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CrĂȘts en Belledonne

CrĂȘts en Belledonne est, depuis le , une commune nouvelle française situĂ©e dans l'IsĂšre en rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes.

CrĂȘts en Belledonne
CrĂȘts en Belledonne
Vue du bourg historique de Saint-Pierre depuis Montgalland, lieu-dit de MorĂȘtel-de-Mailles.
Image illustrative de l’article CrĂȘts en Belledonne
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Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes
DĂ©partement IsĂšre
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Youcef Tabet
2020-2026
Code postal 38570, 38830
Code commune 38439
DĂ©mographie
Gentilé Belcrétois
Population
municipale
3 380 hab. (2020)
DensitĂ© 100 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 22â€Č 32″ nord, 6° 02â€Č 55″ est
Altitude Min. 250 m
Max. 1 766 m
Superficie 33,80 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Allevard
(ville-centre)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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CrĂȘts en Belledonne

    Cette commune est issue du regroupement des deux communes de MorĂȘtel-de-Mailles et Saint-Pierre-d'Allevard, qui avaient, jusqu'aux Ă©lections municipales de 2020, le statut de communes dĂ©lĂ©guĂ©es[1].

    GĂ©ographie

    Situation et description

    CrĂȘts en Belledonne fait partie de la sĂ©rie de bourgades construites sur les replats des « Balcons de Belledonne », entre Allevard au nord et Uriage au sud. Elle est traversĂ©e par la dĂ©partementale 525 qui relie Goncelin Ă  Allevard. Une de ses particularitĂ©s est la dispersion des habitations en de trĂšs nombreux hameaux, de tailles trĂšs variables, implantĂ©s sur les pentes du Saint-GĂ©nix, de Brame-Farine et de la « montagne de Saint-Pierre », avec un seul bourg, Saint-Pierre-d'Allevard.

    GĂ©ologie et relief

    SituĂ©e dans la partie septentrionale du massif de Belledonne, elle s'Ă©tend essentiellement dans la partie sud d'un synclinal parallĂšle Ă  la vallĂ©e de l'IsĂšre, englobant les pentes calcaires de la montagne de Brame-Farine (1 192 m) qui surplombe le GrĂ©sivaudan. Elle est limitĂ©e au sud-sud-ouest par les Cinq CrĂȘts, Ă  l'est par l'Ă©paulement (qui culmine Ă  1 726 m avec le CrĂȘt du Poulet) qui la sĂ©pare de la vallĂ©e du Haut BrĂ©da ; elle s'ouvre sur le GrĂ©sivaudan Ă  l'ouest (vers le Cheylas) et au sud-ouest (vers Goncelin).

    Une des particularitĂ©s de la commune est son amplitude d'altitude : le bourg de Saint-Pierre s'Ă©tale, du sud au nord, entre 490 et 543 m, les hameaux s'Ă©chelonnent entre 366 m (le hameau des Teppes) et environ 900 m (le Charpieux, sur la route du col du Barioz), et le point le plus haut, le CrĂȘt du Poulet, culmine Ă  1 726 m.

    Hydrographie

    Le cours d'eau le plus important est le Salin, qui prend sa source sur les pentes schisteuses du CrĂȘt du Poulet traverse le hameau de Sailles, grossi par de nombreux affluents du mĂȘme bassin versant, les plus importants Ă©tant les ruisseaux du Grand Plan, de la Cassey, du Carignon, du Mas, puis, rejoint par les ruisseaux du Catus (drainant le flanc sud-est de Brame-Farine) et du Taillou (sur le flanc nord du Saint-GĂ©nix), emprunte les gorges du Fay pour atteindre la vallĂ©e de l'IsĂšre. Plus au sud, le ruisseau de Chavanne rejoint directement la vallĂ©e de l'IsĂšre. Les pentes assez raides transforment par temps d'orage ou de pluies persistantes ces ruisseaux, parfois intermittents dans le massif calcaire de Brame-Farine, en torrents dĂ©vastateurs.

    Les fonds marĂ©cageux ont servi Ă  Ă©tablir, au nord, le bassin EDF du Flumet (de 4,7 Mm3) et le « lac » des Fontaines sur le large faux plat dans la pente ouest du Saint-GĂ©nix. Un seul subsiste dans une zone classĂ©e « espace naturel sensible » : le marais de Sailles[2].

    Climat

    SituĂ©e Ă  proximitĂ© de l'extrĂ©mitĂ© septentrionale et occidentale du massif de Belledonne, le climat de la commune de CrĂȘts en Belledonne Ă  l'instar de sa voisine, la ville d'Allevard, est soumis Ă  une pluviomĂ©trie importante.

    L'été présente des périodes chaudes, mais modérées par l'effet de l'altitude. Les hivers de ces dix derniÚres années ont connu des enneigements constants.

    Voies de communication et transports

    Commune de montagne, elle est reliĂ©e Ă  la vallĂ©e du GrĂ©sivaudan par deux voies : la dĂ©partementale 525 qui relie Allevard Ă  Goncelin et la dĂ©partementale 78, vers Le Cheylas ; aux autres communes du Balcon de Belledonne par la dĂ©partementale 280 et le col du Barioz (1 041 m).

    La communautĂ© de communes a mis en place un rĂ©seau de transport en commun (« TouGo »[3]) qui assure aussi le transport scolaire, un service de transport Ă  la demande (G600) et des navettes (Skibus) entre autres vers l’espace nordique du Barioz pendant la saison de ski. La ligne T86 du rĂ©seau dĂ©partemental Cars RĂ©gion IsĂšre relie la commune Ă  Grenoble.

    Urbanisme

    Typologie

    CrĂȘts en Belledonne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Allevard, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 9 communes[7] et 14 554 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10] - [11].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de CrĂȘts en Belledonne est situĂ© en zone de sismicitĂ© no 4, comme la plupart des communes de son secteur gĂ©ographique[12].

    Terminologie des zones sismiques[13]
    Type de zoneNiveauDĂ©finitions (bĂątiment Ă  risque normal)
    Zone 4SismicitĂ© moyenneaccĂ©lĂ©ration = 1,6 m/s2

    Histoire

    La crĂ©ation de la nouvelle commune, effective le , entraĂźne la transformation des deux anciennes communes, MorĂȘtel-de-Mailles et Saint-Pierre-d'Allevard, en « communes dĂ©lĂ©guĂ©es ». Sa crĂ©ation a Ă©tĂ© entĂ©rinĂ©e par l'arrĂȘtĂ© du [14].

    Elle se justifie par des liens sociaux Ă©troits et une certaine cohĂ©rence territoriale. Les deux communes originelles, crĂ©Ă©es en 1789, recouvraient les territoires des anciennes paroisses, mĂȘme si, entre 1795 et 1800 Saint-Pierre-d'Allevard fut intĂ©grĂ©e Ă  la municipalitĂ© cantonale d'Allevard et MorĂȘtel Ă  celle de Goncelin. Mais les limites entre elles n'Ă©taient pas Ă©tanches : les enfants des hameaux de Sailles frĂ©quentaient l'Ă©cole de MorĂȘtel jusqu'Ă  sa fermeture en 1971, date Ă  partir de laquelle les enfants de MorĂȘtel furent scolarisĂ©s Ă  Saint-Pierre, des Saint-Pierrains possĂšdent des terres (anciennement des vignes) sur les coteaux biens exposĂ©s de MorĂȘtel.

    Toponymie

    Le choix du nom de la nouvelle entitĂ© administrative est inspirĂ© par la gĂ©ographie. L'association du nom des deux anciennes communes aurait dĂ©passĂ© les 37 signes lĂ©gaux et il n'a pas paru souhaitable de mixer les deux noms. Il existe d'autres communes isĂ©roises identifiĂ©es par leur espace gĂ©ographique, que ce soit l'Oisans (Le Bourg-d'Oisans), le Vercors (Lans-en-Vercors) ou la Chartreuse (Saint-Pierre-de-Chartreuse). Or les deux anciennes communes sont situĂ©es dans la partie septentrionale du massif de Belledonne et sont partiellement entourĂ©es de « crĂȘts ». MorĂȘtel-de-Mailles est dominĂ©e au sud par le CrĂȘt du Saint-Genis (1 178 m), dont la corniche rocheuse nord-est, appelĂ©e les Cinq CrĂȘts (de 1 285 Ă  1 150 m), est la limite sud-sud-ouest de Saint-Pierre-d'Allevard, que dominent en outre, au sud-est, le CrĂȘt du Poulet (1 726 m) et les pentes du CrĂȘt Luisard (1 803 m), Ă©lĂ©ments les plus hauts de l'Ă©paulement rocheux qui sĂ©pare le « pays d'Allevard » de la vallĂ©e du Haut-BrĂ©da.

    Politique et administration

    Tendance politiques et résultats

    RĂ©sultats des derniers scrutins Ă©lectoraux dans la commune
    1er score 2e score Participation
    Élection prĂ©sidentielle de 2017 (2nd tour)[15] 60,86 % pour Emmanuel Macron (LREM) 39,14 % pour Marine Le Pen (RN) 77,45 %
    Élection prĂ©sidentielle de 2017 (1er tour) 21,00 % pour Jean-Luc MĂ©lenchon (LFI) 20,59 % pour Marine Le Pen (RN) 80,99 %

    Liste des communes

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Saint-Pierre-d'Allevard
    (siĂšge)
    38439CC du Pays du GrĂ©sivaudan27,092 887 (2013)107


    MorĂȘtel-de-Mailles38262CC du Pays du GrĂ©sivaudan6,71448 (2013)67

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    12 janvier 2016 2020 Jean-Louis Maret[16] PS pharmacien
    15 mars 2020 En cours Youcef Tabet[17]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    MĂ©dias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractÚre local.

    Économie

    La commune dispose de la station du Barioz, une petite station de sports d'hiver au-dessus du col du mĂȘme nom.

    Cuture et patrimoine

    Patrimoine industriel

    Le four à griller le minerai de Saint-Pierre-d'Allevard, construit sur le site de Champ Sappey en 1905[18], et restauré en 1997, est un des rares vestiges du passé industriel de la fin du XIXe siÚcle et du début du XXe siÚcle lié au riche filon de fer spathique de La Taillat (découvert en 1858 et exploité jusqu'en 1920) qui a lancé l'activité miniÚre à l'échelle industrielle[19].

    La partie du tracĂ© du chemin de fer des forges d'Allevard (destinĂ© Ă  transporter le minerai entre les fours Ă  griller et les hauts fourneaux d'Allevard et du Creusot) restĂ©e dans le domaine public est accessible en chemin piĂ©tonnier sur deux kilomĂštres environ entre les anciennes communes de Saint-Pierre-d'Allevard et MorĂȘtel-de-Mailles[20]. Un certain nombre d'ouvrages d'art subsistent, comme des ponts franchissant la voie, le grand remblai du ruisseau du Catus, le site de la gare de Marabet, le dĂ©marrage du plan inclinĂ© Ă  Marabet (vers le Cheylas) et l'arrivĂ©e Ă  Champ Sappey du plan inclinĂ© venant de La Taillat.

    En plusieurs lieux-dits subsistent d'autres vestiges de l'exploitation ancienne du minerai de fer, en particulier la cité Vaugraine et les sites miniers de Combe-Bachat et de la Croix Recullet[21].

    Patrimoine architectural

    Zone frontiĂšre avec la Savoie jusqu'en 1860, la commune garde les vestiges de maisons fortes ayant appartenu au « mandement de Moretel » : BouthiĂšre (ancienne maison forte des Guiffrey de BoutiĂšres), Mailles (maison forte des seigneurs de Mailles), le « chĂąteau de MorĂȘtel » (Maison de Belledonne) aux Fontaines. Le lieu-dit « Le Fort » rappelle l'existence de la forteresse des seigneurs de Moretel, dĂ©truite sur ordre de LesdiguiĂšres en 1593 aprĂšs l'avoir reprise aux Savoyards du Marquis de Trefford qui utilisaient sa position pour ravager la vallĂ©e du GrĂ©sivaudan[22].

    À Saint-Pierre, qui dĂ©pendait du « mandement d'Allevard », l'Ă©glise Saint-Pierre qui a donnĂ© son nom au bourg est le vestige d'un prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin dĂ©pendant de l'Abbaye de Cluny[23]. Son clocher a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [24]. Si les maisons fortes ont disparu, Ă  l'exception de la Tour d'Aquin[25], les lieux-dits en perpĂ©tuent le souvenir, comme ChĂątelard, La Tour, Le Chaboud (ancien site de la maison forte de la famille Genton) et « La Roche » (fief des seigneurs de Saint-Pierre) oĂč les ruines de la maison forte, le chĂąteau de la Roche, Ă©taient encore imposantes Ă  la fin du XIXe siĂšcle[26].

    Dans le hameau de Sailles, des bùtiments gardent des vestiges architecturaux anciens, perpétuant le souvenir de Benoit de Vignon, petit-neveu de Marie Vignon, seigneur de Barnoux et de Sailles, ou de la famille de Marcieu, mais aussi de la longue tradition industrielle qu'a permise la présence du Salin, qui faisait tourner les moulins (à huile de noix et à farine), les martinets et autres machines.

    HĂ©raldique

    CrĂȘts en Belledonne possĂšde des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marcel Fakhoury, MĂ©moires de MorĂȘtel-de-Mailles, Grenoble, Éditions de Belledonne, , 197 p. (ISBN 978-2-911148-41-5, prĂ©sentation en ligne)
    • Olivier Billaz, En Allevard, Essai descriptif et historique sur un canton des Alpes françaises, Grenoble, L. Aubert, , 316 p.
    • Victor Bellin, Petite Histoire du Pays d'Allevard, SociĂ©tĂ© des Ă©crivains dauphinois, , 179 p. (RĂ©Ă©dition. PremiĂšre Ă©dition en 1961)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Commune de CrĂȘts en Belledonne (38439) », sur le Code officiel gĂ©ographique publiĂ© par l'Insee (consultĂ© le ).
    2. « Le marais de Sailles », sur Site officiel de la Mairie de Saint Pierre.
    3. « Site officiel ».
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 d'Allevard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. Site de la préfecture de l'IsÚre, carte des zones de sismicité
    13. ArrĂȘtĂ© du 22 octobre 2010 relatif Ă  la classification et aux rĂšgles de construction parasismique applicables aux bĂątiments de la classe dite « Ă  risque normal » - LĂ©gifrance
    14. « ArrĂȘtĂ© du 27 octobre 2015 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de CrĂȘts-en-Belledonne », Recueil des actes administratifs de l'IsĂšre (page 155),‎ (lire en ligne [PDF]).
    15. « RĂ©sultats prĂ©sidentielle 2017 pour CrĂȘts-en-Belledonne », sur interieur.gouv.fr (consultĂ© le )
    16. « Jean-Louis Maret a Ă©tĂ© Ă©lu maire de CrĂȘts-en-Belledonne », Le DauphinĂ© libĂ©rĂ©, 15 janvier 2016.
    17. « Youcef Tabet a été élu maire de la commune », sur Le Dauphiné libéré, .
    18. « Four à griller », sur cretsenbelledonne.fr (consulté le ).
    19. « Passé industriel de Saint-Pierre » (consulté le ).
    20. Le Tacot, histoire d'un chemin de fer industriel, Éditions du musĂ©e d'Allevard, (ISBN 978-2-9532894-2-8), p. 23.
    21. « Le four de Combe Bachat », sur cretsenbelledonne.fr (consulté le ).
    22. Marcel Fakhoury 1998, p. 33-37.
    23. « L'église et le prieuré clunisien de Saint-Pierre d'Allevard ».
    24. « Eglise », notice no PA00117263, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    25. « Tour d'Aquin », sur CrĂȘts en Belledonne (histoire et patrimoine).
    26. « Le chùteau de la Roche (1876) », sur Atelier des Dauphins.
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