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Escles-Saint-Pierre

Escles-Saint-Pierre est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.

Escles-Saint-Pierre
Escles-Saint-Pierre
Carte postale du village vers 1910.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Sabrina Renault
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60219
DĂ©mographie
Gentilé Esclois[1]
Population
municipale
168 hab. (2020 en augmentation de 10,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 44â€Č 30″ nord, 1° 48â€Č 15″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 216 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Grandvilliers
LĂ©gislatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Escles-Saint-Pierre
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Escles-Saint-Pierre
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Escles-Saint-Pierre

    GĂ©ographie

    Localisation

    Escles-Saint-Pierre est un village rural picard situé à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime.

    L'ex-route nationale 15bis (actuelle RD 315) constitue la limite est de la commune.

    La station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Abancourt TER Normandie (Ligne Amiens - Rouen) et TER Picardie (Ligne Amiens - Rouen) (Ligne Épinay - Le TrĂ©port).

    En 1850, Louis Graves indiquait qu'Escles-Saint-Pierre est une « TrÚs-petite commune comprise dans le prolongement qui, vers le nord , s'étend entre les départements.de la Seine-Inférieure (actuelle Seine-Maritime) et de la Somme. Le territoire, de figure à. peu rectangulaire, est découvert, plane, donnant naissance vers le sud à un ravin qui descend dans le Val de la haie. Le chef-lieu presque central réunit plusieurs rues formées de maisons séparées par des jardins et des herbages[2] ».

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Escles-Saint-Pierre
    Morvillers-Saint-Saturnin
    Somme
    Quincampoix-Fleuzy Escles-Saint-Pierre Fourcigny
    Somme
    Fouilloy

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 859 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 766,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  38 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Escles-Saint-Pierre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (87,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (62,6 %), prairies (24,5 %), zones urbanisĂ©es (7,7 %), forĂȘts (5,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 78, alors qu'il Ă©tait de 71 en 2014 et de 68 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 82,4 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Escles-Saint-Pierre en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Escles-Saint-Pierre en 2019.
    Typologie Escles-Saint-Pierre[I 1] Oise[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 82,4 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 10,3 7,1 8,2

    Toponymie

    La commune a changé de nom au cours des siÚcles : Hecles, Escles, Ecle, Eccles, Excles, Excle, Ecles (Eccla)[2], puis prend sa dénomination actuelle d'Escles-Saint-Pierre le 20 juin 1954[23].

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, le village relevait du duché d'Aumale[2]

    En 1850, une partie de la population vivait de la fabrication de Bonneterie et des Ă©toffes de laine[2].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxiÚme circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Formerie[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Grandvilliers.

    Intercommunalité

    Escles-Saint-Pierre fait partie, comme quatre-vingt-huit autres communes, de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.

    La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays a constituer le « Pays de Picardie ».

    En 2018, la commune participe Ă©galement Ă  divers regroupements communaux[25] :

    • Syndicat d'Ă©nergie de l'Oise
    • Syndicat des eaux de Blargies (SIAEP de Blargies)
    • Syndicat intercommunal de regroupement scolaire du RPI de Romescamps (SIRP de Romescamps).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Marcel Manchion
    2008 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Sabrina Renault RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[27] - [28] - [29]

    Distinctions et labels

    Équipements et services publics

    La commune dispose d'une salle des fĂȘtes et a construit en 2021 un terrain de pĂ©tanque[32].

    Eau et déchets

    L'adduction en eau potable de la commune est assurée par le syndicat des eaux de Blargies, qui dessert également Monceaux-l'Abbaye, Moliens, Broquiers, Saint-Thibault, Romescamps, Fouilloy, ainsi que les hameaux de Hennicourt et Marcoquet[33].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique créé en 2005[34].

    Il s'est transformé en regroupement pédagogique concentré (RPC) grùce à l'extension du groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, qui a ouvert à la rentrée 2017, doté d'une cantine et d'une garderie et entrainant la fermeture des autres écoles. Pour l'année scolaire 2018-2019, l'école accueille 125 élÚves des communes de Romescamps, Fouilloy, Gourchelles et Escles-Saint-Pierre[35] - [36] - [37].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 168 habitants[Note 7], en augmentation de 10,53 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    281270292308305323304317224
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    258238244243225221254217216
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    205161147155148146159178198
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    180152144117115120138139138
    2015 2020 - - - - - - -
    158168-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,9 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 23,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 79 femmes, soit un taux de 52,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    2,3
    90 ou +
    2,5
    3,4
    75-89 ans
    5,0
    14,8
    60-74 ans
    20,0
    19,3
    45-59 ans
    16,2
    20,5
    30-44 ans
    22,5
    12,5
    15-29 ans
    7,5
    27,3
    0-14 ans
    26,3
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre, reconstruite au XVIe siĂšcle. Elle dispose d'un beau mobilier cultuel, dont ses fonts baptismaux, de style gothique flamboyant, en pierre sculptĂ©e et bassin en plomb sont du XVIe siĂšcle[43] - [44]
    • Croix de chemin, de la Renaissance.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Escles-Saint-Pierre », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. RĂ©sultats de votre recherche de noms d'habitants
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise)), p. 46-47, sur Google Livres.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Escles-Saint-Pierre et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Escles-Saint-Pierre et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. DĂ©cret 15 juin 1954, Journal Officiel du 20 juin 1954 p. 5846, http://www.locom.org/loc_anc21.htm#ES
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. Outil de recherche de la base BANATIC, consulté le 24 février 2019.
    26. « Les maires de Escles-Saint-Pierre », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    27. « Sabrina CoĂ«t rĂ©Ă©lue maire », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3290,‎ , p. 12.
    28. « Quatre maires sur 22 sont des femmes : Sabrina Renault, Escle-Saint-Pierre : la premiĂšre femme maire de son village », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle - Oise - Somme, no 3594,‎ , p. 17 « Sabrina Renault est maire depuis 2008 d'Escle-Saint-Pierre. Elle achĂšve son deuxiĂšme mandat ».
    29. « Á Escles-Saint-Pierre, Sabrina Renault rĂ©Ă©lue maire : Sabrina Renault, maire d'Escles-Saint-Pierre (Oise) depuis 2008, a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue premiĂšre magistrate de son village », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Sabrina Renault a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue premiĂšre magistrate. Elle est maire du village depuis 2008 ».
    30. Florent Barbe, « Des villes et des villages bien fleuris », Le Parisien, "dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. « Le palmarĂšs des villes et villages fleuris », Le Courrier picard Ă©dition de l'Oise,‎ .
    32. Maxime Bouhier, « Escles-Saint-Pierre : un terrain de pĂ©tanque installĂ© : Depuis quelques jours seulement, la commune d’Escles-Saint-Pierre dispose d’un terrain de pĂ©tanque. Une possibilitĂ© pour les adeptes de ce jeu de se rĂ©unir. », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    33. « L'eau redevient potable », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. C.G., « La nouvelle classe prĂȘte pour jeudi », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ 232/8/2005 (lire en ligne, consultĂ© le ) « Les enfants du Sirs Romescamps, Gourchelles, Fouilloy et Escles-Saint-Pierre seront rĂ©partis dans 5 classes : au groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, deux classes de maternelle et une classe de cours primaire. A la mairie de Romescamps, une classe de CE 1 et CE 2. A la mairie de Fouilloy, une classe de CM 1 et CM 2 ».
    35. « Quatre villages construisent leur Ă©cole ensemble », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. « ROMESCAMPS Le groupe scolaire s’agrandit : Des travaux d’extension sont en cours de rĂ©alisation au groupe scolaire Roger Cocu. Trois nouvelles salles de classe sont attendues », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « À la rentrĂ©e 2017-2018, le groupement scolaire pourra accueillir les maternelles ainsi que les cinq niveaux de l’école Ă©lĂ©mentaire. Le nombre d’élĂšves n’a pas encore Ă©tĂ© comptabilisĂ©. L’enveloppe totalitaire (extension + rĂ©habilitation) s’élĂšve Ă  1 718 156 euros. Les subventions proviennent de la rĂ©gion : 131 000 euros, de l’état Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) : 127 000 euros, et du dĂ©partement 605 000 euros ».
    37. « Les Ă©coliers en stage avant la rentrĂ©e », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3532,‎ , p. 4.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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