis, d’ors Ă©teints, de rouges vineux, de safran ; certains accords aussi irisĂ©s, aussi veloutĂ©s que chez Bonnard. »
  • Georges Rouault (lettre Ă  sa fille Isabelle, filleule de LĂ©on Lehmann)[8] : « Ce bougre-lĂ  est extraordinaire nous en recauserons… Je voudrais le fĂ©liciter de sa finesse et de sa subtilitĂ©, d’ailleurs cela je le savais dĂ©jĂ , mais enfin je t’ai donnĂ© un bon parrain et je m’en suis donnĂ© un aussi. »
  • Katia Granoff (dans Histoire d'une galerie)[9] : « Demeurisse et moi nous rencontrâmes dans mainte admiration commune, et, entre autres, pour LĂ©on Lehmann… Rien de figĂ© dans cette peinture vibrante de sensibilitĂ© et de somptueuse poĂ©sie. Partout rĂ©pandues, les gemmes prĂ©cieuses resplendissent dans le clair-obscur. »
  • Marie-Luce Cornillot (conservateur des musĂ©es de Besançon, dans Comtois [10] : « D’une sensibilitĂ© exquise et confidentielle comme celle de Chardin, profonde et mystique comme celle de Rembrandt, Lehmann mĂŞle Ă  son imagination et Ă  sa vision de poète, une rĂ©alitĂ© qui, de l’expressionnisme de sa jeunesse Ă©volue vers la transcendance suggestive et presque abstraite de ses dernières annĂ©es. On le compare Ă  Vuillard, Ă  Bonnard, mais il s’impose en tant que LĂ©on Lehmann, par son charme pĂ©nĂ©trant, envoutant, sans cependant user d’artifices, par sa seule nature mystiquement candide. C’est cette profonde honnĂŞtetĂ©, son dĂ©sintĂ©ressement humble et paisible, alliĂ©s Ă  un mĂ©tier des plus sĂ»rs au service d’une sensibilitĂ© rare, qui confèrent Ă  Lehmann son incontestable talent. »
  • Georges Besson (Les Lettres Françaises) [11] : « IsolĂ©, impermĂ©able Ă  ce que certains de ses amis d’école apportaient de violences formelles et d’hystĂ©rie chromatique, il peignit Ă  contre-courant de son Ă©poque, plus soucieux des accords sensibles de « tons entrants les uns dans les autres comme des soies », que de dissonances....Il y a une indĂ©niable magie dans toute transposition de la nature par Lehmann. C’est par ses allusions plus harmoniques que formelles qu’il parvient Ă  exprimer la beautĂ© intime et l’essence des choses… Qu’il s’agisse des intĂ©rieurs Ă  la fois crĂ©pusculaires et diaprĂ©s dans lesquels sourd le luisant d’un meuble ou la somptuositĂ© d’un bouquet, ou qu’il s’agisse de la « mouvante harmonie » d’un paysage Ă©voquĂ© par les accords sensibles des « tons entrants les uns dans les autres, comme des soies. »
  • Louis Vauxcelles (Salon d'Automne 1936) [12] : « Qui est Lehmann ? Cette question fera sourire ceux qui ont suivi sans snobisme, mais avec clairvoyance, le mouvement contemporain, car ils connaissent bien ce beau coloriste, aux accords rares, vigoureux et dĂ©licats, Ă  la matière si veloutĂ©e, ce portraitiste expressif (son effigie de Rouault profonde, rĂ©vĂ©latrice), cet intimiste qui sait, avec autant de tendresse que Vuillard, mais avec une chaleureuse intensitĂ©, faire vivre une Couseuse sous la lampe de la salle Ă  manger, dans une lumière discrètement tamisĂ©e, ce peintre savoureux de bouquets de fleurs des champs, ce narrateur vĂ©ridique des sites de son Alsace natale… »
  • J.P. Crespelle (France Soir) [13] : « Il y avait dans ce peintre quelque chose qui rappelle Debussy et FaurĂ©. »
  • Marc Semenoff [14] : « OĂą qu’il nous transporte, quelle que soit la tranche de vie qu’il nous prĂ©sente, c’est toujours avec l’intimitĂ© de son âme multiple que nous prenons contact, elle seule parle et s’impose, dans son lyrisme et sa sĂ©vĂ©ritĂ© architecturale. »
  • Jean Puy [15] : « Son tempĂ©rament, ses aspirations poĂ©tiques et mystiques le poussent Ă  un lyrisme bouillonnant aux effusions enthousiastes. Mais les rĂ©alisations rapides, les hasards heureux du premier jet le satisfont rarement. La plupart de ses toiles reprises au long de très nombreuses sĂ©ances, sont le fruit plus charnu et plus dense que brillant d’une patience infinie et d’un amour jamais lassĂ©. »

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Paysage de banlieue, Léon Lehmann, 1907, musée de Grenoble

Des œuvres de Léon Lehmann sont répertoriées en Belgique, aux États-Unis et en Suisse.

France
Royaume-Uni
Russie
Vatican

Salons

  • 1894 : Salon des Champs-ÉlysĂ©es (Paris), Éclaireurs d’avant-garde.
  • 1894 :Salon des artistes français (Paris), Reconnaissance de cavalerie.
  • 1902 :Salon des indĂ©pendants (Paris), une dizaine de toiles avec Henri Matisse, Henri Manguin, Albert Marquet, Maurice Denis, Jean-Louis Forain.
  • 1906 Ă  1908 : Salon d’automne (Paris), 20 peintures (sept paysages, deux natures mortes).
  • 1909 Ă  1913 : Salon d’automne (Paris), Lehmann expose 16 peintures en tant que sociĂ©taire (dix paysages, six natures mortes).
  • 1927 Ă  1935 : Salon d’automne (Paris), 20 peintures (dix paysages, neuf natures mortes, une figure).
  • 1936 : Salon d’automne (Paris), 33 peintures garnissent une salle entière (14 paysages, cinq natures mortes, 14 figures).
  • 1937 et 1938 : Salon d’automne (Paris), quatre peintures (deux paysages, deux natures mortes).
  • 1941-49-50 : Salon d’automne (Paris), une peinture chaque annĂ©e.
  • 1953 : cinquantenaire du Salon d’automne (Paris), deux natures mortes.
  • 1954 : Salon d’automne (Paris), rĂ©trospective LĂ©on Lehmann avec 56 peintures (17 paysages, 18 natures mortes, 21 figures).

Expositions

Musées

  • 1939 : exposition du Progrès Social Ă  Lille.
  • 1948 : musĂ©e des beaux-arts de Mulhouse, avec Charles Walch, 37 peintures.
  • 1954 : musĂ©e des beaux-arts de Mulhouse, inauguration d’une salle permanente « LĂ©on Lehmann » et de la dĂ©coration de la chapelle des Voirons, 39 peintures.
  • 1957 : musĂ©e d'art contemporain et d'art rĂ©gional d'Annecy, 52 peintures.
  • 1957 : musĂ©e de Belfort, 51 peintures.
  • 1950 et 1960 : L’Art au Village, Saint-Jeoire, 100 peintures et dessins.
  • 1958 : musĂ©e des beaux-arts et d'archĂ©ologie de Besançon, rĂ©trospective LĂ©on Lehmann avec 89 peintures, 193 aquarelles, dessins et lithographies.
  • 1962 : musĂ©e Cantini, Marseille, avec les Ă©lèves de Gustave Moreau, trois peintures.
  • 1965 : musĂ©e Unterlinden, Colmar, 15 peintures et pastels (esquisses pour la dĂ©coration de la chapelle des Voirons).
  • 1985 : rĂ©trospective LĂ©on Lehmann, rencontres musicales et culturelles (Saint-LĂ©onard, Ungersheim et Paris), 50 peintures et une centaine de dessins.
  • 1988 : musĂ©e d’Altkirch, exposition de 21 peintures de LĂ©on Lehmann accompagnant la pose d’une plaque commĂ©morative sur la maison natale du peintre.
  • 1993 : musĂ©e d’Altkirch, exposition de peintures et dessins de Lehmann accompagnant la sortie du catalogue gĂ©nĂ©ral de son Ĺ“uvre rĂ©alisĂ© par son neveu Pierre Gevin.
  • 2003 : musĂ©e d’Altkirch, rĂ©trospective LĂ©on Lehmann Ă  l’occasion du cinquantenaire de sa mort. Une centaine de peintures exposĂ©es.
  • 2003 : musĂ©e des beaux-arts de Mulhouse, exposition de peintures de LĂ©on Lehmann pour le cinquantenaire de sa mort.
  • 2011 : musĂ©e des beaux-arts de Mulhouse| exposition sur l’art de Haute-Alsace d’Après-Guerre, cinq peintures de LĂ©on Lehmann, aux cĂ´tĂ©s de Charles Walch et Robert Breitwieser, entre autres.

Galeries

Notes et références

  1. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau, Flammarion, 312 p. (FA 0080-98-X), p. 254 et 257.
  2. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 111 et 183.
  3. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, 244 p. (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 111 et 183.
  4. Marie-Luce Cornillot, Catalogue de l'exposition LĂ©on Lehmann Ă  la galerie Lorenceau, novembre 1960, p. 9.
  5. Louis Vauxcelles, Le carnet de la semaine, 25 janvier 1963.
  6. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 201.
  7. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, 244p (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 45.
  8. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, 244p (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 15.
  9. Katia Granoff, Histoire d'une galerie, Éditions Chez l'Auteur, 1949, 74p, p. 39.
  10. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, 244p (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 16.
  11. Georges Besson, Les Lettres Française, 5 décembre 1963.
  12. Louis Vauxcelles, Catalogue du Salon d'automne, 1936, préface à la liste des œuvres de Léon Lehmann exposées.
  13. J.P. Crespelle, France-soir, cité dans la plaquette de l'exposition Léon Lehmann, Galerie Katia Granoff, 30 novembre au 20 décembre 1965.
  14. Marc Semenoff, cité dans la plaquette de l'exposition Léon Lehmann, Galerie Katia Granoff, 30 novembre au 20 décembre 1965.
  15. Yves Gevin, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Éditions Archives Léon Lehmann, 2014, 244p (ISBN 978-2-9547292-0-6), p. 18.

Annexes

Bibliographie

  • Dictionnaire BĂ©nĂ©zit.
  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article Yves Gevin, Catalogue raisonnĂ© de L’œuvre peint de LĂ©on Lehmann, Paris, Éditions Archives LĂ©on Lehmann, 2014.
  • Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article Marie-Luce Cornillot, Catalogue de l’exposition rĂ©trospective LĂ©on Lehmann, Besançon, 1958.
  • Jean E. Schmitt, Dragons en Ă©claireurs, Paris, Le Siècle, 1894.
  • Pierre L’Ermite, « Éclaireurs d’Avant-Garde. Salon des Champs-ÉlysĂ©es », Le Moniteur, Paris, 1894.
  • J.Louis Vaudoyer, « LĂ©on Lehmann », Chronique des Arts et de la CuriositĂ©, (no 36, .
  • A. Letellie, Des classiques aux Impressionnistes, Paris, Goupil, 1920.
  • Louis Vauxcelles, « LĂ©on Lehmann », Catalogue des expositions du Salon d’Automne, 1936.
  • Georges Besson, LĂ©on Lehmann, Mulhouse, Le Point, 1936.
  • Albert Charpentier, LĂ©on Lehmann, Paris, Floury Éditeur, 1936.
  • Katia Granoff, Histoire d’une Galerie, Paris, Priester, 1949.
  • Paul Gay, Jean Puy, Constant Rey-Millet, LĂ©on Lehmann, Mulhouse, Le Point, Braun et Cie, 1953.
  • Bertrand Py, Catalogue des expositions du Salon d’Automne. RĂ©trospective LĂ©on lehmann, Paris, 1954.
  • Paul Gay, LĂ©on Lehmann, Catalogue de l’Exposition LĂ©on Lehmann, Paris, Bernheim-Jeune, 1955.
  • RenĂ© Barotte, « LĂ©on Lehmann que Rouault aima », Le Jardin des Arts, no 10, Paris, 1955.
  • Marie-Luce Cornillot, Catalogue de l’exposition rĂ©trospective LĂ©on Lehmann, Besançon, 1958.
  • RenĂ© Jourdain, « 44 rue du Château, ou visite Ă  LĂ©on Lehmann », Saisons d’Alsace, no 11, Strasbourg, 1964.
  • LĂ©on Lehmann, « Souvenirs », Saisons d’Alsace, no 11, Strasbourg, 1964.
  • Louis ParcĂ©, « Pascal et Lehmann », Saisons d’Alsace, no 11, Strasbourg, 1964.
  • Alain Hauss, Catalogue de l’Exposition rĂ©trospective LĂ©on Lehmann; ARMC, Saint LĂ©onard Boersch, SEBA Strasbourg, 1985.
  • Monique Fuchs, Catalogue du MusĂ©e des beaux-arts de Mulhouse, H.S. de la SociĂ©tĂ© Industrielle de Mulhouse, 1988.
  • Pierre Gevin, LĂ©on Lehmann, catalogue raisonnĂ©; Martin Ă©diteur, Altkirch, 1993.
  • HĂ©lène Brauener, Les peintres et l’Alsace, chapitre sur LĂ©on Lehmann pages 136 Ă  138, Ă©ditions La Renaissance du Livre, Tournai (Belgique), 2003.
  • Yves Gevin, Catalogue RaisonnĂ© de L’œuvre Peint de LĂ©on Lehmann; Éditions Archives LĂ©on Lehmann, Paris, 2014

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