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Harcourt

Harcourt est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Harcourt
Harcourt
L'église Saint-Ouen Logo monument historique Classée MH (1862) et la mairie Logo monument historique Inscrite MH (2001).
Blason de Harcourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Bernard Aubry
2020-2026
Code postal 27800
Code commune 27311
Démographie
Gentilé Harcourtois
Population
municipale
1 096 hab. (2020 en augmentation de 11,61 % par rapport à 2014)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 04″ nord, 0° 47′ 14″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 147 m
Superficie 15,2 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brionne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Harcourt
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    Les habitants sont des harcourtois.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Harcourt se situe au centre-ouest du département de l'Eure en région Normandie. Appartenant à la région naturelle de la campagne du Neubourg, elle occupe un territoire compris entre la vallée de la Risle, à l'ouest, qui marque la limite avec le Lieuvin et une petite vallée sèche, à l'est, dans laquelle serpente la voie verte Évreux - Le Bec-Hellouin. Son paysage est très ouvert car il est constitué de grandes étendues de cultures consacrées au blé, à l'orge ou aux betteraves[1]. Toutefois, il se trouve très largement fermé à l'ouest et à l'est par les lisières boisées des vallées. Le bourg de la commune est à 6,1 km au sud-est de Brionne[2], à 16,1 km au nord-est de Bernay[3], à 31,1 km au nord-ouest d'Évreux[4] et à 37,2 km au sud-ouest de Rouen[5].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 742 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[14] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 34 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Harcourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [22] - [23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,1 %), forêts (22,6 %), prairies (6 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Normannus de Herolcurt en 1030-1035, Harecotium (Neustria pia), Harecort (roman de Rou) à la fin du XIe siècle, Harulfi Curtis ou Cortis (Orderic Vital) au début du XIIe siècle, Harecurt (Guillaume de Jumièges), Harecuria en 1179 (lett. de Robert d’Harcourt), Herecuria en 1214 (feoda Normanniæ), Hauricuria en 1223 (ch. de Saint-Étienne de Renneville), Hardicuria en 1285 (André Duchesne), Harecourt en 1329 (chron. des quatre 1ers Valois) et en 1378 (capitulation de Beaumont-le-Roger), Harcort en 1355 (chron. des abbés de Saint-Ouen) et Harecord (documents anglais)[28] - [29].

    François de Beaurepaire note que lors de la colonisation anglo-scandinave, le mode de composition toponymique en -court n'était plus en usage[28], par conséquent l'élément -court ne peut pas être précédé d’un nom de personne norrois ou anglo-scandinave, mais bien plutôt francique, comme c'est généralement le cas ailleurs en France.

    L'appellatif court est issu du gallo-roman CŌRTE (du latin curtis ou cortem, latin classique cohors, cohortis, français moderne « cour »), terme désignant une exploitation rurale, et qui traduit le germanique hof de sens proche. Il n’existe comme appellatif toponymique que dans la partie nord du domaine d’oïl. Le premier élément est l'anthroponyme germanique Hariulf[28].

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Champ-Social[30].

    Histoire

    Le village est le fief d'origine de la famille ducale d'Harcourt, une des plus anciennes familles nobles de France et d'Angleterre (première moitié du IXe siècle).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Bernay du département de l'Eure. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de l'Eure.

    La commune a été fugacement de 1793 à 1800 le chef-lieu du canton d'Harcourt. Elle est rattachée à cette date au canton de Brionne[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 44 communes.

    Intercommunalité

    La commune fut membre de la communauté de communes rurales du canton de Brionne, créée fin 1997.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , l'Intercom Bernay Terres de Normandie dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 1989 Pierre Desprez RPR Avocat au barreau de Bernay
    1989 mars 2008 Daniel Parisy UMP Ingénieur commercial
    mars 2008 juillet 2018[31] Alain Vannier DVD Agriculteur
    Démissionnaire
    octobre 2018[32] En cours
    (au septembre 2020)
    Bernard Aubry Responsable commercial médical retraité
    Maire réélu pour le mandat 2020-2026[33] - [34]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 1 096 habitants[Note 7], en augmentation de 11,61 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9471 3201 3351 1351 3391 3101 2421 2281 206
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0801 0689661 011967964873834775
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    778718684678673638652706805
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    925933935934957909908907977
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0681 096-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune d'Harcourt compte trois édifices classés ou inscrits au titre des monuments historiques :

    • Le château d'Harcourt (XIIIe, XIVe, XVIe et XVIIe siècles) Logo monument historique Classé MH (1862) Logo monument historique Classé MH (1995)[38] ;
    • L'église Saint-Ouen (XIIe, XIIIe et XVIIe siècles) Logo monument historique Classé MH (1862)[39]. Le chÅ“ur avec abside et le clocher datent du XIIIe siècle. Une nouvelle façade a été réalisée au début du XVIe siècle. L'église possède une chambre de charité du XVIe siècle avec son décor peint et une sacristie du XVIIe siècle. Des remaniements ont eu lieu au XIXe siècle ;
    • Hôtel de ville d'Harcourt (XIXe siècle) Logo monument historique Inscrit MH (2001)[40]. Ancienne halle datant de la fin du Moyen Âge appartenant au domaine d'Harcourt. Elle est devenue la propriété de la commune en 1848 pour y installer la mairie et divers équipements communaux.

    Par ailleurs, figure à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    On peut également signaler :

    • Le prieuré Notre-Dame-du-Parc[42]. Prieuré fondé au XIIIe siècle par Jean d'Harcourt pour servir de lieu de sépulture à sa famille[43]. L'ensemble fut vendu durant la Révolution française, puis utilisé comme carrière de pierres. Il ne subsiste, à ce jour, que quelques hangars de la ferme, deux constructions carrées et les vestiges d’une crypte souterraine[44] ;
    • Le château des Rufflets dans le hameau de Chrétienville ;
    • Le château de Beauficel ;
    • L'ancienne gare. En 1889, une voie de chemin de fer reliant Évreux à Honfleur est créée. Elle participe de l'essor de l'agriculture locale et de l'émergence du tourisme balnéaire. Harcourt, qui se trouve sur le tracé de cette ligne, possède sa propre gare. Cette voie ferrée ferme en 1969 faute de trafic suffisamment important. Laissée à l'abandon pendant de nombreuses décennies, elle est bitumée en 2007 et convertie en voie verte d'Évreux à la vallée du Bec. La gare est toujours là pour témoigner de ce passé[45].
    • L'ancien hospice des Augustines. Il a été créé en 1695 par Marie-Françoise de Brancas, l'épouse d'Alphonse-Henri de Lorraine, alors comte d'Harcourt. L'hospice a fonctionné jusqu'en 2012 avant d'être remplacé par un établissement plus moderne[46] - [47].
    • Le monument aux morts dû à Louis-Aimé Lejeune
    • Le château d'Harcourt.
      Le château d'Harcourt.
    • La façade du XVIIe siècle du château.
      La façade du XVIIe siècle du château.
    • L'hospice.
      L'hospice.
    • L'hôtel de ville.
      L'hôtel de ville.
    • Pavillons du prieuré Notre-Dame-du-Parc (XVIIIe)
      Pavillons du prieuré Notre-Dame-du-Parc (XVIIIe)
    • L'ancienne gare.
      L'ancienne gare.
    • L'arboretum.
      L'arboretum.

    ZNIEFF de type 2

    • La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[48] ;
    • La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[49].

    Site classé

    • Les deux marronniers (abattus au ) encadrant l'entrée de la propriété de M. Pinchon Site classé (1936) [50].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Harcourt

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :
    de gueules aux deux fasces d'or

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le plateau du Neubourg », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Distance à vol d'oiseau entre Harcourt et Brionne », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre Harcourt et Bernay », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre Harcourt et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre Harcourt et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    7. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Harcourt et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Harcourt et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154).
    29. Ernest de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, 1877, p. 108 in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES CTHS DicoTopo.fr (lire en ligne) .
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Anthony Bonnet, « Trois candidats ambitieux aux élections municipales partielles à Harcourt : Des élections municipales complémentaires sont organisées à Harcourt dimanche 23 septembre. Trois candidats ont décidé d'unir leurs forces en formant une liste. Ils veulent donner un nouvel élan à la commune en rejoignant l'équipe de Bernard Aubry », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La commune d’Harcourt (Eure) aura bientôt un nouveau maire. Trois mois après la démission d’Alain Vannier, les électeurs sont appelés aux urnes afin de compléter le conseil municipal, où trois postes sont vacants, une étape indispensable afin d’élire le premier magistrat ».
    32. Nicolas Berrod, « Dans le quotidien de trois maires : Nous avons suivi trois maires de communes – du village à la grande ville – situées dans l’Eure. Résultat : de la joie, mais aussi contraintes, financières et réglementaires, toujours plus pesantes », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. Anthony Bonnet, « Municipales 2020. Harcourt : Bernard Aubry veut promouvoir le bien-vivre : Le maire Bernard Aubry est le seul candidat aux élections municipales à Harcourt. Son équipe est composée de plusieurs nouveaux visages », L'Éveil Normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu maire en 2018 suite à la démission d’Alain Vannier, il veut promouvoir le bien vivre dans la commune ».
    34. « Harcourt 27800 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Château d'Harcourt », notice no PA00099443, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Eglise paroissiale Saint-Ouen », notice no PA00099444, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Mairie », notice no PA27000040, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Parc botanique (arboretum) », notice no IA27000559, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Archives de l'Eure .
    43. Chanoine Porée, « Les stalles du prieuré de Notre-Dame du Parc d'Harcourt », Bulletin monumental,‎ , p. 322-329 (lire en ligne).
    44. Gilles Malgrain, « L’abbaye du Parc - Prieuré Notre-Dame du Parc à Harcourt. : De sa fondation à la Révolution française » [PDF], , p. 1-33.
    45. « Voie verte d'Évreux à la vallée du Bec (Évreux - Le Neubourg - Le Bec-Hellouin) », sur Site officiel de la ville d'Évreux (consulté le ).
    46. « Ancien Hospice des Augustines », sur Les amis d'Harcourt (consulté le ).
    47. Ernest-Victor Veuclin, Manufacture de dentelle à Harcourt et Bernay : Extrait d'un Mémoire sur le Paupérisme lu au Congrès de la Sorbonne, en 1887, Bernay, Impr. E. Veuclin, (lire en ligne).
    48. « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    49. « La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    50. Voir JORF à Harcourt
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