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Ghisonaccia

Ghisonaccia [ÉĄizonatʃ(a)] est une commune française situĂ©e dans la circonscription dĂ©partementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivitĂ© de Corse. Elle appartient Ă  l'ancienne piĂšve d'AlĂ©ria.

Ghisonaccia
Ghisonaccia
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes de Fium'orbu Castellu
(siĂšge)
Maire
Mandat
Francis Giudici
2020-2026
Code postal 20240
Code commune 2B123
DĂ©mographie
Gentilé Ghisonacciais
Population
municipale
4 215 hab. (2020 en augmentation de 4,1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 62 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 01â€Č 03″ nord, 9° 24â€Č 20″ est
Altitude 16 m
Min. 0 m
Max. 329 m
Superficie 68,25 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Ghisonaccia
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Ghisonaccia
Localisation
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Ghisonaccia
Liens
Site web ghisonaccia.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Ghisonaccia est situĂ©e au sud de la plaine orientale corse, dans le bassin infĂ©rieur du fleuve Fiumorbo, qui borde la commune sur environ quinze kilomĂštres. Si on excepte une petite zone Ă©levĂ©e au nord-ouest, la quasi-totalitĂ© du territoire de la commune est Ă  moins de 100 mĂštres d'altitude, ce qui est exceptionnel en Corse. Le relief, lĂ©gĂšrement modelĂ©, s'incline du nord-ouest vers le sud-est.

    Le village, qui regroupe la majorité de la population de la commune, est situé au sud de la commune, à la jonction de la grand-route Bastia - Bonifacio et de la route départementale 344 Ghisonaccia - Ghisoni. C'est ici que se trouvent la quasi-totalité des commerces et services : deux supermarchés (trois en été), la Gendarmerie, les Pompiers, un centre administratif départemental, plusieurs médecins, deux pharmacies, une dizaine de bars, hÎtels et restaurants, et une trentaine de commerces.

    Au nord-est de la commune se trouve l'Ă©tang d'Urbino, une lagune de 750 hectares, avec une Ăźle et une presqu'Ăźle trĂšs avancĂ©e, la plus importante de la plaine orientale et la seconde de Corse aprĂšs l'Ă©tang de Biguglia ; le plan d'eau communique avec la mer par une passe de 10 mĂštres de large, entretenue rĂ©guliĂšrement Ă  cause de l'ensablement, oĂč on pratique la conchyliculture et l'ostrĂ©iculture. Au sud de l'Ă©tang s'Ă©tend le domaine de Pinia, une zone marĂ©cageuse, dont la frange littorale est boisĂ©e, classĂ©e rĂ©serve naturelle, et gĂ©rĂ©e par le conservatoire du littoral. Plus au sud, entre la plage de Vignale et l'embouchure du Fiumorbo, le bord de mer est occupĂ© par quelques petites installations touristiques.

    Le nord-ouest de la commune est agricole, partiellement occupé par des vignobles. Deux hameaux jalonnent la route de Ghisoni :

    • Ghisonaccia-gare (a Gara en corse) : Ă  cinq kilomĂštres du chef-lieu, lĂ  oĂč fut installĂ© en 1880 le terminus provisoire du chemin de fer de la cĂŽte orientale, quelques maisons peinent Ă  avoir une vie de village autonome : un bar, un jeu de boules, une fromagerie industrielle, un groupement de taxis (A Nostra Gara).

    Tous les ans, pour redonner vie à ce lieu de rencontres et de commerce, le dernier week-end de novembre se déroulent les rencontres du savoir-faire insulaire qui réunissent de nombreux artisans: I Scontri di u SapÚ fa.

    • Saint-Antoine (Sant' Antone ou San Anto en corse), quatre kilomĂštres plus loin, au dĂ©bouchĂ© des gorges du Fiumorbo ; on y trouve une importante cave coopĂ©rative vinicole.

    Communes limitrophes

    • AlĂ©ria, sur km au nord-est, rive nord de l'Ă©tang d'Urbino, ruisseau de Frassone et punta di Paldomo
    • Aghione, sur km au nord, de Paldomo Ă  Aristone et d'Aristone Ă  Vergajola
    • Pietroso, sur km au nord, de Vergajola Ă  la pointe de Corbara
    • Ghisoni, sur 1,2 km au nord-ouest, de Corbara au fleuve Fiumorbo
    • Lugo-di-Nazza, sur km Ă  l'ouest, le long du Fiumorbo, jusqu'au ruisseau de Saltarucco
    • Poggio-di-Nazza, sur km Ă  l'ouest, le long du Fiumorbo, jusqu'au ruisseau de Varagno
    • Prunelli-di-Fiumorbo, sur 8,5 km au sud, le long du Fiumorbo, jusqu'Ă  son embouchure.

    Urbanisme

    Typologie

    Ghisonaccia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Ghisonaccia, une unitĂ© urbaine monocommunale[4] de 4 215 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (70,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,5 %), cultures permanentes (20,8 %), forĂȘts (11,2 %), eaux maritimes (9,9 %), prairies (8,2 %), terres arables (7,2 %), zones urbanisĂ©es (3,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,6 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,4 %), zones humides intĂ©rieures (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,8 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Voies de communication et transports

    Ghisonaccia est situé à l'intersection de la grande route de la cÎte orientale (Bastia - Bonifacio) et d'une pénétrante vers Ghisoni (D 343). Aucune autre route importante ne dessert la commune.

    Aucun pont ne permet de traverser le Fiumorbo entre la sortie de l'Inzecca (Pinzalone) et le pont de la RT 10 (ex-RN 198), sur 15 kilomĂštres. Pour aller Ă  Poggio-di-Nazza (Ă  2,5 km Ă  vol d'oiseau), il faut faire un dĂ©tour par Migliacciaro et Abbazia, soit un trajet de 17 kilomĂštres.

    Pour aller Ă  Corte, il faut passer par AlĂ©ria. Pour aller Ă  Ajaccio, il faut passer par les gorges du Fiumorbo, Ghisoni et le col de Sorba (altitude 1 311 mĂštres).

    Sur la cĂŽte elle-mĂȘme, la circulation sur la RT 10 (ex-RN 198) est dense, et on joint difficilement Bastia ou Bonifacio (85 km) en moins de 1 heure 30, surtout en Ă©tĂ© ou le dimanche. La route est officiellement dangereuse : les accidents mortels sont nombreux, notamment dans le secteur de Moriani-plage. Les inondations ne sont pas rares : en , la route a Ă©tĂ© coupĂ©e entre AlĂ©ria et Solenzara pendant prĂšs de 20 heures Ă  la suite d'un gros orage.

    Histoire

    La commune de Ghisonaccia a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1845 par dĂ©membrement de la commune de Lugo-di-Nazza. Autrefois, Ghisonaccia n'Ă©tait qu'un simple lieu de transhumance pour les bergers. Dans les annĂ©es 1960, le boom de l'agriculture permet Ă  la commune de devenir une petite citĂ© prospĂšre. À partir des annĂ©es 1980, plusieurs agriculteurs lancent le pari fou de crĂ©er une activitĂ© touristique Ă  la belle saison avec la construction de diffĂ©rentes structures comme le Village de Vacances "Marina d'Oru" au bord de la plage ou encore de nombreux campings amĂ©nagĂ©s le long du bord de mer.

    Au fil des années, l'afflux de milliers de touristes a permis à la commune de Ghisonaccia un essor important pour devenir le village que nous connaissons aujourd'hui.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1848 1860 Jean- Joseph Romani ?
    février 1861 Silvestre Risterucci ?
    mai 1863 Jules- Toussaint Micheli ?
    février 1867 avril 1875 Jacques- Baptiste Giannetti ?
    1875 Antoine- Paul Lusinchi ?
    février 1877 1883 Louis Romani ? Facteur-boitier

    Facteur-receveur des postes

    février 1885 Antoine- Paul Lusinchi ?
    avril 1894 mars 1899 Joseph Romani ?
    décembre 1902 Jules-François Micaëlli ? Maire de Ghisoni - 50 ans
    ? septembre 1941 Pierre-François Paolini Parti Pietri 45 ans Révoqué par le Gouvernement de Vichy[14]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1962 juin 1995 Dominique Gambini DVD puis RPR PrĂ©sident de la Chambre d'agriculture de Haute Corse Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Ghisoni (1976 → 1994)
    juin 1995 2003 Pierre-Jean Paolini UDF puis DVD Agriculteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Ghisoni (1994 → 2003)
    2003 mars 2008 Marie-Ange Paolini DVD
    mars 2008 en cours Francis Giudici DVD
    (Giacobbiste)
    Exploitant agricole
    Conseiller territorial de l'AssemblĂ©e de Corse (2018 → )
    Conseiller dĂ©partemental du canton de Ghisonaccia (2015 → )
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Ghisoni (2004 → 2015)
    Maire de Poggio-di-Nazza (1995 → 2008)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[16].

    En 2020, la commune comptait 4 215 habitants[Note 2], en augmentation de 4,1 % par rapport Ă  2014 (Haute-Corse : +5,98 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    608633713889680777787818776
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    8641 0341 1571 1241 0881 0461 1771 2321 191
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005
    9831 0151 5402 4733 2403 2973 2703 1683 279
    2006 2010 2015 2020 - - - - -
    3 3313 8234 1284 215-----
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Michel de Ghisonaccia, moderne, est remarquable par sa dĂ©coration intĂ©rieure d'inspiration byzantine (fresques de N. Giannakakis, 1980-1983), notamment sur toute la voĂ»te de la nef.
    • La plage de Vignale, immense plage de sable fin auprĂšs de laquelle se sont progressivement installĂ©es des « marinas », qui abritent en saison une population Ă©quivalente Ă  celle du reste de la commune.
    • Le domaine de Pinia, vaste Ă©tendue partiellement marĂ©cageuse situĂ©e entre le bourg de Ghisonaccia et la mer au nord de la route de la mer, est une zone de nature protĂ©gĂ©e, propriĂ©tĂ© du conservatoire du littoral. On y accĂšde, Ă  pied ou en vĂ©hicule tout-terrain, depuis Vignale.
    • L'Ă©tang d'Urbino, le plus grand de la plaine orientale et le second de l'Ăźle par son Ă©tendue, n'est malheureusement accessible que par une route en cul de sac aboutissant Ă  un restaurant et une boutique de souvenirs. Les amateurs de nature peuvent parvenir au « grau » de communication entre l'Ă©tang et la mer en marchant le long de la plage de sable qui borde le domaine de Pinia sur environ cinq kilomĂštres depuis Vignale.
    • L'Ă©glise de Ghisonaccia.
      L'Ă©glise de Ghisonaccia.
    • La plage de Vignale.
      La plage de Vignale.
    • La plage bordant le domaine de Pinia, au nord de Vignale.
      La plage bordant le domaine de Pinia, au nord de Vignale.
    • Le grau de l'Ă©tang d'Urbino, vue prise depuis la plage.
      Le grau de l'Ă©tang d'Urbino, vue prise depuis la plage.

    Les deux arbres remarquables de la commune :

    • Le pistachier lentisque, Ă©lu « arbre de l'annĂ©e 2011 Â» par un jury prĂ©sidĂ© par l’écrivain Didier van Cauwelaert, auteur du Journal intime d’un arbre. Environ 1 000 ans. Certaines de ses branches atteignent 1,50 m de circonfĂ©rence, presque autant que le tronc (1,90 m), et son houppier couvre une surface de prĂšs de 80 m2.
    • L'« Arburacellu » (littĂ©ralement « arbre-oiseau Â»), un chĂȘne-liĂšge d'un Ăąge modeste (200 ans), sculptĂ© par la nature : les excroissances de son tronc lui donnent selon l'angle de vue le profil d'un gigantesque oiseau. Il a Ă©tĂ© laurĂ©at du concours de l'« arbre de l’annĂ©e 2018 » en France[19] (3 053 votes sur 12 000 votes), et 4e finaliste du concours « Arbre europĂ©en de l'annĂ©e 2019 »[20] ( 29 140 voix sur 311 772 ). Un arbre

    L'aĂ©rodrome de Ghisonaccia Alzitone, peu frĂ©quentĂ©, est le siĂšge d'une fĂȘte aĂ©rienne annuelle.

    Le petit oratoire champĂȘtre dĂ©diĂ© Ă  Saint Antoine, proche du hameau du mĂȘme nom sur la route de Ghisoni, oĂč se tient une cĂ©rĂ©monie chaque annĂ©e le .

    Personnalités liées à la commune

    • Le footballeur international SĂ©bastien Squillaci est originaire de Ghisonaccia.
    • Toussaint Griffi y est nĂ© le (hĂ©ros de la RĂ©sistance en 1942-43, de la mission secrĂšte Pearl Harbour comme son cousin germain Pierre Griffi).
    • Le comĂ©dien et musicien Cartman (SĂ©bastien Patoche) de son vrai nom Nicolas-Bonaventure Ciattoni y est originaire.
    • Le haut fonctionnaire Jean Paolini y est nĂ© en 1921 et mort en 2015.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Ghisonaccia », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    10. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, .
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. « Concours de L’Arbre de l’AnnĂ©e 2018 », sur www.arbredelannee.com (consultĂ© le ).
    20. « European Tree of the Year », sur www.treeoftheyear.org (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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