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Florida Cracker Horse

Le Florida Cracker Horse est une race chevaline originaire de Floride, aux États-Unis. Il est physiquement et gĂ©nĂ©tiquement trĂšs proche des races ibĂ©riques, et notamment du cheval colonial espagnol. C'est un cheval d'allures, renommĂ© pour son agilitĂ© et sa vitesse. Les Espagnols l'amĂšnent avec eux dans la rĂ©gion vers 1520 ; Ă©tablissant progressivement une colonie, ils emploient leurs chevaux pour l'Ă©quitation de travail avec le bĂ©tail.

Florida Cracker Horse
Dessin de Frederic Remington montrant un Florida Cracker, 1895.
Dessin de Frederic Remington montrant un Florida Cracker, 1895.
RĂ©gion d’origine
RĂ©gion Floride, Drapeau des États-Unis États-Unis
Caractéristiques
Morphologie Cheval de selle
Taille 1,37 Ă  1,52 m
Poids 340 Ă  450 kg
Robe Généralement bai, noir ou gris
TĂȘte Rectiligne ou lĂ©gĂšrement concave
Autre
Utilisation Équitation western, randonnĂ©e

Ces chevaux sont dĂ©veloppĂ©s jusqu'Ă  prendre le type qui est le leur de nos jours et continuent, jusqu'en 1930, Ă  ĂȘtre utilisĂ©s par les cow-boys de Floride, connus sous le nom de « crackers Â». Ils commencent dĂšs lors Ă  ĂȘtre remplacĂ©s par des Quarter Horse amĂ©ricains, nĂ©cessaires au travail avec du gros bĂ©tail, importĂ© en Floride depuis le Dust Bowl. Le nombre d'animaux diminue fortement. GrĂące aux efforts de plusieurs familles d'Ă©leveurs et du gouvernement de Floride, la race est sauvĂ©e de l'extinction. Les effectifs restant sont trĂšs faibles et l'American Livestock Breeds Conservancy et l'Equus Survival Trust considĂšrent la race comme en danger critique.

Terminologie

Le Florida Cracker est Ă©galement connu sous le nom de « Seminole (pony) Â»[1] - [2], en raison de sa longue association historique avec cette tribu amĂ©rindienne[3]. D'autres noms possibles sont « poney de prairie Â», « cheval de Floride Â», « poney Ă  bĂ©tail de Floride Â» (« Florida Cow Pony Â») et Grass Gut[4] - [5].

Histoire

Le Florida Cracker Horse possĂšde une longue histoire, mĂȘlĂ©e Ă  celle du bĂ©tail et aux introductions de chevaux espagnols en Floride[6]. Il forme l'une des plus anciennes races (sinon la plus ancienne) de chevaux des États-Unis[7]. Les ancĂȘtres de la race arrivent au sud du continent nord-amĂ©ricain en 1521, amenĂ©s par Ponce de Leon depuis son second voyage dans la rĂ©gion[8]. Ils sont utilisĂ©s par les officiers, les scouts et les Ă©leveurs de bĂ©tail. Les expĂ©ditions ultĂ©rieures permettent d'amener davantage de chevaux et de bĂ©tail dans la Floride espagnole. À la fin du XVIe siĂšcle, ces chevaux sont largement utilisĂ©s pour le travail local avec le bĂ©tail. Un siĂšcle plus tard, l'industrie est florissante, surtout dans le nord de la Floride et le sud de la GĂ©orgie. Les chevaux emmenĂ©s en AmĂ©rique du Nord par les Espagnols et qui par la suite y ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s incluent des Barbes, Garranos, Genet d'Espagne, Sorraias et Andalous, ainsi que d'autres races ibĂ©riques. Dans l'ensemble, ces chevaux sont relativement petits et ont des traits physiques distinctifs propres aux races espagnoles, tels leur dos court, leurs Ă©paules tombantes, la queue attachĂ©e bas et le front large[4].

Les premiers conducteurs de bĂ©tail, surnommĂ© Florida crackers (« crackers de Floride Â») et Georgia crackers (en) (« crackers de GĂ©orgie Â»), emploient ces chevaux espagnols pour l'Ă©quitation de travail avec les bovins locaux (Florida Cracker Cattle)[4]. Ces cow-boys doivent leur surnom au son distinctif produit par leurs fouets dans l'air, ce nom s'est propagĂ© Ă  la fois aux chevaux qu'ils montent et au bĂ©tail qu'ils mĂšnent[9].

GrĂące Ă  son utilisation principale en tant que cheval de travail, le type dĂ©veloppĂ© en Floride est connu pour sa vitesse, son endurance et son agilitĂ©. Depuis le milieu du XVIe siĂšcle jusqu'aux annĂ©es 1930, ce cheval est prĂ©dominant dans le sud-est des États-Unis[4]. Pendant la Guerre de SĂ©cession (1861-1865), les deux belligĂ©rants achĂštent de grandes quantitĂ©s de bĂ©tail de Floride, les chevaux espagnols Ă©levĂ©s sur place sont trĂšs recherchĂ©s comme chevaux de selle[10]. Pendant ce temps, il y a introduction continue de nouveaux chevaux espagnols depuis Cuba, ces chevaux Ă©tant vendus et Ă©changĂ©s dans les deux sens[11].

XXe et XXIe siĂšcle

Pendant les Dirty Thirties dans le Dust Bowl (1930-1940), le gros bĂ©tail de l'Ouest est dĂ©placĂ© en Floride, apportant avec lui un parasite causant des myiases, la Lucilie bouchĂšre (Cochliomyia hominivorax). Les bovins porteurs de ce parasite doivent ĂȘtre traitĂ©s frĂ©quemment. Les cow-boys constatent que les chevaux de Floride, Ă©levĂ©s pour travailler avec du bĂ©tail de plus petite taille, ne sont pas en mesure de contenir les bovins imposants venus de l'Ouest. Ils remplacent leurs petits chevaux par des Quarter Horses. Cela conduit la race de Floride au bord de l'extinction[4] - [12].

La survie de la race est assurĂ©e au cours du XXe siĂšcle par un petit nombre de familles, qui continuent Ă  Ă©lever le Florida Cracker Horse et gardent des lignĂ©es distinctes[11]. John Law Ayers, l'un de ces Ă©leveurs, donne en 1984 tout son troupeau de purs Florida Cracker Horses Ă  l'État de Floride. L'État crĂ©e et gĂšre trois petits troupeaux Ă  Tallahassee, dans la forĂȘt d'État de Withlacoochee (en) et dans la Paynes Prairie. En 1989, cependant, ces trois troupeaux constituent, avec une centaine d'autres chevaux appartenant Ă  des propriĂ©taires privĂ©s, tout ce qui reste de la race. Le 17 aoĂ»t[7] de la mĂȘme annĂ©e, la Florida Cracker Horse Association est fondĂ©e, et en 1991, un stud-book est Ă©tabli. AprĂšs la crĂ©ation de ce registre, 75 chevaux sont dĂ©signĂ©s comme fondateurs et 14 de leurs descendants sont immĂ©diatement enregistrĂ©s. Ces chevaux proviennent principalement de quatre lignĂ©es de Florida Cracker Horse de Pur-sang et ont Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s comme pure race par des experts, les chevaux croisĂ©s s'Ă©tant vu refuser l'entrĂ©e dans le registre[5].

À compter du 1er juillet 2008, la chambre des reprĂ©sentants de la Floride dĂ©clare le Florida Cracker Horse cheval officiel de l'État de la Floride[13].

Description

Photo d'un Florida Cracker Horse broutant.
Cheval Florida Cracker dans la Paynes Prairie.

Le Florida Cracker Horse moderne est rattachĂ© au groupe du « poney indien Â», et considĂ©rĂ© comme une variĂ©tĂ© de Mustang espagnol[1]. Il prĂ©sente une convergence gĂ©nĂ©tique avec les races de chevaux d'origine ibĂ©rique importĂ©es dans les AmĂ©riques[14].

Il conserve la taille et la morphologie de son ancĂȘtre espagnol[4], mesurant de 1,37 Ă  1,52 m au garrot en moyenne[3], pour un poids d'environ 340 Ă  450 kg[4]. Le profil de tĂȘte est rectiligne ou lĂ©gĂšrement concave, les reins sont solides et la croupe est inclinĂ©e[4]. La fondation gĂ©nĂ©tique de la race est la mĂȘme que pour beaucoup d'autres chevaux dĂ©veloppĂ©s Ă  partir du cheval colonial espagnol en AmĂ©rique du Nord et en AmĂ©rique du Sud, notamment le Paso Fino, le Paso pĂ©ruvien et le Criollo[15] - [16]. Il est trĂšs similaire par son type et son hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique au Carolina Marsh Tacky et au cheval des Outer Banks, races et populations de style espagnol provenant de l'est des États-Unis[14]. Les tests ADN ont toutefois prouvĂ© que ce sont bien des races distinctes[17].

Robe

Les robes les plus communes sont le bai, le noir et le gris, mĂȘme si le souris, les diffĂ©rentes variantes du gĂšne Dun et l'alezan sont reprĂ©sentĂ©s[4]. Des individus rouans et pie existent[9].

Allures

Le Florida Cracker est un cheval d'allures, l'association de race lui reconnaĂźt deux allures supplĂ©mentaires, le running walk et l'amble, en plus des allures classiques que sont le pas, le trot et le galop[4]. L'allure de l'amble rompu est connue sous le nom de « coon rack Â» par certains amateurs de la race[18]. Le Florida Cracker Horse a fait l'objet d'une Ă©tude visant Ă  dĂ©terminer la prĂ©sence de la mutation du gĂšne DMRT3 Ă  l'origine des allures supplĂ©mentaire : l'Ă©tude de 24 sujets a permis de dĂ©tecter la prĂ©sence de cette mutation chez 66,7 % d'entre eux, et l’existence de chevaux d'allures parmi la race[19].  

Sélection et génétique

Il existe quelques dissensions entre les éleveurs de chevaux descendant du cheval colonial espagnol, arguant que des lignées sont plus ou moins pures. Dans le cas du Florida Cracker Horse, les tests génétiques menés par Gus Cothran à l'université du Kentucky l'ont révélé trÚs proche génétiquement des chevaux ibériques actuels, comme le Pure race espagnole et le Sorraia[7]. Le Florida Cracker a trÚs vraisemblablement subi un goulot d'étranglement génétique au cours de son histoire, ou bien la race actuelle provient d'un faible nombre de fondateurs, provoquant une perte en diversité génétique[20]. Le taux d'hétérozygotie est en effet bas[14]. Il reste trois lignées principales de Crackers, ainsi que quelques lignées secondaires[21].

Cheval Chickasaw

Le cheval Chickasaw originel, Ă©levĂ© par les indiens du mĂȘme nom Ă  partir des montures capturĂ©es Ă  l'expĂ©dition de De Soto, se sont Ă©teints aprĂšs avoir Ă©tĂ© croisĂ©s pour crĂ©er le Florida Cracker Horse actuel. Ils ont influencĂ© des races telles que le Quarter Horse[22], l'American Saddlebred et le Tennessee Walker. L'Ă©tude de l'universitĂ© Yale (2001) Ă  propos des races animales domestiques le voit comme une race distincte[23], mais d'autres sources plus rĂ©centes incluent la race du « Chickasaw Â» dans le Florida Cracker Horse[4] - [5]. Une tentative de re-crĂ©ation de cette race a Ă©tĂ© menĂ©e dans les annĂ©es 1970, Ă  partir de chevaux proches[22]. Cette association a rassemblĂ© jusqu'Ă  590 animaux, mais la tentative n'a pas perdurĂ©. L'Ă©tude de Yale (2001) faisait Ă©tat d'un risque d'extinction imminent. Le Chickasaw Ă©tait prĂ©sent dans le Tennessee, en Caroline du Nord, et en Oklahoma[23].

Exploitation

Ce petit cheval est historiquement un cheval de travail avec du bĂ©tail et un cheval de selle[3]. Il est crĂ©ditĂ© d'une endurance extraordinaire : Ed Smith note dans Them Good Ole Days que le Florida Cracker Horse peut ĂȘtre montĂ© plus de six heures d'affilĂ©e de nuit comme de jour, et rester frais le lendemain[24]. Connus pour leur rapiditĂ© et leur agilitĂ©, les Florida Cracker Horse peuvent pratiquer les diffĂ©rentes disciplines d'Ă©quitation western.

Diffusion de l'Ă©levage

Photo de deux Florida Cracker Horse broutant prĂšs d'un cours d'eau.
Chevaux Florida Crackers dans la Paynes Prairie.

Le Florida Cracker Horse est classĂ© dans la base de donnĂ©es DAD-IS comme race de chevaux locale et native des États-Unis, propre Ă  la Floride[1].

En 2009, environ 900 chevaux avaient Ă©tĂ© enregistrĂ©s depuis la crĂ©ation du registre[5]. L'État de Floride maintient toujours deux groupes de chevaux issus de l'Ă©levage de John Law Ayers Ă  Tallahassee et Ă  Withlacoochee dans un but conservatoire, et un groupe de dĂ©monstration dans la Paynes Prairie. L'État vend annuellement les chevaux excĂ©dentaires provenant de ces trois troupeaux, les Ă©leveurs individuels envoient eux aussi des chevaux Ă  la vente[21]. Lâ€ČAmerican Livestock Breeds Conservancy considĂšre la race comme en Ă©tat « critique » parmi la famille du cheval colonial espagnol[25], ce qui signifie que la population mondiale estimĂ©e pour la race est de moins de 2 000 individus, et qu'il y a moins de 200 nouvelles inscriptions chaque annĂ©e aux États-Unis[26]. Equus Survival Trust considĂšre Ă©galement la population comme en Ă©tat « critique Â», ce qui signifie qu'il reste entre 100 et 300 juments reproductrices adultes[27]. Le risque de disparition est accru par le manque de diffusion de l'Ă©levage, le Florida Cracker Horse Ă©tant presque exclusivement Ă©levĂ© en Floride[28]. Cependant, les effectifs connaissent une lĂ©gĂšre hausse dans les annĂ©es 2000[5].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « Florida Cracker Horse » (voir la liste des auteurs).
  1. DAD-IS.
  2. Porter et al. 2016, p. 502.
  3. Porter et al. 2016, p. 466.
  4. Dutson 2005, p. 106-108.
  5. Lynghaug 2009, p. 73-78.
  6. Lynghaug 2009, p. 73.
  7. Hendricks 2007, p. 187
  8. Dohner 2001, p. 367.
  9. (en) Toni McAllister, « Official designation for the Florida Cracker Horse », BowTie, Inc, (consulté le ).
  10. (en) « Cracker Cattle and Cracker Horse Program », Florida Department of Agriculture and Consumer Services (consulté le )
  11. (en) « Florida Cracker Horse », American Livestock Breeds Conservancy (consulté le )
  12. Bowling et Ruvinsky 2000, p. 397.
  13. (en) « SB 230 - State Symbols/Fla. Cracker Horse/Loggerhead Turtle [RPCC] », Florida House of Representatives (consulté le )
  14. (en) E. G. Cothran, R. Juras et E. K. Conant, « A microsatellite analysis of five Colonial Spanish horse populations of the southeastern United States », Animal Genetics, vol. 43, no 1,‎ , p. 53–62 (ISSN 1365-2052, DOI 10.1111/j.1365-2052.2011.02210.x, lire en ligne, consultĂ© le )
  15. Lynghaug 2009, p. 74.
  16. (en) Deb Bennett, Conquerors : The Roots of New World Horsemanship, Solvang, CA, Amigo Publications, Inc., , 1re Ă©d., 422 p. (ISBN 0965853306 et 9780965853309, OCLC 39709067), p. 307.
  17. Associated Press, « Carolina Horsemen Trying to Save Rare Breed », The Horse,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  18. (en) Moira C. Harris (ill. Bob Langrish), America's Horses : A Celebration of the Horse Breeds Born in the U.S.A., Guilford, CT, Globe Pequot, , 214 p. (ISBN 1-59228-893-6, OCLC 76906780, lire en ligne), p. 98.
  19. (en) M. PromerovĂĄ, L. S. Andersson, R. Juras et M. C. T. Penedo, « Worldwide frequency distribution of the ‘Gait keeper’ mutation in the DMRT3 gene », Animal Genetics, vol. 45, no 2,‎ , p. 274–282 (ISSN 1365-2052, DOI 10.1111/age.12120, lire en ligne, consultĂ© le ).
  20. (en) Maria do Mar Oom, E. Gus Cothran, Cristiane Bastos-Silveira et Cristina LuĂ­s, « Iberian Origins of New World Horse Breeds », Journal of Heredity, vol. 97, no 2,‎ , p. 107–113 (ISSN 0022-1503, DOI 10.1093/jhered/esj020, lire en ligne, consultĂ© le )
  21. Lynghaug 2009, p. 76.
  22. (en) Holmes Willis Lemon, « Chickasaw Horse », The Chickasaw Nation (consulté le ).
  23. Dohner 2001, p. 370.
  24. Hendricks 2007, p. 188
  25. (en) « Breed Information - ALBC Conservation Priority List », American Livestock Breeds Conservancy (consulté le ).
  26. (en) « Parameters of Livestock Breeds on the ALBC Conservation Priority List », American Livestock Breeds Conservancy, (consulté le ).
  27. (en) « Equus Survival Trust Equine Conservation List » [PDF], Equus Survival Trust (consulté le ).
  28. Bowling et Ruvinsky 2000, p. 393.

Annexes

Articles connexes

Lien externe

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

  • [Bowling et Ruvinsky 2000] (en) Ann T. Bowling, Anatoly Ruvinsky et al., The Genetics of the Horse, New York, NY, CABI Publishing Series, , 527 p. (ISBN 0851999255 et 9780851999258, OCLC 57394341). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Dohner 2001] (en) Janet Vorwald Dohner, The Encyclopedia of Historic and Endangered Livestock and Poultry Breeds, New Haven, CT, Yale University Press, coll. « Yale agrarian studies », (ISBN 030013813X et 9780300138139), « Florida Cracker », p. 367-369
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  • [Lynghaug 2009] (en) Fran Lynghaug, « Florida Cracker Horse : The Complete Guide to the Standards of All North American Equine Breed Associations », dans The Official Horse Breeds Standards Guide, Minneapolis, MN, Voyageur Press, , 672 p. (ISBN 0-7603-3499-4 et 978-0-7603-3499-7, OCLC 759839527, lire en ligne), p. 73-78
  • [Hendricks 2007] (en) Bonnie Lou Hendricks (prĂ©f. Anthony A. Dent), « Florida Cracker Horse », dans International Encyclopedia of Horse Breeds, Norman, OK, University of Oklahoma Press, , 486 p. (ISBN 080613884X et 9780806138848, OCLC 154690199, lire en ligne), p. 187-188 Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • [Porter et al. 2016] (en) Valerie Porter, Lawrence Alderson, Stephen J. G. Hall et Dan Phillip Sponenberg, Mason's World Encyclopedia of Livestock Breeds and Breeding, CAB International, , 6e Ă©d., 1 107 p. (ISBN 1-84593-466-0, OCLC 948839453). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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