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Gouy-Saint-André

Gouy-Saint-André est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Gouy-Saint-André
Gouy-Saint-André
La mairie.
Blason de Gouy-Saint-André
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Grégory Leroy
2020-2026
Code postal 62870
Code commune 62382
Démographie
Gentilé Gouysons
Population
municipale
652 hab. (2020 en augmentation de 2,03 % par rapport à 2014)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 28″ nord, 1° 53′ 57″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 117 m
Superficie 13,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gouy-Saint-André
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Gouy-Saint-André
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Gouy-Saint-André
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Gouy-Saint-André
Liens
Site web gouy-st-andre.com

    La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Paysages

    La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [1] :

    • le « paysage montreuillois », qui concerne 98 communes, et qui se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [2] ;
    • le « paysage du val d’Authie », qui concerne 83 communes, et qui se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[3].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Gouy-Saint-André est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [5] - [6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,4 %), prairies (17,3 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Au XIIe siècle, apparaît la dénomination Goy. Le siècle suivant, Goi est relevé. Dès 1476, la forme Gouy lès Saint-Rémi est notée, suivie de Gouy lès Saint Andrieu. Enfin, en 1789, la forme définitive de Gouy-Saint-André s'impose[12] - [13] - [14].

    L'hagiotoponyme, Saint-André, fait référence au hameau Saint-André-au-Bois, emplacement d’une ancienne abbaye bénédictine d’hommes fondée en 1135 dans la commune de Maresquel, transférée à Gouy-Saint-André en 1155 et supprimée en 1790[13].

    Histoire

    Hommage de la Seconde Guerre mondiale.

    On a trouvé, à Saint-Rémy, une hachette druidique, ou coin gaulois, de celles dites Staimbort[12].

    Dès le XIe siècle, le village verse sa dîme aux religieux de l'abbaye de Saint-Josse-sur-Mer. Ils transmettront cette ressource aux moines de Saint-André. Leurs bienfaiteurs, notamment Hugues, époux de Sara, et Eustache, époux d'Avechin, chevaliers, contribuèrent à la fondation de la chapelle de Sainte-Madelaine dans l'église[12].

    Comme seigneurs des lieux, on trouve Vaultier de Camberon, chevalier en 1255, Wistace et Jehan, ses fils, aussi chevaliers (1304), Colais dit Jeton, fils de Guillaume (1364), tous qualifiés de seigneurs de Gouy dans les archives de l'abbaye. Un siècle et demi passe et arrive dame Claude de Gouy, épouse de Jehan de Soyecourt. Après elle, le domaine de Gouy appartient aux familles de Licques, de La Houssoye, Carpentier, Delhomel et De Fresnoye qui le tenaient en fief noble de la châtellenie de Beaurain[12].

    Le village sera durement éprouvé lors des affrontements entre les soldats des Pays-Bas espagnols et ceux de la France, dès 1595[12].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin. Cette communauté de communes regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[14].

    Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[15].

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1814 Liévin Ignace Danvin
    1814 1830 Henri Joseph Descelers (Adjoint)
    1830 1845 Liévin Ignace Danvin
    1845 1852 Pierre Thomas Descelers
    1852 1865 Ernest Penet
    1865 1870 Pierre Descelers
    1870 1875 Gustave Canu
    1875 1884 Alphonse Bridenne
    1884 1908 Gustave Sagette
    1908 1919 Arthur Bouly
    1919 1925 Émile Mariette
    1925 1949 Marcel Harduin
    1945 1971 Pierre Leroy
    1971 2001 René Mariette Agriculteur
    mars 2001 2014[16] Yves Beuvain Ancien chargé de mission au conseil général
    2014 2020 Françoise Thélu DVD Retraitée de pharmacie[17] - [18] - [19]
    23 mai 2020 En cours
    (au 13 mars 2022)
    Grégory Leroy Technicien[20] - [21]

    Équipements et services publics

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Gouysons[22].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2020, la commune comptait 652 habitants[Note 4], en augmentation de 2,03 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7838218659641 0591 025976975971
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    891907903932907886863848845
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    825804742710696667674607599
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    624604627633598611613602631
    2014 2019 2020 - - - - - -
    639652652------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 327 hommes pour 321 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,3
    4,3
    75-89 ans
    7,4
    17,9
    60-74 ans
    19,5
    21,3
    45-59 ans
    19,8
    17,0
    30-44 ans
    20,7
    17,0
    15-29 ans
    12,7
    22,5
    0-14 ans
    19,5
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Manifestations culturelles et festivités

    La salle « Le chant des oiseaux » permet d'accueillir jusqu'à 230 personnes[12].

    Économie

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Culture locale et patrimoine

    Monument historique

    Des Prémontrés de Dommartin se fixèrent sur le plateau, entre la Canche et l'Authie en 1154 et fondèrent l'abbaye de Saint-André-au-Bois. L'église fut commencée en 1156 et consacrée en 1220. Elle était entourée de nombreux bâtiments dont une grande tour, une grange et deux cloîtres. Les hostilités des XVIe et XVIIe siècles ont causé beaucoup de dégâts.

    Dans les premières années du XVIIIe siècle, le quartier abbatial fut reconstruit puis le reste de l'abbaye à partir de 1751 sous l'impulsion de Dom Ignace Crépin et sous les directives de l'architecte arrageois Merville pour l'église.

    Après la Révolution, il ne resta que le quartier abbatial et les dépendances agricoles. Le marquis de Riencourt le transforma en château, mais il fut incendié accidentellement par les troupes britanniques en 1918.

    Les bâtiments agricoles furent construits de 1752 à 1755 par un architecte hesdinois - Claude Brunion - et furent agrandis jusqu'en 1784. Les bâtiments actuels constituent un ensemble architectural exceptionnel avec des façades de briques et de pierres.

    Le portail principal supporte un fronton triangulaire aux armes de l'abbaye et de l'évêque d'Amiens, il constitue, avec les bâtiments bas l'encadrant, un modèle architectural de cette époque.

    Autres monuments

    • L'église Saint-Martin

    La partie la plus ancienne, les solins de la nef, est en cailloux. Le chœur est daté du XVIe siècle, tandis que la tour a été édifiée au XVIIe siècle. La craie employée pour la construction provient des carrières de Saint-Rémy-au-Bois. Des damiers de grès et de silex agrémentent la partie basse du chœur. Pendant la Terreur, en 1793, une inscription est gravée sur la fronton du porche construit en 1775 : « LE PEUPLE FRANCAIS RECONNAIT L'ETRE SUPREME ET L'IMMORTALITE ». À l'extérieur, sur le mur nord, se trouve un christ en chêne, sculpté par Pfaffenhofen, auteur des boiseries de Valloires. Il fut sauvé pendant la Révolution par un sieur Grevet qui fut enterré dessous[29].

    • Le monument aux morts. Il rappelle la mémoire des 40 personnes qui ont perdu la vie au cours de la Première Guerre mondiale et celle des 12 victimes du second conflit, de 1939 à 1945[12] - [30].
    • La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes qui fait face à un pigeonnier.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason de Gouy-Saint-André Blason
    De sinople au sautoir d'or cantonné en chef d'une étoile, à dextre d'un cerf contourné mouvant du flanc, à senestre d'un sanglier mouvant du flanc et en pointe d'un lévrier courant, le tout d'or[31].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Lire l'histoire sur le site communal.
    13. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 172.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. « Liste des communes composant le canton d'Auxi-le-Château (6206) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. « Le bilan du maire de Gouy-Saint-André, Yves Beuvain : « Je ne me représenterai pas pour un troisième mandat » : Dans notre série des bilans des maires, voici celui d'Yves Beuvain, à la tête de la commune de Gouy-Saint-André. Il est élu, en tant que premier magistrat, depuis 2001 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. « Gouy-Saint-André : Françoise Thélu succède à Yves Beuvain, devenu conseiller : Avec 10 voix sur 15, Françoise Thélu a été proclamée maire samedi. « Ça me fait un pincement au cœur. J’aime me donner pour les autres », souligne Françoise Thélu qui succède à Yves Beuvain. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. « Les projets de la maire de Gouy-Saint-André : la toiture de l’église, la défense incendie et l’assainissement : Élue depuis 1989 à Gouy-Saint-André, Françoise Thélu a endossé l’écharpe de maire en mars. Cette retraitée pharmacien de 65 ans aime rendre service aux habitants dans la mesure du possible et être à leur écoute. « C’est dans ma nature », précise-t-elle », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    22. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gouy-Saint-André (62382) », (consulté le ).
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    28. Notice no PA00108294, base Mérimée, ministère français de la Culture
    29. Lire le travail de Roger Rodière en ligne.
    30. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    31. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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