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Gulo gulo

Glouton, Carcajou, Glouton arctique, Glouton boréal

Gulo gulo, le Glouton ou Carcajou, également connu sous son nom anglais de Wolverine, est une espèce de mammifères au régime alimentaire omnivore à dominance carnivore. Solitaire et farouche, il vit dans la taïga et la toundra d'Amérique du Nord et d'Eurasie.

Il fait partie de la famille des mustélidés, étant la seule espèce du genre Gulo.

Il peut être très dangereux et agressif, ce qui lui vaut une réputation d'animal redoutable dans la culture populaire. Au Canada, il est qualifié d'« animal le plus féroce du Grand Nord ».

Le poids d'un mâle adulte peut atteindre 18 kg[2].

Nomenclature et Ă©tymologie

DĂ©nominations

  • Nom scientifique : Gulo gulo (Linnaeus, 1758)
  • Noms vulgaires (vulgarisation scientifique) recommandĂ©s ou typiques en français : Glouton (Europe)[3] - [4] - [5] - [6] ou Carcajou (Canada)[3] - [5] - [7]. Plus rarement Glouton arctique ou Glouton borĂ©al[6].
    • Les sous-espèces sont appelĂ©es Glouton d'Europe (Gulo gulo gulo), Glouton d'AmĂ©rique du Nord (Gulo gulo luscus)[6].
  • Autres noms vulgaires ou noms vernaculaires (langage courant) pouvant dĂ©signer Ă©ventuellement d'autres espèces : dans le langage courant, « glouton » dĂ©signe plutĂ´t la sous-espèce europĂ©enne et « carcajou » la sous-espèce canadienne, tandis que « glouton d’AmĂ©rique » est plus rarement utilisĂ© au Canada[8]. « Blaireau du Labrador » est aussi parfois employĂ© pour dĂ©signer le carcajou, mais porte Ă  confusion[8]. Le terme dĂ©suet « WolvĂ©rène »[9] ou « wolverène », de l'anglais wolverine ou wolverene[8], peut ĂŞtre trouvĂ© dans certains textes anciens[10].

Cette espèce est parfois confondue avec le blaireau d'Amérique (Taxidea taxus), appelé aussi carcajou en Europe, à la suite d'une association linguistique erronée[11], ou encore avec le kinkajou (Potos flavus), un petit carnivore d'Amérique du Sud[8].

Origine du nom

Le nom français « glouton » fait référence à la voracité de l'animal. Il pourrait cependant être le résultat d'une dérive étymologique : en Scandinavie, où l'on trouve encore cet animal, son nom ancien était « fjällfräs », « fjellfras » ou « fjellfross », ce qui signifie à peu près « fauve des montagnes ». En norvégien, le nom « jerv » trouve son origine dans le norrois, ou norvégien viking médiéval, avec le mot « jerfr » qui signifiait brun. Ce mot se serait transmis en allemand sous la forme « Vielfraß », qui signifie « qui mange beaucoup », traduit en français par « glouton » et en latin par « gulo ».

Son nom québécois de « carcajou » est d'origine algonquienne[8]. C'est une modification québécoise de « Kwi'kwa'ju », nom donné à l'animal par la tribu des Micmacs, l'une des Premières Nations du Canada ; « Kik'wa'ju » signifie « esprit malin » en langue micmaque[12]. Le carcajou étant plus rusé que le renard et doué d'une force peu commune, il possède des facultés hors du commun pour échapper aux chasseurs et, s'il se fait prendre, tente par tous les moyens de s'échapper ; il possède avant tout un instinct de survie des plus impressionnants, d'où le nom « d'esprit maléfique » que lui donnèrent les Micmacs.

Description

Il ressemble un peu Ă  un petit ours pesant de 8 Ă  18 kg (30 kg[13] maximum) et ayant une queue velue. Sa fourrure est dense et ne retient pas l'eau, ce qui lui permet de rĂ©sister aux grands froids caractĂ©ristiques de son aire de rĂ©partition. Il mesure de 75 Ă  110 cm. Il a une tĂŞte ronde et large, de petits yeux et des oreilles courtes et arrondies. Ses pattes sont courtes et robustes et chaque pied compte cinq orteils. Ses longues griffes sont courbĂ©es et semi-rĂ©tractiles, il peut donc les rentrer partiellement. Elles lui servent Ă  grimper et Ă  creuser. Ses dents sont solides. Les mâles adultes pèsent de 12 Ă  18 kg en moyenne. Les femelles pèsent 8 Ă  12 kg en moyenne. Les gloutons du nord sont gĂ©nĂ©ralement plus gros que ceux du sud. On reconnaĂ®t le glouton grâce Ă  son masque facial et sa queue touffue.

Lors d'une expĂ©rience scientifique, un glouton a Ă©tĂ© muni d'un rĂ©cepteur GPS qui a permis de montrer qu'il pouvait gravir un dĂ©nivelĂ© de près de 1 500 m de roches et de glaces et parvenir Ă  un sommet de plus de 3 000 m d'altitude, cela en moins de 90 minutes[14].

  • Glouton vu de face.
    Glouton vu de face.
  • Glouton couchĂ© sur le dos.
    Glouton couché sur le dos.
  • Squelette de Gulo gulo.
    Squelette de Gulo gulo.
  • Crâne de Gulo gulo.
    Crâne de Gulo gulo.

Écologie et comportement

RĂ©gime alimentaire

Le glouton se nourrit le plus souvent de carcasses de gros animaux morts de causes naturelles ou tués par des ours ou des loups.

Il mange aussi des campagnols, des lièvres, les larves d'insectes, des Ĺ“ufs d'oiseaux et des baies ; il s'attaque parfois au castor du Canada, au renard roux ainsi qu'au porc-Ă©pic d'AmĂ©rique et Ă  d'autres rongeurs, voire Ă  des rennes. Il lui arrive aussi de cacher de la nourriture sous la neige après l'avoir imprĂ©gnĂ©e de sa forte odeur, dissuadant ainsi tout intrus de la lui dĂ©rober. Bien adaptĂ© Ă  la vie de charognard, le glouton a des dents et des mâchoires robustes qui lui permettent de broyer de gros os et de manger de la viande gelĂ©e. Comme il n'est pas très efficace Ă  la chasse , il dĂ©vore souvent des animaux pris au piège. Il peut plus rarement s'attaquer Ă  des proies beaucoup plus volumineuses, comme l'ours ou l'orignal. Parfois il s'introduit dans les cabanes, ce qui ne lui attire guère la sympathie des trappeurs. Son odorat très fin lui permet de dĂ©tecter la prĂ©sence de nourriture sous une Ă©paisse couche de neige jusqu'Ă  6 mètres. Quand il ne trouve pas de nouvelle carcasse, il retourne vers une prĂ©cĂ©dente et mange ses os gelĂ©s. Le glouton parcourt environ 40 km par chasse.

Il peut parfois tuer un renne (en Suède et Finlande), un caribou des bois ou un orignal. Il s'attaque notamment à la femelle gravide et moins souple, au jeune ralenti par la neige ou à l'animal affaibli par la maladie. Il a été filmé attaquant et tuant un loup attiré par sa progéniture[15].

Certains lui attribuaient autrefois en Amérique du Nord le don de pouvoir chasser en coopération avec des renards, ce que rapporte Chateaubriand dans ses récits de voyages en Amérique. Selon la description au moins en partie fantaisiste qu’il en donne, « la manière dont il chasse l'orignal avec ses alliés les renards est célèbre. Il monte sur un arbre, se couche à plat sur une branche abaissée, et s'enveloppe d'une queue touffue qui fait trois fois le tour de son corps. Bientôt on entend des glapissements lointains, et l'on voit paraître un orignal rabattu par trois renards, qui manœuvrent de manière à le diriger vers l'embuscade du carcajou. Au moment où la bête passe sous l'arbre fatal, le carcajou tombe sur elle, lui serre le cou avec sa queue, et cherche à lui couper avec les dents la veine jugulaire. L'orignal bondit, frappe l'air de son bois, brise la neige sous ses pieds : il se traîne sur ses genoux, fuit en ligne directe, recule, s'accroupit, marche par sauts, secoue sa tête. Ses forces s'épuisent, ses flancs battent, son sang ruisselle le long de son cou, ses jarrets tremblent, plient. Les trois renards arrivent à la curée : tyran équitable, le carcajou divise également la proie entre lui et ses satellites. Les Sauvages n'attaquent jamais le carcajou et les renards dans ce moment : ils disent qu'il serait injuste d'enlever à ces autres chasseurs le fruit de leurs travaux[16] ».

Reproduction

L'accouplement a lieu entre mai et juillet et l'espèce ne produit qu'une portĂ©e par annĂ©e. Certaines femelles ne procrĂ©ent qu'une fois tous les 2 ou 3 ans. Les petits, au nombre de 1 Ă  5, naissent entre le mois de fĂ©vrier et mai. La pĂ©riode active de la gestation dure 30 Ă  40 jours. Les embryons subissent une implantation diffĂ©rĂ©e. Les nouveau-nĂ©s ont les yeux fermĂ©s et leur corps est couvert d'un fin pelage frisĂ©. Ils sont sevrĂ©s Ă  9 ou 10 semaines et matures Ă  1 ou 2 ans. Peu de petits survivent Ă  leur première annĂ©e car certains sont victimes de prĂ©dation ou meurent de faim. Les jeunes gloutons grandissent rapidement. Ce taux de croissance rapide continue après que la mère a cessĂ© d'allaiter.

Le glouton peut vivre au moins 10 ans Ă  l'Ă©tat sauvage, et en captivitĂ© il peut atteindre l'âge de 15 ans.

Comportement

Le glouton est un animal essentiellement solitaire. Cependant, il semblerait que les membres d'une même famille se tolèrent extrêmement bien entre eux[17]. Il peut être particulièrement agressif face aux autres animaux, surtout lorsqu'il se sent menacé. On prétend qu'il sait protéger ses captures contre les attaques de loup et même d'ours brun. Il ne défend pas son territoire, mais signale sa présence en déposant sur le sol ou sur un tronc d'arbre, le long des sentiers qu'il fréquente, les sécrétions musquées de ses glandes anales. Parfois, il gratte le sol à la manière d'un chien ou ronge l'écorce de certains arbres.

À part l'homme qui le trappe pour sa fourrure, le glouton connaît peu de prédateurs : le loup gris, l'ours et éventuellement le puma.

RĂ©partition et habitat

Répartition géographique

Autrefois présent presque partout dans l'est du Canada, il ne se retrouve plus aujourd'hui qu'en petit nombre dans le nord-ouest de l'Ontario et dans le nord du Québec, où certains spécimens continuent d'être observés occasionnellement. Aux États-Unis il est présent principalement dans le secteur nord des montagnes Rocheuses mais on l'observe quelquefois jusqu'en Californie, dans le parc de Yosemite[18]. L'espèce est toutefois plus abondante dans l'ouest du Canada et en Alaska. Elle a une distribution circumpolaire : outre l'Amérique du Nord, on la trouve en Scandinavie ainsi que dans le nord de l'Eurasie.

Habitat

Le glouton frĂ©quente la grande forĂŞt de conifères (taĂŻga) et la toundra. Il occupe habituellement un domaine d'environ 400 km2 qu'il patrouille en suivant rĂ©gulièrement les mĂŞmes sentiers. Toutefois, selon l'abondance et la rĂ©partition de ses proies, son territoire peut ĂŞtre encore plus vaste, gĂ©nĂ©ralement afin de suivre les troupeaux migrateurs de caribous. On a dĂ©jĂ  suivi certains individus dans la neige sur une distance de 60 Ă  80 kilomètres.

Dans son aire de rĂ©partition, il prĂ©fère gĂ©nĂ©ralement des rĂ©gions Ă©loignĂ©es, Ă  l'Ă©cart des humains. Les caractĂ©ristiques prĂ©cises du milieu sauvage dont il dĂ©pend demeurent toutefois inconnues. Il est très rarement observĂ© d'autant plus qu'il a Ă©tĂ© pourchassĂ©. Par exemple, il ne s'est rĂ©installĂ© ni au QuĂ©bec ni au Labrador malgrĂ© l'abondance de caribous et l'habitat tranquille. Étant donnĂ© le manque de connaissances qu'on a sur lui, il est difficile de protĂ©ger et de gĂ©rer son habitat. Le mâle couvre un territoire de plus de 1 000 km2 alors que la femelle couvre un territoire de moins de 100 km2. Sa population a fortement rĂ©duit en Finlande : Ă©valuĂ©s Ă  moins de 300 spĂ©cimens au nord de la Finlande.

Il s'abrite habituellement sous une souche, dans un buisson ou même à l'intérieur d'une carcasse d'animal. Parfois, il se couche en rond dans la neige sous un arbre. Les grottes font aussi de parfaits abris pour les gloutons. Considérant qu'il chasse jour et nuit, et à longueur d'hiver, il ne s'abrite donc que rarement, même par les temps les plus rudes.

Classification

Liste des sous-espèces

Selon Mammal Species of the World (version 3, 2005) (31 mai 2013)[19] et Catalogue of Life (31 mai 2013)[20] :

  • Gulo gulo albus (Kerr, 1792)
  • Gulo gulo gulo (Linnaeus, 1758) - glouton[8] ou Glouton d'Europe[6]
  • Gulo gulo katschemakensis Matschie, 1918
  • Gulo gulo luscus (Linnaeus, 1758) - carcajou[8] ou Glouton d'AmĂ©rique du Nord[6]
  • Gulo gulo luteus Elliot, 1904
  • Gulo gulo vancouverensis Goldman, 1935

Cohabitation avec l'ĂŞtre humain

Menaces et conservation

Glouton d'Amérique du Nord.

Une partie importante de l'habitat naturel du carcajou a été détruite ou fragmentée en raison du développement urbain, des exploitations agricoles et des activités forestières. La baisse des populations de gloutons est aussi attribuable à la chasse, au piégeage et à l'utilisation d'appâts empoisonnés destinés aux loups. La rareté du glouton pourrait aussi être expliquée par la baisse des populations de loup gris. Les carcasses d'animaux tués par ces derniers sont en effet pour lui une source importante de nourriture. Le carcajou est en danger de disparition dans tout l'est du Canada. Une récente étude montre que le changement climatique pourrait mettre en danger le carcajou dans la partie continentale des États-Unis du fait d'une augmentation considérable des températures estivales et de la raréfaction de la neige[21].

Captivité

L'animal est rare en captivité : il peut être observé dans quatre parcs animaliers ou zoos en France : à la Réserve zoologique de Calviac, au Parc animalier d'Auvergne, au Parc zoologique de Paris (ex Zoo de Vincennes), en Moselle au parc animalier de Sainte-Croix depuis 2016[22] et au Zoo d'Amnéville où Vasil le glouton cohabite avec Oural l'ours brun. En Belgique, la réserve du domaine des grottes de Han héberge des gloutons et au Canada, plus spécifiquement au Québec, le visiteur peut le voir au Zoo sauvage de Saint-Félicien, dans la région du lac Saint-Jean. En Suède, on en trouve dans au moins deux zoos : celui qui se trouve à Skansen [23], à Stockholm, et au Nordens Ark[24], sur la côte ouest.

Dans la culture populaire

  • Le glouton a Ă©tĂ© accusĂ© des crimes de la « bĂŞte du GĂ©vaudan » (Ă©galement soupçonnĂ©e d'ĂŞtre un Lycaon de grande taille[25]). Il s'agit de l'une des nombreuses hypothèses concernant la nature de cette crĂ©ature, car il correspond au profil fait de la bĂŞte par les victimes : raie noire sur le dos ornĂ© d'Ă©pines et flancs rouges (fauve).
  • L'organisation de rĂ©sistance Ă  l'occupation soviĂ©tique des États-Unis porte le nom anglais de cet animal (Wolverine) dans le film L'Aube rouge.
  • L’unitĂ© de lutte contre les motards criminalisĂ©s mise sur pied par la SĂ»retĂ© du QuĂ©bec en 1996 Ă©tait nommĂ©e escouade Carcajou.
  • Un aspirateur urbain prĂ©sent dans de nombreuses villes du monde a Ă©tĂ© baptisĂ© "Glutton" en rĂ©fĂ©rence Ă  la voracitĂ© de cet animal.

Bandes dessinées

  • Un super-hĂ©ros canadien porte le nom anglais de cet animal (Wolverine). Dans les premières traductions françaises des comics oĂą il apparaĂ®t, son nom est bien traduit en « Le Glouton ». Cependant, lorsqu'il devint un personnage important de la sĂ©rie X-Men, cette traduction fut remplacĂ©e par « Serval » par la suite, pour finalement devenir « Wolverine ».
  • Plusieurs tomes de la sĂ©rie Yakari mettent en scène un glouton.
  • Plusieurs tomes de la sĂ©rie Buddy Longway mettent en scène un carcajou.
  • Glouton, la terreur des glaces est une bande dessinĂ©e humoristique de B-gnet.

Littérature

  • Un livre de Bernard Clavel qui parle de la vie des Indiens au Canada se nomme Le Carcajou.
  • Un roman d'Yves ThĂ©riault qui conte l'histoire d'une vengeance se nomme Les Temps du carcajou
  • Dans le roman policier Le Grand Nulle part de James Ellroy, le tueur mord le corps de ses victimes avec un râtelier ornĂ© de dents de glouton.
  • Dans la sĂ©rie de romans AngĂ©lique marquise des anges d'Anne et Serge Golon, alors que l'hĂ©roĂŻne s'installe au nord de l'AmĂ©rique, son fils Cantor apprivoise un glouton qu'il nomme Wolverines.
  • Dans la sĂ©rie Instinct (tome 1 et 2) de Vincent Villeminot, l'un des personnages principaux (Ronald McIntyre) peut se mĂ©tamorphoser en carcajou.
  • Un livre de FĂ©lix Leclerc publiĂ© en 1972 s'appelle Carcajou ou le Diable des bois.
  • Dans Le Chant du grand Nord de Nicolas Vanier, le carcajou est Ă©voquĂ© Ă  de nombreuses reprises.
  • Un poème du recueil Les animaux de personne de Jacques Roubaud s’intitule Le Glouton borĂ©al.
  • Dans le roman de Anne B. Ragde Un jour glacĂ© en enfer, dans le Grand Nord norvĂ©gien, l'hĂ©roĂŻne affronte deux gloutons venus attaquer ses chiens de traineau parquĂ©s.
  • Arne Dahl dans le roman policier suĂ©dois Europa Blues, publiĂ© en traduction française aux Ă©ditions du Seuil, fait dĂ©vorer un homme par des gloutons du zoo de Skansen Ă  Stockholm.

Télévision et cinéma

  • Un carcajou apparaĂ®t en tant que figure tutĂ©laire dans les rĂŞves et cauchemars de la jeune Siri dans la sĂ©rie d'animation française Lastman, rĂ©alisĂ©e par JĂ©rĂ©mie PĂ©rin.
  • Dans la sĂ©rie A la CroisĂ©e des Mondes, le daemon de Lyra, Pan, prend parfois la forme d'un glouton pour la dĂ©fendre ou attaquer ses ennemis.
  • Dans la sĂ©rie Les Simpson saison 33 : Ă©pisode 11, Homer tue un glouton Ă  coup de massue pour sauver Marge.

Voir aussi

Genre Gulo

Espèce Gulo gulo

Liens externes

Notes et références

  1. Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0 https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 31 mai 2013
  2. la fourchette de poids d'un carcajou mâle adulte et celle d'une femelle adulte
  3. Nom vernaculaire français d'après Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at
  4. Meyer C., ed. sc., 2009, Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne. Montpellier, France, Cirad.
  5. Nom vernaculaire en français d’après Termium plus, la banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada
  6. (en) Murray Wrobel, Elsevier's dictionary of mammals: in Latin, English, German, French and Italian, Elsevier, , 857 p. (ISBN 0444518770), 9780444518774. Rechercher dans le document numérisé
  7. Chateaubriand emploie ce terme dans le paragraphe final de son roman exotique Atala.
  8. Voir la définition donnée par le Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française.
  9. Meyer C., ed. sc., 2015, Dictionnaire des Sciences Animales. [lire en ligne]. Montpellier, France, Cirad.
  10. Par exemple Frédéric Cuvier, Dictionnaire des sciences naturelles, t. 7, Strasbourg, F.G. Levrault, (OCLC 748453293, lire en ligne) parle d'un « glouton qu'Edwards a représenté, pl. 103, sous la dénomination de Wolverene » ou Jules Verne, Le Pays des fourrures, Paris, Hetzel, coll. « Voyages extraordinaires », (lire sur Wikisource) : « En effet, wolverène était la véritable dénomination zoologique de ce singulier quadrupède... » et « Les blaireaux, les lynx, les hermines, les wolvérènes, les martres, les visons, fréquentaient ces parages... ».
  11. page 197 dans Monique Catherine Cormier & al. Les dictionnaires Le Robert : genèse et évolution, éditions PUM, 2003. (ISBN 2760619427), 9782760619425.
  12. Glosbe - Dictionnaire micmaque-français.
  13. Les plus gros gloutons font jusqu'Ă  30 kilogrammes
  14. Mon ami casey : le roi glouton, Nat Geo WILD HD .
  15. (nb) « Jerven Frøya – smart, sterk og uredd », (consulté le )
  16. François-René Chateaubriand (vicomte de) (1829), Voyages en Amérique, en Italie, etc Lefèvre, 464 pages (p 105-106)
  17. Reportage sur le glouton
  18. (en) « « Mammals », site officiel du parc de Yosemite », sur National Park Service, (consulté le )
  19. Mammal Species of the World (version 3, 2005), consulté le 31 mai 2013
  20. Catalogue of Life Checklist, consulté le 31 mai 2013
  21. « Wolverine to Vanish From U.S. Due to Warming? » sur nationalgeographic.com
  22. « Nouveautés 2016 - Parc Animalier de Sainte-Croix – 57 810 Rhodes », sur parcsaintecroix.com (consulté le )
  23. « Historier får liv / Skansen.se », sur Skansen.se (consulté le ).
  24. « Wolverine », sur nordensark.se (consulté le ).
  25. « La Bête du Gévaudan - Michel Louis - Babelio », sur www.babelio.com (consulté le )
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