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Désaignes

Désaignes est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Désaignes
Désaignes
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lamastre
Maire
Mandat
François Soubeyrand
2020-2026
Code postal 07570
Code commune 07079
Démographie
Gentilé Désaignois
Population
municipale
1 156 hab. (2020 en augmentation de 5,76 % par rapport à 2014)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 44″ nord, 4° 31′ 03″ est
Altitude Min. 380 m
Max. 1 170 m
Superficie 50,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Vivarais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Désaignes
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Désaignes

    Les habitants sont appelés les Désaignois[1].

    Géographie

    La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Désaignes est une des plus vastes communes d'Ardèche avec 5 072 hectares de superficie. Située au cÅ“ur de la vallée du Doux, son bureau centralisateur de canton est Lamastre dont elle est limitrophe. La commune fait partie du parc naturel régional des Monts d'Ardèche.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est traversé par le Doux, un affluent de la rive droite du Rhône.

    Voies de communication

    Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 533 ou RN 533 déclassé en 2006 en RD533. Cette route permet de relier Valence à Saint-Agrève.

    Urbanisme

    Typologie

    Désaignes est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62 %), prairies (29,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), zones urbanisées (1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Désaignes est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise[9].

    Terminologie des zones sismiques[10]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 2Sismicité faibleaccélération = 1,1 m/s2

    Histoire

    Durant l'Antiquité, le village se trouvait sur une piste naturelle qui, en suivant la vallée du Doux, remontait vers le plateau ardéchois et le centre de la Gaule. Une piste passait à Désaignes, « la voie des Marchands ». Les Gaulois semblent s'être installés dans la zone de Pré-Lacour et de Pujol, le long de la rivière du Syalles. On trouve encore aujourd'hui des débris de poteries, voire des fondations de maisons. L'emplacement de la commune se trouvait dans le territoire helvien qui fut soumis à Rome et inclus dans la Province Narbonnaise dès 121 avant J.-C. Les Romains entreprirent d'améliorer les pistes existantes. Des vestiges de leur présence ont été trouvés sur la commune (thermes, villas et sources d'eau minérale). De nouvelles découvertes archéologiques, mises au jour en 2010, attestent du passé romain de la commune de Désaignes[11].

    Aux temps féodaux, Désaignes et ses châteaux forts[12] - [13] - [14] - [15] relevaient d'abord de la seigneurie de Retourtour, exercée depuis le XIIe siècle au moins par la famille qui en portait le nom, puis par leurs continuateurs, les Tournon (car Jacques Ier de Tournon, † 1396 à Nicopolis, épousa en 1re noces en 1376 l'enfant Alix/Aélis, fille héritière de Briand III de Retourtour († 1379), disparue très jeune encore vers 1383/1385 sans avoir pu lui donner une postérité ; cependant les Tournon gardèrent l'héritage, Jacques Ier suivi de son propre frère Guillaume IV de Tournon et des descendants de ce dernier). En 1644, meurt au siège de Philippsbourg, sans postérité, Just-Louis II de Tournon, le dernier de la branche aînée : la succession des Tournon passe alors à ses cousins Lévis-Ventadour, jusqu'à Louis-Charles (1647-1717) et sa fille Anne-Geneviève de Lévis (1673-1727 ; princesse de Turenne puis de Soubise par ses deux mariages). Vers 1690/1691, Antoine-Marie de La Gruterie (un fief à Lamastre et Désaignes) de Maisonseule[16] - [17] achète la seigneurie de Désaignes ; il était aussi baron de Lamastre, seigneurie que possédait déjà son grand-père Claude de la Gruterie de Maisonseule vers le milieu du XVIIe siècle ; il se fait détester par ses parents, voisins et « sujets » pour sa dureté et meurt sans postérité en 1730. Les La Gruterie de Maisonseule furent continués à Désaignes et Lamastre (voir des sources et des précisions à cet article) par des descendants en ligne féminine, les Chevriers (famille du Mâconnais et du Lyonnais) puis les Grollier ; le dernier seigneur-baron de Lamastre, Désaignes et Maisonseule, le marquis Pierre-Louis de Grollier (1730-guillotiné ou fusillé en aux Brotteaux de Lyon pour avoir rejoint l'insurrection lyonnaise), aussi marquis de Treffort et Pont-d'Ain, était le mari de la peintre Charlotte-Sophie de Fuligny-Damas.

    Depuis le début du XVe siècle au moins et probablement avant, la famille de Meyres avait des droits sur le/les château(x) de Désaignes (par don, vente ou investiture de fief ?) et prêtait l'hommage aux Retourtour puis aux Tournon et à leurs successeurs ; ainsi, vers 1423, Helmorgis de Grolée, veuve en 1415 dudit Guillaume IV de Tournon, permettait à Jean de Meyres de réédifier et d'agrandir une tour de l'ensemble castral de Désaignes ; on peut donc les qualifier de châtelains (mais pas seigneurs) de Désaignes : même s'ils avaient des possessions importantes, fiefs, cens et autres revenus, fortifications… à Désaignes, les de Meyres n'étaient pas maîtres de la seigneurie-baronnie, qui restait en toute domination et suzeraineté aux Tournon, aux Lévis, puis aux La Gruterie de Maisonseule : ils jouissaient seulement de l'important bien castral avec les droits afférents qu'on vient d'évoquer, le fief de Meyres, et d'un autre fief, le Vergier. Les de Meyres semblent appartenir aux fidèles des Retourtour depuis le milieu du XIVe siècle au moins (cités en 1340, 1352 ; en 1368, Pons de Meyres est le bailli de Briand III de Retourtour à Bourg-Argental après avoir été substitut au bailliage royal de Bourcieu en 1356, et il teste en 1374), puis à l'entourage des Tournon. Cependant, le fief de Meyres et celui du Vergier passèrent à une branche cadette des Tournon par le mariage en 1494 de l'héritière Marguerite de Meyres (fille de Rodet, fils de Pierre, fils lui-même de Jean de Meyres rencontré plus haut comme un loyal vassal de la douairière de Tournon, Helmorgis de Grolée), avec Alexandre, fils naturel — légitimé en 1499 — de Jacques II de Tournon et d'Antoinette de Saint-Priest : d'où les Tournon de Meyres et du Vergier, aussi héritiers d'un autre bien des Tournon, Retourtour : seigneuries qu'on retrouve ensuite chez leurs descendants, dont les Tournon-Simiane (Pour compliquer les choses, dans la 1re moitié du XVIIe siècle un ou plusieurs sires François de Tournon de Meyres eurent même par acquisition la baronnie de Lamastre (1603), échue ensuite aux La Gruterie de Maisonseule en la personne de Claude de La Gruterie comme vu plus haut)[18].

    Désaignes s'est développée au Moyen Âge. Il s'agissait d'un des bourgs les plus importants du Vivarais, puisqu'il comptait près de 3 000 habitants intra-muros, pour seulement 1 182 aujourd'hui sur toute la commune dont cinq cent dans le village. Le village fut par la suite marqué par les guerres de Religion, et la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale. Son déclin au cours du XXe siècle est dû au fait que le train qui devait passer par Désaignes s'est finalement arrêté à Lamastre, km plus bas. C'est donc cette localité qui a profité de cet atout pour se développer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mai 2020 Marc Bard DVG Artisan
    mai 2020 En cours
    (au [19])
    François Soubeyrand DVD Agriculteur

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2020, la commune comptait 1 156 habitants[Note 2], en augmentation de 5,76 % par rapport à 2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 3403 0552 8073 3203 5953 5543 9473 8463 953
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 8433 8813 9413 7423 5083 6093 6713 6003 683
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 6413 4143 1622 5672 5832 3672 3152 0271 735
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 6721 4821 2841 1821 0871 1051 1321 1541 182
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 0931 1621 156------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Les Castagnades, sont chaque année l'occasion de fêter la châtaigne.
    • Concert Zik en Dez : en avril.
    • Trail l'Ardéchois : vers les mois d'avril-mai, grande course pédestre de montagne.
    • Fête de la musique : 21 juin.
    • Festival de musique traditionnelle : début juillet, plein air et entrée libre.
    • Fête Médiévale : deuxième week-end d'août, manifestation sur deux journées avec des spectacles, un marché d’artisanats et producteurs,des jeux médiévaux, un repas et un spectacle pyrotechnique le soir.

    Médias

    La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

    Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
    Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Annonay-Nord Ardèche.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église paroissiale Desaignes (propriété de la commune) dépendent de la paroisse « Saint Basile Entre Doux et Dunière » dont la maison paroissiale, située à Lamastre, est rattachée au diocèse de Viviers[24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Désaignes, qui date du XIVe siècle. Parmi ses éléments d'architecture : un escalier à vis, une chapelle et de belles cheminées. Le musée municipal est aujourd'hui installé dans ses murs et ses caves accueillent un point de présentation et de dégustation des produits régionaux. Le musée reprend des éléments de la vie rurale d'autrefois ainsi que l'histoire du village. Du côté ouest du château, le long de la rue des Remparts se trouve une grille mobile en fer forgé classée monument historique.
    • Trois châteaux privés des XVe et XVIe siècles.
    Bloc sculpté provenant de l'ancienne église. Inscription : « Ma maison est la maison d'oraison A 1608 Noel Bore[l] IHS ».
    • Temple protestant : au centre du bourg, il est adossé à la forteresse du XIe siècle dont il a gardé le donjon pour clocher. Construit entre 1820 et 1844, il remplace un premier temple détruit en 1684 sur ordre de l'évêque de Valence. on peut y voir de belles fenêtres romanes ainsi qu'une pierre gravée, provenant du premier temple et placée au-dessus de la porte : « Ma maison est la maison d'oraison ». L'aula du XIIIe siècle de la forteresse a été englobé dans le temple en 1822[25].
    • Église Saint-Pierre de Désaignes de style roman et néo-roman.
    • Nombreux fragments du rempart qui entourait jadis la ville.
    • Portes médiévales : la porte du Bourg de l'homme (classée monument historique), la porte Fornat et la porte Janot.
    • Fontaine Barbière.
    • Ponts : du Buisson (1746), de la Fabrique ou du Massoire (1886) et du Syalles (1900).
    • Fermes et hameaux typiques de l'habitat rural dispersé.
    • Culture en terrasses.

    Le village est inscrit au patrimoine historique depuis 1972 et labellisé Village de caractère depuis 2007.

    Personnalités liées à la commune

    Le village vu de la Vierge.
    Vue générale : le temple, le château et l'église.
    • Quelques photos de divers lieux et sites de Désaignes
    • Carte postale.
      Carte postale.
    • Château du XIVe siècle.
      Château du XIVe siècle.
    • Cour d'honneur du château.
      Cour d'honneur du château.
    • Escalier à vis du château.
      Escalier à vis du château.
    • Porte Fornat.
      Porte Fornat.
    • Remparts.
      Remparts.
    • « Temple de Diane ».
      « Temple de Diane ».
    • Fête médiévale.
      Fête médiévale.
    • Vignes.
      Vignes.

    Héraldique

    Désaignes possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Bibliographie

    • François-Xavier du Passage, « Belair (Desaignes) : d'une maison forte au domaine agricole : dans cahier consacré aux châteaux et grands domaines en Ardèche, de la Renaissance à nos jours (actes d'un colloque en 2014 à Annonay-Davézieux) », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 126,‎

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Nom des habitants de Désaignes sur le site habitants.fr de la société Patagos (consulté le 13 février 2019).
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
    10. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    11. « Désaignes « flat lux » la découverte », sur le site de la commune de Lamastre.
    12. « Désaignes, 2010 », sur Patrimoine d'Ardèche.
    13. « Château de Désaignes », sur Château féodal et ruine médiévale, Châteaux en Lyonnais Vivarais.
    14. « Désaignes, p. 202 à 227 », sur Ardèche, terre de villages, par Michel Riou et Michel Rissoan, à La Fontaine de Siloé, 2007.
    15. « 4e partie - Familles alliées des Tournon : les Retourtour, les de Meyres et les Tournon de Meyres », sur Archives nationales > Chartrier de Tournon.
    16. « Château de Maisonseule ; les de La Gruterie », sur Château féodal et ruine médiévale, Châteaux en Lyonnais Vivarais.
    17. « St-Basile, Maisonseule et les de La Gruterie », sur Saint-Basile et ses hameaux, 2020.
    18. Remarque : les auteurs commettent souvent une confusion, décorant les sires de Meyres, châtelains de Désaignes, du titre de « seigneur de Désaignes » ; de même qu'ils font des châtelains, seigneurs et barons de Retourtour, des « barons de Lamastre (Château de Peychelard) ». Il est bon de faire la distinction, même si les familles seigneuriales s'entremêlent…
    19. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. Site Ardèche-catholique, page sur la paroisse "Saint Basile Entre Doux et Dunière".
    25. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 213.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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