Jardin zoologique de Lyon
Le Zoo de Lyon, anciennement appelé Jardin zoologique de Lyon, mais aussi connu comme le Zoo du Parc de la Tête d'or, est un parc zoologique municipal français situé en Auvergne-Rhône-Alpes au sein du parc de la Tête d'or de la ville de Lyon. Créé en 1858 sous l'impulsion du préfet du Rhône Claude-Marius Vaïsse, il présente aujourd'hui un peu plus de 300 animaux de 66 espèces[2] sur 9 hectares[3]. Son dernier directeur a été Xavier Vaillant de 2012 à 2021.
Zoo de Lyon | ||
Logo du Zoo de Lyon | ||
Les girafes du zoo. | ||
Date d'ouverture | 1858 | |
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Propriétaire | Ville de Lyon | |
Direction | en recrutement | |
Situation | Lyon, France | |
Superficie | 9 ha | |
Latitude Longitude | 45° 46′ 38″ nord, 4° 51′ 20″ est | |
Nombre d'animaux | environ 300[1] | |
Nombre d'espèces | 66 | |
Nombre de visiteurs annuels | 3 000 000 (estimation) | |
Accréditations | EAZA | |
À voir | Forêts d'Asie, Plaine africaine, girafes, gibbons, panthère de l'Amour, tapirs malais | |
Site web | site officiel | |
Membre permanent de l'Association européenne des zoos et aquariums (EAZA), il s'engage dans la conservation ex situ en participant à des programmes européens pour les espèces menacées (EEP), dont il en coordonne un.
Sa fréquentation exacte n'est pas connue car l'entrée y est libre et gratuite, mais il est vraisemblablement le zoo le plus visité en France étant donné la fréquentation du parc de la Tête d'or, dont il fait partie, estimée à 3 millions de visiteurs par an.
Historique
XIXe siècle
Créé en 1858 par le préfet Claude-Marius Vaïsse, le parc zoologique ne contenait au départ qu'une ferme à vocation pédagogique suivant les directives données par l’État[4]. Son accès est gratuit dès le début. Une ménagerie d'animaux sauvages se constitue, très lentement au départ : une volière est construite en 1858[5], des oursons bruns sont donnés en 1865 et on leur construit une première cage, dessinée par Denis Bülher[6], l’un des deux frères architectes-paysagistes à l'origine du Parc de la Tête d’Or. Une deuxième cage est ensuite construite sur le même modèle, mais sera détruite lors des travaux de création de la plaine africaine en 2006. Les ours s'ajoutent aux daims sur leur parc. Peu à peu les aménagements se multiplient pour présenter de nouveaux animaux, notamment ceux de l'exposition universelle et internationale qui eut lieu en 1872 à Lyon.
Après la fin du bail de la ferme Lambert, en 1874, les animaux exotiques sont ajoutés dans l'espace qui constitue le début d'un parc zoologique. La ferme devient au cours du temps un bâtiment administratif. En 1880, des scientifiques réunis autour du Pr Louis Charles Émile Lortet, zoologiste et doyen de médecine, se voient confier la responsabilité de suivre ces animaux. En 1894 est construit le pavillon des crocodiles.
XXe siècle
En 1902, la vacherie du parc, une laiterie municipale commandé par la ville de Lyon et conçue par l'architecte Tony Garnier, est construite le long de l'allée des moutons. En 1910 la direction du zoo est confiée à un vétérinaire. En 1926 une fauverie est construite à partir des bâtiments d'une ancienne écurie[5]. À partir de 1955, le parc commence à être rénové et les anciens pavillons architecturaux délabrés sont détruits. Une rocaille destinée aux oiseaux aquatiques est alors ajoutée.
- La deuxième cage aux ours, octogonale.
- La cage des panthères.
- L'enclos des crocodiles.
- Loulou l'éléphante dans son enclos.
Dans les années 1960 sont inaugurés un nouvel enclos pour les éléphants, une nouvelle rotonde pour les singes et le pavillon de girafes. L’éléphante d'Asie Java arrive au zoo en 1964[7].
Dans les années 1970 ce sont un bâtiment pour les renards, une nouvelle fauverie[5] et la galerie des serpents qui voient le jour. En 1988 le bâtiment des renards est revu pour présenter des servals. En 1994, l'ourserie est construite[6].
En 1999, le maire de Lyon, Raymond Barre, propose à Gilbert Edelstein, directeur du cirque Pinder, d'accueillir les deux éléphantes d'Asie dont il souhaite se séparer temporairement. Baby et Népal arrivent alors au zoo et rejoignent l'éléphante Java, seul individu qui y était présenté jusque-là [8].
XXIe siècle
En 2001, le vétérinaire Eric Plouzeau prend la direction du zoo[9]. Le bâtiment des fauves, dans lequel se trouve les reptiles est fermé au public car il ne répond plus aux normes de sécurité pour les locaux recevant du public. L'ourserie est réaménagée l'année suivante.
En , dans le cadre de la restructuration du zoo, la « Plaine africaine »[10] est inaugurée, où les paysagistes et les architectes ont respecté la visibilité exigée pour le public dans le respect des animaux en fondant les enclos dans le décor.
En 2009, Eric Plouzeau quitte la direction du zoo. Il est remplacé un peu plus tard par le vétérinaire David Gomis qui était jusqu'alors directeur adjoint du Parc zoologique et botanique de Mulhouse[11].
En , l'éléphante d'Asie Java décède à 67 ans et des lésions de tuberculose sont retrouvées à l'autopsie[7]. Il s'ensuit une controverse à propos du statut immunologique des deux autres éléphantes, Baby et Népal, vis-à -vis de cette maladie. Le directeur, David Gomis quitte alors son poste pour prendre la direction technique du Parc zoologique de Montpellier, après avoir été mis en cause médiatiquement dans la gestion de cette affaire de suspicion de tuberculose[12]. Il est remplacé par Xavier Vaillant, jusqu'alors directeur adjoint du Zoo de Pont-Scorff. Après avoir longtemps été menacées d'euthanasie, Baby et Népal sont finalement transférées en juillet 2013 à Roc Agel, l’une des propriétés de la famille Grimaldi située dans les Alpes-Maritimes[13]. À partir de cette date, plus aucun éléphant n'est présent dans le zoo.
En décembre 2019, Lulu, considéré comme le plus vieux gibbon de Müller au monde, meurt à l'âge de 64 ans[14]. Originaire de Bornéo, Lulu avait été capturée par des trafiquants avant d'arriver à Lyon en 1961, devenant ensuite un animal emblématique du zoo. Il s'agit d'une longévité exceptionnelle pour cette espèce, alors que son espérance de vie est généralement estimée à une quarantaine d'années[15].
En , la « Forêt d'Asie » reprend l'emplacement de l'enclos des éléphants promis à la démolition ; elle est destinée à l’accueil d’espèces menacées d’Asie du Sud-Est[16]. Xavier Vaillant quitte alors son poste pour prendre la direction du zoo d'Amiens en aout 2021[17].
En septembre 2022, les deux crocodiles d'Afrique de l'Ouest du parc quittent leur enclos pour rejoindre le Crocoparc d'Agadir, dans le cadre d'un programme de sauvegarde de l'espèce, selon la mairie de Lyon. Il s'agit de la première réintroduction réalisée par le zoo de Lyon[18].
Événements animaliers singuliers
- 1892 : le jeune Henri Perron, âgé de 15 ans, veut s’approcher au plus près de la cage aux ours, mais l'animal le saisit et lui broie une jambe qu’il faudra lui amputer[19].
- 1964 : accueil des 3 éléphantes Pankov, Maouzi et Java, en provenance du cirque Amar. Elles rejoignent le mâle Mako, qui avait été offert au parc en 1948 par Émile Bollaert, ancien préfet du Rhône devenu gouverneur d’Indochine[20].
- 1981 : le , une portée exceptionnelle de 25 anacondas voit le jour au parc.
- 1984 : le , une lionne nommée Sonia oblige, à la suite d'une dispute, son compagnon Sultan à se jeter à l'eau dans le bassin de leur enclos. Pendant deux heures, Sultan essaie de regagner la berge par l'escalier prévu à cet effet, mais Sonia l'en empêche. Sultan meurt noyé.
- 1995 : le , une tigresse s'échappa de sa cage. Le parc fut évacué, le fauve a été retrouvé terré sous un buisson, sans doute effrayé par la foule.
- 1999 : après les décès successifs des éléphants Maouzi, Pankov et Mako à la fin des années 1990, le parc accueille deux nouvelles éléphantes, Baby et Népal, en provenance du cirque Pinder.
- 2012 : l'éléphante Java, plus vieux pachyderme en captivité d'Europe, meurt à 67 ans après avoir été infectée de la tuberculose[21].
- 2013 : les deux derniers éléphants Baby et Népal quittent le parc et rejoignent Roc Agel, l’une des propriétés de la famille Grimaldi située dans les Alpes-Maritimes[13]. À partir de cette date, plus aucun éléphant n'est présent dans le parc.
- 2013 : trois naissances importantes ont lieu cette année ; celle d'une girafe mâle, prénommée Kissa, la première depuis l'installation de la plaine africaine, le 25 juin[22] ; celle d'une petite panthère de l'Amour, espèce en danger critique d'extinction, le 21 août[23] ; et celle d'un zèbre de montagne de Hartmann le 28 octobre[24].
- 2015 : nouvelle naissance d'un girafon, baptisé Yanci, en février 2015[25].
- 2019 : le 5 novembre 2019, le zoo de Lyon annonce le décès de Louise, doyenne des girafes du parc, à l'âge de 32 ans[26]. Un mois plus tard, le 2 décembre, Lulu, une femelle gibbon de Müller, meurt à l'âge de 64 ans. Arrivée à Lyon en 1961, elle était considérée comme la plus vieille représentante de son espèce en captivité[14].
- 2021 : Jasraj, le dernier lion présent dans le parc meurt d’une gastro-entérite le [27]. Il ne sera pas remplacé.
Installations et espèces présentées
Les serpents ne sont plus exposés dans leur galerie. La première cage aux ours est conservée comme monument historique.
- La cage aux ours historique, hexagonale.
- Un panda roux.
- Un crocodile du désert (Crocodylus suchus).
Plaine africaine
La plaine africaine est divisée en parties communicantes avec un enclos séparé en plus. C'est un espace où cent trente animaux différents — certains appartenant à des espèces rares et protégées — cohabitent sur 2,5 hectares.
La partie savane, où l'on peut trouver entre autres des watusis, des cobes de Mrs Gray, des zèbres de Hartmann (qui ont remplacé les zèbres de Grévy en 2011) et des girafes du Kordofan, est la plus étendue.
Une partie humide abrite de nombreuses espèces d'oiseaux, dont des pélicans blancs, des grues cendrées, des hérons garde-boeufs et des flamants roses, ainsi que des lémuriens (makkis cattas, varis roux et varis noirs et blancs) sur une île.
À l'extrémité est de la plaine, un pavillon abrite les loges des antilopes, ainsi que quelques enclos sableux agrémentés de rochers et de souches, où vivent des inséparables à joues noires, des chats des sables, des otocyons et des tortues radiées de Madagascar.
Au sud on retrouve un enclos de style mauresque, ancien lieu de vie des crocodiles d'Afrique de l'Ouest. Les deux crocodiles, un mâle arrivé au zoo en 1975 et une femelle née en 1990, quittent cet enclos en septembre 2022 pour rejoindre le Crocoparc d'Agadir, dans le cadre d'un programme de réintroduction de cette espèce au Maroc[18].
- Girafes devant la giraferie.
- Zèbres de Grévy, girafes et watusis.
- Zèbres de Grévy dans la plaine africaine.
- Enclos des crocodiles, en 2021.
Fauverie
La fauverie est un bâtiment des années 1970. On y trouve aujourd'hui des léopards de l'Amour, des pandas roux, des loutres naines d'Asie et des binturongs. Jusqu'en 2021, on pouvait aussi y voir des lions d'Asie ; ce sont des représentants de la sous-espèce persica classée « en danger » et qui ne vit à l'état sauvage que dans la forêt de Gir au sein de l'État du Gujarat en Inde.
Un enclos inaccessible au public abrite un couple de manuls qui peuvent parfois être vus depuis les allées.
- Des enclos.
- Lion d'Asie.
- Panthère de l'Amour.
Primates et Oiseaux
L'enclos des primates, situé à proximité de la plaine africaine et de la fauverie, comporte plusieurs espèces de singes (capucins à poitrine jaune, cercopithèques de l'Hoest, sakis à face blanche, tamarins bicolores et tamarins lions à tête dorée), mais aussi des espèces de lémuriens, différentes de celles présentes dans la partie humide de la plaine africaine (lémur à ventre roux et grands hapalémurs)[28].
On trouve dans le même enclos quelques espèces d'oiseaux : des amazones d'Equateur, des amazones à couronne lilas, des conures à tête bleue, des caïques à ventre blanc, et des garrulaxes du Père Courtois qui cohabitent avec des faisans d'Edwards.
- L'enclos des singes.
ForĂŞts d'Asie
Inaugurée en , elle est destinée à l’accueil d’espèces menacées d’Asie du Sud-Est[16]. Elle se situe sur l'emprise de l'ancien enclos des éléphants, soit une superficie d’environ 3 000 mètres carrés divisée en trois zones : la volière des tapirs, la volière des gibbons, et la nef tropicale ou la température est maintenue à 26° avec 70 % d'hydrométrie[29]. L'ensemble est en mesure d'abriter 30 espèces menacées d'Asie du Sud-Est dont deux tapirs malais, quatre gibbons à favoris blancs du Nord, des toupayes de Belanger, plusieurs espèces d'oiseaux (ibis à tête noire, coq bankiva, calao à casque rouge, roulroul couronné, étourneau de Bali, fuligule de Baer, faisan du Vietnam) et quelques reptiles (serpent ratier-rhinocéros, lézard crocodile de Chine, tortue asiatique géante des marais et émyde à cou rayé).
Près de cet espace se trouve l'ancien enclos des ours à lunettes, deux frères arrivés en 2002, dont le dernier représentant est décédé d'un cancer en novembre 2018[30]. A partir de février 2019, le parc installe dans cet enclos un couple d'élaphodes, ou cerf huppés, originaires du sud de la Chine[31].
- L'enclos de la foret asiatique, vue côté sud.
- L'enclos de la foret asiatique, vue côté est.
Parc au daims
Le groupe de daims vit dans son parc historique sur un espace de deux hectares et est issu d'une vingtaine de géniteurs, introduits à la création du parc zoologique en 1858.
Centre de récupération des tortues de Floride
À l'est du parc aux daims, près du bâtiment de la ferme Lambert, a été constitué en 2006, un bassin de recueil des tortues Nord-américaines. Ce bassin a été élaboré dans le cadre des efforts du Zoo en termes de préservation de la Biodiversité locale[32]. Ainsi les particuliers ayant encore chez eux ces animaux peuvent les céder au zoo et il en va de même des associations naturalistes qui capturent ces tortues dans la Nature. Les tortues Nord-américaines sont considérées comme invasives et ont un impact délétère sur les populations de cistudes d'Europe notamment.
En partenariat avec le laboratoire Écologie Systématique et Évolution de l'université Paris-Sud, plusieurs panneaux pédagogiques ont été créés afin de sensibiliser le public à cette problématique[33] - [34].
En dix ans le centre a récupéré plus de deux mille tortues[2].
Conservation des espèces
Le zoo est coordinateur d'un programme européen pour les espèces menacées (EEP), celui du vari roux (Varecia rubra), une espèce classée en danger critique d'extinction par l'Union internationale pour la conservation de la nature[35].
Il permet l'encadrement de travaux universitaires et de thèses d'exercice vétérinaires, sous convention avec VetAgro Sup Lyon et le pôle universitaire lyonnais[36].
Économie
Sa fréquentation exacte n'est pas connue car l'entrée y est libre et gratuite, mais il est vraisemblablement le zoo le plus visité en France étant donné la fréquentation du parc de la Tête d'Or, dont il fait partie, estimée à trois millions de visiteurs par an[37] - [38].
Notes et références
- (en) « Institution (Zoo de Lyon), Animal Statistics », sur zims.isis.org (consulté le ).
- « La liste des espèces organisée par classes », sur .zoo.lyon.fr (consulté le ).
- « Le Zoo de la Ville de Lyon », sur zoo.lyon.fr (consulté le ).
- Eric Baratay (LARHRA - LAboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes - UMR5190), « Un instrument symbolique de la domestication : le jardin zoologique aux XIXe-XXe siècles (l'exemple du parc de la Tête d'or à Lyon). », Cahiers d'histoire du Comité historique du Centre-Est, vol. 42, nos 3-4,‎ , p. 677-706 (lire en ligne).
- « Jardin zoologique du parc de la Tête d'Or, Dossier IA69002058 inclus dans Parc de la Tête d'Or », sur patrimoine.rhonealpes.fr, .
- « La cage aux ours », sur www.leprogres.fr, (consulté le ).
- Mort de la plus vieille éléphante d’Europe, Le Figaro, 16 août 2012.
- « Éléphantes, les coulisses du grand Barnum » [archive], sur mag2lyon.com, (consulté le ).
- « Zoo d'Eden », sur liberation.fr, .
- « Aménagements d'enclos ».
- « David Gomis passe la main », sur lalsace.fr, .
- « David Gomis directeur technique du parc Darwin à Montpellier : "Aucun patron de zoo n’a la gâchette facile" », sur midilibre.fr, .
- « Les éléphants Baby et Népal font leurs adieux à Lyon », sur 20 Minutes, (consulté le ).
- « Rhône. Lulu, l’emblématique gibbon du zoo de Lyon, est décédée à 64 ans », sur www.leprogres.fr (consulté le ).
- « Lyon - record. Le plus vieux gibbon de Müller au monde vit au Zoo de Lyon », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « Parc de la Tête-d’or : la forêt d’Asie ouvre le 7 juillet », sur www.leprogres.fr, (consulté le ).
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- Raphaël Dubois, « Sur un cas particulier de l'aspect moral de la lutte pour l'existence », Annales de la Société Linnéenne de Lyon, no 46,‎ , p. 134-135 (lire en ligne).
- David Gossart, « Les animaux légendaires de Lyon #4 : Les éléphants du parc de la Tête d’Or », sur Tribune de Lyon, (consulté le ).
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- Lyon Mag, « Lyon Mag », sur Lyon Mag, (consulté le )
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- « ANIMAUX. Lyon: il n’y aura plus d’ours et d’éléphants au zoo du parc de la Tête-d'Or », sur www.leprogres.fr (consulté le )
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- « ZooLex Exhibit », sur www.zoolex.org (consulté le ).
- Banque des savoirs du Conseil général de l'Essonne, « Opération "tortues de Floride" », Banque des Savoirs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « centre de récupération des tortues de Floride - Jardin zoologique », sur www.zoo.lyon.fr (consulté le ).
- (en) « EAZA Activities > Collection Planning > EEPs and ESBs », sur eaza.portal.isis.org (consulté le ).
- Ville de Lyon - Direction de la communication interne, « Dossier : Le Jardin Zoologique change d’ère », sur zoo.lyon.fr, .
- « Les touristes ne quittent pas Lyon sans visiter le parc de la Tête d'Or », sur Le Progrès, .
- Sylvie Sylvestre, « Dans les coulisses du parc de la Tête d'or », sur leprogres.shorthandstories.com (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Paul Deschanel (directeur du parc dans les années 1970), « Origines du jardin zoologique de Lyon », Amis des zoos, no 3, 1975.
- Michel Biny, Eric Plouzeau et Jean-Marc Touzet, Les animaux du Parc de la TĂŞte d'Or, Samedi Midi, , 134 p. (ISBN 978-2-915928-17-4 et 2-915928-17-7)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- (fr) Parc zoologique de la ville de Lyon sur le site Les zoos dans le monde